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mardi 10 mars 2020

Les relations entre "culture" française et pays asiatiques confirmées par le coronavirus


Notre ministre de la Culture est le premier membre du gouvernement à être contaminé.

L’affaire Matzneff comme bien d’autres précédemment, notamment celle des voyages de Frédéric Mitterrand en Thaïlande, avaient déjà mis en lumière pour le plus grand nombre les relations particulières qu’entretiennent les représentants de la Culture française les plus haut placés ou les plus primés avec les pays asiatiques, les voilà donc confirmées par cette contamination au virus chinois Covid-19.

Remarquons au passage comment Dominique de Villepin a lui aussi tenu à concrétiser mes dires ou prédictions le concernant en ouvrant avec son fils une galerie à Hong-Kong.

Les natifs du Scorpion, dont il est, sont en effet concernés dans une moindre mesure par ce que je disais dans cet article du 16 février dernier à propos des Lions et Verseaux menteurs :

http://petitcoucou.unblog.fr/2020/02/16/9-fevrier-2020-une-pleine-lune-sensationnelle-anti-menteurs/


Egalement à lire ou à relire :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/11/15/oleg-sokolov-un-psychopathe-tres-sympa-comme-cyprien-luraghi-et-bien-dautres/

http://petitcoucou.unblog.fr/2020/01/15/le-pedophile-etalon-gabriel-matzneff-soutient-autant-jean-marie-le-pen-quolivier-besancenot-et-vote-jean-luc-melenchon/

http://petitcoucou.unblog.fr/2020/02/02/francis-christophe-ami-dalexandre-djouhri/

http://petitcoucou.unblog.fr/2020/02/02/tintin-passion-commune-de-dominique-de-villepin-et-gabriel-matzneff/

http://petitcoucou.unblog.fr/2020/02/22/alexandre-djouhri-interroge-par-les-juges-dans-laffaire-libyenne/


Indiquons encore pour finir :

1°/ que Cyprien Luraghi a souvent publiquement évoqué un de ses très bons amis qui, fort en maths, est devenu trader et exerce ou a exercé à Hong-Kong durant la décennie écoulée, Arthur de Villepin y vivant lui aussi; Cyprien Luraghi dit avoir connu ce trader enfant et l’avoir « fait sauter sur ses genoux » (sic);

2°/ que sa fille Shanti Devi fréquente ou a fréquenté une demoiselle de Villepin qu’elle avait rangée parmi ses amis Facebook lorsqu’elle était étudiante en histoire de l’art à la Sorbonne, avec pour parrain le conservateur du patrimoine Alain Pougetoux, en charge du château de Malmaison, et qui en 2003 avait acheté pour son père sa maison à Puy-l’Evêque, car celui-ci étant trafiquant de drogue n’avait aucune fiche de paie qui lui aurait permis d’obtenir un quelconque crédit (voir ici : http://petitcoucou.unblog.fr/2016/04/03/cyprien-luraghi-a-de-fideles-amis-tres-riches-et-tres-genereux/);

3°/ qu’une galeriste française installée à Bangkok et parcourant aussi la Chine avec quelques Bretons comme elle et les Villepin férus d’art contemporain chinois comptait parmi les très bons amis de l’ex-psychiatre brestois et pédophile notoire Serge Rodallec qui l’ont défendu et protégé contre ses victimes françaises jusqu’à sa dernière condamnation, en 2012; j’aurai l’occasion d’en reparler et de m’étendre un peu plus à son sujet (elle m’avait laissé un commentaire et son identité sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog).



https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/je-n-ai-vu-aucun-ministre-ni-le-president-de-la-republique-le-ministre-de-la-culture-franck-riester-s-exprime-apres-sa-contamination-par-le-coronavirus_3859765.html

« Je n’ai vu aucun ministre, ni le président » : le ministre de la Culture Franck Riester s’exprime après sa contamination par le coronavirus


« Je n’ai eu les symptômes que ce matin », a-t-il indiqué au service politique de France Télévisions lundi soir, précisant qu’il est en « quatorzaine » chez lui.

Le ministre de la Culture Franck Riester à l\'Elysée (Paris), le 12 février 2020. 
Le ministre de la Culture Franck Riester à l’Elysée (Paris), le 12 février 2020.  (XOSE BOUZAS / HANS LUCAS / AFP)
« J’ai comme une grippe, une fièvre modérée ». Après l’annonce de sa contamination par le coronavirus Covid-19, le ministre de la Culture Franck Riester, s’est exprimé lundi 9 mars, auprès du service politique de France Télévisions.

