Impasse et nuit noire, c’est ce que retient de son crime
le commanditaire de l’assassinat de Patricia Bouchon à Bouloc le 14
février 2011, comme nous l’avons déjà vu ici :
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/03/30/affaire-patricia-bouchon-lassassin-sur-twitter-avant-le-verdict/
Pourquoi l’impasse ?
Certes, c’est le lieu du crime, du moins si l’on s’en tient aux indices qui y ont été retrouvés en trois endroits compris entre l’entrée et le fond de l’impasse et distants de 110 mètres.
Les enquêteurs ont conclu à une attaque soudaine et violente à l’entrée de l’impasse. La victime aurait peut-être couru jusqu’au fond de l’impasse pour tenter d’échapper à son agresseur, ou alors son corps aurait été transporté par lui à cet endroit où la plus grosse tache de sang a été retrouvée (conclusion du légiste). Elle y aurait perdu au moins un litre de sang, suite à une hémorragie importante provoquée par des plaies contuses de la joue gauche, produites par trois coups portés avec un objet contondant (peut-être les deux galets évoqués par Laurent Dejean), mais ce n’est pas la cause du décès, dû à une asphyxie par étranglement prolongé, jusqu’à la mort, la victime ayant aussi, au préalable, eu la nuque brisée par un mouvement violent de rotation et flexion de la tête fait par derrière et cause d’une tétraplégie incapacitante. Elle présentait en outre une fracture du rocher droit peut-être due à une chute violente consécutive aux premiers coups, ainsi qu’un hématome sur l’épaule droite, un gant en latex déchiré et quelques cheveux dans la bouche, juste derrière les dents, et enfin deux fractures post-mortem : l’os hyoïde et le nez.
Le gant en latex pourrait être l’un de ceux qu’elle portait sous une autre paire de gants dont on ne sait s’il sont retrouvés ni où, tout comme le second gant. Un doigt de gant en latex déchiré a été retrouvé dans l’impasse.
La mort survient dix minutes après le premier coup, l’agression aurait duré de dix à quinze minutes.
Selon le témoignage de deux riverains, elle s’est produite vers 4h30 ou 4h35. Ce couple dormant avec la fenêtre ouverte a alors été réveillé par un cri de femme, a ouvert ses volets et regardé dans l’impasse, mais n’a rien vu dans la nuit noire ni plus rien entendu durant plusieurs minutes. Puis les deux témoins ont entendu un homme dire « Excuse-moi ! Excuse-moi ! » et pleurer. Regardant de nouveau par la fenêtre, ils n’ont encore rien vu et ont ensuite entendu une voiture passer en trombe.
Il n’y a que trois maisons dans l’impasse, la leur est la seconde, les habitants des deux autres n’ont rien entendu. Quant à eux, ne voyant rien dans l’impasse, ils ont cru à une dispute de couple chez leurs voisins.
Indices retrouvés dans l’impasse, résultats de l’autopsie et témoignage de ce couple d’Allemands sont les seuls éléments se rapportant directement au crime.
Je ne suis pas qualifiée pour critiquer les conclusions des légistes et enquêteurs. J’ai quand même bien du mal à tout comprendre et ne pense pas être la seule dans ce cas.
Voyons ce que disent publiquement à l’époque des faits le commanditaire et ses complices « déconnologues ».
En fait, en ce qui concerne directement l’agression, j’ai déjà rapporté une partie de leurs plaisanteries ici :
http://petitcoucou.unblog.fr/2014/12/21/montlucon-pourquoi-paul-constans-n-a-pas-besoin-de-laurent-morillon/
Il s’agit surtout d’images très allusives, de « private jokes », les criminels ne pouvant évidemment être plus clairs dans leurs échanges publics compte tenu de la nature des faits :
Le corps de la victime a bien été retrouvé dans une canalisation. Elle est ici assimilée à l’une des autres « folles » sur lesquelles toute la bande de dingues s’acharne depuis plusieurs mois, mais c’est chez eux une habitude, ils nous assimilent régulièrement l’une à l’autre. Le nom de la dernière est par ailleurs clairement évoqué à plusieurs reprises, par des images de bouches et des jeux de mots, comme par exemple encore ici après publication du billet sur le western « True grit » :
Explication du « bon mot » de Manue : les malades sont dans un trip où ils inversent tout; c’est donc la « boucharde » Patricia Bouchon qui a reçu des coups portés avec des pierres et non l’inverse.
