Pour le Télégramme, il rame, et pour Ouest-France, il fait salle comble, c’est un mec super…
MDR !!!
Pour mémoire : Ouest-France n’a jamais rien publié sur le procès que la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest avait organisé à mon encontre le 9 avril 2013, et pourtant, elle avait bien fait salle comble, il n’y avait pas de places assises pour tout le monde, plein de gens étaient restés debout sur les côtés de la salle, pour trois heures d’audience… Il faut bien dire qu’une partie des bancs était occupée par les élèves de 4ème d’une copine de Josette Brenterch venus apprendre en direct au tribunal ce qu’il en coûte de bien travailler à l’école et de faire ensuite ingénieur : c’est mal, c’est très très mal, cela justifie tout ce que j’ai subi ce jour-là, mais aussi avant, des années durant, et encore après, durant bientôt neuf ans jusqu’à ce jour, et cela va encore continuer… probablement jusqu’à la fin de mes jours. Mea maxima culpa, je n’aurais jamais dû être toujours tête de classe autrefois à Brest… Je ne pouvais pas m’en empêcher, je ne le faisais même pas exprès, je ne calculais pas, je n’ai jamais rien calculé… Enfin si, il y a bien eu des périodes où j’ai tenté de me cacher et volontairement saboté mes notes, mais la vraie nature est toujours ressortie à un moment ou à un autre et bam ! la sanction a toujours été la même partout : le cercle des copines se réduisait automatiquement et j’avais le droit à de nouvelles crasses… Pareil dans le boulot : quand on me demande de faire des trucs jugés infaisables avec l’idée de me préparer une belle lettre de licenciement, je ne me démonte pas, je le fais… d’où les hurlements sans fin de tous ceux qui se sont encore plantés avec moi…
Heureusement pour eux, ces enfants venus me voir souffrir le 9 avril 2013 ont eu une excellente enseignante qui a dû quasiment tous les dégoûter des mathématiques (« Vous voulez finir comme ça ? Etre tous reconnus fous et de surcroît jugés et condamnés pour avoir prétendu n’être point fous ? Ah non, bien sûr, on n’est pas fous, nous, on est des gens bien, on ne fera pas de maths… »). Pas mieux que les bûchers pour les sorcières ou Charlemagne ayant interdit l’exercice des mathématiques pour lutter contre les « tempestaires » qui ne devaient être que les ingénieurs météo de son époque…
Enfin bref, seul Steven Le Roy s’était fendu d’un immonde torchon publié le lendemain dans le Télégramme… en évitant tout de même d’y coller mon nom… Il y avait quand même là une véritable infraction d’atteinte à l’intimité de la vie privée depuis le début : comment un commentateur anonyme (moi sur Rue89) n’ayant jamais donné son identité à personne, même en privé, ni signalé à aucune des personnes le connaissant qu’il s’est mis à écrire anonymement sur la toile peut-il s’y trouver identifié dès ses tout premiers mots et voir ensuite cette identité illégalement révélée au public sans que les magistrats saisis de ses plaintes n’y trouvent jamais rien à redire alors même que les pirates informatiques qui le violent au quotidien depuis le début se sont bien fait prendre en flagrant délit de piratage de ses mails et de son ordinateur ? Je rappelle encore avoir été, moi, dans ces conditions où j’étais bien victime de multiples infractions graves de la part de Josette Brenterch et de ses complices, notamment poursuivie et condamnée (condamnation annulée en appel à Rennes le 2 décembre 2015) pour une atteinte à l’intimité de la vie privée de Josette Brenterch pour avoir, en publiant quelques droits de réponse toujours restés confidentiels à la suite de ses campagnes de calomnies publiques nominatives massives à mon encontre, lesquelles ont toujours été associées à de nombreuses atteintes à l’intimité de ma vie privée, ainsi