J’ai relu les commentaires de la bande de dingues sur le billet du 11 février 2011 contenant des menaces très claires de son auteur Pascal Edouard Cyprien Luraghi contre mes « alliés », celles-ci :
Là, après leur avoir rendu la pareille en affichant leurs noms sur l’internet, elles peuvent enfin se rendre compte et goûter à leur tour à ce qu’elles nous ont infligé : nous savons où elles vivent, ce qu’elles font dans la vie et leurs masques de carnaval sont définitivement tombés. Plus jamais elles ne pourront continuer à se comporter de la manière inique comme elles l’ont fait.
Pour l’heure, je n’ai fourni que leurs deux noms, mais rien ne m’empêchera de nommer leurs rares alliés si l’envie m’en prenait : eux aussi ont été tracés et nous pouvons dire qui ils sont, où ils vivent et comment ils vivent. Et c’est édifiant : ils sont tout ce qu’ils nous reprochent. Des cas sociaux d’abord, et des ratés absolus. Des vies de merde.
Alors que pour nous autres tous autant qu’on est Ici, c’est pas pour dire, mais ça gaze et ça gazouille dans nos casas
En vérité, ce n’était pas la première fois qu’il affichait des noms de ses victimes sur ses blogs. Le mien y figurait dans quasiment toutes ses productions quotidiennes depuis le 19 juin 2010, avec quantité d’autres révélations concernant ma vie privée, pour la plupart totalement imaginaires, c’est-à-dire qu’il s’agissait d’inventions calomnieuses en abondance, principalement celles que lui dictait sa complice de longue date Josette Brenterch du NPA de Brest, mais aussi les siennes et celles de toute sa bande de « déconnologues », dont Jean-Marc Donnadieu de Béziers.
Naturellement, ces campagnes de calomnies publiques nominatives assez phénoménales avaient déjà nécessité la publication de droits de réponse.
Contrairement à ce qu’il affirmait mensongèrement pour nous calomnier, il ne nous rendait donc pas la pareille, il ne cessait d’aggraver son cas et menaçait désormais très clairement les rares « alliés » qui nous restaient ou se manifestaient encore, pour certains à défaut d’avoir vu ses précédentes campagnes de calomnies publiques nominatives à notre encontre et d’en avoir été comme bien d’autres terrorisés, de voir eux aussi leurs identités et leurs vies privées revisitées par ses soins révélées comme les nôtres à tous ses lecteurs, après qu’elles eurent été de même appréhendées au moyen de piratages informatiques et d’écoutes illégales.
Ses complices « déconnologues » étaient tous dans le même délire ou la même perversion. Ceux qui refusaient de le suivre n’avaient de toute façon plus droit de cité sur ses blogs.
Preuves de leurs piratages informatiques à notre encontre :
Cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte.
Extrait de leurs discussions publiques sous le billet du 11 février 2011 :
104579Mon-Al répond à 0Le 11 février 2011 à 22:27 | PermalienBien ton billet, Cyp, je le lis bien en retard sur les autres. Il est vrai que l’anonymat sur l’Internet est bien facile pour échanger des idées, pour se « raconter » sans se dévoiler, pour préserver sa famille … Mais aussi pour d’autres raisons, bien moins respectables … certaines personnes, genre gniasses, profitent de cet anonymat pour pourrir la vie des autres, et même pour dévoiler leur identité réelle, quand par malheur, par excès de naïveté, voire de bonté d’âme, les « anonymes » se sont un jour présentées en « vrai » !! Et c’est là que se place l’innommable, la perversion : dévoiler une identité pour salir … salir quand on est soi-même sale.
Car il ne faut pas s’y tromper, aucune propreté intellectuelle chez ces délateurs, ces pourrisseurs … ce sont des êtres vils, sans intégrité, des nullités.
104580cyp répond à 104579Le 11 février 2011 à 22:31 | PermalienOh, mais je n’ai absolument pas l’intention de modifier mes habitudes, Mamama : j’écris mon petit journal en ligne depuis neuf ans, comme des myriades d’autres blogueurs. Parce que c’est ça, à la base : un carnet de notes public.
Un journal extime, comme le disait je sais plus qui au début du siècle.