Il s’agit assez clairement d’une allusion aux deux galets également évoqués par Laurent Dejean, ainsi qu’aux traces de pneus témoignant d’une « escalade » de la bordure de pierres qui se trouve à l’entrée de l’impasse, devant la première propriété.
Autres allusions au crime, et je pourrais encore en étaler mais vais m’arrêter là :
Le 5 mars 2011 à 20h20, le pseudonymé « Marcelduchamp » menaçait donc de me faire subir le même sort qu’à Patricia Bouchon.
Ils sont tous au courant de ce qui s’est passé dans le « Far West », à Bouloc, le 14 février 2011.
Les détails des violences évoquées correspondent bien à ce que révèlera l’autopsie après la découverte du corps.
Il faut relire l’ensemble de leurs échanges de février et mars 2011 pour tout comprendre, ou presque.
Ce sont bien eux les assassins de Patricia Bouchon.
Cependant, connaissant leurs imaginations diaboliques, je ne suis pas du tout sûre que le scénario de l’agression tel que les gendarmes l’ont reconstitué décrive ce qui s’est réellement passé.
J’ai relevé que les clés de la maison de la joggeuse n’ont jamais été retrouvées. Ses assassins craignant une dénonciation de sa part les ont peut-être utilisées pour aller récupérer chez elle un hypothétique ou réel dossier avant l’arrivée des gendarmes, alors que son mari était sorti à sa recherche, ou éventuellement avant son réveil.
En tous les cas, le guet-apens est selon moi certain.
Pourquoi donc avoir choisi l’impasse comme lieu de l’agression ?
Peut-être en raison du commentaire suivant de ma part sous cet article relatif au harcèlement moral en entreprise, publié sur le site Rue89 le 5 décembre 2008 :
https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-economie/20081205.RUE7186/suicide-au-travail-les-psys-se-font-enqueteurs.html
Ce commentaire a bien été publié au mois de décembre 2008 et non le 4 novembre 2016, qui est la date d’un problème technique survenu sur le site ce jour-là.
Mes harceleurs de la bande du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi s’excitaient particulièrement sur mes commentaires relatifs au harcèlement moral en entreprise qui les a toujours rendus totalement fous.
L’impasse est donc le lieu du crime mais aussi celui de ma vie depuis des années.
Pourquoi la nuit noire ?
L’une des autres obsessions du cybercriminel susnommé me concernant a toujours été l’ensemble des harcèlements dont j’ai été victime de la part de Joël Roma, ancien président de l’association AC ! Brest dont j’avais comme lui fait partie en 2004 et 2005.
Ces harcèlements dont la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest est encore à l’origine passent par plusieurs milliers de courriers électroniques que j’ai reçus entre 2005 et 2007.
Le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi les a tous dès le début de ses propres harcèlements à mon encontre en 2008, pour m’avoir piratée.
Or, dans ces mails pour la plupart totalement délirants, Joël Roma m’appelle régulièrement « la nuit » sous prétexte que je refuse toute relation intime avec lui.
Et le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi a fait siens tous ces délires à mon encontre. Il les reprend à son compte dès qu’il commence lui-même à me harceler.
Et choisira donc une nuit noire comme cadre de l’agression de Patricia Bouchon.
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/03/30/affaire-patricia-bouchon-lassassin-sur-twitter-avant-le-verdict/
Pourquoi l’impasse ?
Certes, c’est le lieu du crime, du moins si l’on s’en tient aux indices qui y ont été retrouvés en trois endroits compris entre l’entrée et le fond de l’impasse et distants de 110 mètres.
Les enquêteurs ont conclu à une attaque soudaine et violente à l’entrée de l’impasse. La victime aurait peut-être couru jusqu’au fond de l’impasse pour tenter d’échapper à son agresseur, ou alors son corps aurait été transporté par lui à cet endroit où la plus grosse tache de sang a été retrouvée (conclusion du légiste). Elle y aurait perdu au moins un litre de sang, suite à une hémorragie importante provoquée par des plaies contuses de la joue gauche, produites par trois coups portés avec un objet contondant (peut-être les deux galets évoqués par Laurent Dejean), mais ce n’est pas la cause du décès, dû à une asphyxie par étranglement prolongé, jusqu’à la mort, la victime ayant aussi, au préalable, eu la nuque brisée par un mouvement violent de rotation et flexion de la tête fait par derrière et cause d’une tétraplégie incapacitante. Elle présentait en outre une fracture du rocher droit peut-être due à une chute violente consécutive aux premiers coups, ainsi qu’un hématome sur l’épaule droite, un gant en latex déchiré et quelques cheveux dans la bouche, juste derrière les dents, et enfin deux fractures post-mortem : l’os hyoïde et le nez.
