Le même jour où je revenais sur l'incroyable détournement de procédure du cybercriminel et pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, contre lequel j'ai dû me défendre à Paris entre 2016 et 2018, soit vendredi dernier, 18 novembre 2022, Gaël Perdriau a obtenu d'un juge parisien une décision de censure préalable de Mediapart à propos d'une nouvelle enquête sur ses "pratiques politiques" très critiquables.
Je rappelle mon article de ce jour :
http://satanistique.blogspot.com/2022/11/comment-le-psychopathe-cyprien-luraghi.html
Mon précédent article sur Gaël Perdriau, repris de Franceinfo le 13 septembre dernier :
http://satanistique.blogspot.com/2022/09/chantage-la-sextape-saint-etienne-le.html
Et voici l'article de Mediapart dénonçant la censure inédite obtenue à son encontre par Gaël Perdriau :
Encore une fois, la comparaison est intéressante.
Pour commencer, je subis bien depuis des années un chantage récurrent à la sextape ou au revengeporn de la part du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi ayant à plusieurs reprises tenté d'obtenir de la sorte que je cesse de dénoncer publiquement pour ce qu'elles étaient ses précédentes campagnes de calomnies publiques à mon encontre et tous les cyberharcèlements dont j'en étais victime depuis 2008, à ceci près qu'il ne me connaissait pas, que nous ne nous étions jamais rencontrés avant notre premier rendez-vous judiciaire à Paris au mois de septembre 2016, n'avions non plus jamais eu aucune sorte d'échange privé, et qu'il n'existe aucune sextape, mais uniquement des inventions calomnieuses dont il est lui-même l'auteur quand il ne s'agit pas de sa complice ou commanditaire la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest.
C'est ainsi que le nom de Joël Roma, qu'il présentera très rapidement à ses lecteurs, et de manière totalement mensongère, comme mon "amant" durant un certain temps, était apparu dans ses écrits publics me concernant le 19 juin 2010 :
Jusque-là, très franchement, comprenant bien qu'il y avait menace, je ne voyais pas pour autant de quoi il pouvait s'agir, puis j'avais donc eu la surprise d'apprendre que nous aurions été "amants" et même, que le dénommé ROMA m'aurait quittée parce que j'aurais eu un "trop gros cul" (sic) - en réalité, du temps où nous nous fréquentions, dans l'association AC ! Brest, en 2004 et 2005, il me traitait d'"anorexique" alors que je n'étais absolument pas maigre mais juste mince, normale, ce qui signifie assez clairement qu'il préférait des femmes plus corpulentes. Et le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi allait jusqu'à décrire par le menu les relations intimes qu'il nous attribuait de manière fantasmatique... La première réaction d'une de nos connaissances communes lorsque je lui en avais parlé par téléphone fut un éclat de rire gargantuesque et assez difficile à calmer (imaginer des relations intimes entre Joël Roma et moi quand on nous connaît l'un et l'autre, ce n'est déjà pas possible, alors, apprendre qu'en plus un type a publié que Joël Roma m'aurait quittée parce que j'aurais eu un "trop gros cul", forcément cela peut provoquer bien des éclats de rire). Moi, par contre, je n'en riais pas, tout était public, des tas de gens lisaient et croyaient dur comme fer à toutes les inventions du malade mental ou de sa complice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest qui en l'occurrence était sa "source" de soi-disant "renseignements" me concernant depuis le début. Et cela a continué...
Vinrent ensuite les procédures judiciaires toutes viciées de manière à m'empêcher de me défendre au fond contre des dénonciations toujours calomnieuses. D'abord celles de Jean-Marc Donnadieu contre OverBlog dans l'Hérault, dont j'ai toujours été exclue au motif mensonger que mon identité aurait été inconnue du sieur Donnadieu qui en fait l'avait donnée à son avocat l'escroc Philippe Desruelles de Béziers avec toutes mes coordonnées dès le 2 juillet 2010, alors qu'en parallèle, avec ses complices cybercriminels de la bande Luraghi, il avait aussi commencé à la révéler illégalement sur différents sites avec des montagnes de calomnies à mon encontre. Ainsi avait-il pu m'accuser aussi mensongèrement de faits que je n'avais pas commis devant les magistrats de Béziers et Montpellier avec l'assurance qu'il ne serait pas contredit. Puis il y eut celle de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest en Bretagne. Ses avocats les deux escrocs de Plougastel (et amis de Richard Ferrand) David Rajjou et Roger Potin étaient allés jusqu'à se prévaloir d'articles de loi inexistants pour s'assurer que leur plainte contre moi et toute la procédure subséquente seraient bien nulles, m'empêchant ainsi de plaider l'exception de vérité, qui était le seul moyen d'avoir un débat contradictoire et au final une décision portant sur le fond de nos différends. Enfin celle du malade mental Pascal Edouard Luraghi lui-même à Paris, dont j'ai rappelé le caractère également vicié vendredi dernier, 18 novembre 2022.
