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mercredi 16 février 2022

Affaire "Vivre à Brest" : une réaction de Pierre-Yves Cadalen

 

Il n’a pas été très rapide, mais c’est quand même bien mieux que rien.

En fait, il dit à peu près comme moi il y a deux jours :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/02/14/bernardette-malgorn-reagit-a-laffaire-vivre-a-brest/

Et le monsieur n’est pas susceptible d’être un Joël Roma que j’aurais « embobiné » – noter à ce sujet que de toute façon, Joël Roma ne m’a jamais écoutée, il n’écoutait que ses chefs de la LCR qui dès mon arrivée dans l’association AC ! Brest en début d’année 2004 s’étaient mis à organiser des réunions internes à leur parti m’étant exclusivement consacrées afin de « briefer » à mon sujet tous ceux de leurs militants qui seraient amenés à me rencontrer dans l’association AC ! Brest et ses alentours, c’est-à-dire qu’ils leur bourraient le crâne avec le même genre d’inventions calomnieuses que toutes celles qui à compter de juin 2010 ont été publiées sur ses blogs par le psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi écrivant sous la dictée de Josette Brenterch du NPA de Brest : « cas lourd psychiatrique », « pute », etc… sauf qu’à l’époque il n’était pas encore question de nier complètement tout mon passé professionnel pour le remplacer par autre chose; ainsi « prévenu » contre moi et ayant toujours été intellectuellement inapte à apprécier mes diverses propositions pour l’association, Joël Roma ne leur a bien évidemment jamais accordé aucun crédit. Pour ce qui est des affaires d’AC ! Brest, il n’écoutait que les autres hommes y militant, et toujours Josette Brenterch à chaque fois qu’elle l’attaquait avec de nouvelles inventions calomnieuses à mon encontre, dont j’ai toujours dû lui prouver qu’il ne s’agissait bien toujours que de nouveaux mensonges ou inventions de Josette Brenterch, et ce n’était pas toujours facile, étant donné que les témoins des faits (toujours existants, vu que j’ai toujours fait en sorte de n’être jamais seule ni à la permanence de l’association ni pour aucune des actions que nous avions décidé de mener) n’étaient jamais des salariés de l’association que nous aurions pu voir tous les jours mais très souvent des militants occasionnels ou des chômeurs venus nous solliciter pour leurs problèmes, et dont il fallait donc attendre le retour à la permanence pour qu’ils puissent confirmer mes dires ou ma version des faits à Joël Roma qui jusque-là ne croyait toujours que l’affabulatrice Josette Brenterch. Et pourtant, à chaque fois, pour sa part, elle ne pouvait en aucun cas avoir été « témoin » de tout ce dont elle m’accusait mensongèrement, puisqu’elle avait totalement cessé de participer à nos activités depuis l’été 2004, c’est-à-dire que de manière évidente elle affabulait autant que pour tout ce qu’elle a pu rapporter par la suite à son complice le psychopathe et mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi afin qu’il le publie sur ses blogs et le diffuse le plus largement possible, par exemple de mes relations intimes avec les uns et les autres, notamment ce monsieur Joël Roma qui m’avait toujours caché jusqu’à l’été 2006 l’existence de ces réunions internes à son parti me concernant dès 2004 et tout ce qu’on y racontait à mon sujet, portant déjà sur l’intégralité de mon existence jusque-là, toute ma vie professionnelle comme toute ma vie privée, mais aussi les contenus de tous les dossiers d’instruction et tous les dossiers médicaux, pourtant tous couverts par le secret professionnel, que Josette Brenterch avait récupérés me concernant pour les présenter à ses camarades militants de la LCR lors de ces conférences confidentielles me concernant, et encore, bien sûr, tous les résultats des écoutes illégales qu’elle faisait pratiquer par ses collègues militants de France Télécom à l’encontre de tous mes proches et de moi-même depuis déjà une quinzaine d’années…

La criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest n’a jamais lésiné sur les moyens pour détruire des ingénieurs dont les QI l’affolaient et aucun de ses valeureux camarades militants de l’extrême-gauche n’a jamais vu le moindre inconvénient à participer à ses assassinats d’ingénieurs, pas plus Joël Roma qu’aucun autre. Ce dernier n’avait commencé à s’en détacher et refuser de plus en plus de lui obéir au cours de l’année 2005 qu’après avoir constaté qu’il ne prenait toujours des coups qu’avec les mêmes, à savoir tous ses gentils camarades de la LCR de Brest aux ordres de ladite Josette Brenterch. C’est elle et elle seule qui par ses violences répétées à son encontre l’avait conduit à s’en éloigner pour se rapprocher de plus en plus des autres membres actifs de l’association AC ! Brest, dont, à cette époque, hormis lui-même, aucun n’était encarté à la LCR.