Le gant en latex pourrait être l’un de ceux qu’elle portait sous une autre paire de gants dont on ne sait s’il sont retrouvés ni où, tout comme le second gant. Un doigt de gant en latex déchiré a été retrouvé dans l’impasse.
La mort survient dix minutes après le premier coup, l’agression aurait duré de dix à quinze minutes.
Selon le témoignage de deux riverains, elle s’est produite vers 4h30 ou 4h35. Ce couple dormant avec la fenêtre ouverte a alors été réveillé par un cri de femme, a ouvert ses volets et regardé dans l’impasse, mais n’a rien vu dans la nuit noire ni plus rien entendu durant plusieurs minutes. Puis les deux témoins ont entendu un homme dire « Excuse-moi ! Excuse-moi ! » et pleurer. Regardant de nouveau par la fenêtre, ils n’ont encore rien vu et ont ensuite entendu une voiture passer en trombe.
Il n’y a que trois maisons dans l’impasse, la leur est la seconde, les habitants des deux autres n’ont rien entendu. Quant à eux, ne voyant rien dans l’impasse, ils ont cru à une dispute de couple chez leurs voisins.
Indices retrouvés dans l’impasse, résultats de l’autopsie et témoignage de ce couple d’Allemands sont les seuls éléments se rapportant directement au crime.
Je ne suis pas qualifiée pour critiquer les conclusions des légistes et enquêteurs. J’ai quand même bien du mal à tout comprendre et ne pense pas être la seule dans ce cas.
Voyons ce que disent publiquement à l’époque des faits le commanditaire et ses complices « déconnologues ».
En fait, en ce qui concerne directement l’agression, j’ai déjà rapporté une partie de leurs plaisanteries ici :
http://petitcoucou.unblog.fr/2014/12/21/montlucon-pourquoi-paul-constans-n-a-pas-besoin-de-laurent-morillon/
Il s’agit surtout d’images très allusives, de « private jokes », les criminels ne pouvant évidemment être plus clairs dans leurs échanges publics compte tenu de la nature des faits :
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106080lamorille répond à 106079Le 3 mars 2011 à 2:04 | Permalien
Le corps de la victime a bien été retrouvé dans une canalisation. Elle est ici assimilée à l’une des autres « folles » sur lesquelles toute la bande de dingues s’acharne depuis plusieurs mois, mais c’est chez eux une habitude, ils nous assimilent régulièrement l’une à l’autre. Le nom de la dernière est par ailleurs clairement évoqué à plusieurs reprises, par des images de bouches et des jeux de mots, comme par exemple encore ici après publication du billet sur le western « True grit » :
cyp répond à 106202
- 106210
Le 3 mars 2011 à 23:19 | Permalien
Nan nan : on a prévu le coup. Les déconnologues sont vêtus de scaphandres anti-vomi
Hé : y a un nouveau billet sur l’Ici-Blog, alors on y peut prolonger la papote. De toute façon le hors-sujet y est à nouveau permis… et puis ça cause de Far West alors on sera pas dépaysés, vu les événements…
106547
malatrie répond à 106545
Le 5 mars 2011 à 22:49 | Permalien
Quoi ? Elles ont cru que Marcel était Monsieur Mafoi ??!!
Quelles gourdes, vraiment )))))))))
félicité répond à 106547
- 106548
Le 5 mars 2011 à 22:51 | Permalien
))))))
Comme si je ne pouvais plaire qu’à mon époux !
Mais Marcel sait bien que c’est sans espoir …
Marcelduchamp répond à 106548
- 106551
Le 5 mars 2011 à 22:59 | Permalien
Mais mon espoir me fait tenir, ma Féli!
Mon-Al répond à 106551
- 106552
Le 5 mars 2011 à 23:01 | Permalien
Votre amour est Cornelien …
félicité répond à 106551
- 106553
Le 5 mars 2011 à 23:02 | Permalien
Hé ho, c’est ma réputation d’honnête femme et de femme honnête qu’est en jeu, là !
Mon-Al répond à 106553
- 106554
Le 5 mars 2011 à 23:04 | Permalien
Quand on fait partie d’une secte de l’Horreur©, tout est possible, voyons
félicité répond à 106554
- 106555
Le 5 mars 2011 à 23:07 | Permalien
Pas du tout, pas du tout !
Vous, peut-être … mais pas moi !
