Halte à la censure et la désinformation satanistes !
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vendredi 28 février 2020
Coronavirus à Brest, menace internationale "très élevée", merci mon Dieu !
Je ne devrais pas me réjouir, c’est sérieux : des tas de gens en souffrent déjà, d’autres sont morts et cela va continuer.
Et pourtant, quoique mal foutue comme dit précédemment, je me sens
vraiment libérée d’un poids énorme : au moins le temps de cette première
vague d’épidémie, voire de pandémie, je ne risque plus trop d’être
atteinte par les « contacts » physiques non sollicités que mes
harceleurs Pascal Edouard Cyprien Luraghi de Puy-l’Evêque, Jean-Marc
Donnadieu de Béziers, leur cheftaine la mère maquerelle Josette
Brenterch du NPA de Brest et tous leurs complices « déconnologues » et
autres s’ingénient par tous les moyens à provoquer à mon encontre depuis
une bonne dizaine d’années pour les deux premiers et beaucoup plus pour
la troisième.
Du coup, je me sens pousser une paire d’ailes toutes neuves et vais faire brûler un cierge pour mon Dieu Coronavirus.
Par E.C & L.H Publié le 28/02/2020 à 07:56 Mis à jour le 28/02/2020 à 17:43
Stéphane Mulliez directeur général de l’ARS Bretagne s’est exprimé ce
vendredi 28 février à la suite du premier cas de Coronavirus confirmé
et l’évolution de la situation dans la région.
Le patient hospitalisé à Brest dans un état stable
« Le patient breton atteint du coronavirus est hospitalisé au
CHRU de Brest en réanimation médicale. Son état de santé est stable. Son
épouse qui a voyagé avec lui en Egypte est également hospitalisée à
Brest dans le service des maladies infectieuses pour être diagnostiquée » affirme Stéphane Mulliez.
« Deux nouveaux cas suspects ont été identifiés en Bretagne. Des
tests sont actuellement effectués à Rennes pour diagnostiquer s’il
s’agit de cas confirmés ou non. Les résultats sont attendus dans la
journée« .
« Plusieurs dizaines de cas possibles ont été infirmées. A l’heure
actuelle, seul le patient de Brest est un cas confirmé de coronavirus« .
Quelle organisation sanitaire en Bretagne ?
« Deux établissements bretons dits de premier rang sont en
capacité de prendre en charge les cas confirmés de patients atteints du
coronavirus. Les CHU de Rennes et de Brest ».
« Les centres hospitaliers de Vannes, Saint-Brieuc, Lorient et
Quimper sont des établissements de deuxième rang. Ils sont armés pour,
si besoin, prendre aussi en charge les patients contaminés ».
« Nous finalisons des tests au CHRU de Brest pour que l’établissement puisse procéder lui-même à des diagnostics« .
Revoir la conférence de presse de l’ARS Bretagne, en intégralité
Climat particulier à Plougonvelin
Le patient hospitalisé au CHRU de Brest, contaminé par le
coronavirus, est originaire de Plougonvelin. Dans la commune, située à
une vingtaine de kilomètres de Brest, les habitants n’ont pas tous
accueilli la nouvelle de la même manière.
Plusieurs d’entre eux affirmaient continuer à « vivre normalement« ,
comme l’explique une habitante qui promenait son chien dans la rue cet
après-midi. Une attitude sereine qui contraste avec l’inquiétude de
certains, bien plus préoccupés par la situation.
Selon nos informations, la mairie de Plougonvelin a reçu ce vendredi « une quinzaine d’appels »
de la part de personnes résidant en la commune. Ces dernières
cherchaient à savoir quel comportement adopter et quelle procédure
suivre aujourd’hui pour éviter toute contamination.
Mais l’homme hospitalisé aurait déjà pris des précautions lors de son
retour d’Egypte, il y a quelques jours. Selon les informations
recueillies par nos journalistes de France 3 aux alentours de Brest, le
septuagénaire, se sentant mal lors de son retour de voyage, se serait
lui-même isolé dans son logement. En demandant même à la femme de ménage
qui passait d’habitude chez lui de ne pas venir pour éviter une
propagation d’une quelconque maladie. Les analyses révéleront finalement
que l’homme est contaminé par le coronavirus.
