Décontractez-vous, les gars, cessez tous vos assassinats, harcèlements
et attentats anti-procès pour viols et autres abus, mettez-vous à table,
même, n’hésitez plus, dorénavant vous pouvez causer autant que vous
voulez de toutes vos saloperies, vu les lenteurs de la justice et la
rapidité de propagation du nouveau virus tueur, il n’y aura de toute
façon jamais aucun procès.
https://lepetitjournal.com/hong-kong/le-virus-pourrait-infecter-les-23-de-la-population-mondiale-274179
Le Professeur Gabriel Leung, de Hong Kong University, a déclaré en début de semaine dernière, “Il y a une possibilité que 60% de la population mondiale finisse par contracter le virus”. Le taux de propagation est tel, selon lui, que même si les mesures actuelles de contingentement s’avèrent nécessaires et efficaces aux premiers stades de l’épidémie, celle-ci risque de se propager bien au delà des pays actuellement touchés.
https://actu.orange.fr/monde/coronavirus-le-bilan-monte-a-pres-de-1-770-morts-en-chine-evolution-impossible-a-prevoir-CNT000001nJnUm/photos/des-employes-proteges-par-des-masques-travaillent-dans-une-usine-de-semiconducteurs-a-sihong-dans-la-province-chinoise-du-jiangsu-le-16-fevrier-2020-988e3299b9946a5728e0afa090c54334.html
AFP, publié le lundi 17 février 2020 à 07h13
Le bilan de l’épidémie de pneumonie virale est monté lundi à près de 1.770 morts en Chine continentale, selon des chiffres officiels publiés lundi qui confirment une décrue, même si l’Organisation mondiale de la santé a averti que la propagation du coronavirus reste « impossible à prévoir ».
Des experts internationaux dépêchés à Pékin par l’OMS ont commencé à discuter avec leurs homologues chinois. « Nous avons hâte que cette collaboration importante et vitale contribue aux connaissances mondiales sur l’épidémie de #COVID19″, a estimé le chef de l’OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus dimanche soir sur Twitter.
Cette rencontre intervient alors que le bilan de l’épidémie de pneumonie virale Covid-19 s’est encore alourdi en Chine continentale avec désormais 1.765 morts, pour la plupart dans la province du Hubei (centre), selon des chiffres officiels publiés lundi. Le bilan hors Chine continentale est de 1.770
Le ralentissement du nombre quotidien de nouveaux décès en Chine continentale se confirme (105 lundi contre 142 dimanche et 143 samedi). De plus, le nombre de nouveaux cas recensés en dehors du Hubei était de seulement 115 lundi, contre près de 450 une semaine plus tôt.Un haut responsable chinois a estimé que son pays était en train de maîtriser l’épidémie: « On peut déjà constater l’effet des mesures de contrôle et de prévention de l’épidémie dans différentes parties du pays », s’est félicité le porte-parole du ministère chinois de la Santé, Mi Feng.
En dehors de la Chine continentale où au moins 70.500 personnes ont été infectées, près de 800 cas de contamination par l’épidémie du coronavirus ont été confirmés dans une trentaine de pays du monde.
En visite au Pakistan, le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres s’est dit confiant que « l’effort gigantesque » consenti par la Chine « permettra le recul progressif de la maladie ».
Mais le chef de l’OMS a averti de son côté qu’il était « impossible de prévoir quelle direction l’épidémie prendra ».
« Nous demandons à tous les gouvernements, toutes les sociétés et tous les organismes de presse de travailler avec nous pour déclencher le niveau d’alarme idoine sans souffler sur les braises de l’hystérie », a-t-il lancé à la conférence de Munich sur la Sécurité.
- Premier mort à Taïwan -
Au centre de la crise, la province du Hubei, où 56 millions d’habitants sont coupés du monde depuis le 23 janvier, a encore restreint la liberté de mouvement de ses citoyens bien au-delà de sa capitale Wuhan.
Villages et cités résidentielles sont désormais soumis à « une stricte gestion fermée », 24 heures sur 24, ce qui signifie que les habitants ne sont plus censés sortir de chez eux jusqu’à nouvel ordre.
