La CGT les envoie régulièrement au casse-pipe via ses relais politiques avec pour objectif de maintenir ou développer l’emploi dans les arsenaux et toute l’industrie de l’armement, mais eux préfèrent très nettement les exercices aux opérations au cours desquelles ils risquent leur vie.
En effet, de manière assez logique, et contrairement à l’idée totalement fausse que se plaisent à soutenir et propager les militants de l’extrême-gauche, notamment ceux de Brest, les plus militaristes ne sont pas les militaires mais bien ces militants soi-disant anti-militaristes qui déjà en 1994 n’avaient pas ménagé leur peine pour obtenir la signature des contrats d’armement Agosta et Sawari II.
Et voilà où nous en sommes aujourd’hui pour un débile mental pédophile, leur affidé le cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, que la juge ultra CORROMPUE Céline Verdier du TJ de Brest a toujours porté aux nues, autant parce qu’elle était corrompue que par haine des ingénieurs, moi en particulier, mais en fait, les deux vont toujours de pair, car ce n’est pas nous qu’on trompe si facilement.
Au large de Brest, 600 soldats français prêts à partir en exercice à proximité de la Russie
Un imposant navire militaire mouille ce lundi 28 février 2022 en rade de Brest, dans le Finistère : le Dixmude. À son bord, 600 militaires qui vont rejoindre la mer de Norvège pour un exercice militaire de grande envergure avec d’autres pays de l’Otan, prévu de longue date. À Brest, les militaires se sont entraînés à des manœuvres d’envergure.
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Ouest-France Pierre-Loeiz THOMAS. Publié le 28/02/2022 à 20h58
Dans l’entrepont du Dixmude, au milieu des hélicoptères de combat embarqués sur le navire de la Marine nationale, deux militaires jouent au ping-pong. Entre deux entraînements, les soldats chassent le temps sur le porte-hélicoptères amphibie mouillé en rade de Brest (Finistère). Difficile d’imaginer que dans quelques jours, le Dixmude prendra part à un exercice militaire interallié majeur en mer de Norvège, à moins de 500 kilomètres des frontières de la Russie.
35 000 soldats au total
Si cet exercice nommé « Cold Response 2022 » est « programmé de longue date » selon le ministère des Armées, l’invasion de l’Ukraine lancée par Moscou jette un nouvel éclairage sur ces manœuvres. Cette simulation grandeur nature réunira la France et plusieurs de ses alliés de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN) dont les États-Unis et la Grande-Bretagne, aux portes des eaux territoriales russes.
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En tout, près de 35 000 soldats venus de 25 pays seront mobilisés au Nord du cercle polaire du 14 mars au 1er avril. Une première sur le territoire norvégien depuis les années 80 et la fin de la guerre froide.
À l’origine, l’exercice avait pour objectif de « renforcer l’interopérabilité des forces alliées », selon le commandant du Dixmude, le capitaine de vaisseau Emmanuel Mocard. Mais dans le contexte de la guerre en Ukraine, ce déploiement participe aussi « au renforcement du dispositif défensif et dissuasif français sur le flanc nord-est de l’OTAN et de l’Union européenne », ajoute le militaire.
Si l’exercice doit se transformer en opération, « nous sommes prêts »
Pour tempérer Moscou, Oslo assure « qu’une discussion directe » aura lieu pendant l’exercice entre « l’état-major norvégien et le commandant des forces maritimes Russes ». La Russie est par ailleurs invitée en tant qu’observateur, comme 56 autres pays de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE).
En attendant le début de la simulation, les 600 militaires embarqués à bord du porte-hélicoptères se sont mis en condition au large de la pointe de Lanvéoc. Plusieurs manœuvres d’entraînement pour débarquer les 84 véhicules et le matériel ont été menées en rade de Brest.
« Cold Response 2022 n’est qu’un exercice », soutient le commandant Mocard. Et d’ajouter que « si des décisions politiques sont prises et que l’exercice se transforme en opération, nous sommes prêts. C’est dans notre ADN de devoir répondre à l’incertitude. » Une affirmation qui résonne particulièrement alors que les combats continuent entre forces russes et ukrainiennes.
Épaulé de la frégate multimission Languedoc, le Dixmude appareillera ce mardi 1er mars après-midi pour rejoindre le Nord du cercle polaire. Une zone « aux eaux tumultueuses et aux conditions extrêmes », comme le décrit le commandant Mocard.
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