Je ne devrais pas me réjouir, c’est sérieux : des tas de gens en souffrent déjà, d’autres sont morts et cela va continuer.
Et pourtant, quoique mal foutue comme dit précédemment, je me sens vraiment libérée d’un poids énorme : au moins le temps de cette première vague d’épidémie, voire de pandémie, je ne risque plus trop d’être atteinte par les « contacts » physiques non sollicités que mes harceleurs Pascal Edouard Cyprien Luraghi de Puy-l’Evêque, Jean-Marc Donnadieu de Béziers, leur cheftaine la mère maquerelle Josette Brenterch du NPA de Brest et tous leurs complices « déconnologues » et autres s’ingénient par tous les moyens à provoquer à mon encontre depuis une bonne dizaine d’années pour les deux premiers et beaucoup plus pour la troisième.
Du coup, je me sens pousser une paire d’ailes toutes neuves et vais faire brûler un cierge pour mon Dieu Coronavirus.
https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/finistere/brest/coronavirus-premier-cas-confirme-bretagne-brest-1792817.html
DIRECT. Coronavirus : “deux nouveaux cas suspects en Bretagne” annonce l’Agence régionale de Santé
Un premier cas de Coronavirus confirmé a été relevé en Bretagne, à Brest. Un homme âgé de 72 ans est actuellement hospitalisé au CHU, en réanimation. L’Agence régionale de santé a tenu une conférence de presse ce vendredi en précisant que deux nouveaux cas suspects ont été identifiés.
Par E.C & L.H Publié le 28/02/2020 à 07:56 Mis à jour le 28/02/2020 à 17:43
Stéphane Mulliez directeur général de l’ARS Bretagne s’est exprimé ce
vendredi 28 février à la suite du premier cas de Coronavirus confirmé
et l’évolution de la situation dans la région.
Le patient hospitalisé à Brest dans un état stable
« Le patient breton atteint du coronavirus est hospitalisé au CHRU de Brest en réanimation médicale. Son état de santé est stable. Son épouse qui a voyagé avec lui en Egypte est également hospitalisée à Brest dans le service des maladies infectieuses pour être diagnostiquée » affirme Stéphane Mulliez.
« L’ARS et Santé publique France ont établi une liste des personnes ayant été en contact étroit avec eux pour procéder à leur surveillance« .
De nouveaux cas suspects
« Deux nouveaux cas suspects ont été identifiés en Bretagne. Des tests sont actuellement effectués à Rennes pour diagnostiquer s’il s’agit de cas confirmés ou non. Les résultats sont attendus dans la journée« .
« Plusieurs dizaines de cas possibles ont été infirmées. A l’heure actuelle, seul le patient de Brest est un cas confirmé de coronavirus« .
Quelle organisation sanitaire en Bretagne ?
« Deux établissements bretons dits de premier rang sont en capacité de prendre en charge les cas confirmés de patients atteints du coronavirus. Les CHU de Rennes et de Brest ».
« Les centres hospitaliers de Vannes, Saint-Brieuc, Lorient et Quimper sont des établissements de deuxième rang. Ils sont armés pour, si besoin, prendre aussi en charge les patients contaminés ».
« Nous finalisons des tests au CHRU de Brest pour que l’établissement puisse procéder lui-même à des diagnostics« .
Le patient hospitalisé au CHRU de Brest, contaminé par le coronavirus, est originaire de Plougonvelin. Dans la commune, située à une vingtaine de kilomètres de Brest, les habitants n’ont pas tous accueilli la nouvelle de la même manière.
Plusieurs d’entre eux affirmaient continuer à « vivre normalement« , comme l’explique une habitante qui promenait son chien dans la rue cet après-midi. Une attitude sereine qui contraste avec l’inquiétude de certains, bien plus préoccupés par la situation.
Selon nos informations, la mairie de Plougonvelin a reçu ce vendredi « une quinzaine d’appels » de la part de personnes résidant en la commune. Ces dernières cherchaient à savoir quel comportement adopter et quelle procédure suivre aujourd’hui pour éviter toute contamination.
Mais l’homme hospitalisé aurait déjà pris des précautions lors de son retour d’Egypte, il y a quelques jours. Selon les informations recueillies par nos journalistes de France 3 aux alentours de Brest, le septuagénaire, se sentant mal lors de son retour de voyage, se serait lui-même isolé dans son logement. En demandant même à la femme de ménage qui passait d’habitude chez lui de ne pas venir pour éviter une propagation d’une quelconque maladie. Les analyses révéleront finalement que l’homme est contaminé par le coronavirus.
