On a bien compris depuis quelques jours que le cybercriminel et pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi a manifestement des soucis judiciaires depuis le coup de filet qui s'est abattu sur 48 amateurs de pédopornographie répartis sur tout le territoire français :
http://satanistique.blogspot.com/2022/11/pedopornographie-48-hommes-interpelles.html
http://satanistique.blogspot.com/2022/11/coup-de-filet-anti-pedophilie-peu.html
http://satanistique.blogspot.com/2022/11/coup-de-filet-anti-pedophilie-la.html
http://satanistique.blogspot.com/2022/11/cyprien-luraghi-traite-la-justice.html
Après avoir encore une fois réaffirmé le droit qu'il a toujours revendiqué à faire ce qu'il veut des vies des autres, notamment de plus faibles ou plus vulnérables que lui, comme des femmes déjà polytraumatisées ou des enfants qui ne sont même pas les siens, à travers la publication d'une photographie extraite de ses catalogues de trafiquant d'enfants népalais, il a posté sur Twitter les messages dont copie ci-dessous, rappelant à nouveau d'une manière assez mal venue des histoires de pédophilie où, souvenez-vous, les pizzas auraient été autre chose qu'une spécialité culinaire italienne, et finalement conclu avec un très clair : "On se laisse pas abattre, non mais !"
A voir ou à revoir :
http://satanistique.blogspot.com/2022/11/aie-aie-aie-aie-le-pedophile-cyprien.html
N.B. : Lui qui était devenu si prompt à taper sur les pédophiles depuis qu'il s'applique à se faire passer pour un agneau nouveau né, n'a toujours pas commenté cette affaire ni rien retweeté qui s'y réfère, alors qu'il ne s'est jamais gêné, par exemple, avec son collègue Gabriel Matzneff depuis que celui-ci est tombé de son piédestal à compter de décembre 2019 - mais il s'agit surtout là d'un rival dont il a toujours été jaloux des succès.
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