Enfin, je rappelle n’avoir jamais fait la moindre allusion à cette association de lutte contre le chômage dans mes divers écrits publics anonymes sur Internet jusqu’au moment où, au mois de juin 2010, j’avais vu brutalement s’étaler sur les deux blogs alors publics du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, avec de nombreuses autres révélations et calomnies à mon sujet et moult menaces extrêmement graves tandis que se préparait en urgence le premier numéro du magazine Inspire d’Al-Qaïda, la version entièrement mensongère de sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest à propos de ma participation aux activités de cette association en 2004 et 2005 : mon « amant » Joël Roma et tout le reste…

Voici, en guise de début de réponse à toutes ces calomnies publiques de Josette Brenterch à mon encontre, ma toute première publication concernant l’association AC ! Brest, du 8 juillet 2010, qui n’était autre qu’une copie de la lettre de radiation de cette association de sa trésorière Josette Brenterch le 22 septembre 2005, notamment en raison de son refus catégorique d’en présenter les comptes aux autres membres, dont le président lui-même (cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte) :

 

2010-07-08 Septembre 2005- AC ! Brest vire sa trésorière - Un petit coucou

 

AC ! Brest ou Vivre à Brest, c’est un peu la même histoire…

Pour revenir à la réaction de Pierre-Yves Cadalen : oui, les faits sont graves, il s’agit de corruption, faits pour lesquels toutes les personnes concernées auraient dû être poursuivies, mais ce n’est pas l’option retenue, ni par les magistrats du TJ de Brest, ni par l’association Anticor, d’où une légitime suspicion que tous ces spécialistes des diverses questions juridiques soulevées par cette affaire soient eux-mêmes corrompus, ce qui est encore plus grave.


 

https://www.letelegramme.fr/finistere/brest/pour-pierre-yves-cadalen-la-responsabilite-des-elus-socialistes-est-engagee-dans-l-affaire-vivre-a-brest-15-02-2022-12923209.php

Pour Pierre-Yves Cadalen, « la responsabilité des élus socialistes est engagée » dans l’affaire « Vivre à Brest »

 

Publié le 15 février 2022 à 18h10

 

Pierre-Yves Cadalen
Pierre-Yves Cadalen (Vincent Michel/Le Mensuel)

 

À son tour, Pierre-Yves Cadalen, de la France Insoumise, réclame que la toute la lumière soit faite sur l’affaire « Vivre à Brest ».

 

« La justice doit faire son œuvre dans l’affaire dite « Vivre à Brest ». Pour la transparence démocratique sur cette affaire, un procès est souhaitable », écrit Pierre-Yves Cadalen, le leader brestois de La France Insoumise, dans un communiqué. Il réagit ainsi à la décision du parquet de Brest de requérir le renvoi en correctionnelle de François Cuillandre pour « recel d’abus de confiance » et d’un de ses ex-adjoints pour « complicité d’abus de confiance » dans l’affaire des indemnités des élus du PS.

Nos articles sur l’affaire « Vivre à Brest »

« Qui a reçu cet argent » ?

Ayant découvert dans Le Télégramme que « l’enquête a également identifié une dizaine d’autres élus, pas nécessairement socialistes, ayant profité de tels avantages entre 2008 et 2018, pour des sommes de 300 € à 4 600 € en contrepartie de leur soutien à la majorité municipale », il demande aussi à ces élus des éclaircissements.

« Avant d’engager la responsabilité pénale de ces élus, cela engage leur responsabilité politique. Les citoyens ont droit à l’information libre : qui a reçu cet argent ? Quelles décisions ont fait l’objet de pareilles manœuvres ? Ces faits, s’ils sont avérés, sont d’une grande gravité, et ce malgré les sommes évoquées. En République, il est interdit d’acheter un soutien », rappelle Pierre-Yves Cadalen.

Et le représentant de la France Insoumise de conclure : « Ils doivent assumer leur responsabilité politique et ne peuvent garder leur mandat s’ils ont monnayé leur soutien à la majorité municipale. La République ne se marchande pas ».

 

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