Est-ce un lien de cause à effet ? La Bretagne est aussi la région où l’ancienne LCR devenue NPA en 2009 est la plus forte, ce qui était très sensible à AC ! lorsque j’en ai fait partie en 2004 et 2005 : alors qu’ailleurs en France il existait des collectifs qui au fil du temps s’étaient complètement affranchis de cette tutelle initiale, au point qu’à cette époque les instances dirigeantes du mouvement au niveau national en étaient issues, en Bretagne au contraire, il n’y en avait pas un seul, toute dissidence locale ayant toujours été écrasée dans la violence sur ordres de la criminelle Josette Brenterch de Brest, grande spécialiste de la contre-insurrection au service de ses amis et complices de la « droite » la plus extrême et plus spécialement de tous les patrons voyous et fonctionnaires et élus leur étant assujettis par corruption.
C’est ainsi qu’au mois de mars 2002 avait éclaté à Brest une affaire mêlant proxénétisme et politique locale de manière on ne peut plus édifiante : était alors mis en examen pour proxénétisme aggravé le patron de bar à hôtesses Jérôme Boudot, par ailleurs responsable local de Démocratie Libérale, adjoint au maire de Plouzané et chargé des finances de la Communauté Urbaine de Brest. Il sera condamné de ce chef en première instance à Brest l’année suivante, en 2003, au terme d’un procès mémorable…
On ne retrouve aujourd’hui aucune trace de cette affaire sur Internet. Le seul article citant Jérôme Boudot qui soit encore disponible est celui du 20 décembre 2000 copié ci-dessous.
Jusqu’à sa chute et la fermeture de son bar à hôtesses, ce dernier servait de lieu de réunion pour toute l’opposition municipale de droite qui s’y retrouvait après chaque conseil municipal. Ses chefs de file étaient alors le pharmacien Yannick Marzin et l’incontournable Calabrais Fortuné Pellicano, parrain en politique comme en franc-maçonnerie dudit proxénète Jérôme Boudot.
De notoriété publique ou presque, les campagnes électorales de la droite locale étaient en bonne partie financées par les proxénètes locaux, pas seulement Jérôme Boudot.
Le « ménage » annoncé en 2008 par le sarkozyste Laurent Prunier ne fut bien sûr que de façade, comme toujours dans tous ces partis politiques.
Et ne comptez surtout pas sur la mère maquerelle et criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest pour trahir tous ses amis de la droite locale et/ou des bars à hôtesses, dont Marguerite Lamour, ayant comme elle ses origines à Ploudalmézeau et que nous avions eu l’occasion de rencontrer en 2005 sans connaître jusque-là ses relations privilégiées avec notre « trésorière » de l’association AC ! Brest.
N.B. : A ceux qui seraient tentés de m’objecter que le diplômé en droit de la faculté de Brest Jérôme Boudot et d’autres ont payé leur dette à la société et devraient désormais bénéficier d’un droit à l’oubli, je rétorque qu’en ce qui me concerne, je n’ai toujours pas fini de payer pour avoir toujours refusé de me prostituer. Autrement dit : qu’ils aillent se faire foutre.
On notera encore que s’il n’est donc toujours pas question d’aider des personnes non prostituées à se défendre contre les harcèlements et autres violences sans fin de certains proxénètes – notamment la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et ses complices de la bande du pédophile, cyberharceleur et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, dont un certain nombre de magistrats tous CORROMPUS, comme la juge d’instruction de Brest Céline Verdier dont j’expliquais le 29 janvier dernier comment, entre 2013 et 2015, tout en donnant du crédit à toutes les inventions calomnieuses de mes harceleurs à mon encontre, qu’elles furent publiées sur la toile ou non, toutes ces calomnies étant comme toujours destinées à me nuire au maximum, m’isoler complètement et m’interdire tout retour à l’emploi ou à une quelconque activité professionnelle, elle a notamment tenté de mettre illégalement à ma charge une somme de 50.000,00 € (bien cinquante mille euros) sans compter tous les frais de procédures associés, et ce dans l’unique but de me contraindre à me prostituer pour pouvoir tout payer, puisqu’elle avait aussi décidé de me discréditer et m’isoler socialement de manière totale au moyen de toutes ses manoeuvres frauduleuses, tout en encourageant tous les harcèlements dont j’étais et suis toujours victime de la part de ses complices proxénètes – les dispositifs d’aide à la sortie de la prostitution prévus par la loi de 2016 n’offrent apparemment pas non plus grand intérêt pour les personnes d’origine européenne.