Les achats et la distribution de nourriture et de médicaments peuvent être faits de façon « centralisée », précise une directive provinciale publiée dimanche.
Dans le reste du monde, l’épidémie maintient la planète en alerte. Un premier décès hors d’Asie –un touriste chinois de 80 ans hospitalisé en France– et un premier cas sur le continent africain — en Egypte — ont été recensés ces derniers jours. Taïwan a aussi annoncé dimanche son premier mort, un chauffeur de taxi de 61 ans.
Le principal foyer d’infection hors de Chine reste le paquebot de croisière Diamond Princess, en quarantaine au Japon: 355 cas de contamination y ont été confirmés, dont 70 nouveaux cas annoncés dimanche.
Plusieurs pays — Canada, Etats-Unis, mais aussi Hong Kong, près d’un millier de passagers à eux trois — ont décidé d’évacuer rapidement leurs ressortissants, bloqués dans le bateau en quarantaine depuis le 3 février. Mais les 3.711 personnes initialement à bord n’ont pas encore toutes subi les examens permettant d’établir leur éventuelle contamination.
Les Américains en quarantaine ont été évacués du bateau lundi à l’aube. Une partie d’entre eux seront transportés dans une base militaire en Californie et d’autres au Texas.
- Vol de papier toilette -
En Chine, après avoir révoqué vendredi les plus hauts responsables politiques du Hubei et de Wuhan, le régime communiste a poursuivi le mouvement dimanche avec l’annonce de sanctions contre de hauts fonctionnaires de moindre rang.
« Lorsqu’une crise de cette ampleur se produit, cela prend une importance politique, car l’image internationale de la Chine et la légitimité du Parti (communiste) sont en jeu », estime la sinologue Zhou Xun, de l’Université d’Essex (Angleterre).
Le régime du président Xi Jinping fait face à une vague inédite de mécontentement pour avoir tardé à réagir à l’épidémie. Une colère attisée par la mort au début du mois d’un jeune médecin de Wuhan qui avait été convoqué par la police pour avoir alerté dès décembre sur l’apparition du virus.
« De façon générale, depuis Mao, l’Etat a fait très peu pour la santé publique », selon Mme Zhou. « Le résultat, c’est que le système de santé est très faible, inefficace, coûteux et chaotique ».
A Hong Kong, territoire qui s’est barricadé pour se protéger contre l’épidémie depuis une dizaine de jours, les consommateurs dévalisent les supermarchés pour stocker aliments et produits d’entretien par crainte de pénuries, même si les autorités affirment que la chaîne d’approvisionnement continue à fonctionner normalement.
Lundi, selon la police hongkongaise, un chauffeur de camion a été braqué devant un supermarché du quartier de Mong Kok par trois individus armés de couteaux qui lui ont dérobé un important stock de rouleaux de papier de toilette, un produit devenu difficile à trouver dans les rayons.
https://lepetitjournal.com/hong-kong/le-virus-pourrait-infecter-les-23-de-la-population-mondiale-274179
« Le virus pourrait infecter les 2/3 de la population mondiale »
Par Lepetitjournal Hong Kong | Publié le 16/02/2020 à 15:00 | Mis à jour le 16/02/2020 à 18:03
Photo : Le professeur Leung, du département de santé publique de l’Université de Hong Kong
Le Professeur Gabriel Leung, de Hong Kong University, a déclaré en début de semaine dernière, “Il y a une possibilité que 60% de la population mondiale finisse par contracter le virus”. Le taux de propagation est tel, selon lui, que même si les mesures actuelles de contingentement s’avèrent nécessaires et efficaces aux premiers stades de l’épidémie, celle-ci risque de se propager bien au delà des pays actuellement touchés.