L’Agence régionale de Santé (ARS) et le Ministère de la Santé annoncent un premier cas de Coronavirus confirmé en Bretagne. Le patient est actuellement hospitalisé dans le service de réanimation du CHU de Brest. Il s’agit d’un homme âgé de 72 ans qui a récemment séjourné en Egypte, dans le cadre d’un voyage organisé. Selon l’ARS, « les investigations ont immédiatement commencé pour déterminer la source de cette contamination. »
Une enquête est également en cours pour identifier l’ensemble des personnes ayant été en contact avec ce patient, y compris parmi le personnel soignant. « Une cellule de crise a été immédiatement mise en place au CHRU de Brest. »
Conformément au protocole prévu, si les sujets contacts proches de ce patient présentent des symptômes de type fièvre, toux et difficultés respiratoires, des prélèvements sont alors effectués à des fins de détection d’une éventuelle présence du virus. L’ARS rappelle : « En l’absence de signes cliniques, un isolement à domicile doit être observé pendant 14 jours. Dans ce cas, l’ARS appelle quotidiennement ces personnes pour suivre l’évolution éventuelle des signes cliniques. »
Alors que la rentrée doit avoir lieu lundi prochain, le rectorat invite toutes les personnes revenant des zones à risques (Chine continentale, Hong Kong, Macao, Singapour, Corée du Sud et les régions de Lombardie et de Vénétie en Italie) à rester confinées à leur domicile durant les 14 jours suivant leur retour. Cette consigne s’applique particulièrement aux élèves scolarisés ou aux enfants des crèches.
« Nous faisons face à une augmentation sensible du nombre de cas sur notre territoire. » 38 cas ont été recensés ce 27 février à 19 h, par le Ministère de la Santé. Le gouvernement tient à rassurer : « Notre système de santé est prêt. Nous ne sommes pas en réaction puisque nous sommes depuis des semaines dans l’anticipation. Nous avons et nous garderons un temps d’avance. » « 138 établissements hospitaliers sont prêts à recevoir des malades. »
En France, deux patients sont décédés à la suite de cette maladie dont un originaire de l’Oise, âgé de 60 ans.
Dans une carte, France Inter rend compte des contaminations, des guérisons et des décès.
Un numéro vert gratuit est à la disposition de toutes personnes souhaitant des informations non médicales : le 0 800 130 000.
Le patient hospitalisé à Brest dans un état stable
« Le patient breton atteint du coronavirus est hospitalisé au CHRU de Brest en réanimation médicale. Son état de santé est stable. Son épouse qui a voyagé avec lui en Egypte est également hospitalisée à Brest dans le service des maladies infectieuses pour être diagnostiquée » affirme Stéphane Mulliez.
« L’ARS et Santé publique France ont établi une liste des personnes ayant été en contact étroit avec eux pour procéder à leur surveillance« .
De nouveaux cas suspects
« Deux nouveaux cas suspects ont été identifiés en Bretagne. Des tests sont actuellement effectués à Rennes pour diagnostiquer s’il s’agit de cas confirmés ou non. Les résultats sont attendus dans la journée« .
« Plusieurs dizaines de cas possibles ont été infirmées. A l’heure actuelle, seul le patient de Brest est un cas confirmé de coronavirus« .
Quelle organisation sanitaire en Bretagne ?
« Deux établissements bretons dits de premier rang sont en capacité de prendre en charge les cas confirmés de patients atteints du coronavirus. Les CHU de Rennes et de Brest ».
« Les centres hospitaliers de Vannes, Saint-Brieuc, Lorient et Quimper sont des établissements de deuxième rang. Ils sont armés pour, si besoin, prendre aussi en charge les patients contaminés ».
« Nous finalisons des tests au CHRU de Brest pour que l’établissement puisse procéder lui-même à des diagnostics« .
Revoir la conférence de presse de l’ARS Bretagne, en intégralité
Climat particulier à Plougonvelin
Le patient hospitalisé au CHRU de Brest, contaminé par le coronavirus, est originaire de Plougonvelin. Dans la commune, située à une vingtaine de kilomètres de Brest, les habitants n’ont pas tous accueilli la nouvelle de la même manière.
Plusieurs d’entre eux affirmaient continuer à « vivre normalement« , comme l’explique une habitante qui promenait son chien dans la rue cet après-midi. Une attitude sereine qui contraste avec l’inquiétude de certains, bien plus préoccupés par la situation.
Selon nos informations, la mairie de Plougonvelin a reçu ce vendredi « une quinzaine d’appels » de la part de personnes résidant en la commune. Ces dernières cherchaient à savoir quel comportement adopter et quelle procédure suivre aujourd’hui pour éviter toute contamination.
Mais l’homme hospitalisé aurait déjà pris des précautions lors de son retour d’Egypte, il y a quelques jours. Selon les informations recueillies par nos journalistes de France 3 aux alentours de Brest, le septuagénaire, se sentant mal lors de son retour de voyage, se serait lui-même isolé dans son logement. En demandant même à la femme de ménage qui passait d’habitude chez lui de ne pas venir pour éviter une propagation d’une quelconque maladie. Les analyses révéleront finalement que l’homme est contaminé par le coronavirus.