Et c’est pas les gniasses qui m’en empêcheront
Voilà donc le motif de toutes les menaces (et pire) de Pascal Edouard Cyprien Luraghi à cette époque : sachant que j’avais porté plainte à raison de son « journal extime » pour tout ce qu’il contenait quotidiennement me concernant, et qu’il n’était pas près de supprimer, car relevant d’après lui de son « droit d’auteur », il menaçait gravement tous ceux qui le contredisaient à mon sujet ou sur la question de ses droits et pouvaient également lui parler de plainte ou de dénonciation.
Les extraits qui suivent montrent que contrairement à leurs habitudes, les « déconnologues » furent peu présents sur leur blog durant le week-end du 11 au 14 février 2011, mais surtout dans la journée du dimanche 13 février 2011 où les échanges étaient devenus très rares pour cesser totalement dans la soirée et ne reprendre que le lendemain vers midi alors qu’ordinairement, les discussions sur ce blog sont continuellement très fournies et ne s’arrêtent quotidiennement qu’assez brièvement entre 5 heures et 7 heures du matin.
Le « poteau 62″ a bien servi ce jour-là : ils ont tué.
Et l’on apprend que c’est la voiture de Numerosix qui est chaussée de deux types de pneus : des Michelin à l’avant et d’autres pas chers à l’arrière. C’est peut-être celle-là qui a laissé des traces dans l’impasse de Bouloc où des effets et taches de sang de la joggeuses disparue seront retrouvés le lendemain.
Numerosix n’est pas le plus violent de la bande. Il vient de Paris où il travaille pour la presse écrite (Le Figaro) et pourrait donc très bien avoir eu de ce fait dans sa voiture le contenu des trois gros sacs-poubelle évoqués par Hélène, la fille du garagiste de Bouloc, dans son témoignage devant la Cour d’Assises de Toulouse :
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/04/15/petit-qi-et-gros-besoins-etes-vous-plutot-cambriolage-braquage-ou-escroquerie-au-jugement/
«Les erreurs sont humaines»
Le garagiste de Bouloc qui a vu Christian Bouchon cherchant partout sa femme Patricia au matin du 14 février a une fille, Hélène. Elle se souvient avoir été réveillée cette même nuit par «quelqu’un qui tambourinait».
Hélène pense à un jeune essayant de braquer le distributeur de boissons, avant de se rappeler que celui-ci était blindé. Elle ouvre ses volets pour vérifier: «Quelqu’un se servait de la lumière du distributeur pour éclairer ses phares et son pare-chocs et donner des coups dessus. C’est un bruit bien particulier.» Son père et son grand-père ont été garagistes Renault, alors elle connaît le bruit.
En audition, Hélène est certaine: «C’était une Clio ancien modèle série 1.»«Couleur anthracite», ajoute-t-elle. À la barre, elle précise: «Vu l’éclairage jaunâtre du village, je sais que c’est une couleur foncée, gris foncé ou vert foncé, mais pas clair, en tous cas.»
Le lendemain matin, après le passage des éboueurs, son œil est attiré par une masse noire reposant près des conteneurs. Intriguée, elle s’approche. Trois gros sacs-poubelle, qui portent l’inscription: «Communauté de communes de Villeneuve-sur-Tarn.» Elle les ouvrent: «C’était du papier blanc.»
Le 29 mars 2011, à la découverte du corps de Patricia Bouchon à Villematier, la fille du garagiste fait le lien avec les sacs. Villematier dépend de la commune de Villeneuve-sur-Tarn.
Face à la cour, elle s’agite: «Je l’ai dit aux enquêteurs, je l’ai dit plusieurs fois. Ça n’était jamais arrivé, ces sacs-poubelle, et ça ne s’est jamais reproduit!» Elle soupire: «Je pensais qu’il y aurait des investigations plus poussées.»
Tous les mercredis, le directeur d’enquête de la cellule «Disparition 31» est pourtant envoyé en hélicoptère à Paris pour faire un rapport en conseil des ministres.
L’avocat général souffle: «Les erreurs sont humaines, et seuls ceux qui ne font rien ne risquent rien.» «Je ne blâme pas les gendarmes. Je blâme l’autorité judiciaire», promet-il.
Je rappelle qu’il s’agit en fait de Villemur-sur-Tarn, non de Villeneuve-sur-Tarn, et que je suis certaine d’avoir lu quelque part dans les délires de la bande de « déconnologues » que l’un d’entre eux donne des coups sur sa voiture comme indiqué dans son témoignage par Hélène quand ça ne marche plus. Peut-être ce jour-là roulait-il tous phares éteints tout simplement parce qu’ils ne s’allumaient plus.