qu’à des menaces de mort, de viol, du harcèlement sexuel et moral, « révélé » son identité à mes lecteurs, alors qu’elle l’avait déjà révélée elle-même sur les blogs de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi… Presque systématiquement, elle m’accuse mensongèrement de commettre des infractions dont elle s’est elle-même déjà rendue coupable à mon encontre, avec bien d’autres bien plus graves, et est toujours suivie à Brest par des magistrats qui ont bien toutes les cartes en main… Même chose pour son complice de Béziers Jean- Marc Donnadieu dont j’aurais soi-disant révélé l’identité au public alors qu’il l’avait toujours donnée lui-même avec son pseudonyme NEMROD34 et toutes ses coordonnées partout où il s’exprimait ainsi de manière, en réalité, absolument pas anonyme… Et je rappelle encore à ce sujet que pour obtenir deux fois la condamnation de mon hébergeur OverBlog à Montpellier pour ces « faits » dont il m’accusait mensongèrement, il m’a toujours écartée de toutes ses procédures pour s’éviter toute contradiction sur toutes ses dénonciations calomnieuses à mon encontre, ce qui aurait dû conduire tous les magistrats saisis de ces procédures à rejeter toutes ses demandes, comme l’ont d’ailleurs toujours bien fait les premiers juges, ceux de Béziers.
Aujourd’hui, donc, bien au contraire de ce qui était manifeste en ce printemps 2013, Ouest France apparaît très favorable au NPA tandis que le Télégramme le traite par le mépris.
Ah… Le Télégramme et Ouest-France auraient depuis totalement inversé leurs orientations respectives ?
Où sont-ils tous ces gens sensés et spécialistes des médias qui devraient être interpellés ?
Notons par ailleurs qu’Arnaud Hell n’est plus désigné que par son prénom (« Arnaud, cheville ouvrière de la France insoumise qui approuve beaucoup des idées développées par Philippe Poutou », c’est bien lui). Etrange…
Ancien militant du PS, il était arrivé à la LCR en 1994 parce qu’il préférait désormais se trouver à la tête d’un minuscule parti de barges hyper graves que de continuer à être noyé dans la masse des militants socialistes… Cela lui a pas mal réussi, il a été un des rares élus de la LCR dans la région alors qu’il n’avait aucune chance de se faire élire ni même de figurer jamais sur une liste de candidats en restant au PS. Mais auparavant, il aura bien dû obéir un peu à sa nouvelle cheffe, l’incontournable Josette Brenterch, grande prêtresse de la LCR de Brest depuis les années 1970, et qui savait comment il s’était déjà fait virer d’un lycée brestois pour une affaire de moeurs et continuait à lorgner beaucoup trop en direction des très jeunes filles… Il était toujours à la LCR en 2004 et 2005, et d’après Joël Roma, dont j’ai bien conservé tous les mails, c’était le plus odieux de ses chefs à mon sujet alors que dans le même temps il avait le culot de se faire passer pour un ami de ma famille…
Son nouveau poulain Pierre-Yves Cadalen se rend-il compte du ridicule de son communiqué public concernant l’affaire « Vivre à Brest » alors qu’il est lui-même entouré de gens qui ont toujours fait bien pire que ce qu’il reproche (à juste titre) à certains élus brestois ?
Raphaël du NPA de Brest, je ne sais pas qui c’est. Cependant, étant donné que les militants de ce parti ont toujours été en nombre assez limité, il pourrait s’agir du même Raphaël que Josette Brenterch avait jadis introduit dans l’entourage amical d’une de ses anciennes victimes pour continuer à la surveiller ou l’espionner, et ainsi la « contrôler », comme elle l’a fait aussi avec mon père et bien d’autres de ses cibles et victimes diverses et variées, dont, notamment, les responsables des associations de chômeurs autres qu’AC ! Brest.
Je reparlerai bientôt de ce Raphaël et de ses immondes saloperies.