Un premier cas identifié jeudi
L’Agence régionale de Santé (ARS) et le Ministère de la Santé
annoncent un premier cas de Coronavirus confirmé en Bretagne. Le patient
est actuellement hospitalisé dans le service de réanimation du CHU de
Brest. Il s’agit d’un homme âgé de 72 ans qui a récemment séjourné en
Egypte, dans le cadre d’un voyage organisé. Selon l’ARS, « les investigations ont immédiatement commencé pour déterminer la source de cette contamination. »
Une enquête est également en cours pour identifier l’ensemble des
personnes ayant été en contact avec ce patient, y compris parmi le
personnel soignant. « Une cellule de crise a été immédiatement mise en place au CHRU de Brest. »
Conformément au protocole prévu, si les sujets contacts proches de ce
patient présentent des symptômes de type fièvre, toux et difficultés
respiratoires, des prélèvements sont alors effectués à des fins de
détection d’une éventuelle présence du virus. L’ARS rappelle : « En
l’absence de signes cliniques, un isolement à domicile doit être
observé pendant 14 jours. Dans ce cas, l’ARS appelle quotidiennement ces
personnes pour suivre l’évolution éventuelle des signes cliniques. »
La rentrée scolaire approche, des précautions à prendre
Alors que la rentrée doit avoir lieu lundi prochain, le
rectorat invite toutes les personnes revenant des zones à risques (Chine
continentale, Hong Kong, Macao, Singapour, Corée du Sud et les régions
de Lombardie et de Vénétie en Italie) à rester confinées à leur domicile
durant les 14 jours suivant leur retour. Cette consigne s’applique
particulièrement aux élèves scolarisés ou aux enfants des crèches.
38 cas en France
« Nous faisons face à une augmentation sensible du nombre de cas sur notre territoire. » 38 cas ont été recensés ce 27 février à 19 h, par le Ministère de la Santé. Le gouvernement tient à rassurer :
« Notre système de santé est prêt. Nous ne sommes pas en réaction
puisque nous sommes depuis des semaines dans l’anticipation. Nous avons
et nous garderons un temps d’avance. » « 138 établissements hospitaliers
sont prêts à recevoir des malades. »
En France, deux patients sont décédés à la suite de cette maladie dont un originaire de l’Oise, âgé de 60 ans.
La carte des cas de Coronavirus en France
Dans une carte, France Inter rend compte des contaminations, des guérisons et des décès.
Un numéro vert gratuit est à la disposition de toutes personnes souhaitant des informations non médicales : le 0 800 130 000.
Coronavirus. L’OMS qualifie la menace de « très élevée », son niveau le plus haut
L’Organisation mondiale de la santé a relevé le niveau de la menace
internationale que fait planer le Covid-19. Le nouveau coronavirus a
déjà contaminé plus de 80 000 personnes et fait près de 3 000 morts.
Une carte des cas de coronavirus dans le monde, présentée par l’Organisation mondiale de la santé. | DENIS BALIBOUSE / REUTERS
Ouest-France avec AFP. Publié le 28/02/2020 à 17h19
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé, ce vendredi 28 février 2020, avoir porté à très élevé, son degré le plus haut, le niveau de menace liée au nouveau coronavirus, qui a contaminé quelque 79 000 personnes en Chine et plus de 5 000 dans le reste du monde.
L’augmentation continue du nombre de cas, et le nombre de pays touchés ces derniers jours sont clairement préoccupants, a déclaré le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, en conférence de presse.
Nos épidémiologistes ont suivi ces développements en permanence et
nous avons maintenant augmenté notre évaluation du risque de
propagation et du risque d’impact du Covid-19 à un niveau très élevé au
niveau mondial, son niveau le plus haut, a-t-il ajouté.
Il a également indiqué que plus de 20 vaccins sont en cours de
développement dans le monde et plusieurs produits thérapeutiques sont en
cours d’essais cliniques. Les premiers résultats sont attendus dans quelques semaines, a-t-il détaillé.
Près de 3 000 décès
Si la Chine était jusqu’à peu l’unique foyer mondial de coronavirus,
le risque s’est démultiplié avec l’émergence de nouveaux pays-sources
comme la Corée du Sud, l’Iran et l’Italie. Une cinquantaine de pays sont
désormais touchés, selon l’OMS.
En Chine, d’où est partie l’épidémie fin décembre, le virus a tué 2
791 personnes. Dans le reste du monde, 67 personnes en sont décédées,
selon l’agence spécialisée de l’ONU.
Ce que nous voyons actuellement, ce sont des épidémies liées au
Covid-19 dans plusieurs pays, mais la plupart des cas peuvent encore
être attribués à des contacts connus ou à des groupes de cas, a relevé le patron de l’OMS.
La clé pour contenir ce coronavirus est de briser les chaînes de transmission, a-t-il dit.
Pas au stade de la pandémie
Bien que l’OMS ait élevé le niveau de la menace à l’international,
l’organisation ne considère pas qu’il s’agisse d’une pandémie.
Une pandémie est une situation dans laquelle tous les citoyens sont exposés,
ce qui n’est pas le cas actuellement, a expliqué aux journalistes le
directeur des programmes d’urgence de l’OMS, le Dr. Michael Ryan.
S’il s’agissait d’une épidémie de grippe, nous aurions parlé de pandémie, mais dans le cas du nouveau coronavirus, nous avons constaté qu’avec des mesures d’endiguement, le cours de l’épidémie peut être arrêté de manière significative, a-t-il dit.
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