A noter : je ne m'exprime publiquement que sur ces trois trains de procédures, parce que leurs auteurs en ont eux-mêmes énormément parlé publiquement et qu'il était donc, de ce fait, comme à chaque fois qu'ils publient à mon sujet, absolument nécessaire de rétablir la vérité. Mais ce ne sont pas les seules procédures abusives ou tentatives d'escroquerie au jugement dont j'ai été victime de leur part. Ils ont convaincu plusieurs de leurs complices d'en faire autant. J'ai déjà vaguement évoqué une procédure hautement délirante, ahurissante, d'un avocat m'ayant attaquée en son nom propre à compter de décembre 2019. Il y en a encore d'autres qui toutes présentent à peu près les mêmes caractéristiques. Entre autres, à l'automne 2016, alors même que, malade au point de n'être pas sûre du tout de pouvoir effectuer le déplacement nécessaire (je serai hospitalisée à mon retour à Brest), j'étais obligée de me défendre seule à Paris contre l'escroc Romain Darrière accompagné du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi et de plusieurs membres de sa bande, dont la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest qui manifestement dirigeait tout, j'avais encore été condamnée dans le Finistère à une amende d'un montant de 5.000,00 € (le procureur avait requis 10.000,00 € d'amende) sans aucun débat contradictoire préalable pour avoir osé contester être une prostituée, une condamnation absolument scandaleuse que je ferai annuler en appel à Rennes l'année suivante, toujours en me défendant seule.
Cela n'arrête pas, c'est toujours ahurissant, scandaleux, les dénonciations sont toutes calomnieuses et les procédures plus ou moins viciées de manière à ce que je ne puisse pas me défendre et sois condamnée à coup sûr pour des faits imaginaires.
Il y a à la fois du harcèlement judiciaire de la part de la bande de mes harceleurs et une véritable persécution de la part de leurs complices magistrats ultra CORROMPUS du Finistère.
Médiapart vient de dénoncer un procédé similaire par lequel il a été censuré par avance vendredi dernier. C'est le premier et le seul pour l'instant. De plus, il apparaît quand même très nettement moins retors et moins lourd que tous ceux auxquels j'ai déjà eu droit de mon côté, de la part d'une bande de malfrats qui s'acharnent sur moi de la sorte depuis 2010 à seule fin de m'empêcher d'être entendue comme leur victime pour des faits de cyberharcèlements comprenant de graves atteintes à l'intimité de la vie privée qui ont débuté en 2008.
Tout ce que je subis moi est véritablement énorme. Je ne sais pas comment le dire autrement, c'est vraiment énorme.
Mais bon, je sens bien que les mêmes qui sont en train de protester avec Mediapart doivent trouver parfaitement normal que l'on puisse traiter une femme ingénieur comme je le suis par la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et tous ses complices depuis déjà tellement d'années, sans compter que ces mêmes criminels exactement ont déjà assassiné plusieurs autres ingénieurs de ma famille.
A noter concernant Gaël Perdriau : c'est encore un crabe...
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ga%C3%ABl_Perdriau
Gaël Perdriau
Pour les articles homonymes, voir Perdriau.
Gaël Perdriau
Gaël Perdriau en 2013.Fonctions Président de Saint-Étienne Métropole En fonction depuis le
(8 ans, 6 mois et 28 jours)Élection Réélection Prédécesseur Maurice Vincent Maire de Saint-Étienne En fonction depuis le
(8 ans, 7 mois et 17 jours)Élection 4 avril 2014 Réélection 3 juillet 2020 Coalition UMP/LR-UDI-MoDem
(depuis 2014)Prédécesseur Maurice Vincent Biographie Date de naissance Lieu de naissance Cholet (France) Nationalité Française Parti politique UDF-PR (1996-1997)
DL (1997-2002)
UMP (2002-2015)
LR (2015-2022)Diplômé de ESC Saint-Etienne Profession Cadre au sein d'ERDF Maires de Saint-Étienne modifier Gaël Perdriau, né le à Cholet (Maine-et-Loire), est un homme politique français.
