Luc Carvounas juge que Richard Ferrand a commis... par franceinfo
La polémique concernant Richard Ferrand ne s’éteint pas, les arguments de ses détracteurs sont sérieux.
Et voilà que tout à coup, tel le loup sortant du bois, le fidèle défenseur de Nicolas Sarkozy intervient aussi en faveur de l’accusé du jour…
Je redis là ce que j’ai déjà écrit récemment : lorsqu’en 2005 ma fonction de représentation de l’association AC ! Brest m’amenait parfois à contacter des responsables de la gestion des RMI pour le Conseil général du Finistère, avant de répondre à mes questions, la personne que j’avais au bout du fil me faisait patienter ou me demandait de la rappeler afin de lui laisser le temps de se renseigner auprès de ses collègues des Hauts-de-Seine…
Mais ce n’est pas le plus gros problème que me pose M. Richard Ferrand, non, loin de là : ce monsieur a quand même été l’auteur, en 2011, d’un texte public ne laissant planer absolument aucun doute quant à sa connaissance des conflits qui en 2008 et 2009 m’avaient opposée sur Internet, et notamment sur le site Rue89, au malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi ainsi qu’à toute sa bande de cybercriminels… Pire encore : partisan, son propos était à mon égard exactement celui de mes bourreaux, des ASSASSINS de ma famille, une famille d’ingénieurs tous haïs à la hauteur de leur intellect uniquement par des CRAPULES.
Dans ces conditions, je m’interroge et attends la suite d’investigations que j’espère toujours en cours.
http://www.francetvinfo.fr/replay-radio/8h30-aphatie/revelations-du-canard-enchaine-luc-carvounas-juge-que-richard-ferrand-a-commis-une-faute_2186515.html
Révélations du « Canard enchaîné » : Luc Carvounas juge que Richard Ferrand a commis « une faute »
Le porte-parole du PS pour les législatives, invité jeudi de franceinfo, a estimé que le ministre de la Cohésion des territoires avait commis « une faute » en 2011, « en laissant faire sa femme » dans l’affaire immobilière révélée par le « Canard enchaîné ».
franceinfoRadio France
publié le 25/05/2017 | 09:26
Le sénateur-maire PS d’Alfortville, invité jeudi 25 mai de franceinfo, a estimé que Richard Ferrand avait commis « une faute », dans l’affaire immobilière et familiale révélée mercredi par le Canard enchaîné. Luc Carvounas s’est aussi étonné du silence du ministre de la Justice, François Bayrou, sur ce « premier couac », dit-il, dans le gouvernement. Le porte-parole du Parti socialiste pour les législatives n’a pas apprécié les premières réactions de Richard Ferrand, ministre de la Cohésion des territoires.
« Ce qui m’intéresse, comme parlementaire de gauche et je voterai la première loi sur la moralisation de la vie publique, c’est de savoir ce que pense le Garde des sceaux, François Bayrou, qui est en train de plancher et d’écrire une loi. Quelle est son appréciation sur l’échelle des valeurs ? Je n’entends rien », a déclaré Luc Carvounas, en campagne pour les législatives dans le Val-de-Marne. « S’il n’y pas la réaction à la hauteur des enjeux qui sont censés être les nôtres dans ce texte, alors cela veut dire que nous sommes sur du cynisme, des mensonges, de l’hypocrisie et des coups de communication », a-t-il ajouté.
« Je pense qu’il y a une faute de la part de Monsieur Ferrand qui a laissé faire sa femme vis à vis de cette affaire », a estimé Luc Carvounas, qui engage à vérifier si’il n’y a pas d’argent public dans ce dossier immobilier.