Retenons pour l’instant que comme d’habitude, lui et ses amis ont rempli leur salle avec beaucoup de jeunes, des naïfs comme Laura, venue « mieux comprendre le programme du NPA » alors que Poutou lui-même dit bien qu’ils n’ont fait de programme que parce qu’il en faut un pour se présenter à l’élection présidentielle, parce qu’il sait comme tout le monde n’avoir de toute façon strictement aucune chance d’être élu pour appliquer ce programme…
En réalité, au NPA, il n’y a jamais eu d’autre programme que celui-là :
http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/23/faire-taire-tout-le-programme-du-npa/
Et chaque élection présidentielle est mise à profit par le parti pour compter tous ceux qui restent à faire taire sur l’ensemble du territoire national : même à peine 1% des électeurs, cela représente encore un nombre de personnes assez important à casser par tous les moyens puisqu’elles disent toutes, à l’instar de Charlotte, être interpellées par des idées qui résonnent en elles.
Les discours du candidat Poutou sont en effet à l’image de ces bandes de papier que l’on trempe dans du sucre pour en faire des attrape-mouches.
Ils n’ont rien à voir avec la politique réelle de son parti qui se joue sur le terrain depuis déjà un bon paquet d’années avec l’allié salafiste, comme c’était déjà le cas en 1994 lors des négociations des contrats d’armement Agosta et Sawari II.
On rappelle le programme :
http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/23/faire-taire-tout-le-programme-du-npa/
De passage à Brest, Philippe Poutou rame toujours pour atteindre les 500 parrainages Réservé aux abonnés
Publié le 18 février 2022 à 20h52
De passage à Brest, ce vendredi soir, l’anticapitaliste Philippe Poutou poursuit sa quête infernale des 500 parrainages pour pouvoir figurer dans l’élection présidentielle.
Engagé dans une course contre la montre pour obtenir ses 500 parrainages, Philippe Poutou, le candidat du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) à la présidentielle, a conclu deux journées en Bretagne par un meeting, ce vendredi soir, à la Maison des syndicats de Brest. Alors que le Conseil constitutionnel le crédite de 199 signatures à ce jour, l’élu au conseil municipal de Bordeaux et ses militants sur le terrain se démultiplient pour aller à la rencontre des maires.
« Au même niveau qu’il y a cinq ans »
De ce point de vue, la virée bretonne qui passait par Carhaix, Hennebont, Rostrenen et Brest n’a pas été très concluante. À peine quelques promesses de plus dont celle du maire de Rostrenen, qui devrait s’engager définitivement en début de semaine. « À ce jour, on a 100 promesses solides, mais il faut encore aller en chercher 200. On est au même niveau qu’il y a cinq ans, mais on n’est à l’abri de rien », constate l’ex-ouvrier de Ford, près de Bordeaux, licencié après la fermeture de son usine.
Le candidat trotskiste déplore « un système méprisant et anti-démocratique qui s’appuie sur les consignes des grands partis pour parrainer leur candidat ». À cela vient s’ajouter la réticence des maires ruraux qui n’ont pas compris que parrainer ne veut pas dire adhérer. « J’ai rencontré une trentaine de maires physiquement, et certains deux fois. Sans succès », se désole Raphaël, un militant brestois prêt à redoubler d’efforts d’ici la date butoir fixé au 4 mars.
Brest. Salle comble pour Philippe Poutou, candidat d’extrême gauche
À la maison des syndicats, vendredi 18 février 2022, le représentant du Nouveau parti anticapitaliste a rassemblé 300 sympathisants lassés des « dérives » du capitalisme, séduits par ses idées et ses talents d’orateur.
De l’avis même de Philippe Poutou, candidat à l’élection présidentielle 2022 pour le Nouveau parti anticapitaliste, « ce n’est pas facile de faire campagne quand on ne croit pas dans le système… »
Le système ? « Le capitalisme des riches qui tiennent le pouvoir » comme il l’a largement développé dans son meeting, vendredi 18 février 2022, en soirée à Brest dans une salle de la Maison des syndicats habillée d’affiches et de drapeaux prônant une réforme révolutionnaire de la société.
