Halte à la censure et la désinformation satanistes !
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lundi 15 avril 2019
Petit QI et gros besoins, êtes-vous plutôt cambriolage, braquage ou escroquerie au jugement ?
En ce qui concerne Jean-Marc Donnadieu de Béziers, qui
fréquente de nombreux ex-taulards qu’il dit aider à la sortie de prison,
le choix de l’escroquerie au jugement ayant déjà bien payé sans le
conduire où il aurait dû être depuis longtemps, c’est-à-dire, derechef
derrière des barreaux, comme du temps où il ne harcelait que des
ufologues, il a décidé de réitérer la « plaisanterie » procédurière
qu’il s’apprêtait à finaliser au mois de février 2011 lorsque Patricia
Bouchon menaçant tout à coup de faire capoter ses plans et ceux de ses
complices de la bande du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi,
ils avaient décidé de l’éliminer.
Il l’a annoncé sur son mur Facebook au début du mois, comme indiqué dans mon précédent article.
Il n’a toujours pas les moyens de faire poursuivre les ufologues qui
selon lui piratent tous ses échanges de courriers électroniques depuis
des années et m’auraient fourni la pièce suivante, attestant que ses
amis cybercriminels et lui-même se sont bien rendus coupables de tels
faits à mon encontre au moins en 2011, mais s’il s’agit de nouvelles
procédures à mon encontre, alors là, il n’y a aucun problème, son avocat
Philippe Desruelles est toujours prêt – noter que ce dernier tente
actuellement l’escroquerie au jugement contre l’ufologue Christian
Comtesse pour le compte d’un individu qui aurait déjà bien profité de la
générosité dudit ufologue et bénéficie bien entendu du soutien
inconditionnel de Jean-Marc Donnadieu et de tous ses complices
cybercriminels prétendument « ufosceptiques » dont toutes les plaintes
contre Christian Comtesse sont toujours classées sans suite comme
infondées, en conséquence de quoi il existe très logiquement un gros
risque d’attentat islamiste quelques jours avant le verdict, comme pour
leurs précédentes procédures, donc probablement avant l’été ou à son
début (la date doit être fixée en mai).
Cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte.
Jean-Marc Donnadieu prévoit de m’attaquer dans la foulée.
C’est qu’il doit toujours avoir la garantie de magistrats ultra CORROMPUS
dès lors qu’il m’attaque moi, directement ou indirectement, même ou
surtout pour des faits imaginaires, et que par ailleurs, comme il s’en
plaignait déjà le 22 décembre dernier, plusieurs mois de Gilets Jaunes
ont dû bien rogner ses capacités à économiser et faire naître quelques
besoins :
Jean-marc Donnadieu
Si les gilets jaunes voulaient bien me laisser acheter mon tabac en
Espagne, et de la viande aussi , parce que un mois ça va, deux je peut
pas suivre.. Je me lève 6/7 a 4 h du matin pour moins de 700 balles
alors si je pouvais économiser un peu …
En Ile-de-France, ce sont les cambriolages qui se multiplient depuis quelques mois.
On notera par ailleurs que ceux qui cherchent encore la vérité dans
l’affaire de l’assassinat de Patricia Bouchon à Bouloc le 14 février
2011 pourraient peut-être utilement s’intéresser aux auteurs du casse de
Bessières, survenu le 18 mars 2014, dans une agence du Crédit Agricole.
En effet, ces individus qui seraient eux aussi liés à la bande de
« déconnologues » des deux psychopathes et pirates informatiques Pascal
Edouard Cyprien Luraghi et Jean-Marc Donnadieu semblent bien connaître
tous les égouts du secteur où a été découvert le corps de la joggeuse.
Et il n’y a pas que mon témoignage à n’avoir pas été exploité par les enquêteurs dans cette affaire d’assassinat :
Le garagiste de Bouloc qui a vu Christian Bouchon cherchant partout
sa femme Patricia au matin du 14 février a une fille, Hélène. Elle se
souvient avoir été réveillée cette même nuit par «quelqu’un qui tambourinait».
Hélène pense à un jeune essayant de braquer le distributeur de
boissons, avant de se rappeler que celui-ci était blindé. Elle ouvre ses
volets pour vérifier: «Quelqu’un se servait de la lumière du
distributeur pour éclairer ses phares et son pare-chocs et donner des
coups dessus. C’est un bruit bien particulier.» Son père et son grand-père ont été garagistes Renault, alors elle connaît le bruit.
