Des antifas...
Ce sont tout simplement des militants de l'extrême-gauche la plus classique, celle de la LCR ou du NPA, qui a toujours été ultra-violente.
L'ultra-gauche n'existe pas.
Dès début août 2008, soit avant que n'éclate l'affaire de Tarnac, j'étais désignée comme "ultra-gauchiste" par la bande de cybercriminels du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, tous "renseignés" à mon sujet par leur bonne copine la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, laquelle dirigera dans l'ombre tous leurs harcèlements à mon encontre durant deux ans, jusqu'au moment où, le 30 juin 2010, elle se révèlera enfin comme leur instigatrice.
L'"ultra-gauche" est une invention de la LCR pour stigmatiser notamment auprès des forces de l'ordre qui la soutiennent ou en sont complices ou des services étatiques tels les anciens Renseignements Généraux tous ceux, aux profils divers et variés, qui la dérangent sur le terrain des luttes sociales et autres, afin de les en écarter ou de s'en débarrasser de manière définitive en leur créant de graves difficultés personnelles qui vont perdurer jusqu'à ce que mort s'ensuive. Cela concerne notamment tous les légalistes et pacifistes, dont les militants de la LCR ne sont pas, et qu'ils exècrent.
Enfin, le réseau extrême-gauchiste breton est tellement serré qu'il n'existe par ici strictement aucun groupuscule plus ou moins concurrent sur les mêmes terrains, ils sont tous écrasés avant d'avoir pu se constituer. En conséquence, le défilé incessant de copains finistériens et d'autres départements bretons chez la Rennaise, c'est tout simplement la bande de militants du NPA de la criminelle Josette Brenterch de Brest.
Quant à leur lutte contre les islamistes, elle est certainement comme toutes les autres, qui consistent toujours à infiltrer des rangs ennemis (par exemple des regroupements ou associations de chômeurs, précaires ou exclus, ou de victimes de tous ordres, notamment de divers "dysfonctionnements", des syndicats de salariés, des mouvements écologistes, des entreprises, des structures étatiques) pour les pourrir et anéantir complètement de l'intérieur au profit des forces antagonistes, en l'occurrence celles des alliés islamistes.
Florian D., de la lutte contre Daech au projet terroriste
INFO LE FIGARO - L’ex-combattant en Syrie et figure de l’ultragauche, est soupçonné de complot contre les forces de l’ordre.
Il s’agissait du seul dossier terroriste de l’ultragauche à l’instruction. Dans son réquisitoire signé le 23 novembre, le parquet national antiterroriste a requis le renvoi, devant le tribunal correctionnel, de sept personnes âgées d’une trentaine d’années (six hommes et une femme) pour association de malfaiteurs terroriste délictuelle. Le 8 décembre 2020, des enquêteurs de la Direction générale de la sécurité intérieure interpellaient neuf personnes dans le Sud-Ouest, en banlieue parisienne et en Bretagne. Sept d’entre elles, âgées de 30 à 36 ans, étaient mises en examen. Tous sont aujourd’hui sous contrôle judiciaire. Le dernier suspect a été libéré sous bracelet électronique en avril 2022 pour motif médical après une grève de la faim.
La justice le considère comme le meneur d’un groupe accusé de préparer un projet terroriste non finalisé. Florian D. est connu sous le surnom de «Libre Flot» sur les sites militants. En mars 2017, il se rend en Syrie pour y affronter Daech auprès des marxistes…
Sept membres de l’ultra-gauche mis en examen pour terrorisme, cinq d’entre eux écroués
Âgés de 30 à 36 ans, ces six hommes et femmes sont soupçonnés d’avoir projeté une action violente visant les forces de l’ordre et les militaires. Cinq d’entre eux ont été placés en détention provisoire.
Il s'agit du premier dossier lié à l'ultra-gauche française ouvert par la justice antiterroriste depuis le fiasco de l'affaire Tarnac. Du jamais vu depuis 12 ans! Six hommes et une femme âgés de 30 à 36 ans, proches de cette mouvance radicale et soupçonnés de préparer une action en France visant à semer la terreur, ont été interpellés mardi par les policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), indiquent des sources proches de l'enquête, confirmant une information de BFMTV.