Suite des extraits de discussions publiques des « déconnologues » sur le billet du 11 février 2011 de leur « Konducator » :
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104686dodu répond à 104680Le 12 février 2011 à 16:11 | PermalienChuuutttt! veux tu bien ne point dévoiler mes secrets , comment veux-tu que je fasse du bon travail si tu retires ma couverture passe-muraille!
(Dur de parler avec le couteau entre les dents)
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104687cyp répond à 104686Le 12 février 2011 à 16:18 | PermalienOK : je serais plus discret la prochaine fois, camarade…
Tu salueras chaleureusement le camarade Sa Maj de ma part…
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104697Samaj répond à 104687Le 12 février 2011 à 21:17 | PermalienJ’énergique protestement, j’ai jamais eu de porsche!
Et si il y a des bouses en Auvergne (pas seulement Hortefion) c’est la condition sine qua non de l’existence du Saint Nectaire.
Ah mais, et la bise claquée
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104698cyp répond à 104697Le 12 février 2011 à 21:27 | PermalienSalut Bébert !
Tout le monde le sait, à Assier (Lot), que tu prends la vieille Renault 21 pour aller faire ton marché, et que nuitamment tu fonces à 240 sur les chemins vicinaux du causse de Gramat avec ta Porsche 911… allez, avoue que t’es un grand bourgeois honteux, camarade Bébert !
Et les bouses auvergnate, oui !
Mais la bouse de Clichy, non !
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104699Samaj répond à 104698Le 12 février 2011 à 21:37 | PermalienLa bave de la blanche colombe n’atteint pas le vert crapaud!
(je préfére les crapauds, sont plus utiles et moins agressifs que ces espèces de pigeons dégénérés).
Bof de toute manière, plus moyen de désespérer Billancourt.
Tu crois que je vais être obligé de demander une Logan à Ghosn ?
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104700cyp répond à 104699Le 12 février 2011 à 21:42 | PermalienTsk, tsk… pour te faire passer le goût du luxe, tu seras condamné par le tribunal populaire déconnologique à douze ans de Trabant !
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104701Mon-Al répond à 104700Le 12 février 2011 à 22:30 | PermalienAch, les Trabants : quand j’en vois (il y en a encore, c’est très « branché », surtout dans les länder de l’Est, moteur changé bien sûr), je pense avec nostalgie à notre passage de la frontière austro-hongroise fin août 89, noyés au milieu d’une file de ces voitures pétarandantes, avec des plaques DDR, quand les Hongrois avaient entrouvert le Mur …
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104694lamorille répond à 0Le 12 février 2011 à 20:06 | Permalienune journée passée avec le fiston sous le soleil à clermont…et ben j’ai rencontré zéro gniasse ! plein de mioches pour les séances ciné de la fin du festival du court métrage et pas un fâcheux.
vive le puy-de-dôme !
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104696cyp répond à 104694Le 12 février 2011 à 20:11 | PermalienY a pas de gniasses dans le Puy-de-Dôme, et pourtant y a plein de bouses.
C’est le Paradoxe Auvergnat.
Bon app’ le monde, et à tout’ !
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104702Numerosix répond à 104694Le 12 février 2011 à 23:59 | PermalienClermont c’est connu et reconnu comme une ville sympa et plutôt accueillante pour l’étranger pas auvergnat et même parisien qui vient y faire ses études ou y bosser . J’ai connu de nombreux témoignages dans ce sens .
Comme quoi, les bouseux sont pas monolithiques..
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104703Mon-Al répond à 104702Le 13 février 2011 à 0:04 | PermalienNon, non, pas tous, j’en ai même rencontré des sympas à Grenoble, alors
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104704cyp répond à 104702Le 13 février 2011 à 0:07 | PermalienÇa dépend : y a des régions de France où les aborigènes bouseux ne jurent que par les monolithes. La Bretagne, par exemple.
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104705Numerosix répond à 104704Le 13 février 2011 à 0:10 | PermalienLa Bretagne , c’est pas les pires non plus ..
Des gens sympas, y en a partout heureusement, mais Grenoble est pas spécialement connu pour une proportion supérieure à la moyenne nationale , qui est déjà très faible, par contre..
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104706cyp répond à 104705Le 13 février 2011 à 0:15 | PermalienCe qui sauve les bretons, c’est leurs kouignettes, déjà.
