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lundi 28 novembre 2022

Renvoi en correctionnelle de sept "ultragauchistes" pour un complot contre les forces de l'ordre

Des antifas...

Ce sont tout simplement des militants de l'extrême-gauche la plus classique, celle de la LCR ou du NPA, qui a toujours été ultra-violente.

L'ultra-gauche n'existe pas. 

Dès début août 2008, soit avant que n'éclate l'affaire de Tarnac, j'étais désignée comme "ultra-gauchiste" par la bande de cybercriminels du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, tous "renseignés" à mon sujet par leur bonne copine la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, laquelle dirigera dans l'ombre tous leurs harcèlements à mon encontre durant deux ans, jusqu'au moment où, le 30 juin 2010, elle se révèlera enfin comme leur instigatrice.

L'"ultra-gauche" est une invention de la LCR pour stigmatiser notamment auprès des forces de l'ordre qui la soutiennent ou en sont complices ou des services étatiques tels les anciens Renseignements Généraux tous ceux, aux profils divers et variés, qui la dérangent sur le terrain des luttes sociales et autres, afin de les en écarter ou de s'en débarrasser de manière définitive en leur créant de graves difficultés personnelles qui vont perdurer jusqu'à ce que mort s'ensuive. Cela concerne notamment tous les légalistes et pacifistes, dont les militants de la LCR ne sont pas, et qu'ils exècrent.

Enfin, le réseau extrême-gauchiste breton est tellement serré qu'il n'existe par ici strictement aucun groupuscule plus ou moins concurrent sur les mêmes terrains, ils sont tous écrasés avant d'avoir pu se constituer. En conséquence, le défilé incessant de copains finistériens et d'autres départements bretons chez la Rennaise, c'est tout simplement la bande de militants du NPA de la criminelle Josette Brenterch de Brest.

Quant à leur lutte contre les islamistes, elle est certainement comme toutes les autres, qui consistent toujours à infiltrer des rangs ennemis (par exemple des regroupements ou associations de chômeurs, précaires ou exclus, ou de victimes de tous ordres, notamment de divers "dysfonctionnements", des syndicats de salariés, des mouvements écologistes, des entreprises, des structures étatiques) pour les pourrir et anéantir complètement de l'intérieur au profit des forces antagonistes, en l'occurrence celles des alliés islamistes.

 

https://www.lefigaro.fr/actualite-france/florian-d-de-la-lutte-contre-daech-au-projet-terroriste-20221127

Florian D., de la lutte contre Daech au projet terroriste


INFO LE FIGARO - L’ex-combattant en Syrie et figure de l’ultragauche, est soupçonné de complot contre les forces de l’ordre.

Il s’agissait du seul dossier terroriste de l’ultragauche à l’instruction. Dans son réquisitoire signé le 23 novembre, le parquet national antiterroriste a requis le renvoi, devant le tribunal correctionnel, de sept personnes âgées d’une trentaine d’années (six hommes et une femme) pour association de malfaiteurs terroriste délictuelle. Le 8 décembre 2020, des enquêteurs de la Direction générale de la sécurité intérieure interpellaient neuf personnes dans le Sud-Ouest, en banlieue parisienne et en Bretagne. Sept d’entre elles, âgées de 30 à 36 ans, étaient mises en examen. Tous sont aujourd’hui sous contrôle judiciaire. Le dernier suspect a été libéré sous bracelet électronique en avril 2022 pour motif médical après une grève de la faim.

La justice le considère comme le meneur d’un groupe accusé de préparer un projet terroriste non finalisé. Florian D. est connu sous le surnom de «Libre Flot» sur les sites militants. En mars 2017, il se rend en Syrie pour y affronter Daech auprès des marxistes…

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https://www.leparisien.fr/faits-divers/sept-membres-de-l-ultra-gauche-presentes-devant-le-parquet-antirerroriste-11-12-2020-8413773.php

Sept membres de l’ultra-gauche mis en examen pour terrorisme, cinq d’entre eux écroués

 

Âgés de 30 à 36 ans, ces six hommes et femmes sont soupçonnés d’avoir projeté une action violente visant les forces de l’ordre et les militaires. Cinq d’entre eux ont été placés en détention provisoire.