>>>Retrouvez ici la liste des candidats aux législatives dans la 9e circonscription du Val-de-Marne
Des « garde-fous » de gauche à l’Assemblée
Appelé à préciser les ambitions du PS pour les législatives, Luc Carvounas a déclaré que l’objectif était que « des hommes et des femmes de gauche socialistes puissent être un peu les garde-fous de ce qui nous est annoncé dans ce quinquennat ». Le sénateur-maire PS d’Alfortville a estimé qu’il y a « besoin de gauche à l’Assemblée nationale et d’un débat ». « Je ne redoute pas le pire, mais pense qu’il va y avoir des déçus, y compris dans l’électorat naturellement socialiste qui a voté pour Emmanuel Macron. Il y a des choses qu’on ne peut pas accepter. Je ne peux pas accepter de franchir le Rubicon sur l’augmentation de la CSG qui va pénaliser le pouvoir d’achat des retraités ou le Code du travail réformé par ordonnance », a précisé Luc Carvounas. « C’est une politique de droite qui va s’appliquer dans notre pays. Ce n’est pas insultant de le dire (…) Il faudra bien qu’il y ait des gens de gauche pour préserver nos acquis sociaux », a-t-il ajouté.
Interrogé sur la prolongation de l’état d’urgence souhaitée par Emmanuel Macron, Luc Carvounas aurait souhaité que le Premier ministre « consulte les grands partis traditionnels ». « Il aurait été sain et démocratique, face à la verticalité du pouvoir, qu’Edouard Philippe consulte les grands partis politiques de ce pays », a déclaré le sénateur PS, précisant qu’il votera la prolongation jusqu’en novembre.
Manuel Valls a « le même parcours » qu’Éric Besson
Interrogé sur les ralliements pressentis ou actés à la majorité présidentielle, Luc Carvounas, a comparé Manuel Valls à Éric Besson, qui avait accepté en 2007 d’entrer au gouvernement sur demande de Nicolas Sarkozy. « Dans le passé, il y a eu Eric Besson et Jean-Marie Bockel qui ont soutenu une politique de droite. Manuel Valls a le même parcours politique aujourd’hui », a lancé le candidat PS aux législatives dans le Val-de-Marne. « Je suis là pour vous le dire franchement, j’ai un désaccord politique profond avec Manuel Valls, tout en ayant du respect et de l’amitié pour lui », a précisé Luc Carvounas.
« Quand l’ancien Premier ministre de François Hollande soutient le nouveau président de la République mais surtout le chef de la majorité Edouard Philippe, qui a voté contre toutes les lois pendant cinq ans présentées par Manuel Valls, il y a juste un problème de cohérence », a-t-il poursuivi. Le porte-parole du PS pour les législatives regrette cependant le traitement « non bienveillant » qui a été réservé à l’ancien Premier ministre, même si La République en marche (LREM) n’a pas investi de candidat face à lui dans l’Essonne. « Ils ont été sur la retenue mais avec une pince à linge pour se boucher le nez. Je trouve que tout cela n’est pas à la hauteur des enjeux », a regretté Luc Carvounas.
: élections 2017
- Richard Ferrand employait son fils, son entourage assure que son travail était bien réel
- Ce que révèle « Le Canard enchaîné » sur « l’affaire immobilière » du ministre Richard Ferrand
http://www.bfmtv.com/politique/en-fevrier-sur-rmc-ferrand-fustigeait-l-embauche-de-son-conjoint-ou-enfants-a-l-assemblee-1171749.html
En février sur RMC, Ferrand fustigeait « l’embauche de conjoints ou enfants » à l’Assemblée
25/05/2017 à 11h14
Peut-il tenir? C’est la question qui affleure après que le nouveau ministre a confirmé, en plus d’un montage immobilier favorisant sa compagne, avoir embauché son fils en tant qu’assistant parlementaire.
Les archives vidéo ne pardonnent rien aux politiques. Aujourd’hui
ministre de la Cohésion des territoires, Richard Ferrand s’impose comme
un fervent partisan d’un renforcement de la morale en politique. Invité
de Jean-Jacques Bourdin sur RMC en février dernier, il préconisait
notamment de « s’engager, par exemple, à ne pas embaucher son conjoint
ou ses enfants lorsque l’on a une fonction publique ». L’affaire Fillon venait d’éclater à la suite d’un article du Canard Enchaîné daté du 25 janvier 2017.
