compteur

lundi 14 mars 2022

Rigolons un peu avec Cyprien Luraghi

Voilà la pièce 8 qu’il avait fournie avec sa plainte de 2015 contre moi, censée prouver que je me serais livrée à son encontre à un harcèlement par appels téléphoniques anonymes sans jamais prononcer un mot.

Pour commencer, je précise que je n’ai jamais décroché mon téléphone pour composer son numéro, tout comme je ne lui ai jamais envoyé aucun message par courrier électronique et n’ai non plus jamais laissé aucun commentaire sur aucun de ses blogs. Je ne recherche pas le contact avec ce genre de malades, je les fuis autant que possible. Mon problème avec celui-là depuis 2008, c’est qu’il ne m’a jamais lâchée : dès le début il m’avait attaquée avec des éléments de ma vie privée qu’il obtenait par piratages informatiques et écoutes illégales à mon encontre, et cela a toujours continué. Egalement, il m’a toujours calomniée et dénoncée pour des faits imaginaires un peu partout, auprès de diverses autorités comme sur la toile auprès d’un public d’autant plus large que les faits perdurent sans discontinuer depuis 2008. Je n’arrive pas à m’en débarrasser du fait que les magistrats brestois ont été corrompus par les commanditaires de tous ses harcèlements à mon encontre et le laissent donc faire volontairement, si bien que je n’ai pas d’autre solution pour me défendre un peu que de publier ces textes où je montre quelle est la vérité.

En 2015, donc, il avait déposé contre moi une plainte pour tout un tas de faits imaginaires, dont des faits de harcèlement téléphonique… au moyen d’appels anonymes… sans qu’aucune parole ne soit prononcée…

Je n’ai jamais écrit sous mon identité véritable sur Internet, je suis toujours anonyme, ce qui a toujours profondément dérangé ce malade qui dès les années 2008 et 2009 avait commencé à me dénoncer à des tiers pour mes écrits publics anonymes, dont, à cette époque, aucun ne le concernait, et s’était mis en 2010 à révéler à son public tous les éléments d’une identité qu’il avait obtenus frauduleusement dès 2008, ne supportant absolument plus que je fusse anonyme.

Il me dénonce aussi uniquement parce que je suis anonyme, ce qui d’après lui devrait être interdit mais ne l’est pas, bien au contraire, c’est tout ce qu’il fait me concernant qui est toujours hors la loi et aurait dû depuis longtemps lui valoir une condamnation exemplaire.

Là où sa monomanie anti-anonymat me concernant devient franchement comique, c’est quand il met systématiquement mon nom sur tout ce qui est anonyme, comme cette liste d’appels téléphoniques silencieux et anonymes qu’il dit avoir reçus entre décembre 2013 et mars 2015, avec en plus une mention à hurler de rire pour l’un d’eux dont il dit tout à coup n’être pas sûr que ce soit moi… mais tous les autres, oui, il n’a aucun doute, c’est anonyme, donc c’est moi, et il va sans complexe déposer une plainte nominative…

Comment aura-t-il donc distingué l’anonyme du 12/08/2014 à 13h00 de tous les autres ? Un silence plus aigu ou plus grave ?

Présumons qu’il a l’ouïe vraiment très fine pour pouvoir m’identifier à tous les coups ou presque, même quand c’est sa voisine qui décroche son propre téléphone…

Pour ceux qui pourraient se poser des questions, je précise bien que toutes les « preuves » qu’il apporte pour justifier sa plainte pour harcèlement téléphonique se limitent bien aux deux pages de texte publiées ci-dessous, dont il est lui-même l’auteur.

Par ailleurs, je sais qu’il a toujours été conseillé dans toutes ses exactions à mon encontre par son ami « Titou », policier au commissariat de Cahors, qui a pu lui dire que sa plainte contre moi serait plus facilement prise en considération s’il m’accusait de harcèlement téléphonique, d’où, peut-être, cette étrange production de chiffres qui ne correspond pas forcément à une quelconque réalité.

Le connaissant quand même un peu depuis que je le pratique par obligation, je suppose encore qu’il aura éprouvé le besoin de préciser pour l’un de ces supposés appels anonymes qu’il n’était pas sûr que ce soit moi à seule fin de faire ainsi la preuve d’une honnêteté on ne peut plus scrupuleuse…

C’est un comédien, il a l’habitude d’en faire des tonnes dans le cinéma et est régulièrement trahi par sa petite cervelle d’origine encore réduite par des années d’alcoolisme et de toxicomanie… mais avec les magistrats brestois, tout passe…

 

 

 



 

 

 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire