De plus, dans ce cas particulier, la victime avait entre 5 et 8 ans
lorsqu’elle a été violée, à de multiples reprises, par un ami de ses
parents à leur domicile.
Cela s’est produit dans le ressort du Tribunal de Grande Instance de Rennes, dont le président déplore qu’il présente un taux de juges des enfants parmi les plus faibles de France.
Comment s’en étonner ?
Nous sommes en Bretagne, une région où le pouvoir central a toujours vu partout de dangereux indépendantistes à mater par tous les moyens, le viol de leurs femmes et de leurs enfants en faisant partie.
Que d’horreurs à ce sujet à la pointe du Finistère, où violeurs et pédophiles ont toujours été particulièrement choyés, voire attirés d'autres régions par l’impunité qui leur était offerte en compensation de la grisaille environnante…
Certes, il arrive parfois que l’un d’entre eux soit poursuivi et condamné, comme par exemple l’ancien psychiatre brestois Serge Rodallec, plusieurs fois poursuivi et condamné pour viols et agressions sexuelles sur trois de ses jeunes patients handicapés mentaux, ou bien encore un ancien directeur de l’hôpital psychiatrique de Bohars, condamné pour sa part pour des faits de proxénétisme aggravé, diverses autres violences, des faux et usages de faux, escroqueries, usurpations d’identités ou de titres, dénonciations calomnieuses et faux témoignages, et j’en oublie sûrement… mais ces cas restent isolés et résultent généralement d’une fâcherie quelconque du pervers avec un certain nombre de ses complices.
Les juges pour enfants ?
Autrefois, nous en avons eu un dont la pédophilie était connue de tous.
Aujourd’hui, il semblerait qu’ils doivent d’abord faire leurs preuves, par exemple en faisant poursuivre et condamner sur la base exclusive de dénonciations calomnieuses des victimes de Pascal Edouard Cyprien Luraghi, un individu qui depuis plusieurs années m’accuse mensongèrement de l’accuser de pédophilie et semble avoir depuis longtemps oublié que c’est lui-même qui au printemps 2010 se plaisait à se dire pédophile sur son propre blog.
C’est ainsi que les juges d’instruction Raymond André et Céline Verdier ont été tous deux nommés juges des enfants à la suite de leurs saloperies à mon encontre, en 2012 pour le premier et 2014 pour la seconde.
Ces magistrats apprécient énormément tous les écrits de l’autoproclamé « écrivain en ligne et à l’oeil depuis 2001″, qu’ils soient publics ou non : tous ses articles et commentaires me concernant, toutes ses dénonciations calomnieuses à mon encontre, dont ils font autant de charges irréfutables à mon encontre, mais aussi tous ses écrits publics lui ayant valu le 8 janvier 2015 la suppression d’un blog Blogspot pour apologie de la pédophilie.
A noter : Céline Verdier a particulièrement apprécié qu’il m’ait dénoncée comme « mécréante » sur plusieurs sites islamistes après avoir révélé mon identité et mes coordonnées au public en 2010. Elle était déjà au courant la première fois que je l’ai vue. C’est d’ailleurs un des rares points de discussion sur lesquels je n’ai pas dû me battre pour me faire entendre : elle a acquiescé tout de suite, sachant déjà que c’était vrai, probablement pour l’avoir lu sur le blog Luraghi, mais n’y voyait aucun mal…
https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/droit-et-justice/l-etat-condamne-pour-deni-de-justice-dans-l-affaire-de-karine-fillette-violee-chez-ses-parents-pendant-des-annees_2944405.html
Entre ses 5 et ses 8 ans, Karine a vécu l’enfer : elle a été violée à de multiples reprises par un « ami » de ses parents, hébergé au sein même de la maison familiale. Elle poursuivait l’Etat pour faute lourde.
« Je voudrais simplement que la justice reconnaisse ses erreurs pour que le système change. S’il avait fonctionné normalement, je n’aurais jamais subi tout ça… » raconte Karine au Parisien. A 21 ans, avec sa tante Laurence Brunet, elle a attaqué l’Etat, en juillet dernier, pour « faute lourde » : Karine estime en effet que la justice française ne l’a jamais protégée des innombrables abus qu’elle a subis durant son enfance. Elle est finalement parvenue à obtenir, lundi 17 septembre, une condamnation pour « déni de justice », mais a échoué à obtenir réparation pour « faute lourde » pour des raisons de prescription.