Mercredi, Le Canard enchaîné révélait que Richard Ferrand, pièce maîtresse du nouveau président, avait embauché de son fils quelques mois en tant que collaborateur parlementaire entre janvier et mai 2014. Selon l’hebdomadaire, Richard Ferrand a versé 8.704 euros brut à son fils pour ces tâches sur l’ensemble de la période.
Le Canard enchaîné a également épinglé Richard Ferrand pour une affaire immobilière, alors qu’il était encore directeur général des Mutuelles de Bretagne en 2011. L’organisme avait souhaité louer des locaux commerciaux à Brest (Finistère) pour ouvrir un centre de soins et avaient choisi entre trois propositions celle d’une société immobilière appartenant à la compagne de Richard Ferrand.
« Je vois bien qu’aujourd’hui. Il y a un rejet total de l’idée qu’un parlementaire puisse embaucher l’un de ses proches. Je ne le referais pas », a insisté le député du Finistère sur franceinfo.
« Ça meurtrit évidemment Richard, qui est un homme d’une probité exceptionnelle (…) mais une chose est sûre, il n’y a rien d’illégal, il n’y a rien qui ne serait pas moral », a assuré Christophe Castaner.
Dans son programme, Emmanuel Macron a dit vouloir interdire à tout élu ou ministre d’embaucher un membre de sa famille et, pour prévenir les conflits d’intérêts, empêcher les parlementaires d’exercer des activités de conseil parallèlement à leur mandat.
Mercredi, Le Canard enchaîné révélait que Richard Ferrand, pièce maîtresse du nouveau président, avait embauché de son fils quelques mois en tant que collaborateur parlementaire entre janvier et mai 2014. Selon l’hebdomadaire, Richard Ferrand a versé 8.704 euros brut à son fils pour ces tâches sur l’ensemble de la période.
Le Canard enchaîné a également épinglé Richard Ferrand pour une affaire immobilière, alors qu’il était encore directeur général des Mutuelles de Bretagne en 2011. L’organisme avait souhaité louer des locaux commerciaux à Brest (Finistère) pour ouvrir un centre de soins et avaient choisi entre trois propositions celle d’une société immobilière appartenant à la compagne de Richard Ferrand.
Une affaire qui tombe au plus mauvais moment
« Je vois bien qu’aujourd’hui. Il y a un rejet total de l’idée qu’un parlementaire puisse embaucher l’un de ses proches. Je ne le referais pas », a insisté le député du Finistère sur franceinfo.
« Ça meurtrit évidemment Richard, qui est un homme d’une probité exceptionnelle (…) mais une chose est sûre, il n’y a rien d’illégal, il n’y a rien qui ne serait pas moral », a assuré Christophe Castaner.
Dans son programme, Emmanuel Macron a dit vouloir interdire à tout élu ou ministre d’embaucher un membre de sa famille et, pour prévenir les conflits d’intérêts, empêcher les parlementaires d’exercer des activités de conseil parallèlement à leur mandat.
David Namias avec Anne-Sophie Warmont
http://www.lefigaro.fr/elections/legislatives/2017/05/25/38001-20170525LIVWWW00052-en-direct-le-fil-politique-du-jeudi-25-mai-2017.php
En campagne dans le Finistère, Richard Ferrand exclut toute démission
Au cours du déplacement dans le Finistère dont nous vous parlions
plus bas, le ministre de la Cohésion des Territoires Richard Ferrand a
exclu toute démission.