Après plusieurs prises de paroles de lycéens, étudiants, syndicaliste du CHRU de Brest, il a tenu son auditoire en haleine durant plus d’une heure. Une foule séduite de plus de 300 adhérents ou sympathisants à son parti, « celui des oubliés et des pauvres, de ceux qui triment et se taisent. »
Beaucoup de jeunes
Dans la salle, beaucoup de jeunes, quelques lycéens, des syndicalistes, des retraités, des étudiants venus en masse « qui se posent des questions sur leur avenir ».
Comme Laura, 23 ans, qui a fait le déplacement avec une amie. L’étudiante n’est pas encore sûre de son prochain vote. « Je suis là pour mieux comprendre le programme du NPA, mais je sais que dans tous les cas, je vais voter pour la vraie gauche, même si je ne sais pas encore qui… » Elle n’en voit que trois : Jean-Luc Mélenchon pour la France insoumise ou Philippe Poutou. Éventuellement Fabien Roussel, le candidat du Parti communiste français, qu’elle trouve pourtant « un peu trop dans le système ».
Détricoter la société capitaliste
Si certains se posaient des questions, ils seront renseignés. « Il n’y aura pas de vote utile à gauche, a martelé derrière son micro le candidat du NPA. On a vu ce que ça donne quand on aide à élire la gauche de pouvoir et institutionnelle. Elle n’a jamais fait une politique de gauche ! »
L’assistance boit ses paroles. Philippe Poutou, ouvrier au chômage, leader syndicaliste a tous les talents d’un orateur. L’homme est convaincu et détricote la société capitaliste : « Il nous faut reprendre le contrôle sur l’économie, la santé, l’énergie, la banque, les écoles. » Celle qui fait que 5 % des plus pauvres ne passent pas l’âge de 60 ans. « Alors comment profiter de la retraite dans ce cas ? », interroge Philippe Poutou. Le public applaudit.
« Clair et limpide »
Tout est mis sur la table. « La logique de course au profit des multinationales, les nuisances de l’agro-industrie qui s’en fiche de la sécurité alimentaire pour les agriculteurs et les consommateurs, la politique répressive qui se généralise, les pauvres encore plus pauvres et les 43 milliardaires français qui ont accru leur fortune de 236 milliards d’euros en 19 mois de crise du Covid. »
Des idées qu’approuve Anthony, ancien écologiste désormais encarté au NPA : « Il est clair, limpide. Il tire le débat à gauche et pose les bonnes questions. » Sa voisine Charlotte approuve. « Ça fait du bien », dit-elle, même si elle « n’a jamais voté Poutou », elle se sent interpellée : « ses idées résonnent en moi ».
Encore 300 parrainages à obtenir
« Mon programme, c’est pas une liste de promesses, poursuit le candidat. J’en ai un de trente pages, puisqu’il faut en avoir un. C’est la volonté de mettre à plat tout ce qu’il serait légitime d’avoir. » Sans illusion, parce qu’il « pèse » 1 % des intentions de vote et qu’il lui manque encore 300 parrainages pour pouvoir se présenter.
« La rupture avec l’ordre établi, ça peut donner du courage, mettre les gens en mouvement », espère Arnaud, cheville ouvrière de la France insoumise qui approuve beaucoup des idées développées par Philippe Poutou. Hormis certaines. « Pour les frontières, je ne suis pas d’accord par exemple… »
En la matière, le candidat du Nouveau parti anticapitaliste n’y va pas de main morte : « Nous sommes internationalistes et anticolonialistes, pour l’ouverture des frontières, l’accueil de tous les migrants, la circulation libre de toutes les personnes. » Et en prime, la fin de la propriété privée.
Voilà, c’est dit. Philippe Poutou imagine l’avenir dans « la lutte radicale », en rouge et blanc.
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