Membre des Républicains jusqu’en 2022, parti dont il a été vice-président, il est maire de Saint-Étienne (Loire) et président de Saint-Étienne Métropole depuis son élection en 2014. Réélu pour un second mandat en 2020, il est mis en cause en septembre 2022 pour des faits de chantage en bande organisée à l'encontre de son premier adjoint, Gilles Artigues.
Biographie
Formation et parcours professionnel
Diplômé de l’École supérieure de commerce (ESC) de Saint-Étienne, Gaël Perdriau a toujours mené en parallèle activité professionnelle et fonctions politiques. Il occupe en 2013 un poste d’encadrement dans le secteur de l’énergie au sein d'ERDF à Saint-Étienne.
Avant de s'engager dans la vie politique, Gaël Perdriau s’est investi dans la vie associative stéphanoise. Il devient en 1997 président de l’association d’insertion par l’emploi « Tremplin 42 » jusqu'en 2003. Parallèlement, il s’implique dans les travaux de l’association « Handicaps et Société » pour une meilleure prise en compte des personnes handicapées. Il crée à Saint-Étienne les « cafés-philo », lieu d'échange d'idées et de débats, dans le but d'apprendre des autres et d'enrichir sa propre réflexion.[réf. nécessaire]
Carrière politique
Parcours au sein de l'UMP et de LR
Membre du Parti républicain depuis 1996, il adhère à l'Union pour un mouvement populaire (UMP) dès sa création, en 2002.
Gaël Perdriau est nommé en 2012 chargé de mission au sein de la fédération UMP de la Loire.
Il soutient Bruno Le Maire pour la primaire présidentielle des Républicains de 2016. En , il est nommé directeur de campagne régional pour l'Auvergne-Rhône-Alpes1. Le , dans le cadre de l'affaire Fillon et après le départ de Bruno Le Maire de l'équipe de campagne de François Fillon, il renonce à son tour à soutenir le candidat Les Républicains à la présidentielle2.
Laurent Wauquiez ayant donné Saint-Étienne pour un exemple de « quartier perdu de la République », Gaël Perdriau lui retire son soutien pour les élections à la tête des Républicains3.
Il est nommé vice-président des Républicains le 4. Le 7 décembre 2021, il est démis de sa fonction par le président du parti, Christian Jacob, pour avoir dénoncé à nouveau la « droitisation » de son parti, et notamment le positionnement de la candidate Valérie Pécresse « qui envisage de gouverner avec Eric Ciotti », après l’élection présidentielle de 20225,6. Il souhaite également une rupture avec le sarkozysme7.
Il est exclu de LR le 11 octobre 20228.
Maire de Saint-Étienne
Gaël Perdriau se présente aux élections municipales en 1995 à Saint-Étienne sur la liste du maire sortant Michel Thiollière. Il est élu9, puis réélu en 2001. Il est ainsi en fonction de 1995 à 2008.
Président du conseil de quartier de Tarentaize-Beaubrun, il contribue à la rénovation urbaine de ces quartiers en grande difficulté aidés par l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU).
Gaël Perdriau occupe la 3e place sur la liste du maire sortant Michel Thiollière aux élections municipales de 2008. Michel Thiollière est battu dans une triangulaire par le socialiste Maurice Vincent. Gaël Perdriau devient conseiller municipal d'opposition, se présente aux élections cantonales de Saint-Étienne-Sud-Ouest-1 en 2011, et échoue au 2d tour10. Il préside dès lors le groupe d’opposition municipale « Union pour l’avenir des Stéphanois »11 qui regroupe les représentants de l’Union des démocrates et indépendants (UDI), de l’UMP et de la société civile12.
Le , la Commission nationale d’investiture (CNI) de l’UMP, coprésidée par Jean-François Copé et François Fillon, accorde à l’unanimité l’investiture à Gaël Perdriau13 pour être la tête de liste sur la ville de Saint-Étienne aux élections municipales de 2014. La liste qu’il conduit l’emporte au second tour de ces élections avec 47,7 % des voix, contre la liste du maire sortant, Maurice Vincent, qui recueille 40,5 % des voix, et celle du Front national (11,8 %)14. Gaël Perdriau est élu maire par le conseil municipal le et président de la communauté d'agglomération Saint-Étienne Métropole le 15.