Tout commence dès le jour de sa naissance, en juillet 1997. La situation du bébé fait d’ores et déjà l’objet d’un signalement aux services sociaux, comme le relate Le Parisien. Sa mère, Anne-Marie, a été condamnée dans les années 1980 à 8 ans de prison pour avoir tué, à la naissance, d’une centaine de coups de couteau son premier enfant, issu d’un viol. Malgré ce passé violent, le juge des enfants choisit de maintenir Karine chez ses parents.
Pour elle, un calvaire de plus de douze ans commence. Délaissée par ses parents, la petite fille est complètement livrée à elle-même. En septembre 1998, un premier jugement impose une assistance éducative au domicile des parents, mais après une expertise psychiatrique, ces derniers conservent la garde de leur fille, relate Europe 1.
Au fil des années, les rapports des services sociaux se suivent, mettant en évidence une situation alarmante. Toujours selon Europe 1, les services de l’enfance ne notent « aucune évolution positive », décrivant un père « ombrageux » et une mère qui ne parvient pas à « gérer son intimité » avec sa fille, tout en refusant tout suivi thérapeutique. Malgré ces conclusions, un juge estime, en mai 2000, qu’une intervention éducative judiciaire n’est « pas nécessaire » : à nouveau, les parents de Karine gardent leur fille auprès d’eux.
A partir de 2002, les parents de Karine hébergent à leur domicile un homme, Roland, en connaissant pourtant ses antécédents de pédophilie. Dans un article du Parisien, la jeune femme raconte son calvaire : « Je me souviens parfaitement, quand il leur donnait de l’argent le mercredi pour qu’ils aillent acheter des cigarettes ou de l’alcool et qu’ils me laissaient seule avec lui. Ils savaient très bien ce qui se passait chez eux. »
L’entourage de la fillette s’inquiète. En 2003, Laurence Brunet, sa tante, alerte les services sociaux, alarmée par un comportement anormalement « sexué » de la petite fille, âgée de seulement 5 ans, précise Europe 1. Elle emmène Karine chez un gynécologue, qui dépiste « une très grosse infection gynécologique ». A l’époque, le médecin questionne la fillette. « Avec ses mots à elle, elle a dit que son papa l’allongeait souvent dans la baignoire et qu’il la touchait beaucoup », raconte sa tante à Europe 1. Une première enquête est ouverte, mais elle est classée sans suite en février 2004.
En 2005, une nouvelle enquête est menée, à nouveau sans suite. « Parce que les parents sont arrivés avec un certificat médical, qu’ils avaient fait faire la veille chez le médecin traitant. Il n’y a pas eu d’investigation plus poussée, il n’y a même pas eu une séance avec un psychologue », déplore Laurence Brunet sur Europe 1. La tante, qui tente alors de faire entendre raison à la justice, est poursuivie pour dénonciation calomnieuse, écope d’un rappel à la loi et se voit contrainte d’écrire « une lettre d’excuses à la justice, pour les perturbations à Karine et à ses parents ».
En 2009, Karine parvient à parler. Le parquet de Rennes ouvre une enquête préliminaire en mai de la même année, mais attend ensuite un an, soit octobre 2010, pour confier l’enquête à un juge d’instruction. La jeune fille est finalement placée chez son oncle et sa tante. En juillet dernier, devant les assises d’Ille-et-Vilaine, Roland a reconnu l’avoir agressée sexuellement et violée entre 2002 et 2005, alors qu’elle était âgée de 5 à 8 ans. Il a été condamné à trente ans de réclusion. Les parents de Karine, eux, ont été poursuivis pour l’avoir empêchée de parler (« subornation de témoin »), la mère écopant de deux ans de prison avec sursis et le père de trois ans de réclusion dont six mois ferme. Mais la victime a également choisi de porter plainte contre l’Etat, pour faute lourde. « La justice aurait dû me protéger, elle ne l’a pas fait », déclare-t-elle au Parisien.