 

Six hommes et une femme, âgés de 30 à 36 ans, ont été interpellés mardi.
Six hommes et une femme, âgés de 30 à 36 ans, ont été interpellés mardi. LE PARISIEN

Il s'agit du premier dossier lié à l'ultra-gauche française ouvert par la justice antiterroriste depuis le fiasco de l'affaire Tarnac. Du jamais vu depuis 12 ans! Six hommes et une femme âgés de 30 à 36 ans, proches de cette mouvance radicale et soupçonnés de préparer une action en France visant à semer la terreur, ont été interpellés mardi par les policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), indiquent des sources proches de l'enquête, confirmant une information de BFMTV.

Vendredi soir, les sept suspects ont été présentés à un juge antiterroriste puis mis en examen pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle ». Le parquet national antiterroriste (PNAT) a requis le placement en détention provisoire pour six d'entre eux. Au final, cinq militants ont été écroués, tandis que les deux autres ont été placés sous contrôle judiciaire.

«Ils cherchaient à se procurer des armes»

Les sept suspects avaient été arrêtés à Toulouse (Haute-Garonne), Cubjac (Dordogne), à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne) et à Rennes (Ile-et-Vilaine). Lors des perquisitions, les enquêteurs ont mis la main sur des armes - des fusils de chasses - et des munitions ainsi que sur des substances rentrant dans la composition d'explosifs : acétone, eau oxygénée, acide chlorhydrique… Les suspects étaient dans le collimateur des services de renseignement depuis plusieurs mois en raison de soupçons d'un projet d'action violente, visant notamment forces de l'ordre et militaires.

« Ils ont franchi un seuil par rapport à d'autres dossiers, confie un proche de l'enquête. Ils agissaient comme une organisation clandestine, se réunissaient et communiquaient entre eux et, surtout, cherchaient à se procurer des armes et avaient fait des essais avec leur armement. » Sur des écoutes, certains ne cachent pas leur volonté de passer à l'acte. Et une petite quantité d'explosifs déjà fabriqués, de type TATP, a été découverte par les policiers.

Des aveux en garde à vue

D'après nos informations, la plupart des suspects sont fichés S pour leur appartenance à l'ultra gauche, dont un homme présenté comme le « meneur du groupe ». En garde à vue à la DGSI, au moins un des suspects a reconnu que le groupuscule envisageait de s'attaquer à des policiers, gendarmes ou militaires. Le PNAT avait initialement ouvert une information judiciaire en terrorisme en avril dernier. « Mais on ne peut pas parler pour l'instant d'attentat déjoué », tempère une autre source au fait des investigations. L'enquête doit encore préciser le degré d'avancement du projet. Aucune date de passage à l'acte ou lieu précis n'a été déterminé à ce stade.

Incendies contre des casernes de gendarmerie à Grenoble, sabotages d'antennes relais … De nombreux dossiers d'actions violentes ou de dégradations dans lesquels l'ultra-gauche est soupçonnée ont été soumis pour évaluation au parquet antiterroriste ces dernières années, mais jamais celui-ci ne s'en était saisi jusqu'alors. « L'ultra-gauche est morcelée en groupuscules et s'inscrit dans une stratégie qui consiste pour l'instant à rester sous le seuil de l'association de malfaiteurs terroriste, expliquait en mai dernier une source au sein des services de renseignements au Parisien - Aujourd'hui en France. Ses membres ne se considèrent pas encore prêts et ne veulent pas se retrouver sous le radar du PNAT, qui déploie des techniques d'enquêtes plus offensives ».