Propagation rapide
Une statisticienne et conseillère de l’OMS, Ira Longini, a également corroboré l’hypothèse émise par le Professeur Leung. »Avec une contamination moyenne de 2,5 personnes par cas, explique-t-elle, le taux de contagion du coronavirus COVID-19 peut atteindre 60 à 80% ». L’effet des mesures actuelles est, selon cette autre spécialiste, de ralentir la propagation, mais celle-ci est inéluctable, compte-tenu de la nature même de la menace.Forme atténuée du virus
La particularité d’un coronavirus étant en effet de pouvoir passer d’une espèce à l’autre, la capacité de transformation du COVID-19 est grande, lui permettant de s’acclimater en permanence à de nouveaux types d’organismes. La phase de la contagion à l’homme a donc consisté pour le virus à réagir violemment aux nouvelles défenses qu’il a rencontré. Statistiquement, les effets mortels ne profitent pas à un virus qui tend à s’éteindre par diminution du nombre de porteurs. Ce sont par conséquent les formes les plus bénignes qui auront au final tendance à survivre, en continuant à se répandre via des sujets dont elles n’affectent pas trop l’état de santé. On pourrait donc s’acheminer progressivement, selon les scientifiques vers des formes moins fortes du coronavirus, une nouvelle grippe en quelque sorte.S’installer dans la durée
Pour l’instant, ces hypothèses ne peuvent être vérifiées car les chiffres progressent encore et les modes de contagion évoluent, mais de nombreux scientifiques commencent y attacher de plus en plus d’importance. Ainsi Marc Lipsitch, éminent épidémiologiste de l’Université de Harvard, affirmait-il il y a quelques jours: »Ce virus va probablement nous accompagner au delà de cette saison et peut être de cette année, en trouvant naturellement des groupes favorables”. Si tel est le cas, les recherches ne devraient pas s’orienter vers l’éradication de la maladie mais les moyens d’en atténuer les symptômes. Le monde apprendrait dans ce cas à vivre avec ce nouveau virus, comme il l’a déjà fait dans le cas de la grippe ou du Sida.https://actu.orange.fr/monde/coronavirus-le-bilan-monte-a-pres-de-1-770-morts-en-chine-evolution-impossible-a-prevoir-CNT000001nJnUm/photos/des-employes-proteges-par-des-masques-travaillent-dans-une-usine-de-semiconducteurs-a-sihong-dans-la-province-chinoise-du-jiangsu-le-16-fevrier-2020-988e3299b9946a5728e0afa090c54334.html
Coronavirus: le bilan monte à près de 1.770 morts en Chine, évolution « impossible à prévoir »
Des employés protégés par des masques
travaillent dans une usine de semiconducteurs à Sihong, dans la province
chinoise du Jiangsu, le 16 février 2020
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© AFP, STR
AFP, publié le lundi 17 février 2020 à 07h13
Le bilan de l’épidémie de pneumonie virale est monté lundi à près de 1.770 morts en Chine continentale, selon des chiffres officiels publiés lundi qui confirment une décrue, même si l’Organisation mondiale de la santé a averti que la propagation du coronavirus reste « impossible à prévoir ».
Des experts internationaux dépêchés à Pékin par l’OMS ont commencé à discuter avec leurs homologues chinois. « Nous avons hâte que cette collaboration importante et vitale contribue aux connaissances mondiales sur l’épidémie de #COVID19″, a estimé le chef de l’OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus dimanche soir sur Twitter.
Cette rencontre intervient alors que le bilan de l’épidémie de pneumonie virale Covid-19 s’est encore alourdi en Chine continentale avec désormais 1.765 morts, pour la plupart dans la province du Hubei (centre), selon des chiffres officiels publiés lundi. Le bilan hors Chine continentale est de 1.770
Le ralentissement du nombre quotidien de nouveaux décès en Chine continentale se confirme (105 lundi contre 142 dimanche et 143 samedi). De plus, le nombre de nouveaux cas recensés en dehors du Hubei était de seulement 115 lundi, contre près de 450 une semaine plus tôt.Un haut responsable chinois a estimé que son pays était en train de maîtriser l’épidémie: « On peut déjà constater l’effet des mesures de contrôle et de prévention de l’épidémie dans différentes parties du pays », s’est félicité le porte-parole du ministère chinois de la Santé, Mi Feng.