Il convient donc de s’interroger sur la volonté réelle du législateur, qui aurait dû depuis longtemps décider d’exempter de toute imposition les prostituées, sachant que proxénètes et contrôleurs du fisc « travaillent » ensemble pour les contraindre à se prostituer quand elles veulent arrêter ou ne pas commencer : ce n’est pas bien compliqué, il suffit de leur coller des redressements arbitraires contre lesquels elles ne pourront jamais rien, TA et CAA n’écoutant quasiment toujours que le fonctionnaire corrompu qui justifie ses redressements illégaux par toutes sortes d’inventions parmi les plus fantaisistes (là encore, je peux en témoigner, car naturellement j’y ai eu droit moi aussi par le passé).
Concernant la situation brestoise, je rappelle encore que les prostituées financent bien malgré elles, non seulement des campagnes électorales, mais également la CGT et les fins de mois prétendument très difficiles de nombreux fonctionnaires.
Tous ces messieurs dames qui en profitent éhontément sont-ils vraiment d’accord pour mettre fin à l’exploitation de ces femmes parfois très jeunes ?
À Brest, le long chemin de Christel vers la sortie de la prostitution Réservé aux abonnés
Publié le 08 février 2022 à 06h00
Christel, 32 ans, a connu l’enfer indicible de la prostitution. L’Amicale du nid, à Brest, lui a permis d’entrer dans un parcours de sortie. En Bretagne, seules deux femmes ont pu entrer dans ce dispositif à ce jour. Témoignage.
Si elle a accepté de témoigner, « c’est pour aider les autres », toutes celles qui sont encore dans la rue ou sous le joug de proxénètes. Quand elle est arrivée en Europe, en 2016, Christel, qui préfère taire son vrai prénom, rêvait d’une petite vie rangée, avec un travail, des amis, une famille. D’origine camerounaise, elle était très loin de s’imaginer le sombre détour qui l’attendait.
« Je suis passée par l’Italie, où j’ai vécu deux ans et obtenu un titre de séjour. J’avais quelques connaissances à Paris, c’est comme ça que j’ai rejoint la France en 2018 ». Dans la capitale, l’hospitalité de ses hôtes africains ne dure pas longtemps. Eux savent bien que son titre de séjour italien ne lui permettra pas de travailler. Le piège se referme. Pendant près de deux ans, Christel est livrée à l’enfer des passes forcées. « Ils faisaient déjà travailler plusieurs filles. Je n’ai pas eu le choix. Ils m’amenaient les clients, je devais reverser la moitié ».
« Pour moi, la prostitution n’a jamais été un travail »
À plusieurs reprises, Christel se rebelle et tente de se libérer de l’emprise de ses bourreaux. Alors que les menaces de représailles s’intensifient, son obsession d’en sortir ne la quittera pas. « Pour moi, la prostitution n’a jamais été un travail. Tout ce monde n’est que tristesse. C’est une torture physique et psychologique ». Et, dans un milieu où tout est fait pour vous isoler de l’extérieur, les mains tendues sont rares, et pas toujours amicales.
« À un moment, je me suis retrouvée chez quelqu’un qui a proposé de m’héberger. J’ai pensé alors pouvoir mettre de la distance avec mes oppresseurs. Mais lui aussi m’utilisait sexuellement. Et il m’a remis sur le trottoir », lâche Christel, après un long silence. Entre les non-dits, on comprend que durant cette période de trois mois, elle a touché le fond et vraiment craint pour sa vie.