Vendredi soir, les sept suspects ont été présentés à un juge antiterroriste puis mis en examen pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle ». Le parquet national antiterroriste (PNAT) a requis le placement en détention provisoire pour six d'entre eux. Au final, cinq militants ont été écroués, tandis que les deux autres ont été placés sous contrôle judiciaire.
«Ils cherchaient à se procurer des armes»
Les sept suspects avaient été arrêtés à Toulouse (Haute-Garonne), Cubjac (Dordogne), à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne) et à Rennes (Ile-et-Vilaine). Lors des perquisitions, les enquêteurs ont mis la main sur des armes - des fusils de chasses - et des munitions ainsi que sur des substances rentrant dans la composition d'explosifs : acétone, eau oxygénée, acide chlorhydrique… Les suspects étaient dans le collimateur des services de renseignement depuis plusieurs mois en raison de soupçons d'un projet d'action violente, visant notamment forces de l'ordre et militaires.
« Ils ont franchi un seuil par rapport à d'autres dossiers, confie un proche de l'enquête. Ils agissaient comme une organisation clandestine, se réunissaient et communiquaient entre eux et, surtout, cherchaient à se procurer des armes et avaient fait des essais avec leur armement. » Sur des écoutes, certains ne cachent pas leur volonté de passer à l'acte. Et une petite quantité d'explosifs déjà fabriqués, de type TATP, a été découverte par les policiers.
Des aveux en garde à vue
D'après nos informations, la plupart des suspects sont fichés S pour leur appartenance à l'ultra gauche, dont un homme présenté comme le « meneur du groupe ». En garde à vue à la DGSI, au moins un des suspects a reconnu que le groupuscule envisageait de s'attaquer à des policiers, gendarmes ou militaires. Le PNAT avait initialement ouvert une information judiciaire en terrorisme en avril dernier. « Mais on ne peut pas parler pour l'instant d'attentat déjoué », tempère une autre source au fait des investigations. L'enquête doit encore préciser le degré d'avancement du projet. Aucune date de passage à l'acte ou lieu précis n'a été déterminé à ce stade.
Incendies contre des casernes de gendarmerie à Grenoble, sabotages d'antennes relais … De nombreux dossiers d'actions violentes ou de dégradations dans lesquels l'ultra-gauche est soupçonnée ont été soumis pour évaluation au parquet antiterroriste ces dernières années, mais jamais celui-ci ne s'en était saisi jusqu'alors. « L'ultra-gauche est morcelée en groupuscules et s'inscrit dans une stratégie qui consiste pour l'instant à rester sous le seuil de l'association de malfaiteurs terroriste, expliquait en mai dernier une source au sein des services de renseignements au Parisien - Aujourd'hui en France. Ses membres ne se considèrent pas encore prêts et ne veulent pas se retrouver sous le radar du PNAT, qui déploie des techniques d'enquêtes plus offensives ».
La justice antiterroriste s'est en effet montrée très prudente sur la question de l'ultra-gauche en raison de la porosité entre les mouvances contestataires violentes et les simples mouvements d'oppositions politiques. L'affaire Tarnac reste encore en mémoire : plusieurs militants, dont le célèbre Julien Coupat, avaient été accusés d'avoir saboté des lignes de train pour semer la terreur. Mais la qualification terroriste avait finalement été abandonnée au bout d'une enquête laborieuse et les principaux suspects avaient bénéficié d'une relaxe lors d'un procès de droit commun.
En revanche, plusieurs dossiers d'actions violentes déjouées liées à l'ultra-droite ont été qualifiés de terroristes ces trois dernières années, impliquant souvent d'anciens membres des forces de l'ordre voulant s'en prendre à la communauté musulmane.
Ultragauche : le profil de la Rennaise interpellée par l’antiterrorisme s’affine Réservé aux abonnés
« Bisounours » ou dangereuse activiste ? La semaine dernière, l’antiterrorisme a mené un coup de filet contre un groupe issu de la mouvance d’ultragauche, soupçonné de préparer une action violente contre des policiers. Cinq personnes ont été écrouées. Parmi elles, une Rennaise de trente ans, compagne du leader présumé du projet.