La justice antiterroriste s'est en effet montrée très prudente sur la question de l'ultra-gauche en raison de la porosité entre les mouvances contestataires violentes et les simples mouvements d'oppositions politiques. L'affaire Tarnac reste encore en mémoire : plusieurs militants, dont le célèbre Julien Coupat, avaient été accusés d'avoir saboté des lignes de train pour semer la terreur. Mais la qualification terroriste avait finalement été abandonnée au bout d'une enquête laborieuse et les principaux suspects avaient bénéficié d'une relaxe lors d'un procès de droit commun.

En revanche, plusieurs dossiers d'actions violentes déjouées liées à l'ultra-droite ont été qualifiés de terroristes ces trois dernières années, impliquant souvent d'anciens membres des forces de l'ordre voulant s'en prendre à la communauté musulmane.

 

https://www.letelegramme.fr/ille-et-vilaine/rennes/ultragauche-le-profil-de-la-rennaise-interpellee-par-l-antiterrorisme-s-affine-14-12-2020-12673544.php

Ultragauche : le profil de la Rennaise interpellée par l’antiterrorisme s’affine Réservé aux abonnés

 
Killian Tribouillard, Claire Staes et Hervé Chambonnière le 14 décembre 2020 à 20h34
 
C’est dans une rue paisible du sud de Rennes qu’a eu lieu le coup de filet du Raid qui a conduit à l’arrestation de cinq personnes.
C’est dans une rue paisible du sud de Rennes qu’a eu lieu le coup de filet du Raid qui a conduit à l’arrestation de cinq personnes. (Le Télégramme/Claire Staes)

« Bisounours » ou dangereuse activiste ? La semaine dernière, l’antiterrorisme a mené un coup de filet contre un groupe issu de la mouvance d’ultragauche, soupçonné de préparer une action violente contre des policiers. Cinq personnes ont été écrouées. Parmi elles, une Rennaise de trente ans, compagne du leader présumé du projet.

La peinture verte du portail en métal est défraîchie, le potager mal entretenu et la boîte aux lettres dépourvue du nom des occupants de la maison. Seule une étiquette y figure : « lalettredesfacteurs.com ». Un site créé il y a quelques années « pour informer les usagers (de La Poste) des vraies raisons de la grève et de l’actualité du conflit social », qui a agité l’entreprise publique durant des mois.

Mardi 8 décembre, à l’heure du laitier, une trentaine de policiers du Raid a envahi ce banal pavillon mitoyen, haut d’un étage, dans une rue tranquille du sud de Rennes. Leur « cible » ? Une femme hébergée dans cette « sorte de colocation », comme la décrivent des voisins, où les allées et venues de véhicules immatriculés, notamment, dans le Morbihan et le Finistère, seraient incessants.

Dans le même temps, neuf personnes ont été interpellées à Toulouse, Vitry-sur-Seine et à Cubjac, en Dordogne. Selon Le Point, une opération aurait aussi été menée à Plestin-les-Grèves dans les Côtes d’Armor. Une information qui n’a pas été confirmée au Télégramme.

À l’issue de leur garde à vue, sept personnes âgées de 30 à 36 ans, présentées comme appartenant à « l’ultragauche », ont été mises en examen pour « association de malfaiteurs terroriste » et pour avoir refusé de donner leurs codes d’accès à leurs téléphones et ordinateurs. Deux ont été placées sous contrôle judiciaire. Cinq ont été écrouées, dont la Rennaise.

Ils sont soupçonnés d’avoir préparé une action violente contre des policiers. Au moins un des interpellés l’aurait reconnu durant son audition, selon plusieurs médias. Les policiers auraient agi alors que le groupe cherchait à se procurer des armes plus adaptées que celles retrouvées lors des perquisitions (des fusils de chasse). Des composants permettant la fabrication d’explosif de type TATP (peroxyde d’acétone) auraient également été saisis. Pour autant, aucun projet précis d’attaque n’aurait été identifié.