Après son élection, Gaël Perdriau critique la gestion du maire précédent, notamment concernant l’Opéra-théâtre de la ville, et accuse la direction de l'établissement d'avoir fait courir des risques aux personnels et spectateurs du théâtre municipal16. Depuis, la justice a donné tort à la ville et a obligé à la réintégration des membres de l'Opéra théâtre comme, entre autres, son chef d'orchestre en poste depuis 10 ans et son directeur17,18.
Fin , le journal Le Progrès publie une enquête intitulée « La grande valse des cadres »19. Depuis son élection à la mairie et sa prise de fonction à la présidence de la Métropole, Gaël Perdriau a vu 45 cadres des deux collectivités présenter leur démission, soit plus de sept départs par an. Le dernier départ en date est celui de Caroline Tisserand, directrice de la Cité du Design, partie avant la fin de sa période d'essai. Selon Le Progrès, c'est le cabinet du maire qui centraliserait le pouvoir au détriment des différents services.
En , la Commission nationale de l'informatique et des libertés adresse un avertissement à la municipalité de Saint-Etienne, dont les politiques sécuritaires sont « susceptibles de violer les textes relatifs à la protection des données à caractère personnel ». Gaël Perdriau avait fait installer une cinquantaine de micros sur la voie publique, un projet expérimenté sur les habitants du quartier populaire de Tarentaize-Beaubrun-Couriot. Parce qu’il est capable d’enregistrer les voix et les conversations des personnes se situant autour de lui, « le dispositif envisagé a nécessairement pour effet d’intervenir dans le champ d’autres droits fondamentaux des citoyens, et plus particulièrement dans celui de l’exercice de leurs libertés d’expression, de réunion, de manifestation, d’association et d’aller et venir », souligne la commission20.
FranceInfo affirme dans un article paru en septembre 2022 que Gaël Perdriau a favorisé une entreprise dirigée par des proches, en dehors de la procédure d’appel d’offres, dans le cadre de la politique culturelle de la ville21.
Mise en cause pour chantage politique
En 2022, il est mis en cause dans une enquête de Mediapart dans une affaire de chantage visant son premier adjoint, Gilles Artigues22. Des proches de Gaël Perdriau auraient piégé Gilles Artigues en le filmant à son insu avec un « escort boy » recruté par leurs soins lors d’une soirée intime en 2014, à Paris, dans le but de faire pression sur lui sur le plan électoral22. Selon Mediapart, c'est un élu municipal de la majorité, Samy Kéfi-Jérôme, devenu ensuite conseiller régional délégué et vice-président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, qui a placé une caméra dans la chambre d'hôtel de Gilles Artigues. L'ancien compagnon de Samy Kéfi-Jérôme, Gilles Rossary-Lenglet, déclare avoir pris part à cette opération et touché avec lui 50 000 euros de la part de la municipalité, via des subventions versées à des associations stéphanoises qui l'auraient ensuite rémunéré22.
Le 29 août 2022, le premier adjoint à la mairie porte plainte contre Gaël Perdriau pour « chantage aggravé, guet-apens en bande organisée, détournement de fonds publics et non-dénonciation de faits délictueux », ce qui conduit le parquet de Lyon à ouvrir un information judiciaire23,24. Gaël Perdriau dément dans un premier temps toute implication25. Il affirme même maladroitement avant de se dédire devant des journalistes ne pas avoir connaissance de l'existence d'une vidéo à caractère homosexuel, alors que ce détail n'était a priori connu que de la victime et des maitres chanteurs. Mediapart publie le des enregistrements qui établiraient l'implication directe du maire dans le chantage, appuyé par son directeur de cabinet Pierre Gautierri26,27,28. Plusieurs élus du parti des Républicains demandent l'exclusion de Gaël Perdriau29, qui est auditionné en garde à vue le 13 septembre30. Il est rapidement relâché par les magistrats instructeurs qui déclarent poursuivre leur enquête. Cependant, l'émotion parmi les Stéphanois est telle qu'une centaine de personnes manifestant le 14 septembre devant l'hôtel de ville en forcent l'entrée pour demander une rencontre avec l'édile31. Le 20 septembre, acculé par sa majorité, il décide de limoger son directeur de cabinet32. Samy Kéfi-Jérôme démissionne de ses mandats de conseiller municipal et métropolitain après l'annonce de la diffusion par Mediapart d'un nouvel enregistrement accablant33. Gaël Perdriau refuse pour sa part de démissionner34.
Le volet financier de l'affaire pourrait faire également l'objet de poursuites. Un élu d'opposition, Pierrick Courbon, a annoncé déposer une plainte contre X pour escroqueries au jugement, les subventions qui auraient servi à rémunérer l'organisateur du guet-apens ayant fait l'objet d'une mise au vote en conseil municipal35,36. À la suite de ces révélations, deux autres figures politiques locales indiquent avoir fait l'objet de pressions et de chantage de la part de Gaël Perdriau et de son entourage37.