En audition, Hélène est certaine: «C’était une Clio ancien modèle série 1.»«Couleur anthracite», ajoute-t-elle. À la barre, elle précise: «Vu
l’éclairage jaunâtre du village, je sais que c’est une couleur foncée,
gris foncé ou vert foncé, mais pas clair, en tous cas.»
Le lendemain matin, après le passage des éboueurs, son œil est attiré
par une masse noire reposant près des conteneurs. Intriguée, elle
s’approche. Trois gros sacs-poubelle, qui portent l’inscription: «Communauté de communes de Villeneuve-sur-Tarn.» Elle les ouvrent: «C’était du papier blanc.»
Le 29 mars 2011, à la découverte du corps de Patricia Bouchon à
Villematier, la fille du garagiste fait le lien avec les sacs.
Villematier dépend de la commune de Villeneuve-sur-Tarn.
Face à la cour, elle s’agite: «Je l’ai dit aux enquêteurs, je
l’ai dit plusieurs fois. Ça n’était jamais arrivé, ces sacs-poubelle, et
ça ne s’est jamais reproduit!» Elle soupire: «Je pensais qu’il y aurait des investigations plus poussées.»
Tous les mercredis, le directeur d’enquête de la cellule «Disparition
31» est pourtant envoyé en hélicoptère à Paris pour faire un rapport en
conseil des ministres.
L’avocat général souffle: «Les erreurs sont humaines, et seuls ceux qui ne font rien ne risquent rien.»«Je ne blâme pas les gendarmes. Je blâme l’autorité judiciaire», promet-il.
Il y a une erreur dans ce texte. Il ne s’agit pas de
Villeneuve-sur-Tarn, mais de Villemur-sur-Tarn, commune voisine de
Bessières.
Par ailleurs, j’ai bien le souvenir d’avoir vu un « déconnologue »
dire qu’il tapait de la sorte sur sa voiture et vais tâcher de retrouver
ce passage.
Explosion du nombre de cambriolages dans les quartiers aisés en Île-de-France
FLÉAU – A Paris et dans ses banlieues attenantes, le nombre de
cambriolages a sensiblement augmenté dans les quartiers cossus, selon
des chiffres révélés par Le Parisien.
15 avr. 06:26 – La rédaction de LCI
Ils visent en priorité les quartiers riches. Selon des chiffres de la police relayés par Le Parisien,
les cambrioleurs n’ont pas chômé en 2018 en Ile-de-France. A Paris (du
Ier arrondissement au VIIe), les cambriolages ont ainsi augmenté de 40%
en un an. Une hausse qui peut notamment s’expliquer par les nombreux
travaux de ravalements de façade survenus dans la capitale.
« Les cambrioleurs peuvent se faire passer pour des ouvriers avec
leurs outils auprès des riverains, et puis profitent des échafaudages
pour grimper dans les étages », explique au quotidien Christophe
Soullez, chef de l’observatoire national de la délinquance. Selon lui,
les manifestations des Gilets jaunes ayant mobilisé en nombre les forces
de l’ordre n’auraient toutefois pas eu d’impact sur la hausse
constatée, « même si on ne peut pas l’exclure ».
En définitive, cette explosion des vols par effraction à Paris est la
conséquence de la professionnalisation des cambrioleurs. Lesquels « ne
perdent pas leur temps en périphérie ou dans les coins pauvres, ils
veulent des bijoux et du cash et enchaînent plusieurs logements chaque
jour », détaille un commissaire cité par Le Parisien.
Pour autant, certains malfrats n’hésitent pas à miser sur les villes
attenantes à la capitale, comme Vincennes, Charenton, Les Lilas ou
encore Montreuil : « Ces équipes viennent à Paris en journée parce que
le champ de prospection est illimité, mais les villes frontalières sont
aussi desservies par le métro et de plus en plus denses donc leur
fournissent un terrain de jeu similaire », souligne un commissaire.
La rédaction de LCI
Mis à jour : Aujourd’hui à 06:27Créé : Aujourd’hui à 06:26
Casse de Bessières : qui sont les Spaggiari toulousains ?
Le 5 avril 2016, les gendarmes de la section de recherches de
Toulouse interpellent plus d’une dizaine de suspects deux ans après le
casse de Bessières. «Vlad» est arrêté à Toulouse, chemin du Moulis.
Photo DDM, archives, Thierry Bordas.
