Nous venons de voir comment le cybercriminel, pédophile, terroriste « islamiste », psychopathe et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi jouit d’avoir obtenu une guerre en Europe tout comme il se félicite de la disparition des réseaux sociaux de tous les comptes et médias pro-russes ou en relation avec la Russie, affirme Poutine malade mental et prétend aussi qu’il n’aurait rien compris à Internet dont lui, Pascal Edouard Cyprien Luraghi, s’est toujours posé en maître absolu, avec toutefois quelques déboires depuis que cet outil s’est démocratisé, reléguant tous ses délires publics prétendument « littéraires » qui autrefois comptaient parmi les rares « perles » à briller dans le désert internétique au rang de débilités totalement inintéressantes quand il ne s’agit pas de propos manifestement illicites, nécessitant leur disparition de l’espace public :
http://petitcoucou.unblog.fr/2022/03/15/cyprien-luraghi-a-eu-sa-guerre-il-en-jouit/
Bien évidemment, il ne l’a pas obtenue tout seul, il bénéficie depuis 2008 de l’aide de politiciens bretons, plus spécialement des Finistériens et surtout des Brestois, pour l’intégralité de ses exactions et manipulations diverses, d’abord contre moi, simultanément contre l’Armée et l’Etat français, leurs représentants, puis directement contre le peuple français avec ses attentats islamistes débutés en mars 2012, et enfin, comme je l’expliquais il y a quelques jours, pour cette guerre qui semble bien avoir pris le relais des attentats alors que j’avais quelque peu stoppé la progression de certaines de ses saloperies au mois d’octobre dernier :
http://petitcoucou.unblog.fr/2022/02/28/les-brestois-sont-fous/
http://petitcoucou.unblog.fr/2022/02/28/la-censure-en-toute-illegalite-une-specialite-brestoise/
http://petitcoucou.unblog.fr/2022/03/02/les-brestois-sont-fous-bis-repetita/
Notons que c’est aussi à l’automne dernier qu’un constat d’échec est exprimé quant aux négociations sur le conflit ukrainien du Donbass, qui perdurait depuis 2014 dans l’indifférence quasi générale.
Ukraine : Paris déplore la publication de notes confidentielles par Moscou
19 nov. 2021
Paris et Moscou se renvoient la responsabilité de la non-tenue d’une réunion de leurs ministres des Affaires étrangères (ici le ministre français Jean-Yves Le Drian) le 11 novembre dernier. [Olivier Hoslet/epa]
La France a déploré jeudi (18 novembre) la publication par la Russie d’échanges diplomatiques entre Paris, Berlin et Moscou sur le conflit ukrainien alors que les tensions s’accumulent de nouveau sur ce front.
« Nous considérons cette démarche comme contraire aux règles et usages diplomatiques », a déclaré la porte-parole de la diplomatie française, Anne-Claire Legendre.
Paris et Moscou se renvoient la responsabilité de la non-tenue d’une réunion de leurs ministres des Affaires étrangères, ainsi que de leurs homologues allemand et ukrainien (format dit de « Normandie »), programmée le 11 novembre pour tenter d’avancer dans le règlement du conflit du Donbass.
« L’Allemagne et la France travaillent depuis des mois à la poursuite des négociations et la mise en oeuvre d’un agenda concret pour la paix », a assuré la porte-parole du Quai d’Orsay. « La Russie a refusé de participer à une telle réunion », a-t-elle martelé.
Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a expliqué jeudi soir avoir publié cette correspondance pour montrer sa bonne foi.
La semaine dernière, il avait affirmé que Berlin et Paris n’avaient pas répondu à ses « propositions substantielles » sur le règlement du conflit et qu’il ne voyait donc pas de raison, dans de telles conditions, d’organiser une réunion le 11 novembre à Paris.
Selon la correspondance publiée, Sergueï Lavrov avait proposé le 29 octobre un projet de déclaration finale pour cette réunion, constatant l’absence de progrès dans le règlement du « conflit intérieur ukrainien » et appelant à un « dialogue direct » entre Kiev et les régions séparatistes.
Ses homologues français Jean-Yves Le Drian et allemand Heiko Maas lui avaient alors fait part, dans une réponse commune, de leurs « désaccords » sur cette notion de « conflit intérieur » et sur le rôle de « facilitateur » revendiqué par la Russie, au côté de l’OSCE, entre les belligérants.
