Par ailleurs, on ne sait toujours rien de l'emploi du temps du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi entre le 15 et le 17 novembre, il n'en dit toujours pas un mot sur Twitter, où il n'a posté depuis son retour hyper énervé signalé hier que ces deux tweets :
Il semble qu'il ait été très déçu par ses présidents successifs depuis l'élection de François Hollande en 2012.
Sa bonne amie la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest lui avait promis qu'avec lui ils obtiendraient tout ce qu'ils voulaient contre moi, vu que c'était un de ses amis (les amis de François Cuillandre, le maire de Brest, sont aussi les siens; notons à ce sujet que l'ancien président était encore par ici ces derniers jours, il s'est fait photographier en compagnie de Julie Gayet et de leur labrador à la terrasse d'une crêperie à Landéda samedi 12 novembre), mais c'était du cinéma de sa part, vu qu'ils obtenaient déjà tout ce qu'ils voulaient bien avant son élection, depuis le début de leurs harcèlements à mon encontre, en 2008, avec toutefois quelques limites, le président de la République française n'étant quand même pas sur son territoire le Konducator Pascal Edouard Cyprien Luraghi sur le sien. Notamment, il peut être gêné par des journalistes qui font encore leur métier, ce qui n'a jamais été le cas du malade mental, cybercriminel et pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Pédopornographie : les profils des interpellés du grand coup de filet
48 hommes, âgés de 26 à 79 ans et aux profils très différents, ont été interpellés pour soupçons de consultation de pédopornographie.
JUSTICE - Un maire, des personnes travaillant pour l’Aide sociale à l’enfance, des actifs, des retraités... Les profils des 48 hommes interpellés à travers la France cette semaine lors d’une opération massive contre la pédopornographie ont été dévoilés.
Le coup de filet, révélé ce mercredi 16 novembre et coordonné par l’Office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP), a permis d’interpeller des hommes de profils très différents, soupçonnés d’avoir téléchargé et consulté massivement des photos et des vidéos pornographiques mettant en scène des enfants.
Parmi les personnes placées en garde à vue, le plus jeune a 26 ans, le plus âgé 79. « C’est Monsieur Tout Le Monde, il n’y a pas de profil type, des chômeurs, des retraités, des gens qui travaillent », selon une source proche du dossier.
Un maire de Côte d’Or reconnaît « une partie des faits reprochés »
En Bourgogne, un maire de Côte d’Or d’une commune « d’environ 800 habitants » a reconnu « une partie des faits reprochés », à savoir la diffusion, la détention et l’acquisition de l’image d’un mineur à caractère pornographique, a indiqué le procureur de la République à Dijon, Olivier Caracotch.
L’édile, qui sera jugé le 26 avril, avait en sa possession « des fichiers images et vidéos mettant en scène des mineurs de 5 à 15 ans, dans des poses suggestives, ou ayant des rapports sexuels entre eux ou avec des adultes », selon le magistrat.
L’exploitation du matériel informatique qu’il utilisait a fait apparaître « des fichiers images et vidéos mettant en scène des mineurs de 5 à 15 ans, dans des poses suggestives, ou ayant des rapports sexuels entre eux ou avec des adultes « , selon le procureur. L’homme encourt des peines maximales de sept ans d’emprisonnement et 100 000 euros d’amendes.
Outre des élus locaux, des personnes travaillant pour l’Aide sociale à l’enfance (ASE), des familles d’accueil et le compagnon d’un membre des forces de l’ordre font également partie des nombreux interpellés, selon une source proche du dossier.
Un des suspects condamné et incarcéré
En Ardèche, un homme de 61 ans a été jugé en comparution immédiate jeudi devant le tribunal correctionnel de Privas et reconnu coupable de « détention, offre et mise à disposition de l’image d’un mineur présentant un caractère pornographique », a indiqué Cécile Deprade, procureure de Privas.
Il a été condamné à deux ans de prison, dont un ferme, avec obligation de soins, interdiction d’être en contact avec des mineurs et d’exercer une activité professionnelle ou bénévole auprès de mineurs. Il a été placé sous mandat de dépôt.
La Fondation pour l’Enfance a fait savoir jeudi qu’elle allait « se constituer immédiatement partie civile dans ces dossiers, symptomatiques par leur ampleur, le nombre de personnes interpellées, près de 50 personnes, et la résonance particulière d’une telle opération policière d’envergure nationale ». Selon le code pénal, la consultation de photos ou vidéos pédopornographiques est passible de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende.
À voir également sur Le HuffPost :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire