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lundi 17 février 2020
Affaire Griveaux : un trio sans foi ni loi sur le banc des accusés
Les ingénieurs ou futurs ingénieurs, cette « masse
d’héritiers », ces « immenses privilégiés », les « élites » de la
Nation, accusés de tous les maux par des excités de l’extrême-gauche, ce
n’est franchement pas nouveau…mais ça fait quand même plaisir de le
lire dans le journal de référence, même si pour mes proches et moi-même,
il est bien trop tard.
Ingénieur issu d’une famille d’ingénieurs, j’ai personnellement
toujours eu cette engeance sur le dos depuis les années 1970 et
vainement dénoncé tous ses crimes et délits à mon encontre depuis les
années 1990.
La « justice » n’a jamais suivi. JAMAIS. Pourquoi ? Les « élites » ne
sont pas de notre classe, mais de celle qui s’est formée dans les
basses fosses de l’extrême-gauche, précisément : proxénétisme, trafic de
drogue, etc…
La dernière avocate à m’avoir accompagnée chez un juge d’instruction
du Tribunal de Grande Instance de Brest, la juge Céline Verdier, il y a
maintenant quelques années, était ressortie de cette audition
véritablement choquée par les comportements et propos de la juge à mon
encontre : en plus de 20 ans de carrière, elle n’avait jamais vu un tel
déferlement de haine, même contre le pire des criminels, alors que
j’étais auditionnée comme victime – je n’ai jamais commis aucune
infraction contre quiconque.
Quand est-ce qu’on remet tout à l’endroit ?
Benjamin Griveaux sorti du champ politique, c’est un bon début : avec sa
double vie en opposition à ses discours publics, non seulement il
mentait au peuple mais il prêtait le flanc à toutes sortes de chantages
et je suis vraiment très étonnée de n’avoir encore vu ni entendu
personne évoquer ce problème, qui est quand même le plus important.
Mais le procédé… Quelle élégance…
Et ses motifs… tellement peu acceptables que les Gilets jaunes et
leurs blessures de guerre sont maintenant invoqués sur Twitter…
Réseau social où par ailleurs les anti « biomormons » (mot désignant les
puritains en langage « déconnologue ») de la bande du cybercriminel,
mythomane et pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi se
réjouissent très fort de la performance « artistique » du trio et en
promettent bien d’autres du même acabit…
Derrière la chute de Benjamin Griveaux, un trio sans foi ni loi
Un avocat médiatique, un performeur russe et une étudiante : ces
trois trentenaires se sont connus quelques semaines avant de déclencher
un scandale politique. Et menaçaient de faire chanter encore davantage
le candidat à la Mairie de Paris…
Benjamin Griveaux, le 11 juillet 2019 à Paris. STEPHANE DE SAKUTIN / AFP
C’était il y a deux mois, le lundi 9 décembre 2019, dans l’amphi Poincaré de l’école Polytechnique. « Dr. Juan Branco »
– comme le jeune avocat d’extrême gauche se fait désormais appeler sur
son compte Twitter – est invité par une association d’élèves de l’X,
l’école d’ingénieurs la plus prestigieuse de France. Sujet : les élites.
Devant cette « masse d’héritiers », ces « immenses privilégiés » de 20 ans qui se trouvent face à lui, Juan Branco, 30 ans, gronde : « La République ne vous appartient pas. »« Vous aurez en toutes circonstances une certitude, se désole l’avocat des « gilets jaunes » dans l’un des principaux amphis du campus de Palaiseau, celle de préserver, au sein du petit Paris et de l’Etat, un capital qui vous permettra de vivre agréablement. » Pendant ce temps, « la République périt de sa corruption » et « le pays choit par sa tête. Sa décomposition (…) est le fruit d’une décadence dévastatrice ». A eux « de corriger ce monde qui va à sa perte » et de « l’aider
à se relever, avant qu’une nouvelle crise ne finisse de mettre fin à
ces processus qui se nourrissent des restes cadavériques de l’Etat », exhorte-t-il.
Corriger ce monde, c’est la mission que s’est fixée ce fils d’une
psychanalyste et du producteur de cinéma Paulo Branco. Par tous les
moyens. Le succès de son livre Crépuscule, d’abord téléchargé
gratuitement une centaine de milliers de fois avant d’être édité Au
Diable Vauvert (2019) et de s’écouler à 130 000 exemplaires
supplémentaires (sans compter les 20 000 en format poche depuis sa
sortie, il y a quatre mois), lui a ouvert de nombreuses portes, y
compris dans les cénacles les plus élitistes.
menace notre démocratie. Les atteintes à la vie privée sur les
réseaux sociaux font courir un grand danger à la cohésion de notre
société et aux libertés publiques.
1) c’est ton engeance, petit
marquis, qui fait courir des dangers aux libertés publiques en voulant
censurer les réseaux ou interdire le pseudonymat chaque fois qu’un petit
marquis de ton engeance se fait griller en train de mentir ou taper
dans la caisse.
2) Ne croyez pas, petits marquis,
que vous soyez exactement aussi libres que nous-autres devons l’être,
nous les citoyens, nous vos mandants. Votre vie privée on s’en branle ;
vos mensonges, votre propagande en revanche, c’est non. Soyez
exemplaires si vous sollicitez nos votes.
3) ayez la décence d’éviter de
parler de « démocratie », aussi, lorsque vous êtes les petits marquis
d’une néoaristocratie qui piétine nos droits sociaux et nos libertés
publiques, qui matraque et éborgne nos concitoyens dans les rues, et
répand le néolibéralisme autoritaire.
4) Lorsqu’on vous parle du
cyber-harcèlement, des violences faites aux minorités, vous proposez un
putain de numéro vert. Que le pitre Griveaux, que vous avez débranché
parce qu’il allait vous faire perdre, appelle SOS Amitié, et lâchez-nous
avec vos diversions médiatiques.
Ah oui ça c’est clair : nous
autres là en bas on peut crever la gueule ouverte, ces ordures de
grabourges n’en ont strictment rien à foutre. Et faudrait qu’on les
plaigne, ces pauvres choux, en plus.
Si j’ai le temps ce soir j’en
capture un dans mon slip et je le photographie en macro pour l’exposer
ici afin de faire avancer cette palpitante étude sociologique.
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