Halte à la censure et la désinformation satanistes !
compteur
vendredi 21 février 2020
Pourquoi mes harceleurs détestent tellement Denis Robert
Ben c’est évident : il leur a cassé la baraque, à ces escrocs !
Quand le cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien
Luraghi avait révélé mon identité au public, au mois de juin 2010,
personne ne s’était interrogé sur la manière dont il avait pu l’obtenir,
alors que jusque-là j’étais toujours restée parfaitement anonyme, aussi
bien sur la toile qu’auprès des internautes avec lesquels j’avais eu
quelques échanges privés.
Je n’avais même jamais fourni le moindre indice qui permette à
quiconque de m’identifier ou d’identifier des tiers qui auraient pu me
connaître, par exemple la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest,
source de toutes les pseudo « informations » me concernant que publie le
malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon sujet à compter du
19 juin 2010.
Autant dans ses écrits publics de cet été 2010 que plus tard dans le
cadre de deux des différentes procédures judiciaires qui nous ont
opposés, il a raconté qu’il aurait identifié cette femme à partir de
certains de mes commentaires publics, mais il a toujours menti à ce
sujet. Il d’ailleurs donné au fil du temps plusieurs versions
différentes de cette histoire et par ailleurs, dès le fin de l’été 2010,
il disait bien dans ses écrits publics avoir en fait toujours eu mon
identité depuis le début de ses harcèlements à mon encontre.
La réalité, c’est qu’il m’a toujours piratée depuis l’année 2008 au
moins avec sa bande de cybercriminels dits « déconnologues » et la
criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest qui en fait partie dès
l’origine et me faisait elle-même pirater depuis 2005.
C’est ainsi qu’ils ont tous toujours eu mon identité dès mes premiers commentaires anonymes sur le site Rue89, en 2008.
Mais personne ne s’interroge lorsque je suis brutalement « outée » en
juin 2010 et mes plaintes à ce sujet comme à propos des campagnes de
calomnies publiques assorties de harcèlement moral, de harcèlement
sexuel, d’incitation au suicide, de menaces de mort et de menaces de
viol dont je suis désormais victime – sans compter que j’ai déjà fait
l’objet de plusieurs tentatives d’assassinat par le passé et me retrouve
ainsi, à l’évidence, de nouveau exposée à de grands et vrais dangers –
ne donneront jamais aucun résultat du fait que les magistrats brestois,
ultra CORROMPUS, refusent illégalement d’y donner suite.
En revanche, lorsque six ans plus tard le journaliste Denis Robert
révèle au public les identités de plusieurs twittos qu’il qualifie assez
curieusement de « corbeaux » alors qu’apparemment ils se comportaient
tout simplement en trolls – mais c’est ainsi que les malades mentaux de
la bande du cybercriminel et mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi
m’ont eux aussi toujours qualifiée à compter de février 2009 sous le
seul prétexte que j’étais anonyme -, c’est le tollé : aucun d’entre eux
n’ayant mon profil de « sale pute de femme ingénieur » ayant de plus
toujours refusé de se prostituer, leur droit au respect de l’intimité de
la vie privée est immédiatement et spontanément reconnu par tous et le
journaliste est sommé de s’expliquer sur la manière dont il est parvenu à
les identifier, d’autant que l’un d’eux assure avoir été « outé » à
tort.
L’ensemble des discussions auxquelles, de mon côté, je n’ai jamais eu
le droit, s’enclenchent, dans les médias comme au tribunal.
Dès le 11 juin 2016, Denis Robert voit démonter tous ses arguments
contre celui qu’il a désigné à tort et critiquer sa méthode
d’identification, absolument pas fiable.
Or, c’est exactement la même méthode dont le mythomane Pascal Edouard
Cyprien Luraghi prétend avoir usé à mon encontre en juin 2010…
Avec le cas Denis Robert, il est établi qu’elle ne peut rien donner
tant que l’internaute s’exprimant sous pseudonyme n’a pas lui-même
révélé son identité, ce que pour ma part je n’avais jamais fait.
Celui qui prétend le contraire ment,
le mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi et ses complices
« déconnologues », notamment la criminelle Josette Brenterch du NPA de
Brest, ont toujours menti.