« Pour moi, c’était un peu un boy-scout ou une bisounours. On ne la voit pas du tout tremper dans une affaire de terrorisme. »

« Bisounours »

Sans emploi, cette Rennaise de 30 ans a fait l’objet d’une condamnation pour conduite sous l’emprise de stupéfiants. Aucune arme n’a été retrouvée, au cours de la perquisition, menée au domicile de celle que ses proches décrivent comme une simple militante. « Elle participait à des manifestations, des actions de solidarité, décrit l’un d’eux. Pour moi, c’était un peu un boy-scout ou une bisounours. On ne la voit pas du tout tremper dans une affaire de terrorisme ».

Selon nos informations, la jeune femme était la compagne de l’homme présenté comme le leader du groupe. Florian D faisait l’objet d’une fiche S. En 2018, il a combattu Daech durant dix mois aux côtés des Kurdes du Rojava, la région autonome kurde du Nord-Est syrien. Cette lutte pour la création d’une province « autogérée » était soutenue par des militants antifas occidentaux. Le 20 janvier 2018, elle avait conduit à la mort, Olivier François Jean Le Clainche, alias Kendal Breizh, un militant breton d’une quarantaine d’années originaire de Malestroit, membre de cette mouvance.

Ces « revenants » du Rojava sont dans le collimateur des services de renseignement. Leur crainte ? Les voir mettre leur savoir-faire acquis en Syrie au service de leur cause sur le territoire français.

Fin 2019, Mediapart révélait, par exemple, que l’un de ces « revenants » était soupçonné d’avoir tiré une fusée éclairante contre un hélicoptère de la gendarmerie lors de l’évacuation de la ZAD de Notre-Dame des Landes en 2018. 

Le spectre de Tarnac

« Il s’agit d’individus déterminés qui se déplacent et ont des liens avec d’autres groupes en Europe », décrit une source proche du renseignement. « On observe une montée en gamme très importante de la violence de la mouvance d’ultragauche ces derniers mois », confiait également Laurent Nunez, le coordinateur national du renseignement hier. Leur cible ? Les forces de l’ordre, des symboles de l’État ou du « grand capital ».

Incendies de pylônes téléphoniques, de véhicules de société, voire de gendarmeries… Depuis le début de l’année, les autorités ont recensé au moins 200 dégradations imputées à cette mouvance. C’est pourtant la première fois, depuis le fiasco judiciaire de Tarnac en 2008, que la justice antiterroriste frappe l’ultragauche alors que cinq projets d’attentats ont été déjoués depuis 2017 au sein de l’ultradroite.

Début 2020, le Parquet de Grenoble, confronté à une série d’incendies criminels, avait réclamé une saisine de la justice antiterroriste. En vain. Selon nos informations, les autorités considéraient que ces actions « de basse intensité » ne le justifiaient pas. Au contraire de cette fois.

 



 

 

https://www.ouest-france.fr/societe/prison/detenu-a-l-isolement-depuis-plus-d-un-an-un-activiste-d-ultragauche-entame-une-greve-de-la-faim-09d5113b-0291-445b-afb2-a66d7a97e5c7

Détenu à l'isolement depuis plus d'un an, un activiste d'ultra-gauche entame une grève de la faim

Incarcéré à l’isolement depuis décembre 2020, Florian D., un activiste d'ultra-gauche, a annoncé dimanche 27 février qu'il entamait une grève de la faim. Il soupçonné par la justice antiterroriste d’avoir préparé des « actions violentes » contre des policiers ou militaires français.

Un surveillant pénitentiaire de la prison de Lutterbach, le 4 novembre 2021.
Un surveillant pénitentiaire de la prison de Lutterbach, le 4 novembre 2021. | SEBASTIEN BOZON / AFP

« Puisque cette histoire n’existe qu’à des fins de manipulation politique ; puisqu’aujourd’hui on ne me laisse comme perspective que la lente destruction de mon être, je me déclare en grève de la faim depuis dimanche à 18 h », écrit Florian D., incarcéré depuis plus d'un an pour soupçons de terrorisme, dans une lettre diffusée sur un site dédié à son soutien.