L’Ukraine est, depuis 2014, en guerre contre des séparatistes prorusses dans l’Est du pays, soutenus par la Russie selon Kiev et les Occidentaux. Ce conflit a fait plus de 13000 morts.
L’OTAN, Washington, Paris et Berlin ont dénoncé ces derniers jours un renforcement de troupes russes aux frontières orientales de l’Ukraine et mis en garde contre toute nouvelle atteinte à l’intégrité territoriale de ce pays, après l’annexion de la Crimée par la Russie en 2014.
Les accords de paix de Minsk, conclus en 2015 sous les auspices de Paris et Berlin, tardent à être mis en oeuvre, chaque camp se rejetant la responsabilité de cet échec.
https://factuel.afp.com/doc.afp.com.324G3GM
Attention à ces publications trompeuses sur le bilan des morts dans le Donbass depuis 2014
Plus de 13.000 civils ont été tués depuis 2014 dans le Donbass dans des bombardements de l’armée ukrainienne, laissent entendre des publications partagées plusieurs milliers de fois sur Facebook et Twitter. Attention : il s’agit d’un raccourci trompeur d’un bilan de l’Onu qui comprend en réalité à la fois les morts civils et les décès des combattants ukrainiens et pro-russes. Les exactions et bombardements sont par ailleurs imputables aux deux camps et non pas seulement à Kiev, selon des ONG et la CPI.
Tout part d’un échange entre la journaliste Anne-Laure Bonnel et Pascal Praud sur la chaîne CNews le 1er mars dernier, quelques jours seulement après l’invasion russe en Ukraine. « Depuis une semaine on parle de ce conflit mais il dure depuis huit ans, il y a eu 13.000 morts, les gens sont épuisés », rapporte la journaliste, auteure d’un documentaire « Donbass » sorti en 2016.
« Vous avez rappelé que les bombardements étaient ukrainiens? », l’interrompt le présentateur. « Absolument. La population du Donbass en 2014 a été ciblée par son propre gouvernement, la population russophone a été bombardée par le gouvernement de Kiev, oui, j’ai toutes les preuves, c’est incontestable ».
Anne-Laure Bonnel : « Aujourd’hui, du côté où je me trouve (Donbass), les bombardements sont Ukrainiens », dans #HDProspic.twitter.com/GBOH1xZQ7U
— CNEWS (@CNEWS) March 1, 2022
Cet échange, mis en ligne sur les réseaux sociaux, devient rapidement viral tant sur Twitter que sur Facebook où il est partagé plusieurs milliers de fois, avec parfois certains raccourcis : les 13.000 morts seraient des civils tués par l’armée ukrainienne ces huit dernières années.
« Anne-Laure Bonnel (reporter de guerre) : +Le Dombass, c’est 13 000 morts sous les bombardements ukrainiens depuis 2014+… la politique de l’émotion de la gentille Ukraine contre la méchante Russie, allo les bienpensants, on se réveille ?« , réagit un internaute sur Twitter. « Depuis 2014, l’armée ukrainienne a fait 13 000 morts dans le Dombas… Ça s’appelle comment ça ? Massacre de sa population ? Alors #StandWithUkraine ? Non merci ! », écrit un autre. « Anne-Laure Bonnel, reporter de guerre au Donbass, rappelle preuve à l’appui, que le pouvoir ukrainien bombarde son propre peuple depuis 2015, faisant plus de 13 000 morts, et continue aujourd’hui », renchérit un autre.
Que se passe-t-il dans le Donbass?
Cette région de l’est de l’Ukraine est l’épicentre du conflit qui a éclaté en 2014 après l’annexion de la péninsule ukrainienne de Crimée par Moscou.
Dans la foulée de cette annexion – non reconnue par la communauté internationale qui a adopté en retour des sanctions économiques contre Moscou-, des mouvements séparatistes prorusses émergent dans l’Est, à Donetsk et Lougansk, régions du Donbass frontalières de la Russie. Deux républiques sont autoproclamées, entraînant un intense conflit armé.