Par ailleurs, le cas du trader Ali Bodaghi qui s’exprimait sous
pseudonyme mais avait bien lui-même révélé au public son identité et
tous les éléments de sa vie privée y agrégés par Denis Robert critiquant
son comportement de troll sur Twitter est tout à fait comparable à
celui du cyberharceleur NEMROD34 qui passe aussi beaucoup de temps à
raconter sa vie sur Internet tout en y donnant sur tous les sites où il
s’exprime sous ce pseudonyme sa véritable identité et toutes ses
coordonnées, au moins jusqu’en 2010 lorsqu’il se lance dans sa série de
procès contre mon hébergeur de blog d’alors, OverBlog, en m’accusant
mensongèrement d’avoir révélé au public son identité et des éléments de
sa privée.
En attaquant le journaliste pour « atteinte au droit au respect de sa
vie privée » dans le cadre d’une procédure contradictoire, le premier a
naturellement perdu son procès (voir ci-dessous), tandis que le second
n’a pu gagner contre OverBlog qu’en m’écartant de ses procédures afin de
s’éviter toute contradiction quant aux faits d’atteinte à l’intimité de
la vie privée allégués.
Avec ses révélations outrées et imprudentes concernant ces twittos,
Denis Robert a donc bien embouti mes harceleurs dans toutes leurs
prétentions et tous leurs arguments de droit à mon encontre.
Le journaliste Denis Robert, à Paris, le 22 septembre 2009. AFP
En juin 2016, Denis Robert révélait l’identité de plusieurs Twittos
«virulents» qui insultaient les opposants à la loi El Khomri. Il avait
ensuite reconnu s’être trompé pour l’un d’eux (@SkyZeLimit), mettant en
cause – à tort – un jeune analyste financier.
Question posée le 09/07/2019
Bonjour,
Nous avons raccourci votre question initiale : «Est-il vrai que
le journaliste Denis Robert a doxxé des personnes sur Twitter,
révélations ayant conduit à avoir failli faire licencier une personne
n’ayant rien à voir avec Twitter ?»
Dans un article consacré à la signification du préfixe «Ze»
dans les pseudonymes de certains utilisateurs de Twitter, nous
expliquions qu’il s’agissait d’un signe de soutien au compte @Zebodag,
dont le journaliste d’investigation Denis Robert avait révélé l’identité
et la profession au printemps 2016.
En plein mouvement social contre la loi El Khomri, le journaliste
avait agi ainsi contre @Zebodag, mais également contre ceux qu’il
surnommait les «Golden Corbeaux de Twitter», soit les comptes @LacruzFX, @jabial et @SkyZeLimit, les décrivant comme des «comptes
très virulents [qui] jouent de leur anonymat pour propager des idées
nauséabondes en termes d’ultralibéralisme, d’antisyndicalisme, et pour
certains [de] racisme et [de] sexisme».
De leur côté, les mis en cause considéraient leurs interventions sur
le réseau social comme une forme d’humour provocateur. Interprétant
l’acte de Denis Robert comme un «doxxing», c’est-à-dire comme
une révélation de l’identité de quelqu’un dans l’intention de lui nuire,
plusieurs internautes avaient alors adopté le «Ze» en solidarité à
@Zebodag.
Denis Robert avait reconnu «une erreur» en accusant un jeune analyste financier
Ces révélations de Denis Robert avaient conduit @LacruzFX, cadre
supérieur chez Danone, à supprimer son compte, et le trader londonien
@Zebodag à assumer son vrai nom, Ali Bodaghi. Ce dernier a par la suite perdu son procès contre Denis Robert pour «atteinte au droit au respect de sa vie privée», avant de faire appel, selon le journaliste.
En revanche, un dénommé Alexandre Perrin, un analyste financier
suisse de 26 ans, a contesté être @SkyZeLimit. Dans une lettre ouverte
parue dans l’Opinion, il racontait vivre «un cauchemar».
Recevant de nombreuses insultes en ligne depuis que son nom et son
compte LinkedIn avaient été publiés par Denis Robert, il craignait que
cette affaire ne lui fasse perdre son emploi. Il avait ensuite démontré
qu’il ne pouvait être le «Alex Perrin» mis en cause, n’ayant
jamais travaillé pour l’entreprise Murex ni vécu au Japon, comme
l’indiquait un compte vers lequel renvoyait Denis Robert.
Si dans un premier temps, Denis Robert n’avait pas cru la version d’Alexandre Perrin, le journaliste avait fini par publier une lettre d’excuse, dans laquelle il reconnaissait «ce qui peut apparaître comme une erreur» de
sa part, et de celle de la réalisatrice de documentaires Myriam
Tonelotto, avec qui il avait co-enquêté sur l’identité des Twittos
masqués. «Nous nous sommes fait avoir», notait le journaliste,
pour qui l’erreur était due à un piège du véritable titulaire de
@SkyZeLimit et de ses alliés, qui auraient monté un plan pour le mettre
sur la voie d’«un profil de jeune homme travaillant dans la finance, nommé Alex ou Alexandre Perrin, étant allé à Singapour». Denis Robert se disait alors «désolé des angoisses et frayeurs occasionnées» par cette affaire, où le nom du jeune homme avait été mêlé.