Depuis son interpellation le 8 décembre 2020, Florian D., 37 ans, est incarcéré à l’isolement et mis en examen pour « association de malfaiteurs terroriste » criminelle. Le 16 février, une assignation à résidence lui a été refusée. « Je ne réclame à l’heure actuelle que ma mise en liberté en attendant de démontrer le côté calomnieux de cette honteuse accusation », ajoute-t-il.

Un Fiché S, combattant pro-kurde

Selon deux sources proches du dossier, sept personnes sont mises en examen dans cette affaire, et Florian D. est le dernier détenu. Considéré comme le meneur, il avait combattu auprès des Kurdes des Unités de protection du peuple (YPG) au Rojava, dans le nord-est de la Syrie, contre l’État islamique. Selon une source proche du dossier, Florian D. était fiché S et il s’agit du seul dossier d’ultra-gauche dont le parquet national antiterroriste (Pnat) est actuellement saisi.

« Il nous a informés de sa grève de la faim, nous respectons sa volonté mais nous sommes extrêmement inquiets qu’il se retrouve dans cette extrémité consistant à refuser de s’alimenter pour dénoncer le traitement judiciaire dont il fait l’objet », ont déclaré ses avocats Me Coline Bouillon et Raphaël Kempf, sollicités par l’AFP.

Selon des éléments de l’enquête dont l’AFP a eu connaissance, la justice le soupçonne d’avoir utilisé son expérience auprès des Kurdes pour former un groupe et envisager des « actions violentes » contre des policiers ou militaires français. « Je suis sans cesse présenté comme 'leader charismatique' alors même que tout mode de fonctionnement non horizontal est contraire à mes valeurs égalitaires », pointe celui qui reçoit le soutien notamment de sites libertaires.

Les sept suspects, de 30 à 40 ans, avaient été interpellés en décembre 2020 en région parisienne, dans l’agglomération toulousaine, en Dordogne et en Ille-et-Vilaine.

Fabrication d'explosifs

Les enquêteurs de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) avaient commencé à surveiller Florian D. après son retour du Kurdistan syrien, en janvier 2018.
 
Selon les éléments de l’enquête, il aurait essayé mi-février 2020, avec d’autres mis en cause, de fabriquer des explosifs sur un terrain privé de Paulnay (Indre) et il est soupçonné de s’être entraîné, sous couvert de jouer à l’Airsoft (tir au pistolet à billes), au maniement des armes à Parcoul-Chenaud (Dordogne). Il aurait aussi cherché à se procurer des armes entre février et octobre 2020, en allant dans une armurerie pour « tuer du poulet ».

Une vie quasi clandestine

Dans le camion dans lequel il vivait, les policiers ont saisi notamment des produits chimiques d’usage courant pouvant servir à confectionner des explosifs et un fusil de chasse, et chez une proche, du matériel de protection (casque, masques, filet de camouflage).

« Rien ne valide la thèse élaborée de toutes pièces par la DGSI […] Ce sont mes opinions politiques et ma participation aux forces kurdes des YPG dans la lutte contre Daech qu’on essaie de criminaliser », juge Florian D., surnommé « Libre Flot ». Florian D., qui menait une vie quasi clandestine selon l’accusation, a été condamné cinq fois, notamment pour violences aggravées et conduite sous l’emprise de stupéfiants.

Avant cette affaire, la dernière saisine connue de la justice antiterroriste pour des faits liés à l’ultra-gauche remonte à l’affaire de Tarnac en 2008, pour des soupçons de sabotage de lignes TGV. Mais les qualifications terroristes, objet d’un âpre débat, avaient été abandonnées par la justice avant le procès. D’autres enquêtes concernant des incendies d’antennes relais, attribués à des membres dits d’ultra-gauche, sont en cours mais pas sous la direction du Pnat. 

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