Je ne suis pas une Messaline !
Mon-Al répond à 106555
- 106559
Le 5 mars 2011 à 23:19 | Permalien
Nannnn, c’est moi Messaline, celle qui veut draguer tous les maris, voyons !
Une sexagénaire lubrique !
Manue répond à 106553
- 106556
Le 5 mars 2011 à 23:10 | Permalien
Je confirme ce point: tout est possible!
C’est un peu comme donner des coups de boucharde sur les pierres d’un mur qu’on escalade par une nuit sans lune avec une lampe à xenon!
Mon-Al répond à 106556
- 106560
Le 5 mars 2011 à 23:19 | Permalien
Joli
félicité répond à 106556
- 106562
Le 5 mars 2011 à 23:29 | Permalien
Manue, tu me tues ! )))
Explication du « bon mot » de Manue : les malades sont dans un trip où ils inversent tout; c’est donc la « boucharde » Patricia Bouchon qui a reçu des coups portés avec des pierres et non l’inverse.
Il s’agit assez clairement d’une allusion aux deux galets également évoqués par Laurent Dejean, ainsi qu’aux traces de pneus témoignant d’une « escalade » de la bordure de pierres qui se trouve à l’entrée de l’impasse, devant la première propriété.
Autres allusions au crime, et je pourrais encore en étaler mais vais m’arrêter là :
cyp répond à 106515
- 106517
Le 5 mars 2011 à 19:29 | Permalien
Je PEUX expliquer à la Bouse de Clichy et à la Corbaque de Brest comment faire pour effacer le cache-mémoire de Google : première demie-heure gratuite puis cent euros de l’heure payables uniquement par Paypal (comme la Gloglo).
Marcelduchamp répond à 106517
- 106521
Le 5 mars 2011 à 19:46 | Permalien
C’est rapide quand on comprend tout, mon pote Marcel, le Proust, il en a bien plus chié pour écrire » Sodome et Gomorrhe », le quatrième volet d’ »À la recherche du temps perdu », publié en 1923.
cyp répond à 106521
- 106522
Le 5 mars 2011 à 19:51 | Permalien
Là, je crois que c’est Jex qui va partir à la recherche du neurone perdu
Sodome et Gomorrhe, c’est pas son truc, à Jex.
félicité répond à 106522
- 106525
Le 5 mars 2011 à 19:57 | Permalien
C’est pourtant comme ça qu’elle imagine un conclave, paraît-il ! SODOME ET GOMORRHE le deuxième nom de PUY CITY TADADAAA !!!!!!
cyp répond à 106525
- 106528
Le 5 mars 2011 à 20:02 | Permalien
Sacrée partouze, notre Conclave déconnologique de Puycity !
Échangisme à tous les étages
[et barbecue de bébés et de chats dans les caves de la Maison de l'Horreur©]
Marcelduchamp répond à 106522
- 106527
Le 5 mars 2011 à 20:02 | Permalien
Elle a qu’à se cultiver, comme tout le monde, au lieu de rester enfermée derrière son balcon!
cyp répond à 106527
- 106529
Le 5 mars 2011 à 20:04 | Permalien
Oh tu sais Marcel : ce genre de culture, même arrosé au purin d’orties, ça ne produit rien…
Mon-Al répond à 106529
- 106531
Le 5 mars 2011 à 20:08 | Permalien
Surtout sur le balcon, ça craint cette culture-là : on se prend facilement du plomb dans l’aile !
Marcelduchamp répond à 106531
- 106533
Le 5 mars 2011 à 20:20 | Permalien
Ouh la la, y a des pierres sur la façade de sa maison?
Mon-Al répond à 106533
- 106536
Le 5 mars 2011 à 20:32 | Permalien
Et des malfaisants qui tirent à la carabine, mais comme ils sont très cons, ils se trompent de balcon
félicité répond à 106533
- 106537
Le 5 mars 2011 à 20:32 | Permalien
Je te vois venir, Marcel !
Marcelduchamp répond à 106537
- 106539
Le 5 mars 2011 à 21:33 | Permalien
Ah bon?
[ sifflotements innocents dans le lointain...]
tilou répond à 106539
- 106601
Le 6 mars 2011 à 10:47 | Permalien
Hé, vous deux, on vous a à l’oeil, je me demande ce qui me retient de vous dénoncer….ah, c’est déja fait par la boubouzella ? Bon, alors, je ne dirai rien à M. Mafoi !
Salut vous tous, bande de cyberdélinquants, voleurs de flux, et plus si affinité !