Faudrait pas que le gouvernement s’installe à Grenoble, parce que le (déjà très) faible pourcentage de gens sympas s’y effondrerait sur lui même et l’univers entier serait aspiré dans ce trou noir…
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104707Hulk répond à 104702Le 13 février 2011 à 1:48 | PermalienIl faut aimer les pneus quand-même pour vivre à Clermont…
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104708Numerosix répond à 104707Le 13 février 2011 à 8:04 | PermalienHa ben Clermont-Ferrand ,en plus que ça pue le pneu; que c’est de la pierre noire , que ça caille bien l’ hiver et que c’est la fournaise l’ été, tu arrives dans la ville, t’as aucune envie d’ y habiter , hein .
C’est justement ça le paradoxe. J’en ai vraiment entendu parler en bien, de plusieurs sources amicales différentes pas nées la .
Maintenant , est ce la réalité , je peux pas le jurer.
Et comme je n’y ai pas de famille , ni aucun intérêt dans l’office du tourisme et le pôle économique et que je n’ai jamais baisé une auvergnate outé qui m’aurait fait des trucs inoubliables, si quelqu’un me dit le contraire et casse le mythe, je l’écouterai en toute objectivité sans passion , que ce soit clair..
Y a juste concernant la gomme. Que j’ai remplacé y a pas longtemps les pneus avant de ma tire par des pas Michelin pas chers , et que j’ai assez vite remis ces foutus pneus à l’arrière et cassé ma tirelire pour chausser des vrais Michelin à l’avant pour me ressentir en sécurité en traction avant..
Pour le seul dernier produit que l’industrie française on est les meilleurs, autant l’utiliser..
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104710Numerosix répond à 104709Le 13 février 2011 à 9:13 | PermalienC’est un pneu pénible..
Mais bon . Ternalisme ou paternalisme : ne travaillez jamais !
Le bonjour et que dimanche ne pas pleurera.
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104711lamorille répond à 104710Le 13 février 2011 à 9:31 | Permalienfigure-toi qu’il y peu, le tram clermontois a effectué une sortie de route et s’est encastré dans un mur. sûrement un problème de pneumatique ?
sinon, number, ça baigne ?
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104713cyp répond à 104711Le 13 février 2011 à 12:56 | PermalienBe indian, buy indian !
Et salut le monde !
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104714Numerosix répond à 104711Le 13 février 2011 à 14:39 | Permalien
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Le 13 février 2011 à 17:02 | PermalienPartir à Clermont, c’est crever un pneu..
Deux de mes potes ont fait leurs études à Clermont. Impossible d’imaginer qu’ils s’y soient faits chier.
(en même temps, l’un d’eux a vécu ensuite à Vierzon, et on y a fait la fête une bonne trentaine de WE, c’est dire si le lieu importe peu)
Et salut les gens !
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104716cyp répond à 104715Le 13 février 2011 à 17:13 | PermalienPourtant, Vierzon, faut vraiment avoir un moral d’acier pour parvenir à y survivre…
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Le 13 février 2011 à 18:04 | PermalienAh ça, pour expliquer ce qu’est un trou noir, on peut se taper 1200 pages d’ouvrages d’astrophysique, ou alors quitter l’A71 (la solution la plus mnémotechnique)..
Brrr…
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104718cyp répond à 104717Le 13 février 2011 à 18:14 | PermalienOn peut aussi se servir de l’ouvrage de 1200 pages pour boucher le trou noir. Simple, élégant et efficace.
Grâce à la bande de bricolodéconnos de l’Ici-Blog, l’univers peut dormir tranquille : nul trou de Vierzon [Grenoble - Clermont-Ferrant : biffer la mention inutile] ne viendra troubler son doux ronflement.
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104725Numerosix répond à 0Le 13 février 2011 à 22:20 | Permalien
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104726cyp répond à 104725Le 13 février 2011 à 22:27 | PermalienAh pinaise : ça fait plaisir d’entendre Levy dire tout ça…
Bien d’accord : Sarko est considérablement plus dangereux de le dernier criminel qui a fait la une des nouvelles.
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104728Numerosix répond à 104726Le 13 février 2011 à 22:39 | PermalienÇa me rassure d’entendre parfois des responsables tenir des discours logiques.
C’est si rare, aujourd’hui .. .
http://ultrahumandignity.blogs…..r-moi.html
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104727Mon-Al répond à 104725Le 13 février 2011 à 22:27 | PermalienJ’aime bien les articles de Alexandre Pouchard qui résument en une page ce dont on nous a gavé jusqu’à l’indigestion pendant toute la semaine.
