A noter :
En date du 14 octobre 2021 m’ont été adressées simultanément deux convocations pas très sympathiques pour des interrogatoires subitement devenus urgents dans le cadre de deux procédures distinctes. Certains magistrats locaux avaient clairement décidé de me tomber dessus à bras raccourcis en même temps, chacun d’eux étant manifestement sûr de son coup. Pour le 22 octobre, j’avais déjà envoyé bouler tout le monde, comme d’habitude avec d’excellents arguments. Depuis, c’est le statu quo, nous attendons les nouvelles décisions de magistrats à l’évidence dans l’embarras. Mes harceleurs escomptaient évidemment de nouvelles mesures qui me soient très défavorables pour pouvoir comme d’habitude les fêter avec de nouveaux attentats « islamistes » marquants, mais il semble bien que cette fois-ci, la situation leur apparaissant bloquée, ils aient fini de jouer avec ces attentats terroristes pour passer au stade suivant, celui de la guerre – il faut bien comprendre que ces quelques centaines de morts résultant des attentats islamistes qu’ils ont organisés en France ou contre des Français depuis 2012, pour eux, ce n’est vraiment rien, ou plutôt, il s’agissait bien d’une vraie fête extrêmement joyeuse et jouissive à chaque fois; ainsi, par exemple, après les attentats de janvier 2015 à Paris, le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi revendiquait-il publiquement dans les colonnes de commentaires du site Rue89 le droit de rire des victimes comme il l’a toujours fait pour toutes ses victimes; et encore quelques jours seulement avant les assassinats du 9 août 2020 au Niger, il expliquait tranquillement à son public que tuer en les décapitant les « moutons » que sont pour lui les jeunes diplômés français, c’est comme « arracher des betteraves », car ces jeunes gens seraient tous totalement dépourvus de vie (il les appelle aussi des « no life »).
Pour revenir au problème de fond de toutes les exactions que je subis depuis des années, encore central dans les procédures précédemment évoquées, il est toujours le même qu’au premier jour, au début des années 1990 : je refuse toujours de me prostituer en application de la condamnation qui avait été alors oralement prononcée par l’un de mes anciens employeurs mafieux en conséquence de mon refus catégorique de mettre mes compétences d’ingénieur d’études en informatique au service de ses activité criminelles, et plus particulièrement, de commettre pour lui des crimes contre la Nation.
Le chef de la diplomatie française Jean-Yves Le Drian a visité les Ateliers des Capucins vendredi matin à Brest (Finistère). Il a annoncé que la ville accueillerait mi-janvier les 27 ministres des Affaires étrangères et les 27 ministres de la Défense pour des réunions de travail informelles.
Ce sera le premier temps fort de la présidence française de l’Union européenne, qui débutera le 1er janvier 2022 pour six mois. Brest (Finistère) aura l’honneur d’accueillir du 12 au 14 janvier une double rencontre interministérielle européenne. Celle des 27 ministres de la Défense (12 et 13 janvier) puis celle des 27 ministres des Affaires étrangères (13 et 14 janvier). Les 54 ministres et les commissaires européens partageront un déjeuner de travail le jeudi 13 janvier.
C’est pour préparer ce rendez-vous majeur que Jean-Yves Le Drian, le ministre français des Affaires étrangères, a visité les Capucins vendredi matin.
Brest est un bon lieu pour se parler
ECOUTEZ Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires étrangères
Une table de 24 mètres de long
Si le dîner des ministres de la Défense sera organisé au Centre d’Instruction Naval de Brest le mercredi 12 janvier, c’est bien aux Capucins que devraient se dérouler les séances de travail. Le chef de la diplomatie française a pu visualiser les différents espaces susceptibles de pouvoir accueillir des réunions.
L’organisation d’un tél événement ne doit rien laisser au hasard, le déjeuner du 13 janvier nécessitera par exemple le montage d’une table d’au moins 24 mètres de longueur. Elle pourrait être dressée au cœur de l’immense place publique couverte connue de tous les Brestoises et Brestois. Rassuré sur la qualité acoustique du lieu, le ministre s’est aussi interrogé sur les moyens de garantir la confidentialité des échanges (l’espace pourra être isolé par d’épais rideaux).
Brest sera décidément une destination incontournable en ce mois de janvier 2022 puisque la cité du Ponant accueillera quelques jours plus tard (les dates n’ont pas encore été communiquées) le One Ocean Summit, premier sommet mondial consacré à l’océan.
Sommet européen. Les 27 ministres de la Défense sont arrivés à Brest
Alors que le pays est à la tête du Conseil de l’Union européenne du 1er janvier au 30 juin 2022, la ministre française des Armées, Florence Parly, accueille ses homologues européens au Centre d’instruction naval de Brest (Finistère), ce mercredi 12 janvier 2022. Un premier dîner de travail y a lieu ce soir, avant le début des réunions jeudi 13 janvier aux Capucins.
Ouest-France Julia TOUSSAINT. Publié le 12/01/2022 à 19h51
Florence Parly, ministre française des Armées, est arrivée au Centre d’instruction navale (CIN) de Brest (Finistère), ce mercredi 12 janvier 2022, peu après 18 h. Elle a passé en revue les troupes, rassemblées en surplomb de la rade, dans une ambiance solennelle.
« Une Europe qui s’assume »
La ministre a déclaré être « très fière de pouvoir accueillir nos collègues et amis. J’espère que cela leur donnera envie de découvrir cette merveilleuse région qu’est la Bretagne ».
Pour rappel, la France préside le conseil de l’Union européenne du 1er janvier au 30 juin 2022. Et c’est dans ce cadre que Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires étrangères et ancien président du Conseil régional de Bretagne, a pensé à la ville de Brest pour organiser ce sommet. « L’Europe de la défense doit être une Europe qui s’assume. Qui a la liberté de protéger ses citoyens et de préserver ses intérêts », a lancé Florence Parly en ouverture du sommet.
Les différents ministres européens des Armées ont ensuite été accueillis par la ministre française. Ils ont observé une minute de silence, en hommage au président du Parlement européen, le social-démocrate italien, David Sassoli, décédé dans la nuit du lundi 10 au mardi 11 janvier.
Ce soir, lors du dîner de travail, les 27 ministres parleront de « sujets d’actualité » comme la situation au Mali et en Ukraine, ou encore le spatial. Dès jeudi 13 janvier, des réunions se succéderont aux Capucins entre les ministres des Affaires étrangères et ceux de la Défense. Soit 54 ministres au total, qui resteront à Brest jusqu’au vendredi 14 janvier.
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