Un premier cas identifié jeudi
L’Agence régionale de Santé (ARS) et le Ministère de la Santé annoncent un premier cas de Coronavirus confirmé en Bretagne. Le patient est actuellement hospitalisé dans le service de réanimation du CHU de Brest. Il s’agit d’un homme âgé de 72 ans qui a récemment séjourné en Egypte, dans le cadre d’un voyage organisé. Selon l’ARS, « les investigations ont immédiatement commencé pour déterminer la source de cette contamination. »
Une enquête est également en cours pour identifier l’ensemble des personnes ayant été en contact avec ce patient, y compris parmi le personnel soignant. « Une cellule de crise a été immédiatement mise en place au CHRU de Brest. »
Conformément au protocole prévu, si les sujets contacts proches de ce patient présentent des symptômes de type fièvre, toux et difficultés respiratoires, des prélèvements sont alors effectués à des fins de détection d’une éventuelle présence du virus. L’ARS rappelle : « En l’absence de signes cliniques, un isolement à domicile doit être observé pendant 14 jours. Dans ce cas, l’ARS appelle quotidiennement ces personnes pour suivre l’évolution éventuelle des signes cliniques. »
La rentrée scolaire approche, des précautions à prendre
Alors que la rentrée doit avoir lieu lundi prochain, le rectorat invite toutes les personnes revenant des zones à risques (Chine continentale, Hong Kong, Macao, Singapour, Corée du Sud et les régions de Lombardie et de Vénétie en Italie) à rester confinées à leur domicile durant les 14 jours suivant leur retour. Cette consigne s’applique particulièrement aux élèves scolarisés ou aux enfants des crèches.
38 cas en France
« Nous faisons face à une augmentation sensible du nombre de cas sur notre territoire. » 38 cas ont été recensés ce 27 février à 19 h, par le Ministère de la Santé. Le gouvernement tient à rassurer : « Notre système de santé est prêt. Nous ne sommes pas en réaction puisque nous sommes depuis des semaines dans l’anticipation. Nous avons et nous garderons un temps d’avance. » « 138 établissements hospitaliers sont prêts à recevoir des malades. »
En France, deux patients sont décédés à la suite de cette maladie dont un originaire de l’Oise, âgé de 60 ans.
La carte des cas de Coronavirus en France
Dans une carte, France Inter rend compte des contaminations, des guérisons et des décès.
Un numéro vert gratuit est à la disposition de toutes personnes souhaitant des informations non médicales : le 0 800 130 000.
https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/coronavirus-l-oms-qualifie-la-menace-de-tres-elevee-son-niveau-le-plus-haut-6757331
Coronavirus. L’OMS qualifie la menace de « très élevée », son niveau le plus haut
L’Organisation mondiale de la santé a relevé le niveau de la menace internationale que fait planer le Covid-19. Le nouveau coronavirus a déjà contaminé plus de 80 000 personnes et fait près de 3 000 morts.
Ouest-France avec AFP. Publié le 28/02/2020 à 17h19
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé, ce vendredi 28 février 2020, avoir porté à
très élevé, son degré le plus haut, le niveau de menace liée au nouveau coronavirus, qui a contaminé quelque 79 000 personnes en Chine et plus de 5 000 dans le reste du monde.
L’augmentation continue du nombre de cas, et le nombre de pays touchés ces derniers jours sont clairement préoccupants, a déclaré le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, en conférence de presse.
Nos épidémiologistes ont suivi ces développements en permanence et nous avons maintenant augmenté notre évaluation du risque de propagation et du risque d’impact du Covid-19 à un niveau très élevé au niveau mondial, son niveau le plus haut, a-t-il ajouté.
Il a également indiqué que plus de 20 vaccins sont en cours de développement dans le monde et plusieurs produits thérapeutiques sont en cours d’essais cliniques. Les premiers résultats sont attendus dans
quelques semaines, a-t-il détaillé.
Près de 3 000 décès
Si la Chine était jusqu’à peu l’unique foyer mondial de coronavirus, le risque s’est démultiplié avec l’émergence de nouveaux pays-sources comme la Corée du Sud, l’Iran et l’Italie. Une cinquantaine de pays sont désormais touchés, selon l’OMS.
En Chine, d’où est partie l’épidémie fin décembre, le virus a tué 2 791 personnes. Dans le reste du monde, 67 personnes en sont décédées, selon l’agence spécialisée de l’ONU.
Ce que nous voyons actuellement, ce sont des épidémies liées au Covid-19 dans plusieurs pays, mais la plupart des cas peuvent encore être attribués à des contacts connus ou à des groupes de cas, a relevé le patron de l’OMS.
La clé pour contenir ce coronavirus est de briser les chaînes de transmission, a-t-il dit.
Pas au stade de la pandémie
Bien que l’OMS ait élevé le niveau de la menace à l’international, l’organisation ne considère pas qu’il s’agisse d’une pandémie.
Une pandémie est une situation dans laquelle
tous les citoyens sont exposés, ce qui n’est pas le cas actuellement, a expliqué aux journalistes le directeur des programmes d’urgence de l’OMS, le Dr. Michael Ryan.
S’il s’agissait d’une épidémie de grippe, nous aurions parlé de pandémie, mais dans le cas du nouveau coronavirus,
nous avons constaté qu’avec des mesures d’endiguement, le cours de l’épidémie peut être arrêté de manière significative, a-t-il dit.
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