L’Amicale du nid comme planche de salut
Et puis, un jour, une personne mieux attentionnée, à qui Christel peut enfin confier la réalité de son existence, la met en contact avec un travailleur social. Direction Brest, où elle trouve un hébergement d’urgence début 2021. Dans une ville où le réseau partenarial fonctionne bien entre les organismes sociaux, elle est alors aiguillée vers l’Amicale du nid. Cette association est la seule en Bretagne à avoir l’agrément pour mettre en œuvre les parcours de sortie de la prostitution (PSP).
Ce dispositif est issu de la loi d’avril 2016, qui a enfin reconnu aux prostituées le statut de victime et instauré la pénalisation du client. Il démarre avec la signature d’une lettre d’engagement. La personne bénéficie alors d’une autorisation provisoire de séjour (APS) de six mois, renouvelable trois fois. À la clef, le droit de travailler et une aide financière de 330 €. « Cela a tout changé pour moi. Je me suis donnée à fond. Je leur ai fait confiance et j’ai eu tout le suivi possible », témoigne Christel, très reconnaissante envers ses anges gardiens qui louent son tempérament de guerrière.
« Les hommes, je n’ai pas encore confiance »
En décembre dernier, après une formation, Christel a décroché un contrat à durée indéterminée dans l’aide à la personne auprès d’une agence privée. Aux soins des aînés, elle est dans son élément, et reçoit « tellement en échange ». Il y a quelques jours, la commission départementale qui statue sur les parcours de sortie de la prostitution en préfecture ne s’y est pas trompée, en prolongeant son APS de six mois. Aujourd’hui, Christel rêve de quitter son logement d’urgence pour un vrai appartement. Son regard s’éclaire enfin quand elle affirme « que la page est tournée ». Même si les souvenirs douloureux ne s’effacent pas comme ça. « Les hommes, je n’ai pas encore confiance. Mais cela viendra, je pense ». Un suivi psychiatrique l’aide à guérir de ses traumatismes et à se reconstruire en tant que femme. À Brest, bas de Siam, l’horizon est sur le point de se déboucher.
en complément
Sur la prostitution en Bretagne, « il faut plus de moyens pour augmenter les parcours de sortie »
Jean-Luc Padellec
223 parcours de sortie de la prostitution initiés en France, seulement deux en Bretagne (tous deux dans le Finistère, un dossier en attente en Ille-et-Vilaine) : bientôt six ans après l’adoption de la loi d’avril 2016 visant à renforcer la lutte contre le système prostitutionnel, la mise en œuvre du dispositif reste laborieuse. À cela, plusieurs raisons. D’abord, les commissions départementales qui statuent sur les dossiers sous l’autorité des préfets ont mis du temps à voir le jour. Dans le Finistère, elle n’est effective que depuis juin 2019. Et il a fallu encore plus d’un an de plus pour que l’Amicale du Nid obtienne l’agrément pour porter le dispositif dans toute la Bretagne.
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Reste que les seuls locaux de l’association se situent à Brest, alors qu’elle doit porter les parcours de sortie dans toute la région, en plus de ses actions de sensibilisation et de formation. Et, avec seulement trois travailleurs sociaux, difficile de se déployer partout. L’Amicale du nid espère obtenir les financements pour la création d’une seconde antenne à Rennes, où elle doit se contenter de déployer des permanences (comme à Lorient et Saint-Brieuc).
Des autorisations provisoires de séjour trop courtes
Pour Romain Guigny, le directeur de la structure, « les intentions de la loi sont louables, mais il faut aller plus loin ». Les associations de terrain réclament la mise en œuvre d’une phase 2 de la loi du 13 avril 2016. À la fois pour renforcer les moyens des associations, mais aussi pour améliorer les parcours de sortie. « Les autorisations provisoires de séjour de six mois sont trop courtes. Il faudrait un an pour caler le temps administratif sur les durées de formation ou de recherche d’emploi ». Elles demandent aussi au gouvernement de rehausser le montant de l’aide financière (330 €) au niveau du RSA « afin de donner de l’attractivité au dispositif, notamment pour des personnes d’origine européenne, car pour elles, les APS n’ont pas d’intérêt ». Enfin, il manque aussi des places de mise à l’abri. À Brest, la ville porte un projet de lieu d’accueil pour les femmes victimes de violences, qui pourrait intégrer des places dédiées pour les parcours de sortie.
