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mardi 25 février 2020

Cyberharcèlement : comment le harceleur Cyprien Luraghi tente de dissuader des victimes de porter plainte


Il le fait régulièrement dans ses propos publics sur Twitter, comme par exemple dans les échanges récents dont copies ci-dessous, toujours en se présentant mensongèrement comme une victime que la justice n’aurait pas entendue, ce qui est totalement faux : s’il a effectivement perdu dans toutes ses procédures à mon encontre, à Brest pour commencer en 2015 et 2016, puis à Paris de 2016 à 2018, c’est uniquement parce qu’à chaque fois j’ai pu prouver qu’il inversait la situation, m’accusant mensongèrement de faits que je n’avais pas commis, faits de même nature que ceux dont il se rendait, lui, véritablement coupable à mon encontre.

Non, je ne l’ai jamais ni harcelé ni diffamé d’aucune manière, tout ce que je publie à son sujet est toujours rigoureusement exact, je n’ai jamais manqué de preuves pour en justifier, et même, comme il le sait parfaitement bien pour me pirater et m’écouter illégalement depuis au moins douze ans, j’en sais et j’en ai bien au-delà de ce que je rapporte publiquement, ayant à coeur – contrairement à lui – de ne commettre aucune atteinte à l’intimité de la vie privée contre quiconque.

Voilà pourquoi il perd systématiquement quand il m’attaque en justice et n’a plus rien tenté depuis sa dernière défaite, au mois d’avril 2018.

En revanche, comme il l’a toujours fait depuis le début, il continue à manipuler des tiers pour diverses exactions à mon encontre, dont des dénonciations calomnieuses.

Par ailleurs, en tant que pédophile, il bénéficie toujours auprès d’un certain nombre de magistrats, notamment ceux du Tribunal de Grande Instance de Brest, d’un pouvoir considérable.

Voilà pourquoi, en ce qui me concerne, j’éprouve effectivement de telles difficultés à me faire entendre de la justice comme victime de ce cybercriminel, pervers et mythomane notoire que ce n’est toujours pas fait au jour d’aujourd’hui, quoique plusieurs magistrats de différentes juridictions se soient déjà prononcés dans ce sens et que la Cour d’appel de Rennes ait déjà plusieurs fois renvoyé des dossiers d’informations judiciaires à mes juges d’instruction finistériens avec injonction d’informer : en effet, même cette juridiction de contrôle n’est toujours pas entendue par mes magistrats ultra CORROMPUS du Finistère qui restent autant que possible et irrémédiablement aux ordres du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

Aussi, de grâce, ne vous laissez donc pas retourner la tête par ce pervers, il vous ment, à vous comme à tout le monde.






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