« Je vais plutôt bien », a-t-il assuré, précisant qu’il s’est « fait testé ce [lundi] midi ». « Je me suis fait tester car j’avais des symptômes. Je ne me suis pas fait tester par précaution sans symptôme. Je suis en quatorzaine chez moi« , a expliqué le ministre de la Culture.

« Je n’ai vu aucun ministre, ni le Premier ministre, ni le président de la République depuis la semaine dernière », a-t-il affirmé, tout en indiquant avoir « restreint [sa] vie sociale à la demande de l’Assemblée nationale ». Il fait référence à un message envoyé par le président de l’Assemblée nationale, Richard Ferrand, aux personnes ayant fréquenté les lieux après l’annonce de la contamination de plusieurs députés et personnels. « J’ai ainsi annulé ma participation aux réunions publiques de ma campagne électorale pour les municipales de Coulommiers, où je suis tête de liste, qui étaient prévues ce week-end par précaution. »


Les relations entre



https://www.parismatch.com/Actu/Politique/Le-nouveau-business-des-Villepin-pere-et-fils-1677316

Le nouveau business des Villepin, père et fils


Paris Match | Publié le 06/03/2020 à 07h00
 
Dominique de Villepin et son fils Arthur, à Paris en janvier.
Dominique de Villepin et son fils Arthur, à Paris en janvier. Sophie Palmier
 
L’ancien Premier ministre et son cadet s’apprêtent à ouvrir une galerie d’art à Hong-Kong, baptisée Villepin, malgré un contexte politique local et sanitaire chamboulé.

Derrière le look sage, du panache et du verbe. Arthur de Villepin, 31 ans, a vraiment de qui tenir. « On maintient l’inauguration coûte que coûte, explique le jeune homme, de passage à Paris. On veut promouvoir l’art y compris dans les moments compliqués. Parce que notre approche se veut pédagogique et pas seulement commerciale ». Le 13 mars, la galerie « Villepin » ouvrira donc ses portes dans un Hong-Kong plombé par la crise du Coronavirus et encore marqué par des mois de tumultes anti-Pékin. Le fils de l’ancien chef du gouvernement de Jacques Chirac, installé dans l’ex-colonie britannique depuis dix ans, n’en a pas moins le trac. « Avec le nom de famille sur l’enseigne, on a pas le droit de se planter ! », rigole-t-il devant son infusion à la verveine.

La première exposition est consacrée à l’artiste franco-chinois Zao Wou-Ki. Un ami intime de Dominique de Villepin jusqu’à sa disparition en 2013. Ses peintures figurent en bonne place dans la collection d’œuvres que s’est constituée l’ex-Premier ministre, féru d’art abstrait. C’est peu dire qu’Arthur de Villepin baigne dans le milieu artistique depuis l’enfance. Sa mère, Marie-Laure Viebel, est sculptrice. Sa sœur Marie peint aussi. Aux déjeuners de famille, de grands noms défilent : Soulages, Barcelo, Kiefer…

Soulages, Barcelo, Kiefer défilent aux déjeuners de famille


Rien d’étonnant à ce que le jeune entrepreneur, par ailleurs dirigeant d’une société d’export de grands vins français (dont Zao Wou-Ki a illustré les premières étiquettes), se lance sur le marché avec son père. Outre une passion commune pour la seconde école de Paris, les deux travaillent déjà en tandem dans le cadre de Villepin international, une entreprise de conseil en stratégie créée en 2015 par l’homme du « non » à la guerre en Irak. Fort de ses nombreux contacts en Chine, au Moyen-Orient ou en Afrique, Dominique de Villepin sera chargé de nouer des partenariats et de prospecter des œuvres pour la galerie, pendant qu’Arthur prendra en charge l’opérationnel. « On s’entend très bien et on est très complémentaires », se félicite ce dernier.

Et la politique, dans tout ça ? Si l’ex-étudiant en relations internationales confesse « avoir compris assez vite que ce n’était pas un monde dont (il) rêvait la nuit », il prend des accents gaullistes au moment de détailler sa conception du rôle de l’art : « Ce qu’on veut, c’est défendre une certaine idée de la culture française à l’étranger ». Mais aussi des intonations chiraquiennes : « Dans un contexte de nationalisme croissant dans le monde, l’art peut réconcilier les cultures parce qu’il remet en cause nos certitudes identitaires ».

D’ailleurs, les goûts artistiques de Jacques Chirac pourraient-ils faire l’objet d’une future exposition ? « C’est une bonne idée ! » réagit Arthur de Villepin, qui admet n’y avoir pas pensé. D’autant que le petit-fils de feu l’ancien président, Martin, travaille aussi dans une galerie d’art ». Affaire à suivre.

1 commentaire:

  1. https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/coronavirus-que-faire-si-cinq-questions-que-vous-allez-vous-poser-6774004

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