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dimanche 19 décembre 2021

Enorme scandale à Brest : les directeurs du CHU sont proxénètes

Depuis le 5 décembre, je reviens sur le cas du proxénète et ancien directeur de l’hôpital psychiatrique de Bohars Christian Barthes, déjà abordé à plusieurs reprises dans d’anciennes publications sur mes blogs.

J’en ai d’abord parlé à propos de cette affaire de double meurtre commis au stand de tir de la Marine à Brest le 13 octobre 1996, et pour lequel il se trouvait a priori aux premières loges, puisqu’il occupait le logement de fonction de la Direction Générale du CHU de Brest, une maison surplombant les lieux du crime, juste en face, au-dessus de l’étang de la Villeneuve :

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/11/30/retour-a-lactualite-de-laffaire-du-double-meurtre-du-stand-de-tir-de-brest/

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/05/retour-sur-laffaire-du-double-meurtre-du-stand-de-tir-de-brest/

Puis indépendamment de cette affaire, en évoquant aussi sa grande protectrice Josette Brenterch du NPA de Brest qui dispose à son sujet d’un dossier très conséquent (j’avais tenté d’en parler en sa présence en 2004 sans connaître au préalable leurs relations et n’avais alors provoqué chez elle que fureur et grands cris hystériques, car selon elle il était « interdit d’en parler ! » , même entre nous…) :

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/06/suite-a-ma-publication-dhier/

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/06/nayez-plus-peur-de-denoncer-christian-barthes-il-est-mort/

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/06/de-lexpulsion-de-christian-barthes-du-chu-de-brest/

Notons au passage que ces publications concernant l’affaire du double meurtre du stand de tir, notamment celle du 7 décembre rappelée ci-dessous, semblent bien être la cause d’une réaction assez curieuse, presque un aveu de culpabilité de celui qui a fait supprimer la vidéo la plus complète à ce sujet sitôt après :

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/07/double-meurtre-du-stand-de-tir-de-brest-un-dossier-qui-devrait-etre-depayse/

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/08/quelle-bande-de-cochons/

Et je suis aussi revenue sur le cas d’un autre ancien directeur de l’hôpital psychiatrique de Bohars, Etienne Morel, qui ne valait pas mieux que son prédécesseur Christian Barthes et se sera ensuite signalé à Quimperlé comme protecteur du pédophile Joël Le Scouarnec :

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/13/des-nouvelles-detienne-morel-ancien-directeur-hospitalier-dans-le-finistere/

Ceci sans oublier d’évoquer leurs liens avec d’autres proxénètes et quelques figures de la Chiraquie connues pour leurs moeurs de nature criminelle :

http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/13/des-nouvelles-de-dominique-cantien-ex-de-nicolas-hulot-et-philippe-douste-blazy/

Mais le cas des directeurs de l’hôpital psychiatrique de Bohars ne s’éclaire vraiment qu’avec une condamnation pour usurpation de titre prononcée contre Christian Barthes par le Tribunal Correctionnel de Brest le 14 mai 2002, et confirmée en appel à Rennes le 11 mars 2003 (cf. documents publiés ci-dessous, où j’ai masqué les noms et coordonnées de deux victimes de Christian Barthes).

En effet, à cette date, soit un mois et demi avant sa condamnation pour proxénétisme aggravé et faux et usage de faux pour avoir toujours prostitué sa propre épouse à compter de l’année 1996 et organisé une dissimulation des revenus correspondants, Christian Barthes avait été condamné pour avoir continué à faire usage d’une qualité de directeur d’hôpital qu’il n’avait plus depuis sa révocation de la fonction publique par décision ministérielle du 10 août 1999, dans trois circonstances distinctes pour lesquelles aucun autre fait répréhensible ne lui a jamais été reproché par les autorités judiciaires, comme si tous les agissements pour lesquels il s’était prévalu de ses anciennes fonctions de directeur hospitalier du CHU de Brest ressortissaient effectivement des attributions d’un tel directeur, qu’il n’était plus; à savoir :

1°/ en 2000, s’être intéressé à des jeunes filles mineures confiées au Foyer de l’Enfance de la Garenne à Saint-Martin-des-Champs, d’une telle manière que leur éducateur finira par lui demander des explications; il avait en effet remarqué que ce monsieur qui plusieurs fois lui avait ramené des mineures en fugue était en fait celui-là même qui au préalable venait les débaucher, les appâtant avec quelques cadeaux, tandis que d’autres qui refusaient de sortir avec lui ou ne voulaient plus le voir se plaignaient d’être harcelées par lui; la demande d’explications s’était soldée par des menaces de Christian Barthes contre l’éducateur : brandissant sa carte de directeur du CHU de Brest, évoquant également ses relations au Conseil Général du Finistère, il l’avait menacé de lui faire perdre son emploi en cas de dénonciation; sa lettre au Procureur de la République de Brest était donc bien une plainte portant sur l’ensemble de ces faits répréhensibles, à commencer par ceux de détournement de mineures, même pas rapportés dans le jugement du 14 mai 2002 ayant condamné Christian Barthes pour l’unique fait d’usurpation de titre, en l’occurrence totalement inconnu de ses victimes de ce Foyer de l’Enfance du Finistère qui ne seront jamais averties des suites données à leur plainte que par moi, du jour où j’en eus connaissance;

2°/ le 11 février 2001, avoir conduit contre son gré jusqu’aux services des urgences du CHU de Brest en vue de son hospitalisation sous contrainte une jeune femme dont l’état ne nécessitait aucune hospitalisation; il y avait donc là enlèvement et séquestration suivis d’une tentative d’internement abusif, probablement assortis d’autres violences, mais encore une fois, seule l’usurpation de titre fut retenue par les magistrats; en conclusion, donc, ne montez jamais dans la voiture d’un directeur du CHU de Brest, mesdames, mesdemoiselles, ne prenez jamais le risque de le suivre où que ce soit, vous ne savez où cela peut vous conduire sans qu’aucun des magistrats locaux ne s’en offusque jamais : internement psychiatrique sous contrainte totalement injustifié, viols, prostitution forcée dans un bar à hôtesses de Brest, bordel, etc…

3°/ avoir, au mois de février 2001, par ses comportements auprès d’une patiente d’un neurologue du CHU de Brest, provoqué une rupture d’anévrisme chez cette personne qui tentera vainement de se constituer partie civile lors du procès, seule l’usurpation de titre étant à nouveau retenue par les magistrats brestois.

Notons encore que Christian Barthes était connu de son personnel à l’hôpital psychiatrique de Bohars pour ses visites nocturnes dans les services de « soins », où il venait violer des patientes de ses psychiatres, faits pour lesquels il n’a jamais fait l’objet d’aucune poursuite.

Par ailleurs, cet ami de l’ancien proxénète brestois Bernard Algret était bien le « protecteur » de plusieurs jeunes femmes prostituées exerçant notamment dans des bars à hôtesses de Brest. Il était aussi leur fournisseur en cocaïne.

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 















































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