Le 18 novembre, après avoir fait part de ses remarques sur un article à paraitre dans Mediapart, article portant sur de nouvelles révélations issues d'enregistrements sonores, Gaël Perdriau obtient du tribunal judiciaire de Paris une décision inédite interdisant par avance à Mediapart de publier de nouvelles informations sur ce dossier.38
Détail des fonctions et mandats
- À la mairie de Saint-Étienne :
- conseiller municipal délégué chargé de la politique de la ville de 1995 à 2001,
- conseiller municipal délégué chargé de la cohésion sociale, des gens du voyage et du renouvellement urbain de 2001 à 2008,
- conseiller municipal d’opposition de 2008 à 2014,
- maire depuis 2014, avec réélection en 2020 ;
- président de l’association d’insertion par l’emploi « Tremplin 42 » de 1997 à 2003 ;
- président du conseil de quartier de Beaubrun-Tarentaize de 1997 à 2008 ;
- À la communauté d'agglomération de Saint-Étienne, puis communauté urbaine de Saint-Étienne puis Saint-Étienne Métropole :
- conseiller communautaire de 2008 à 2017 puis conseiller métropolitain depuis 2018,
- président depuis 2014 avec réélection en 2020 ;
- membre du conseil d'administration de Métropole Habitat Saint-Étienne depuis 2008 ;
- président de l’association citoyenne « Saint-Étienne 2014 » de 2008 à 2013note 1,39 ;
- président du Cerema du au (il quitte ce poste, à la suite des restrictions budgétaires devant affecter l’établissement en 201840) ;
- vice-président du parti Les Républicains d'octobre 2019 à décembre 2021.
Notes et références
Notes
- Le Monde, le , citant Gaël Perdriau en tant que président de Saint-Étienne 2014 et conseiller municipal : M. Estrosi a raison, la lutte contre la délinquance est l'affaire de tous.
Références
- À la mairie de Saint-Étienne :
- « Équipe politique autour de Bruno Le Maire »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), brunolemaire.fr, consulté le 19 septembre 2016.
- « Gaël Perdriau : "François Fillon doit se retirer au nom d’une éthique" » [archive], lemonde.fr, 1er mars 2017.
- « Wauquiez voit le "grand remplacement" à Saint-Etienne : polémique en 3 actes », L'Obs, (lire en ligne [archive], consulté le ).
- « L'équipe Jacob nommée, LR en ordre de marche » [archive], sur Libération.fr, (consulté le )
- Marion Mourgue, « Après le congrès, Jacob fait le tri dans les instances des Républicains, Peltier et Perdriau démis de leurs fonctions » [archive], sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- « Gaël Perdriau, écarté de la vice-présidence du parti LR, dénonce à nouveau la « droitisation » de sa famille politique » [archive], sur lemonde.fr, (consulté le ).
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- La Gazette de la Loire, le 16/05/2013 - UMP : La commission nationale d’investiture choisit Gaël Perdriau à Saint-Étienne « http://www.lagazettedelaloire.fr/fil-info/UMP-La-commission-nationale-d-investiture-choisit-Gael-Perdriau-a-Saint-Etienne-100711 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
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- « A Saint-Etienne, le maire, Gaël Perdriau, s’accroche à son fauteuil », Le Monde.fr, (lire en ligne [archive])
- Mediapart, « Chantage à la sextape à la mairie de Saint Etienne: Notre émission spéciale » [archive], sur YouTube, .
- Julie Tadduni, « Révélations de Mediapart : Pierrick Courbon dépose plainte » [archive], sur IF Saint Etienne, .
- Loan Nguyen, « Reportage. À Saint-Étienne, au-delà de l'affaire de la sextape, la dénonciation d'un « système Perdriau » » [archive], sur L'Humanité,
- Edwy Plenel, « Un magistrat ordonne la censure préalable d’une enquête de Mediapart » [archive], sur Mediapart (consulté le )
- « M. Estrosi a raison, la lutte contre la délinquance est l'affaire de tous » [archive], sur lemonde.fr,
- Lucie Romano, « Gaël Perdriau quitte la présidence du Cerema pour s’opposer aux baisses de crédits et réductions d’effectifs - Collectivités territoriales », Le Moniteur, (lire en ligne [archive], consulté le ).
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