Parti pour dénoncer des usagers agressifs et anonymes sur Twitter,
l’ancien journaliste de «Libération» devient à son tour la cible des
«Golden corbeaux» qui attaquent ses méthodes jugées diffamatoires
n/a
Publié mercredi 8 juin 2016 à 14:06
Il s’imaginait justicier. Ils étaient les méchants sans cœurs,
friqués, twittant des posts d’un goût douteux, sous couvert d’anonymat.
Le 28 mai dernier, le journaliste Denis Robert les a dénoncés, eux, ces
twittos agressifs «qui en veulent tant aux femmes, aux hommes, aux
pauvres, aux communistes, aux socialistes, aux socialo communistes, à
Gérard Filoche et à Léo Ferré». Dans une virulente tribune sur Facebook,
il a révélé au grand jour leur identité, captures d’écran à l’appui.
Traders, banquiers, cadres de multinationales: les profils «tous des
salauds» collent au scénario.
Mais depuis quelques jours, l’affaire dérape, se renverse sur
elle-même avec grand fracas. Le lynchage en règle et l’auto-justice
primitive visent désormais l’ancien journaliste de «Libération», accusé
d’avoir «outé» un certain Alexandre Perrin, jeune employé, en lieu et
place du vil trader officiant sous le pseudonyme @SkyZeLimit.
Un dégât collatéral englué dans une affaire qui le dépasse. «Alexandre
est analyste, en période d’essai, bosse 15h par jour et sa hantise
était de perdre son travail à cause de cette histoire», s’insurge
@zebodag alias Ali Bodaghi. «Trader et pilote privé», c’est l’un des
rares «démasqués» à tweeter le visage découvert.
Méthodes contestées
«Je n’ai fait que sortir de leur bouillon moisi quelques cadavres
pour les exposer en pleine lumière. Où est le mal?», se défend Denis
Robert, connu pour ses enquêtes contre la chambre de compensation
Clearstream. Noble intention, mauvaise exécution? Poussée à son
paroxysme, la recherche de la transparence manque sa cible et aboutit à
la délation. Contestées pour leur côté jusqu’au-boutiste, les méthodes
musclées du journaliste finissent par se retourner contre lui.
Alexandre Perrin n’a même pas à démontrer qu’il
n’est pas SkyZeLimit! Devant le juge c’est à Denis Robert de prouver
qu’il l’est.
Sur Twitter, deux univers hermétiques s’affrontent désormais à
l’aveugle. Un clash aux extrêmes, gauche contre droite avec, au centre,
la liberté d’expression, le droit de rire de tout. Ou pas. «Exécuter les
syndicalistes en les balançant dans la flotte depuis un hélico, c’est
illégal?», s’interrogeait fin mai @Jabial, aussitôt rejoint par
@lacruzFX, visiblement remonté contre ces «sales fonctionnaires de
merde», qui rêve de #tueruncheminot.
Les corbeaux contre-attaquent
Pas de doute, les excès verbaux, sont récurrents du côté des «Golden
corbeaux de Twitter», ces anonymes décomplexés qui tapent fort sur leur
gauche. Rien que du «second degré» et des «comptes parodiques» arguent
les intéressés qui dénoncent une «chasse aux sorcières». Rien de très
différent des «unes provocantes de Charlie Hebdo», des «titres
grotesques du Gorafi» ou des «sketchs de Bedos». Mais où se situent les
limites du politiquement correct quand derrière l’écran, comptes et
profils se désactivent d’un clic, articles et tweets disparaissent puis
réapparaissent d’une heure à l’autre? Comme si, sur la Toile, les règles
du monde réel ne s’appliquaient qu’à moitié. Comme si tout était
permis.
Au milieu des détracteurs, des messages de soutien émergent. «Quand
Denis Robert démasque des twittos anonymes et haineux, Facebook le
censure. Normal, ce sont des banquiers…», s’insurge Jean Quatremer, le
correspondant européen de «Libération» qui milite pour la transparence.
«Je suis contre l’anonymat sur Twitter. Faut assumer ou fermer sa
gueule». «Denis Robert se focalise sur des trolls bruyants mais
anecdotiques», répond Guillaume Laurent. «Il donne l’impression d’avoir
découvert Twitter lundi dernier», appuie Sébastien Lefebvre.