Une équipe ancrée dans la grande délinquance à laquelle se greffent
des techniciens du bâtiment, soudeur ou expert en chalumeau. C’est cet
attelage atypique qui constitue l’essentiel du commando des égoutiers de
Bessières. Une équipe resserrée autour de quatre hommes, dont Pascal
Teso, un Tarnais domicilié à Bessières, cette commune qui l’a vu grandir
et galoper dans les égouts lorsqu’il était enfant.
Dans son imaginaire, une icône : Albert Spaggiari, figure du grand
banditisme et auteur du célèbre casse de Nice en 1976. Dans son
entourage on le répète : «Spaggiari c’est extra ce qu’il a fait, c’est
pas comme Mesrine, lui c’est un bandit !» Des paroles longtemps gravées
et qui finissent par nourrir chez lui le goût du risque et de l’interdit
mais aussi l’appât du gain. Installé dans le bâtiment, Pascal Teso
sollicite alors un prêt au Crédit Agricole de Bessières. Pour lancer sa
carrière, il se dit qu’un coup de pouce chez ceux qui ont le pouvoir de
dire «oui», peut l’aider à démarrer. Mais il essuie un cinglant refus de
la banque. Une vraie claque. Au même moment, un membre de sa famille
lui offre un bouquin sur la vie de Spaggiari. Un cadeau qui va changer
son destin.
Dans un snack de Bessières, il retrouve Cédric L., jeune serveur,
copain admiratif de Teso. Les deux hommes sont très proches. Cédric L.,
auquel on reproche d’avoir fait le guet à l’extérieur du tunnel et
d’avoir aidé à évacuer quelques gravats et aussi celui qui aurait mis en
relation le reste de la bande avec Pascal Teso. Dans une salle de
sport, il fréquente Wlodizimiers Janczyszyn, dit «Vlad» le Polonais,
autoentrepreneur, spécialisé dans les casses et les cambriolages. Lequel
s’est lié avec un ancien taulard d’origine croate, Zoran Panic,
ex-légionnaire, dit «La Zoze», connu des services d’enquête pour acheter
voitures et téléphones avec de faux papiers. De fil en aiguille,
l’équipe reçoit le renfort du Toulousain Dominique Soulage, importateur
de chalumeau dans le muretain et connu des services d’enquête pour des
vols aggravés. Soulage et «Vlad» le Polonais travaillent en Suisse, à
Crans Montana dans un centre de karting sur glace.
D’un côté le savoir-faire technique, de l’autre des experts en casses
et vols en tout genre dont les ambitions grandissent un peu plus chaque
mois. Une montée en puissance illustrée par le parcours de «Vlad», qui
de 2007 à 2011 multiplie les vols de berlines à Toulouse et en
Tarn-et-Garonne. En 2007, il se laisse enfermer dans un restaurant
Flunch de Toulouse, caché au fond des ballons de jeux pour enfants.
«J‘avais remarqué la présence du coffre-fort en allant manger», avait-il
déclaré, en avril 2017, devant le tribunal correctionnel lors de son
procès. Bien avant le casse de Bessières, «Vlad» avait reconnu un autre
projet très audacieux après la lecture d’un livre sur le braqueur
Antonio Ferrara. Il avait noté les tournées de convoyeurs de fonds, à
Muret, Ramonville et Toulouse, avant d’abandonner son projet jugé trop
compliqué. À ses heures perdues, il vend des voitures de luxe à bas prix
et consulte des sites paramilitaires. Avant l’attaque de Bessières,
«Vlad» a des fourmis dans les jambes et de l’adrénaline à revendre. En
prison, il croise la route de Panic «tombé» dans des affaires de vols et
d’escroquerie. Un homme extrêmement méfiant, ultra-mobile qui utilise
des brouilleurs de téléphone, toujours accompagné de quelques
lieutenants assurant sa protection. À leur sortie de prison, la
connexion se fait avec le clan Teso. Lorsque le commando est arrêté par
les gendarmes de la section de recherches, le 5 avril 2016, au terme de
moyens exceptionnels (lire plus bas), «Vlad» nie sa
participation au creusement du tunnel. «Il était persuadé que le casse
de Bessières n’allait pas marcher. D’ailleurs, il conteste les charges
et les éléments de preuve retenus contre lui. Il estime qu’il y a eu
beaucoup de trop de raccourcis», précise son avocat, Me Apollinaire
Legros-Gimbert qui assure sa défense, avec Me Edouard Martial.
