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mardi 29 novembre 2022

Nouveau projet d'attentat islamiste déjoué juste à temps

Je vous disais bien que le Luraghi préparait une nouvelle teuf.

A lire ou à relire :

http://satanistique.blogspot.com/2022/11/attentats-islamistes-attention-la-fete.html

http://satanistique.blogspot.com/2022/11/attentat-de-nice-le-14-juillet-2016-de.html

http://satanistique.blogspot.com/2022/11/attentat-du-10-novembre-2022-bruxelles.html

Il semble qu'en plus, un attentat prévu en septembre ait été évité de justesse, encore une fois avec une interpellation juste à temps, celle de "l'islamo-breton" Julien Le Prado - c'est bien la première fois que je vois apparaître ce terme, qui pourrait résulter d'une compréhension de plus en plus fine du phénomène par certains.

Comme je le disais le 13 novembre dernier, je dispose encore d'un calendrier assez précis qui débute fin mai de cette année.

J'en avais d'ailleurs parlé alors que venait d'être déjoué ce qui devait être l'attentat inaugural de cette nouvelle série :

http://satanistique.blogspot.com/2022/05/terrorisme-islamiste-debut-dune.html

Un nouvel attentat début septembre, oui, cela correspond. 

Encore un autre qui était imminent le 22 novembre, oui, cela correspond encore. 

Et je crains fort que cela ne s'arrête pas là.

Prévenir les autorités ad hoc ne servant jamais à rien, je continue à avertir discrètement ici-même, en évitant de donner suffisamment d'informations pour suggérer moi-même les attentats à venir ou leurs dates.

Pour celui-ci, comme je n'avais rien dit avant le 11 novembre, il est clair que ce ne sont pas mes publications qui ont pu provoquer quoi que ce soit, la préparation par un voyage au Kosovo et en Arabie Saoudite ayant débuté le 2 novembre.


https://actu17.fr/faits-divers/un-jeune-homme-radicalise-ecroue-apres-avoir-tente-de-voler-larme-dun-policier-a-annecy.html

Un jeune homme radicalisé écroué après avoir tenté de voler l'arme d'un policier à Annecy

 
Âgé de 22 ans, cet homme déjà condamné deux fois par le passé pour avoir tenté de se rendre en Syrie rejoindre Daech, ainsi que pour "apologie du terrorisme", a de nouveau été interpellé. Il s'est jeté sur un policier au commissariat d'Annecy pour lui subtiliser son arme, en hurlant "Allah akbar".


Par Actu17
Le mardi 29 novembre 2022 à 15:33

Un jeune homme âgé de 22 ans, Noé E., a été mis en examen vendredi dernier pour "violences volontaires sur personne dépositaire de l'autorité publique, en relation avec une entreprise terroriste" a indiqué le parquet national antiterroriste (PNAT), confirmant une information du Parisien. Il est notamment soupçonné, durant sa garde à vue au commissariat d'Annecy (Haute-Savoie), de s'être jeté sur un policier en tentant de récupérer son arme de service, avant d'être maîtrisé.

Noé E. a déjà été condamné à deux reprises par le passé pour des faits liés au terrorisme détaille le quotidien francilien. A 16 ans, il a été intercepté alors qu'il tentait de rejoindre la Syrie et les rangs de l'État islamique (EI). Il a été condamné pour ces faits en 2018 à trois ans de prison pour "association de malfaiteurs terroriste". L'année suivante, alors qu'il était toujours sous bracelet électronique, il a été condamné pour "apologie du terrorisme".

Cet homme s'est converti seul à l'islam à l'âge de 14 ans, dans sa chambre. Il est par ailleurs obligé, depuis ses condamnations, de signaler chacun de ses voyages hors de France, au commissariat. Les policiers de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) ont récemment découvert qu'il s'était rendu au Kosovo entre le 2 et le 7 novembre dernier, en passant par la Suisse, avant de se rendre en Arabie Saoudite.

Un «humble serviteur d’Allah»

Les policiers d'Annecy l'ont interpellé au domicile de ses parents, dans un petit village, le 22 novembre. Il a été placé en garde à vue pour avoir violé ses obligations inscrites au Fichier des auteurs d’infractions terroristes (FIJAIT). Lors de la perquisition, les enquêteurs découvrent dans sa chambre un testament manuscrit daté du 30 octobre dans lequel Noé E se qualifie "d’humble serviteur d’Allah", expliquant qu'il souhaite léguer ses biens à sa famille et à "une association prétendue humanitaire, dirigée par un homme proche de la mouvance djihadiste" soulignent nos confrères. Un gilet tactique, un couteau et une machette ont également été saisies.