Sur le site des Inrocks,
les internautes s’affrontent encore. Sur le fond et la forme. Pour
Philippe Houbé, «Denis Robert s’est (encore) trompé. Trompé dans le
choix de la méthode, comme dans celui de ses cibles. Et au lieu de
s’excuser et de se faire oublier, ce monsieur persiste dans l’erreur et
signe son minable méfait en l’agrémentant de délires de persécution.
Pathétique.» En face, Hubert Jaulin soutient la démarche. «Ça doit être
ça… C’est vrai qu’il est de bon ton, sous couvert d’anonymat, de vomir
sa haine… Vous devez avoir raison M. Houbé, dénoncer les abus est sans
doute une «mauvaise méthode. Il aurait dû «s’excuser» d’avoir combattu
la banalisation de la bêtise.»
Denis Robert persiste
Devenu le «twittos à abattre», @Denis_Robert_, de retour sous un
nouveau compte, ne se laisse pas démonter. «J’ai été menacé de mort,
piraté, injurié. Mais plus ils en font des caisses, plus je me sens
légitime à poursuivre ce travail.» Il s’en explique dans une interview
publiée sur le site des Inrocks.
Dans la frénésie du tourbillon médiatique, le débat sur l’anonymat se
trouve relancé. Et les rôles s’inversent. C’est l’histoire d’une
polémique embourbée dans ses stéréotypes, d’une caricature absurde où le
gentil devient de moins en moins gentil et les méchants toujours
aussi insaisissables.
Le journaliste d’investigation était poursuivi en justice par un
trader français installé à Londres. Il l’accusait d’avoir révélé son
identité cachée suite à des tweets rageurs sur les opposants à la loi
travail.
Il ne se vantera peut-être plus sur Twitter de payer 450 000 euros
d’impôts. Ali Bodaghi, un Français londonien, vient d’être débouté de
ses demandes par le tribunal d’instance de Paris ce mercredi 15
novembre. Il attaquait en justice le journaliste d’investigation Denis Robert
pour atteinte au droit au respect de sa vie privée, et lui demandait 10
000 euros de dommages et intérêts et 8 000 euros de frais de justice.
Le problème ? En 2016, au moment des manifestations contre la loi El Khomri, Denis Robert avait, dans plusieurs posts Facebook,
dénoncé la violence des propos de certains utilisateurs anonymes sur
Twitter. Il en profitait aussi pour révéler qui étaient ces internautes
qui se cachaient derrière des pseudonymes et qui « jouent de leur
anonymat pour propager des idées nauséabondes en terme
d’ultra-libéralisme, anti-syndicalisme, et pour certains racisme et
sexisme », écrivait-il. Car « derrière les masques » se trouvaient… « un trader londonien et un cadre sup de chez Danone ».
Du coup, Denis Robert n’avait pas hésité dévoiler le vrai nom du trader
en question, Ali Bodaghi, donc, et à donner le montant de ses impôts,
le nom de sa société ou à lister quelques-uns de ses biens, notamment un
avion.
Ali Bodaghi s’était déjà vanté de sa fortune
Ali Bodaghi considérait que ces posts dépassaient les
limites acceptables de la liberté d’expression, le tribunal en a jugé
autrement.« La jurisprudence rappelle qu’il n’y a aucune atteinte à
la vie privée quand la révélation d’un nom n’est pas adjoint à d’autres
éléments privés », explique l’avocate du journaliste, Bénédicte Litzler.
D’autant qu’il apparaît que le compte Twitter d’Ali Bodaghi, dont il
changeait régulièrement le pseudonyme, regorgeait déjà d’éléments
révélant son identité : des prête-noms plus ou moins transparents, des
tweets d’amis qui l’appelaient par son nom, des liens vers d’autres
sites (comme son compte LinkedIn), etc. En outre, Ali Bodaghi s’était
déjà vanté de sa fortune ou de l’achat d’un avion privé avant que Denis
Robert n’en fasse mention dans son post sur Facebook.
« Les preuves étaient connues, complète Me Litzler.
Denis Robert s’est contenté de relayer des informations personnelles
déjà disponibles dans le cadre d’un journalisme dit d’investigation et
non en agrégeant celles-ci via un moteur de recherche. » La bonne
nouvelle, c’est que le tribunal a donc considéré que Denis Robert n’a
fait que son travail de journaliste. Reste que celui-ci a tout de même
été débouté de sa plainte pour procédure abusive et qu’il devra
s’acquitter de ses frais de justice. Une somme qui aurait pourtant été
une broutille pour Ali Bodaghi…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire