Et cela n’a rien à voir avec mes publications de ces derniers jours, évoquant les attentats terroristes qu’elle projetait déjà dans les années 1990 avec ses amis de l’OTS avant que ceux-ci ne se retrouvent dans le collimateur de différents services de police et ne disparaissent finalement pour un certain nombre d’entre eux dans les « suicides » collectifs de la secte.
Non, cela tient toujours à sa volonté de se venger pour tous ses échecs du passé me concernant, notamment ceux des années 1990, une volonté partagée par tous ses complices magistrats corrompus des tribunaux de Brest et Quimper, et bien sûr, par le psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi, dont elle utilise les services à mon encontre depuis l’année 2008 au moins, attentats terroristes y compris.
Je rappelle qu’il est toujours question d’assassiner tous les honnêtes gens qui de son point de vue l’auraient empêchée d’aboutir en toutes ses entreprises criminelles à mon encontre ou seraient responsables de tous ces échecs sans en avoir forcément conscience, ce qui est certainement le cas le plus fréquent, et même, les autorités militaires m’ayant jadis soutenue contre certains de ses complices, de renverser tous les corps de fonctionnaires concernés, c’est-à-dire d’achever complètement ou de mettre définitivement à terre un Etat déjà miné par l’infiltration et la corruption de ses agents à elle.
Aussi, après avoir encore éprouvé quelques difficultés à poursuivre toutes ses entreprises criminelles après ses échecs judiciaires répétés de ces dernières années à mon encontre, notamment ceux de janvier 2017 et avril 2018 à Paris, après lesquels elle ne parvenait quasiment plus à mobiliser de djihadistes pour sa « bonne cause », grâce à l’aide de nouveaux complices très actifs à mon encontre depuis 2019, elle a pu organiser de nouveaux attentats ou assassinats ces deux dernières années, par exemple ceux du 9 août 2020 dans le parc animalier Kouré au Niger, et va continuer, ayant encore bénéficié de la complicité de nouveaux malpropres au cours de cette année 2021, ce qui lui a permis l’été dernier de préparer les attentats de cette fin d’année, comme celui qui vient d’être déjoué tout récemment.
Il est donc absolument certain qu’elle et ses complices ne vont pas s’arrêter là et vont recommencer, et même, que d’autres attentats sont déjà en cours de préparation ou tout aussi imminents que ceux des deux hommes qui viennent d’être arrêtés.
En effet, observant ces malfrats auxquels j’ai directement affaire depuis des années, et pas seulement sur la toile, j’ai bien compris depuis longtemps à quoi ils « jouent » et peux donc affirmer sans crainte de me tromper que leur programme pour cet hiver 2021-2022 est tout à fait comparable à celui de l’année 2014- 2015.
Sauf, bien sûr, si les autorités judiciaires se décidaient enfin à mettre hors d’état de nuire cette bande de terroristes, mais les fonctionnaires auxquels il revient d’agir sont tellement atteints par la corruption qu’il est tout à fait vain de l’espérer.
Précisément parce qu’ils sont corrompus, comme par exemple tous ces magistrats brestois qui me haïssent autant que leur complice la criminelle Josette Brenterch, ils participent activement à l’organisation de tous ses attentats terroristes pour désorganiser toujours plus les services étatiques qui pourraient éventuellement les faire « tomber ».
Deux hommes projetant des attaques au couteau à Noël arrêtés
Deux hommes de 23 ans ont été interpellés le 29 novembre en région parisienne, à Meaux (Seine-et-Marne) et au Pecq (Yvelines) par les agents de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte quelques jours plus tôt par le parquet national antiterroriste (Pnat), révèle Le Parisien.
Selon le journal, les deux hommes âgés de 23 ans ont été mis en examen le 3 décembre pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » et placés en détention provisoire.
« Ils ont été interpellés le lundi 29 novembre au matin à Meaux
(Seine-et-Marne) et au Pecq (Yvelines) par les policiers de la Direction
générale de la sécurité intérieure (DGSI) dans le cadre d’une enquête
préliminaire ouverte quelques jours plus tôt par le parquet national
antiterroriste (Pnat) », précise le Parisien.
D’après le journal, un des suspects, connu des services de police pour radicalisation, a déclaré aux enquêteurs que les deux hommes projetaient de tuer au hasard des « mécréants » dans des centres commerciaux ou des rues fréquentées de la région parisienne, avant de « mourir en martyr ».
Le duo entendait revendiquer ses attaques au nom du groupe Etat islamique, a-t-il ajouté.
La DGSI a déjoué au moins quatre projets d’actions violentes
d’inspiration djihadiste depuis le début de l’année, rappelant que la
menace, bien qu’atténuée par rapport à la deuxième moitié de la décennie
2010, reste réelle en France.
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