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104730Hulk répond à 104727Le 14 février 2011 à 0:38 | PermalienJe ne vois pas l’intérêt, vu que c’est juste une synthèse des « principales » infos de la semaine, c’est à dire de celles que tous les principaux média ont traitées au même moment et à peu près de la même façon.
Il ferait mieux de faire une rubrique : les infos qui semblent importantes et dont on a peu ou pas parlé cette semaine.
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104731Mon-Al répond à 104730Le 14 février 2011 à 11:50 | PermalienBonjour tous et Hulk,
Oui, justement étant donné que les infos « importantes » ont été traitées bien avant la Rue (pour certaines), un simple récapitulatif de celles-ci est bien suffisant.
Et le jour où sur la Rue paraitront des infos dont on a pas parlé ailleurs, alors ce jour-là sera à marquer d’une pierre blanche !
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104732lamorille répond à 0Le 14 février 2011 à 12:25 | PermalienPour toi mon coeur,
en souhaitant le bonheur,
à mes amis de coeur !
que tout le monde en ce jour
de Saint-Valentin,
éprouve ce sentiment divin
qu’est celui d’amour….
c’est de qui ? un pargniasse ? [et le bonjour]
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104734Mon-Al répond à 104732Le 14 février 2011 à 12:37 | PermalienPunaise, quelle poétesse !
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104735Marina répond à 104734Le 14 février 2011 à 12:42 | PermalienLes illustrations j’ai trouvé! Belles comme le poème, pareil. http://joliscoeurs.centerblog……llant.html
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104736cyp répond à 104734Le 14 février 2011 à 12:45 | PermalienTu l’as foutu où, le Poteau 62, Mamama ?
[et salut le monde !]
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104739flixp répond à 104738Le 14 février 2011 à 14:21 | PermalienA chanter sur l’air du Tango des Fauvettes
Un soir que j’étais saoul
J’me suis roulé dans la p’louse
J’ai senti qu’ c’était mou
J’avais l’nez dans la bouse.
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Le 14 février 2011 à 14:30 | PermalienHa ! ha ! s’il y a bien un truc dont on se fout totalement quand on est vraiment amoureux, c’est qu’on soit le jour de la St Valentin ou pas ..
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Le 14 février 2011 à 14:32 | PermalienIl y a d’ailleurs beaucoup de trucs dont on se fout totalement quand on est vraiment amoureux, à part de trouver urgeament un endroit pour baiser peinards..
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Le 14 février 2011 à 14:58 | PermalienHeu dans les foins le 14 février sous nos climats..
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104748cyp répond à 104747Le 14 février 2011 à 14:59 | PermalienNo problemo : l’amour vasodilate, c’est bien connu.
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104752Mon-Al répond à 104748Le 14 février 2011 à 15:23 | PermalienHeu … dans le foin ? Préfère un bon matelas … quoi que dans l’herbe fraiche, sous le soleil ? Et puis, c’est bien connu, c’est une question de bonne compagnie !
M’en fous de la Saint Valentin, pareil que la fête des mères, ou des grands-mères, ou autres trucs commerciaux : moi c’est l’AMOUR tout le temps
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104785NEMROD34 répond à 104732Le 14 février 2011 à 21:00 | PermalienPour toi ma ventouse
Qui pue bon la bouse
En ce jour de Saint-Valentin
Où tu n’auras pas de coup de reins
De Hongrie je t’écris
Car j’ai entendu ton cri
T’aider j’aurais voulu
Mais comme lulu tu l’as dans le cul
Autre chose j’ai à faire
Et les bouses comme les coucous sont éphémères
Dieu peut-être t’entendra
Sauf que tu es dans de vilains draps
Que Sophie tente l’imposition des mains
C’est ça que je te recommande moi le nain.
JMDN34
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104744flixp répond à 0Le 14 février 2011 à 14:43 | PermalienConcernant l’anonymat et l’usage d’internet, en 1995, il avait été établi une nétiquette.
Guide d’utilisation d’internet en clair.
http://tools.ietf.org/html/rfc1855
Si ce guide était suivi, nous pourrions tous être anonyme ou non à notre guise.
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104746cyp répond à 104744Le 14 février 2011 à 14:50 | PermalienL’expérience a hélas prouvé l’impossibilité de cette charte, qui s’adresse à des gens sensés, alors que le Net est victime d’un raz de marée d’insensés.
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