Lire aussi : Richard Ferrand pris à son tour dans la tourmente des affaires
Lire aussi : Richard Ferrand pris à son tour dans la tourmente des affaires
« Pas une seconde », Richard Ferrand n’a pensé à démissionner. « On démissionne quand on est coupable de quelque chose. Je ne suis coupable de rien ni sur le plan légal, ni sur le plan moral », a affirmé le ministre face à des journalistes présents à Huelgoat (Finistère), des propos diffusés par BFMTV.
Interrogé sur son avenir après les législatives, le ministre a
répondu: « J’espère bien que Dieu me prêtera vie longtemps », avant
d’ajouter: « Les Françaises et les Français veulent que le président ait
une majorité pour gouverner et je suis un maillon de cette majorité ».
Selon Le Canard enchaîné, les faits remontent à 2011: à
Brest, les Mutuelles de Bretagne, qui souhaitaient louer des locaux
commerciaux pour ouvrir un centre de soins, avaient choisi parmi trois
propositions celle d’une société immobilière appartenant à la compagne
de Ferrand.
Dans une interview au quotidien Le Télégramme parue jeudi,
Richard Ferrand assure que sa « compagne s’était déjà engagée dans
l’acquisition de ces locaux avant la décision des Mutuelles ». « A
l’unanimité, précise-t-il au journal breton, le conseil
d’administration, qui est l’instance de décision (et dont je ne fais pas
partie !), a choisi pour le prix et pour leur emplacement les locaux
possédés par ma compagne. D’ailleurs, le bail a été reconduit en 2014,
preuve que ces locaux conviennent… étant précisé que j’ai quitté la
direction des Mutuelles en 2012. »
« Ça durcit le cuir, mais je m’en serais bien passé », admet
Ferrand. « Je suis sans doute devenu une cible du fait de mon engagement
très exposé et de ma récente nomination. Mais j’ai ma conscience pour
moi et le caractère résistant des Bretons ! Je suis aussi républicain :
le respect de la loi prime sur tout. »
Macron reçu par Trump à Bruxelles
Le président américain Donald Trump a accueilli son homologue français Emmanuel Macron à l’ambassade des Etats-Unis à Bruxelles pour leur toute première rencontre, un déjeuner de travail en marge d’un sommet de l’Otan.
crédits : REUTERS/Jonathan Ernst
Melania Trump était également sur le perron de l’ambassade pour recevoir le nouveau président français. Au menu, chargé, de la rencontre prévue pour durer plus d’une heure: le sommet de l’Otan et celui du G7 qui s’ouvrira jeudi en Italie, les crises régionales (Syrie, Ukraine, Corée du Nord…), l’économie et le respect, toujours incertain, par la nouvelle administration américaine de l’accord de Paris sur le climat.
crédits : AP Photo/Evan Vucci
Pendant ce temps-là, Richard Ferrand fait campagne
Comme si de rien n’était, Richard Ferrand, au coeur d’une tourmente, fait campagne dans sa circonscription et use des vieilles méthodes de la politique, à savoir être sur le terrain et le faire savoir :
Plus tôt, il était sur un marché à Huelgoat.
Affaire Ferrand : Guaino lui vient en aide
Henri Guaino, candidat aux législatives à Paris, a dénoncé « l’hystérie » qui a « conduit à une espèce de chasse à l’homme », à propos de Richard Ferrand. « Je suis frappé par cette hystérie qui, brusquement, à partir d’une information dont personne ne connaît réellement les tenants et les aboutissants, conduit à cette espèce de chasse à l’homme », a regretté Guaino sur RTL, également « choqué par l’espèce de folie de la transparence et de l’inquisition ».
Richard Ferrand doit-il démissionner de son poste de ministre de la
cohésion sociale? « C’est à lui d’en juger (…) Mais, « pour l’instant,
on n’a pas les éléments en main d’un énorme scandale qui justifie qu’il
quitte son poste », a répondu ce député LR sortant des Yvelines et
ex-plume de Nicolas Sarkozy.
« Je connais Richard Ferrand pour l’avoir côtoyé pendant 5 ans à
l’Assemblée, il me paraît être plutôt quelqu’un d’honnête et de sérieux.