En dehors de la Chine continentale où au moins 70.500 personnes ont été infectées, près de 800 cas de contamination par l’épidémie du coronavirus ont été confirmés dans une trentaine de pays du monde.
En visite au Pakistan, le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres s’est dit confiant que « l’effort gigantesque » consenti par la Chine « permettra le recul progressif de la maladie ».
Mais le chef de l’OMS a averti de son côté qu’il était « impossible de prévoir quelle direction l’épidémie prendra ».
« Nous demandons à tous les gouvernements, toutes les sociétés et tous les organismes de presse de travailler avec nous pour déclencher le niveau d’alarme idoine sans souffler sur les braises de l’hystérie », a-t-il lancé à la conférence de Munich sur la Sécurité.
- Premier mort à Taïwan -
Au centre de la crise, la province du Hubei, où 56 millions d’habitants sont coupés du monde depuis le 23 janvier, a encore restreint la liberté de mouvement de ses citoyens bien au-delà de sa capitale Wuhan.
Villages et cités résidentielles sont désormais soumis à « une stricte gestion fermée », 24 heures sur 24, ce qui signifie que les habitants ne sont plus censés sortir de chez eux jusqu’à nouvel ordre.
Les achats et la distribution de nourriture et de médicaments peuvent être faits de façon « centralisée », précise une directive provinciale publiée dimanche.
Dans le reste du monde, l’épidémie maintient la planète en alerte. Un premier décès hors d’Asie –un touriste chinois de 80 ans hospitalisé en France– et un premier cas sur le continent africain — en Egypte — ont été recensés ces derniers jours. Taïwan a aussi annoncé dimanche son premier mort, un chauffeur de taxi de 61 ans.
Le principal foyer d’infection hors de Chine reste le paquebot de croisière Diamond Princess, en quarantaine au Japon: 355 cas de contamination y ont été confirmés, dont 70 nouveaux cas annoncés dimanche.
Plusieurs pays — Canada, Etats-Unis, mais aussi Hong Kong, près d’un millier de passagers à eux trois — ont décidé d’évacuer rapidement leurs ressortissants, bloqués dans le bateau en quarantaine depuis le 3 février. Mais les 3.711 personnes initialement à bord n’ont pas encore toutes subi les examens permettant d’établir leur éventuelle contamination.
Les Américains en quarantaine ont été évacués du bateau lundi à l’aube. Une partie d’entre eux seront transportés dans une base militaire en Californie et d’autres au Texas.
- Vol de papier toilette -
En Chine, après avoir révoqué vendredi les plus hauts responsables politiques du Hubei et de Wuhan, le régime communiste a poursuivi le mouvement dimanche avec l’annonce de sanctions contre de hauts fonctionnaires de moindre rang.
« Lorsqu’une crise de cette ampleur se produit, cela prend une importance politique, car l’image internationale de la Chine et la légitimité du Parti (communiste) sont en jeu », estime la sinologue Zhou Xun, de l’Université d’Essex (Angleterre).
Le régime du président Xi Jinping fait face à une vague inédite de mécontentement pour avoir tardé à réagir à l’épidémie. Une colère attisée par la mort au début du mois d’un jeune médecin de Wuhan qui avait été convoqué par la police pour avoir alerté dès décembre sur l’apparition du virus.
« De façon générale, depuis Mao, l’Etat a fait très peu pour la santé publique », selon Mme Zhou. « Le résultat, c’est que le système de santé est très faible, inefficace, coûteux et chaotique ».
A Hong Kong, territoire qui s’est barricadé pour se protéger contre l’épidémie depuis une dizaine de jours, les consommateurs dévalisent les supermarchés pour stocker aliments et produits d’entretien par crainte de pénuries, même si les autorités affirment que la chaîne d’approvisionnement continue à fonctionner normalement.
Lundi, selon la police hongkongaise, un chauffeur de camion a été braqué devant un supermarché du quartier de Mong Kok par trois individus armés de couteaux qui lui ont dérobé un important stock de rouleaux de papier de toilette, un produit devenu difficile à trouver dans les rayons.
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