Kiev et les Occidentaux accusent rapidement la Russie de soutenir les rebelles en envoyant des hommes et du matériel. Moscou dément, ne reconnaissant la présence en Ukraine que de « volontaires » russes. A partir de 2015, le conflit a diminué en intensité avec la signature des accords de paix de Minsk.
Fin 2021, Moscou mène de vastes manoeuvres militaires terrestres, aériennes et maritimes autour du territoire ukrainien, positionnant à ses frontières jusqu’à plus de 150.000 militaires. Après plusieurs mois de tensions, Vladimir Poutine reconnaît le 21 février 2022 l’indépendance des deux républiques sécessionnistes et ordonne dans la foulée à ses troupes de s’y déployer, avant d’annoncer une « opération militaire ».
Quel bilan du conflit depuis 2014 dans le Donbass?
D’où sort le chiffre de 13.000 victimes évoqué par Anne-Laure Bonnel et repris ensuite abondamment par des internautes? En cherchant dans les archives de l’AFP, on retrouve ce chiffre dans une dépêche datée de février 2019 consacrée à la candidature à l’élection présidentielle d’un comédien – l’actuel président Volodymyr Zelensky.
« Les enjeux du vote sont considérables pour l’Ukraine, confrontée depuis cinq ans à l’annexion par la Russie de la péninsule de Crimée, suivie par une guerre avec les séparatistes prorusses qui a fait près de 13.000 morts et continue de couver dans l’est du pays, ainsi qu’une profonde crise économique », peut-on lire.
Le chiffre figure noir sur blanc dans un rapport de mars 2020 du Haut commissariat des Nations unies aux droits de l’homme (HCDH) consacré à la situation en Ukraine.
« Le HCDH estime le nombre total de victimes liées au conflit en Ukraine (du 14 avril 2014 au 15 février 2020) à 41.000-44.000 : 13 000-13 200 tués (au moins 3.350 civils, environ 4.100 forces armées ukrainiennes et environ 5.650 membres de groupes armés) ; et 29 000-31 000 blessés (environ 7.000 à 9.000 civils, 9.500 à 10.500 forces ukrainiennes et 12.500 à 13.500 membres de groupes armés groupes) », détaille le rapport.
On retrouve le même bilan d’« au moins 3.000 morts et des milliers de blessés parmi la population civile » dans un rapport de la Cour pénale internationale (CPI) publié en 2020. « Le plus grand nombre de victimes est enregistré au cours de la première année du conflit, avant la mise en œuvre de l’accord de cessez-le-feu de Minsk II, signé en février 2015, mais le bilan continue de s’alourdir, notamment parmi les civils, en raison des tirs d’artillerie et d’armes légères », ajoute la CPI.
Les 13.000 personnes décédées dans le conflit ne sont donc pas toutes des civils, comme le laissent entendre les récentes publications sur Facebook et Twitter. Il s’agit d’un raccourci trompeur puisque selon l’Onu, sur ces 13.000 morts, près de 10.000 seraient des combattants des deux parties prenantes au conflit.
« Le chiffre de 13.000 est basé sur une désinformation circulant sur les réseaux sociaux qui prend la totalité des victimes (3.200 civils et 9.800 militaires) estimés par la mission de surveillance des droits de l’homme de l’Onu en Ukraine (HRMMU) l’an dernier et qui la présente comme » le bilan « des victimes civiles causées par des bombardements ukrainiens », souligne une porte-parole du HCDH contactée par l’AFP le 4 mars 2022.
Sur la période 2014-2021, l’Onu estime à 14.200 le nombre de morts, parmi lesquels 3.400 civils, a-t-elle ajouté, précisant que ce bilan incluait également les 283 victimes du crash du vol MH17 en 2014, abattu au dessus de l’Ukraine et pour lequel Moscou a toujours démenti toute implication.
Y a-t-il eu « crimes de guerre » et « génocide » dans le Donbass?
Le raccourci attribuant exclusivement la responsabilité des morts du conflit dans l’est de l’Ukraine à Kiev est une antienne des autorités russes ces dernières années, reprise le 24 février dernier par Vladimir Poutine lors de son allocution annonçant le lancement d’une « opération armée spéciale ».