Ce n’est pas une affaire d’argent public, pas une affaire de marché
public. Il appartient, s’il y a un doute, au parquet de diligenter une
enquête préliminaire. Et on verra bien », a ajouté ce candidat aux
législatives dans la 2e circonscription de Paris, où LR et l’UDI ont
investi Nathalie Kosciusko-Morizet.
Selon Guaino, « il est important que la vie politique soit morale, et
si l’on veut moraliser, il est important aussi que chacun garde son
sang froid , n’accuse pas à tort et à travers sans avoir les éléments
pour le faire ». Il a également estimé que la saisie annoncée par
Bernard Accoyer, secrétaire général de LR, du Parquet national financier
(PNF) n’était « pas la meilleure idée » qui soit. « Condamner avant
même d’avoir ouvert le dossier me fait un peu froid dans le dos »,
a-t-il lancé.
Interrogé sur la loi de moralisation de la vie politique préparée
par le gouvernement, le député LR a affirmé: « on verra ce qu’il y a
dedans, mais à force d’en rajouter toujours, en jouant sur la suspicion
générale qui existe aujourd’hui vis-à-vis des responsables politiques,
on va finir par détruire la vie politique ». « Il faut être
raisonnable » et ne pas « tomber dans une espèce d’ordre moral qui va
finir par tuer la politique. On est parti dans une espèce de délire
général qui commence à devenir un peu inquiétant », a-t-il estimé.
« Cette loi, je verrai ce qu’il y a dedans, mais n’en faisons pas
l’outil de toutes les démagogies ».
Affaire Ferrand : le FN dénonce un « deux poids deux mesures »
Le sénateur-maire FN de Fréjus David Rachline a dénoncé un « deux poids deux mesures » à propos de l’attitude de la justice après les révélations du Canard enchaîné sur le ministre de la Cohésion des territoires, Richard Ferrand.
Selon Rachline, interrogé sur BFMTV, Marine Le Pen, présidente du
Front national et candidate aux législatives dans le Pas-de-Calais, « a
eu raison » en demandant mercredi la démission du ministre. Jugeant que
« la justice ne semble pas se passionner pour ce sujet, tandis qu’elle
était beaucoup plus dynamique dans le cas de plusieurs autres candidats
ou personnalités il y a encore peu de temps », il a déclaré que « c’est
un deux poids deux mesures assez étrange ».
« Peut-être qu’il n’y a rien d’illégal, c’est à la justice de le
dire », a ajouté l’élu du Var, reprochant tout de même à Ferrand de
faire « comme ce qu’il dénonçait il y a encore quelques semaines ».
Le parti Les Républicains a annoncé mercredi son intention de saisir
le parquet national financier (PNF) pour qu’il ouvre une enquête. Mais,
selon une source proche du dossier, « les faits évoqués à ce stade
n’entrent pas dans le champ de compétence du PNF ».
Selon l’hebdomadaire satirique, les Mutuelles de Bretagne, dont
Ferrand était à l’époque directeur général, ont choisi en 2011 de louer
un local d’une société immobilière appartenant à sa compagne, parmi
trois propositions. Le ministre a qualifié ces accusations de
« dénonciations calomnieuses » assurant que le local retenu avait été
choisi car il était « le mieux placé et le moins cher ».
Sur un autre volet dévoilé par Le Canard, l’embauche de son fils
quelques mois comme collaborateur parlementaire, le ministre de la
Cohésion des territoires a toutefois évoqué des regrets en déclarant :
« Si c’était à refaire, je ne le referais pas ».
Bonjour à tous et bienvenue
Merci de suivre avec nous cette nouvelle journée d’actualité
politique, animée notamment par la campagne des législatives ou les
remous de l’affaire Richard Ferrand. N’hésitez pas à nous faire part de
vos avis dans les commentaires.
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