Détenu à l'isolement depuis plus d'un an, un activiste d'ultra-gauche entame une grève de la faim
Incarcéré à l’isolement depuis décembre 2020, Florian D., un activiste d'ultra-gauche, a annoncé dimanche 27 février qu'il entamait une grève de la faim. Il soupçonné par la justice antiterroriste d’avoir préparé des « actions violentes » contre des policiers ou militaires français.
« Puisque cette histoire n’existe qu’à des fins de manipulation politique ; puisqu’aujourd’hui on ne me laisse comme perspective que la lente destruction de mon être, je me déclare en grève de la faim depuis dimanche à 18 h », écrit Florian D., incarcéré depuis plus d'un an pour soupçons de terrorisme, dans une lettre diffusée sur un site dédié à son soutien.
Depuis son interpellation le 8 décembre 2020, Florian D., 37 ans, est incarcéré à l’isolement et mis en examen pour « association de malfaiteurs terroriste » criminelle. Le 16 février, une assignation à résidence lui a été refusée. « Je ne réclame à l’heure actuelle que ma mise en liberté en attendant de démontrer le côté calomnieux de cette honteuse accusation », ajoute-t-il.
Un Fiché S, combattant pro-kurde
Selon deux sources proches du dossier, sept personnes sont mises en examen dans cette affaire, et Florian D. est le dernier détenu. Considéré comme le meneur, il avait combattu auprès des Kurdes des Unités de protection du peuple (YPG) au Rojava, dans le nord-est de la Syrie, contre l’État islamique. Selon une source proche du dossier, Florian D. était fiché S et il s’agit du seul dossier d’ultra-gauche dont le parquet national antiterroriste (Pnat) est actuellement saisi.
« Il nous a informés de sa grève de la faim, nous respectons sa volonté mais nous sommes extrêmement inquiets qu’il se retrouve dans cette extrémité consistant à refuser de s’alimenter pour dénoncer le traitement judiciaire dont il fait l’objet », ont déclaré ses avocats Me Coline Bouillon et Raphaël Kempf, sollicités par l’AFP.
Selon des éléments de l’enquête dont l’AFP a eu connaissance, la justice le soupçonne d’avoir utilisé son expérience auprès des Kurdes pour former un groupe et envisager des « actions violentes » contre des policiers ou militaires français. « Je suis sans cesse présenté comme 'leader charismatique' alors même que tout mode de fonctionnement non horizontal est contraire à mes valeurs égalitaires », pointe celui qui reçoit le soutien notamment de sites libertaires.
Les sept suspects, de 30 à 40 ans, avaient été interpellés en décembre 2020 en région parisienne, dans l’agglomération toulousaine, en Dordogne et en Ille-et-Vilaine.
Fabrication d'explosifs
Les enquêteurs de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) avaient commencé à surveiller Florian D. après son retour du Kurdistan syrien, en janvier 2018.Une vie quasi clandestine
Dans le camion dans lequel il vivait, les policiers ont saisi notamment des produits chimiques d’usage courant pouvant servir à confectionner des explosifs et un fusil de chasse, et chez une proche, du matériel de protection (casque, masques, filet de camouflage).
« Rien ne valide la thèse élaborée de toutes pièces par la DGSI […] Ce sont mes opinions politiques et ma participation aux forces kurdes des YPG dans la lutte contre Daech qu’on essaie de criminaliser », juge Florian D., surnommé « Libre Flot ». Florian D., qui menait une vie quasi clandestine selon l’accusation, a été condamné cinq fois, notamment pour violences aggravées et conduite sous l’emprise de stupéfiants.
Avant cette affaire, la dernière saisine connue de la justice antiterroriste pour des faits liés à l’ultra-gauche remonte à l’affaire de Tarnac en 2008, pour des soupçons de sabotage de lignes TGV. Mais les qualifications terroristes, objet d’un âpre débat, avaient été abandonnées par la justice avant le procès. D’autres enquêtes concernant des incendies d’antennes relais, attribués à des membres dits d’ultra-gauche, sont en cours mais pas sous la direction du Pnat.
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