Il s’agit de « défendre les gens qui depuis huit ans sont soumis à des brimades et à un génocide de la part du régime de Kiev. Dans ce but, nous allons nous efforcer de parvenir à la démilitarisation et à la dénazification de l’Ukraine, ainsi que de traduire devant la justice ceux qui ont commis de nombreux crimes sanglants contre des civils, y compris contre des citoyens de la Fédération de Russie », a souligné le chef du Kremlin.
Qu’en est-il réellement? Les différents rapports publiés ces dernières années par des ONG dressent un tableau beaucoup plus nuancé avec une responsabilité partagée entre les camps ukrainien et russe. « Toutes les parties au conflit se sont montrées indifférentes à l’égard de la vie des civils et négligent de manière flagrante leurs obligations internationales », alertait Amnesty International dès septembre 2014. « Les civils en Ukraine méritent protection et justice. En l’absence d’une enquête approfondie et indépendante, il y a un risque réel que les Ukrainiens gardent pendant plusieurs générations les cicatrices de cette guerre ».
Cinq ans plus tard, le rapport 2019 de Human Rights Watch s’inscrit dans la même veine. « Les deux parties ont mené des attaques aveugles ou délibérées contre des écoles et les ont utilisées à des fins militaires », souligne l’ONG.
Les responsabilités sont partagées, abonde en décembre 2020 la Cour pénale internationale (CPI) évoquant un conflit armé « dans lequel les deux camps font constamment usage d’armes lourdes, même dans des zones construites ».
Fatou Bensouda, alors procureure de la CPI, estime qu’il y a « raisonnablement lieu de penser à ce stade, qu’un large éventail de comportements constitutifs de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité relevant de la compétence de la Cour avaient été commis dans le cadre de la situation en Ukraine ».
Dans le détail, le bureau de la CPI estime « que, d’après les informations disponibles, il existait une base raisonnable permettant de croire que depuis le 30 avril 2014, les crimes de guerre suivants au moins avaient été commis dans le contexte du conflit armé dans l’est de l’Ukraine », citant entre autres « le fait de diriger intentionnellement des attaques contre la population civile ou contre des biens civils », « le fait de diriger intentionnellement des attaques contre des bâtiments protégés », la « torture et les traitements inhumains/cruels ».
Le 28 février 2022, le successeur de Fatou Bensouda, Karim Khan, a confirmé qu’il existait « une base raisonnable pour ouvrir une enquête ».
« Compte tenu de l’expansion du conflit ces derniers jours, j’ai l’intention d’inclure dans cette enquête toute nouvelle allégation de crime relevant de la compétence de mon Bureau, commis par toute partie au conflit sur quelque partie du territoire ukrainien que ce soit, et ce, de manière suivie », a-t-il précisé.
Ukraine : plus de 2600 civils tués, 5500 blessés dans le Donbass au cours des huit dernières années
Par Belga
Plus de 2600 civils sont morts et 5500 personnes ont été blessées dans les républiques autoproclamées de Donetsk et de Lougansk au cours des huit dernières années, a déclaré mercredi à l’agence TASS la direction générale du Comité d’enquête de la Fédération de Russie, un organe étatique.
« Pendant près de huit ans, les civils, qui ne prennent pas part au conflit armé, ont été victimes de frappes massives effectuées à partir de divers projectiles de gros calibre, de mortiers, de lance-grenades et d’armes légères. Des femmes, des enfants et des personnes âgées ont été tuées. Les infrastructures civiles sont détruites ou endommagées. Parmi les blessés, on compte au moins 5500 civils. Plus de 2600 civils ont été tués. Plus de 2200 infrastructures civiles ont été détruites ou partiellement détruites« , selon le Comité d’enquête russe.
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L’organisation humanitaire indépendante Norwegian Refugee Council (NRC) a tiré la sonnette d’alarme face à la souffrance croissante des populations touchées par le conflit entre la Russie et l’Ukraine, plus tôt dans la journée. « Depuis huit ans, des familles et des communautés sont séparées par la ligne de front dans l’est de l’Ukraine« , a dénoncé le secrétaire général du CNR, Jan Egeland, alors que les combats ont repris dans les régions séparatistes.
Selon le ministre russe par intérim des situations d’urgence, Alexander Chupriyan, près de 96.000 personnes issues des républiques populaires autoproclamées de Donetsk et de Lougansk s’étaient rendues en Russie depuis 8 heures (HB) mercredi matin.
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