Contact
L’Amicale du nid Bretagne au 06 35 47 60 33 ou bretagne@adn-asso.org
https://www.letelegramme.fr/ar/viewarticle1024.php?aaaammjj=20001220&article=2077569&type=ar
Municipales : la droite unie autour d’Yves Pagès
Publié le 20 décembre 2000 à 00h00
Les formations politiques de l’opposition départementale RPR, UDF et Démocratie Libérale, réunies au sein du comité de l’union, ont décidé d’accorder leur soutien à Yves Pagès (UDF) pour être tête de liste aux prochaines élections municipales.
Les formations politiques de l’opposition départementale RPR, UDF et Démocratie Libérale, réunies au sein du comité de l’union, ont décidé d’accorder leur soutien à Yves Pagès (UDF) pour être tête de liste aux prochaines élections municipales. Ainsi sollicité, Yves Pagès, conseiller municipal de l’opposition et ancien conseiller général, a annoncé lundi soir, lors d’une conférence de presse, qu’il acceptait de se présenter aux élections municipales de mars prochain pour mener une liste d’union et de large rassemblement.
UDF, RPR, DL
Il était entouré de : Mme Yvonne Thomas, déléguée de Plouzané au comité de circonscription du RPR, seconde de cette liste, de M. André Le Bellec, délégué cantonal du RPR, de M. Jérôme Boudot, responsable de Démocratie Libérale. «Tous trois occuperont une bonne place sur cette liste» confirmait Yves Pagès. Si la constitution de la liste est bien avancée, «elle n’est cependant pas close» poursuivait-il «Notre liste reste ouverte à ceux et celles qui souhaiteraient l’intégrer.» Elle se veut être une liste d’alternance et de parité. Les noms des colistiers d’Yves Pagès devraient être divulgués d’ici quelques semaines ainsi que les grandes lignes du programme.
Gauche désunie
Par contre, insistant sur l’union à droite, Yves Pagès faisait remarquer qu’à gauche, les choses sont moins claires avec deux listes. Qui va réellement diriger la liste socialiste ? Pour Yves Pagès, «Mme Duval devra nous dire quel rôle elle compte jouer et si elle n’est pas tentée de conserver l’essentiel de ses pouvoirs par l’intermédiaire de la CUB. D’ailleurs n’a-t-elle pas choisi une tête de liste par défaut, tête de liste qui n’est que son ombre portée.» «Au pouvoir depuis un quart de siècle, à force de vouloir tout contrôler et de verrouiller la démocratie locale, les socialistes Plouzanéens commencent à s’essouffler et à se replier sur leurs certitudes.» insistait Yves Pagès. A 52 ans, Yves Pagès, médecin, marié, quatre enfants, habite Coatuélen « C’est parce que les Plouzanéens attendent une autre politique avec une meilleure écoute, moins de gabegies financières, plus de transparence, plus de proximité et d’équité que la liste d’union de l’opposition incarnera davantage le changement auquel ils aspirent» concluait-il non sans faire allusion au coût de la rénovation de la salle de Trémaïdic, coût qu’il estime à plus de 10 millions de F au final avec les aménagements des abords. Allusion encore aux 200.000 F du «rayon laser éphémère à peine visible sur le goulet pour marquer le passage à l’an 2000, des dépenses injustifiées sur le compte du contribuable plouzanéen. »
https://www.ouest-france.fr/politique/lump-laurent-prunier-mise-sur-linnovation-5336
L’UMP Laurent Prunier mise sur l’innovation
Ouest-France Publié le 12/01/2008 à 00h00
Municipales 2008
L’UMP Laurent Prunier mise sur l’innovation
Après le socialiste François Cuillandre, c’est l’UMP Laurent Prunier qui vient de présenter sa liste pour les municipales.
Une équipe « innovante ». Laurent Prunier l’avait annoncé le vendredi 2 novembre dernier, lors de la présentation de sa candidature. Il a tenu parole. Sa liste pour les prochaines élections municipales des 9 et 16 mars est « innovante ». Il a fait le ménage. Aucun élu sortant d’opposition n’y trouve sa place.