Durant sa garde à vue, le suspect a déclaré à une policière que : "Les lesbiennes, on devrait tous les tuer, mais salement". Une procédure judiciaire pour "injure publique" a alors été ouverte. Alors qu'il allait être interrogé, Noé E. se serait jeté sur un policier avant d'essayer de mettre la main sur son arme, en hurlant "Allah akbar". L'intervention de plusieurs fonctionnaires a été nécessaire pour le stopper et le maîtriser.

«Un attentat sur le marché de Noël d’Annecy»

La mesure de garde à vue a finalement été reprise par la DGSI et le suspect transféré sur place, à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). Lors d'une conversation avec l'un de ses proches, Noé E. aurait déclaré avoir été interpellé car il préparait "un attentat sur le marché de Noël d’Annecy". Une information judiciaire a été ouverte dans cette affaire et le suspect a été placé en détention provisoire.

 

https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/haute-savoie/annecy/deja-condamne-pour-terrorisme-un-homme-mis-en-examen-pour-avoir-agresse-un-policier-a-annecy-2664076.html

Déjà condamné pour terrorisme, un homme mis en examen pour avoir agressé un policier à Annecy

 
Publié le
Écrit par Dominique Durand .
 

 

Un homme originaire de Haute-Savoie a été mis en examen et écroué pour avoir agressé un policier à Annecy. Il aurait tenté de se saisir de son arme en criant "Allahou akbar".

Un Haut-Savoyard de 22 ans, déjà condamné pour terrorisme, est mis en cause pour avoir agressé un policier du commissariat d'Annecy au cours de sa garde à vue. Il a été mis en examen pour "violences volontaires sur personne dépositaire de l’autorité publique n’ayant pas entraîné une incapacité totale de travail, en relation avec une entreprise terroriste", a-t-on appris auprès du parquet national antiterroriste (PNAT), confirmant une information du Parisien. Le suspect a été placé en incarcération provisoire.

L'affaire a débuté par le placement en garde à vue du jeune homme, mardi 22 novembre. Il venait d'être interpellé à son domicile, en Haute-Savoie, pour avoir manqué à ses obligations liées à son inscription au Fichier des auteurs d'infractions terroristes.

Le mis en cause figure dans ce fichier, ayant déjà été condamné pour terrorisme, et aurait ainsi dû déclarer tout déplacement à l'étranger. Ce qu'il n'a pas fait lorsqu'il s'est rendu, au cours du mois de novembre, au Kosovo puis en Arabie Saoudite.

"Aucun lien avec une entreprise terroriste"

Lors de sa garde à vue au commissariat d'Annecy, il se serait jeté sur un fonctionnaire, tentant de se saisir de son arme en criant "Allahou akbar" ("Dieu est grand", ndlr), selon Le Parisien. Lors de la perquisition à son domicile, les enquêteurs auraient également découvert des armes blanches ainsi qu'un testament dans lequel il se qualifie "d'humble serviteur d'Allah", selon les informations de nos confrères. Des faits que le parquet d'Annecy n'était pas en mesure de confirmer, s'étant dessaisi du dossier.

Une information judiciaire a alors été ouverte par le parquet national antiterroriste, au vu notamment du profil du mis en cause. La défense a sollicité un débat différé qui aura lieu mardi afin de statuer sur son placement en détention provisoire ou sous contrôle judiciaire.

"Il reconnaît avoir tenté d'agresser un policier et est prêt à en assumer les conséquences", affirme son avocat, Me Dylan Slama, selon qui ces faits "n'ont rien à voir avec une entreprise terroriste". "Cela fait cinq ans qu'il n'a rien à se reprocher", souligne le conseil du suspect, ajoutant que ce dernier s'est rendu au Kosovo et en Arabie Saoudite pour des "vacances, sans chercher à dissimuler quoi que ce soit".

 

https://www.lefigaro.fr/actualite-france/apologie-de-terrorisme-retour-a-la-case-prison-pour-l-islamo-breton-julien-le-prado-20221026

Apologie de terrorisme: retour à la case prison pour l’islamo-breton Julien Le Prado

Julien Le Prado est incarcéré dans la prison de Saint-Brieuc. J Fouquet/MAXPPP

RÉCIT - Converti à l’islam radical derrière les barreaux, il vient à nouveau d’être condamné.

Au regard de la menace terroriste, l’affaire pourrait sembler presque «banale». Mais elle illustre à la fois l’étendue de l’imprégnation islamiste, la question brûlante des «sortants de prison» et la discrète vigilance des services de renseignement. Julien Le Prado, sortant de prison islamiste, a été condamné le 17 octobre à trois ans ferme pour apologie du terrorisme.