Elle a remarqué que si son blog pourri est fermé, les stats en prennent un coup ? Et c’est elle qui se foutait des autodidactes ? Faut vraiment être un cadre de haut niveau pour le découvrir APRES ! Pov’ cruche !
Le 5 mars 2011 à 20h20, le pseudonymé « Marcelduchamp » menaçait donc de me faire subir le même sort qu’à Patricia Bouchon.
Ils sont tous au courant de ce qui s’est passé dans le « Far West », à Bouloc, le 14 février 2011.
Les détails des violences évoquées correspondent bien à ce que révèlera l’autopsie après la découverte du corps.
Il faut relire l’ensemble de leurs échanges de février et mars 2011 pour tout comprendre, ou presque.
Ce sont bien eux les assassins de Patricia Bouchon.
Cependant, connaissant leurs imaginations diaboliques, je ne suis pas du tout sûre que le scénario de l’agression tel que les gendarmes l’ont reconstitué décrive ce qui s’est réellement passé.
J’ai relevé que les clés de la maison de la joggeuse n’ont jamais été retrouvées. Ses assassins craignant une dénonciation de sa part les ont peut-être utilisées pour aller récupérer chez elle un hypothétique ou réel dossier avant l’arrivée des gendarmes, alors que son mari était sorti à sa recherche, ou éventuellement avant son réveil.
En tous les cas, le guet-apens est selon moi certain.
Pourquoi donc avoir choisi l’impasse comme lieu de l’agression ?
Peut-être en raison du commentaire suivant de ma part sous cet article relatif au harcèlement moral en entreprise, publié sur le site Rue89 le 5 décembre 2008 :
https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-economie/20081205.RUE7186/suicide-au-travail-les-psys-se-font-enqueteurs.html
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jexiste a posté le 04 novembre 2016 à 16h33Les tâches ménagères et le tricotage intensif, avec aiguilles n°2 et points hyper chiadés tout droit sortis de mon imagination, je m’y suis adonnée histoire de me passer les nerfs sur quelque chose à une époque où je n’avais plus d’autre choix que de rester cloîtrée chez moi pour éviter de me faire méchamment agresser, ce qui se produisait pratiquement dès que je mettais le nez dehors. Les agresseurs me prenaient toujours en chasse dès la porte de mon immeuble, où ils m’attendaient à chacune de mes sorties. Ensuite, ils attendaient le moment propice, que pour ma part je m’évertuais à ne pas leur fournir, sans pouvoir toujours maîtriser tous les paramètres… Par ailleurs, j’étais toujours en contact avec les commanditaires de ces agressions. L’un d’eux, excédé que je sois toujours en vie, m’a dit une fois par téléphone : « On a mis ta vie dans une impasse. Suicide-toi sinon on te tue ! » Je ne crois pas qu’il se soit rendu compte de l’énormité du propos, il était trop en colère. Et comme j’étais multi-écoutée, je serais bien surprise qu’il ne reste pas quelque part au moins un enregistrement de cette conversation…
La lecture, par contre, je ne pouvais pas, et ne peux toujours pas, alors que c’était autrefois un de mes plaisirs favoris.
Ce commentaire a bien été publié au mois de décembre 2008 et non le 4 novembre 2016, qui est la date d’un problème technique survenu sur le site ce jour-là.
Mes harceleurs de la bande du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi s’excitaient particulièrement sur mes commentaires relatifs au harcèlement moral en entreprise qui les a toujours rendus totalement fous.
L’impasse est donc le lieu du crime mais aussi celui de ma vie depuis des années.
Pourquoi la nuit noire ?
L’une des autres obsessions du cybercriminel susnommé me concernant a toujours été l’ensemble des harcèlements dont j’ai été victime de la part de Joël Roma, ancien président de l’association AC ! Brest dont j’avais comme lui fait partie en 2004 et 2005.
Ces harcèlements dont la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest est encore à l’origine passent par plusieurs milliers de courriers électroniques que j’ai reçus entre 2005 et 2007.
Le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi les a tous dès le début de ses propres harcèlements à mon encontre en 2008, pour m’avoir piratée.
Or, dans ces mails pour la plupart totalement délirants, Joël Roma m’appelle régulièrement « la nuit » sous prétexte que je refuse toute relation intime avec lui.
Et le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi a fait siens tous ces délires à mon encontre. Il les reprend à son compte dès qu’il commence lui-même à me harceler.
Et choisira donc une nuit noire comme cadre de l’agression de Patricia Bouchon.
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