« Depuis plus de vingt ans, la droite et le centre brestois traînent une mauvaise image de looser, explique la tête de liste de l’UMP. Nos électeurs nous l’ont fait savoir. Nous avons donc décidé de donner une autre image de nous, de montrer que nous sommes crédibles. C’est une équipe soudée, solidaire. »
Laurent Prunier a obtenu l’aval des responsables parisiens du parti de Nicolas Sarkozy pour faire sa révolution. « Reste que dans cette liste, nous retrouvons des proches de Yannick Marzin, Jean-Pierre Rieux, Claudine Péron, Benoît de Cadenet, Jean-Yves Le Borgne et… Fortuné Pellicano. Ce dernier se présente également aux municipales. L’étiquette « majorité présidentielle » qu’il utilise est plus qu’agaçante. La majorité présidentielle, c’est nous ! »
Un déficit de notoriété ? Oui, évidemment. Laurent Prunier le reconnaît d’ailleurs ouvertement. Sur son premier tract de campagne, ce juriste de 30 ans multiplie, alors, les références familiales locales : un père enseignant à l’IUT ; une mère anesthésiste-réanimateur ; des grands parents commerçants en centre-ville ; un arrière-grand-père, commerçant lui aussi, décédé dans l’abri Sadi-Carnot le 9 septembre 1944.
« Ma candidature est locale. Elle ne vient pas du tout de Paris. Les militants m’ont poussé à me présenter. Les responsables départementaux de l’UMP – la députée Marguerite Lamour en tête – me soutiennent également. Mon but est de créer un électrochoc dans la cité du Ponant. Nous allons tout faire pour. Nous sommes très confiants. Nous avons fait appel à des Brestois connus dans leur quartier. »
Une liste « de rassemblement ». Elle compte 27 membres de l’UMP ; quatre du Forum des républicains sociaux, de Christine Boutin ; trois militants du Nouveau centre, d’Hervé Morin ; trois adhérents du Parti radical, de Jean-Louis Borloo ; deux représentants du Mouvement pour la France, de Philippe de Villiers ; deux membres du Centre national des indépendants et paysans ; et 14 hommes et femmes de la société civile. « Une société civile qui n’est pas du tout représentée sur la liste de François Cuillandre. Il faut le rappeler. »
Le programme. Il est en cours de préparation sous la responsabilité de la centriste Catherine Huguen, numéro 2 de la liste, nommée responsable du projet. Il devrait être dévoilé à la fin du mois.
Entre deux tours. En cas de deuxième tour le dimanche 16 mars, l’équipe de Laurent Prunier pourrait être la même qu’aujourd’hui. Une modification n’est pas exclue quand même. « Tout dépendra, en fait, des unions que nous pourrions sceller le moment venu. »
Sept. C’est le nombre de colistiers de Laurent Prunier qui étaient déjà présents dans l’équipe de Yannick Marzin en 2001.
Moyenne d’âge. Elle est de 45 ans et des poussières. Les 20-30 ans sont au nombre de dix ; les 31-40 ans sont 13 ; les 41-50 ans sont dix ; les 51-60 ans sont 14 ; et les 61-69 ans sont 8.
Les benjamins. Ils sont deux : Margaux Basse et Sylvain Gangloff ont, tous deux, 21 ans. Le doyen, c’est François Derrien, l’ancien organisateur du tournoi de tennis de Brest. Il est âgé de 69 ans.
Les représentations par circonscription. 38 candidats sont issus de la circonscription de Brest-centre. Les 17 autres résident dans la circonscription de Brest-rural. « C’est une liste d’union des quartiers, des sensibilités, des âges et des catégories socioprofessionnelles. »
Yves-Marie ROBIN.
« Depuis plus de vingt ans, la droite et le centre brestois traînent une mauvaise image de looser, explique Laurent Prunier. Nos électeurs nous l’ont fait savoir. Nous avons donc décidé de montrer que nous sommes crédibles. C’est une équipe soudée, solidaire. »
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