L’opération de Bessières réussie, «Vlad», Panic, Soulage et quelques
autres lorgnent aussitôt sur une autre banque, à Reims, où le projet
d’un autre tunnel et des actes préparatoires étaient en cours. Tout
comme l’attaque du dépôt de la Brinks, à Toulouse ou le vol de
l’armurerie du PSIG dans une caserne de gendarmerie toulousaine. Des
projets auxquels ils devront également répondre devant le tribunal
correctionnel.
Au terme de onze jours d’audience, le tribunal correctionnel de
Bordeaux a rendu son jugement. Les magistrats ont suivi dans les grandes
lignes le réquisitoire du procureur contre les principaux suspects du
casse du crédit agricole de Bessières (Haute-Garonne).
Ils étaient 11 à être jugés pour ce vol spectaculaire
: 110 coffres du Crédit agricole de Bessières fracturés en 2014 en
passant par un tunnel de 30m de long. Un butin de 2,5 millions d’€ et
une équipe qui n’a cessé de minimiser ses torts.
Mais ce vendredi tous les prévenus ont été condamnés par le tribunal correctionnel de Bordeaux.
Pascal Teso « le cerveau du tunnel » écope de sept ans
Il voulait se venger d’une banque qui lui avait refusé un prêt. Il
avait Albert Spaggiari pour modèle et souhaitait être jugé en voleur pas
en braqueur. Pascal Teso, celui qui a eu l’idée du casse, risquait neuf ans de prison selon les réquisitoires du procureur. Les magistrats ont finalement tranché pour sept ans.
« Ce sont des peines sévères par rapport aux faits
reprochés à l’ensemble des prévenus. On est en dessous des réquisitions
mais c’est dommage que le tribunal n’ait pas complètement entendu Mr
Teso quand il demandait à être jugé comme un voleur et pas comme un
braqueur. Ce sont des peines lourdes pour un dossier où il n’y a pas
d’arme, pas de violence » Me Caroline Marty-Daudibertières.
En revanche les principaux autres protagonistes « Vlad »Janczyszyn, Zoran Panic ou Dominique Soulage sont condamnés respectivement à huit, neuf et 10 ans d’emprisonnement.
Les autres prévenus sont condamnés à des peines allant d’une simple
amende à 5 ans de prison ferme en passant par des peines de sursis. A
la sortie de l’ultime audience, les avocats de la défense n’ont pas
caché leur déception, ils espéraient que les magistrats prennent en
compte les manquements qu’ils avaient pointé pendant le procès.
Casse de Bessières : les principaux accusés écopent de peine de 5 à 10 ans de prison
Publié le 13/10/2018 à 03:54 / Modifié le 13/10/2018 à 09:00
Casse de Bessières : les principaux accusés écopent de peine de 5 à 10 ans de prison
Les principaux prévenus du «casse des égoutiers» de Bessières
(Haute-Garonne) en 2014, une réplique presque parfaite du casse du
siècle de Spaggiari à Nice en 1976, ont été condamnés hier à des peines
allant de sept à dix ans d’emprisonnement.
Des peines de 9 et 10 ans de prison avaient été demandées à
l’encontre des quatre principaux accusés pour ce casse au cours duquel
un butin de près de 2,5 millions d’euros avait été dérobé dans une
agence Crédit Agricole en creusant un tunnel.
Le cerveau du projet, Pascal Teso, a été condamné à 7 ans de prison
alors que 9 avaient été requis. «Les réquisitions étant de neuf ans, il
aurait été normal qu’il ne prenne que quatre ou cinq ans, le tribunal
n’a fait que la moitié du chemin qu’il devait faire et c’est
regrettable», a souligné Me Pierre Le Bonjour, l’avocat de M. Teso.
Pour Me Le Bonjour, son client, fasciné par Albert Spaggiari, et les
autres prévenus «paient trop cher» ce casse commis de manière
«intelligente et sans violence».
Les quatre autres prévenus comparaissant détenus ont écopé de cinq à
dix ans d’emprisonnement. Six autres, qui comparaissaient libres, ont
été condamnés à des peines allant de trois ans d’emprisonnement à 120
jours-amendes à 5 euros. Ils sont également condamnés, à titre de
réparation de différents préjudices, à payer environ 230 000 euros à la
caisse régionale du Crédit Agricole et près de 1,5 million à la société
Orange.
Les braqueurs avaient creusé un tunnel sous la banque./AFP
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