Récidiviste, il encourait quatorze années d’emprisonnement et le parquet en avait requis sept. Mon client n’a pas fait appel, note son avocat Me François des Minières du barreau de Charente, la radicalité des réquisitions manquait de sens et c’est ce qu’a dit le tribunal avec une peine plus mesurée.  Condamné en 2017 à sept ans pour association de malfaiteurs terroriste (il voulait gagner la zone syro-irakienne) et apologie de terrorisme, Le Prado avait été libéré en décembre 2021… et de nouveau interpellé le 1er septembre 2022 après des messages djihadistes sur Telegram repérés par la Direction générale de la sécurité intérieure…

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https://www.ouest-france.fr/bretagne/un-breton-condamne-a-trois-ans-de-prison-pour-apologie-du-terrorisme-e126fcf0-4e2c-11ed-9f42-5034af1f4e7f

Un Breton condamné à trois ans de prison pour apologie du terrorisme

Un Breton de 33 ans a été condamné à trois ans de prison par le tribunal correctionnel de Lille, lundi 17 octobre 2022, pour avoir fait l’apologie du terrorisme dans des échanges sur la messagerie Telegram. Des propos tenus alors qu’il venait de sortir de prison.

Un Breton de 33 ans a été condamné à trois ans de prison pour avoir fait l’apologie du terrorisme.
Un Breton de 33 ans a été condamné à trois ans de prison pour avoir fait l’apologie du terrorisme. | BÉATRICE LE GRAND / ARCHIVES OUEST-FRANCE

Lundi 17 octobre, le tribunal correctionnel de Lille (Nord) a condamné à trois ans d’emprisonnement ferme, pour apologie du terrorisme en récidive, un trentenaire breton. Converti à l’islam en prison, il avait appelé au jihad sur un forum Telegram quelques mois après sa libération.

Le parquet avait requis sept ans d’emprisonnement, en comparution immédiate, le 10 octobre, contre cet homme de 33 ans. Il est ainsi condamné pour la douzième fois. Son enfance chaotique a été suivie d’une série d’allers-retour en prison et il est passé de la petite délinquance à la radicalisation violente.

Emprisonné pour avoir voulu combattre en Syrie

L’avocat de la défense, Me François des Minières, avait demandé au tribunal de ne pas renvoyer son client, Julien Le Prado, derrière les barreaux, afin qu’il poursuive le « long chemin » de déradicalisation entamé à sa sorti, fin 2021, après une peine de sept ans pour avoir tenté d’aller combattre en Syrie.

Soulignant « ses antécédents » et « sa dangerosité », le tribunal correctionnel l’a condamné à trois ans de prison et à sept ans de suivi socio-judiciaire à sa sortie. « Le prévenu croit ce qu’il dit et paraît prêt à passer des mots aux actes », a fait valoir le tribunal.

Lire aussi : Projet d’attentat au Stade Rennais : la difficile déradicalisation du jeune Breton

Originaire de Paimpol, condamné dès ses 16 ans

Né à Paimpol (Côtes-d’Armor), délaissé par sa mère, il a été condamné dès ses 16 ans pour des vols, menaces ou recel.

Après des violences conjugales avec armes, il a effectué, à partir de 2012, son premier long séjour en prison, au cours duquel il s’est converti à un islam particulièrement radical au contact de détenus.

Peu après sa libération, il a de nouveau été arrêté, en même temps que quatre hommes et une femme, pour avoir tenté d’aller combattre en Syrie.

Repéré par la DGSI

Condamné à sept ans, il est sorti en décembre 2021, avec l’accompagnement d’une association pour se réinsérer. Mais en août, il publiait sur le groupe Telegram d’un idéologue intégriste musulman une série de messages qui attiraient l’attention de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), entraînant son arrestation le 1er septembre.

« On ne retournera à un État islamique que dans le sang et la mort », écrivait-il, glorifiant « ceux qui font tout pour recréer un État » islamique.

Barbe sans moustache, il avait reconnu, lors de l’audience, être l’auteur des publications visées, indiquant qu’il n’avait « pas vraiment changé » de convictions mais qu’il s’agissait « juste d’une discussion ».

« J’ai parlé de combattre, il y a des musulmans qui souffrent, il faut leur venir en aide », avait-il insisté, citant Rohingyas ou Ouïghours.

« À aucun moment je ne dis aux gens de faire des attentats suicides », avait-il martelé, écartant tout lien avec des groupes jihadiste comme Al Qaïda ou l’État islamiste.


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