Comment est-il possible qu’on m’ait laissée chez eux, alors qu’Anne-Marie avait été condamnée pour un infanticide ?Karine, victime de pédophilie au « Parisien »
En juillet, aux assises, l’avocat général avait conclu son intervention en reconnaissant « un manque de clairvoyance » de la justice dans cette affaire. « Nous avons des questions à nous poser au niveau de notre responsabilité professionnelle », avait-il déclaré. « Le tribunal de Rennes ne peut que regretter que l’intervention judiciaire n’ait pu être plus efficace » à l’égard de Karine, a pour sa part écrit le président du tribunal de grande instance de Rennes, Ollivier Joulin, dans un courrier au Défenseur des droits consulté par l’AFP. Il y souligne que la juridiction de Rennes a un taux de juges des enfants « parmi les plus faibles de France ». « Ils travaillent sans relâche, presque toujours dans l’urgence absolue », parfois jusqu’au « burn-out » et « ont parfaitement conscience qu’ils ne peuvent, malgré l’intensité de leur engagement, éviter que des situations telles que celle qu’a connue Karine se reproduisent ».
Cela s’est produit dans le ressort du Tribunal de Grande Instance de Rennes, dont le président déplore qu’il présente un taux de juges des enfants parmi les plus faibles de France.
Comment s’en étonner ?
Nous sommes en Bretagne, une région où le pouvoir central a toujours vu partout de dangereux indépendantistes à mater par tous les moyens, le viol de leurs femmes et de leurs enfants en faisant partie.
Que d’horreurs à ce sujet à la pointe du Finistère, où violeurs et pédophiles ont toujours été particulièrement choyés, voire attirés d'autres régions par l’impunité qui leur était offerte en compensation de la grisaille environnante…
Certes, il arrive parfois que l’un d’entre eux soit poursuivi et condamné, comme par exemple l’ancien psychiatre brestois Serge Rodallec, plusieurs fois poursuivi et condamné pour viols et agressions sexuelles sur trois de ses jeunes patients handicapés mentaux, ou bien encore un ancien directeur de l’hôpital psychiatrique de Bohars, condamné pour sa part pour des faits de proxénétisme aggravé, diverses autres violences, des faux et usages de faux, escroqueries, usurpations d’identités ou de titres, dénonciations calomnieuses et faux témoignages, et j’en oublie sûrement… mais ces cas restent isolés et résultent généralement d’une fâcherie quelconque du pervers avec un certain nombre de ses complices.
Les juges pour enfants ?
Autrefois, nous en avons eu un dont la pédophilie était connue de tous.
Aujourd’hui, il semblerait qu’ils doivent d’abord faire leurs preuves, par exemple en faisant poursuivre et condamner sur la base exclusive de dénonciations calomnieuses des victimes de Pascal Edouard Cyprien Luraghi, un individu qui depuis plusieurs années m’accuse mensongèrement de l’accuser de pédophilie et semble avoir depuis longtemps oublié que c’est lui-même qui au printemps 2010 se plaisait à se dire pédophile sur son propre blog.
C’est ainsi que les juges d’instruction Raymond André et Céline Verdier ont été tous deux nommés juges des enfants à la suite de leurs saloperies à mon encontre, en 2012 pour le premier et 2014 pour la seconde.
Ces magistrats apprécient énormément tous les écrits de l’autoproclamé « écrivain en ligne et à l’oeil depuis 2001″, qu’ils soient publics ou non : tous ses articles et commentaires me concernant, toutes ses dénonciations calomnieuses à mon encontre, dont ils font autant de charges irréfutables à mon encontre, mais aussi tous ses écrits publics lui ayant valu le 8 janvier 2015 la suppression d’un blog Blogspot pour apologie de la pédophilie.
A noter : Céline Verdier a particulièrement apprécié qu’il m’ait dénoncée comme « mécréante » sur plusieurs sites islamistes après avoir révélé mon identité et mes coordonnées au public en 2010. Elle était déjà au courant la première fois que je l’ai vue. C’est d’ailleurs un des rares points de discussion sur lesquels je n’ai pas dû me battre pour me faire entendre : elle a acquiescé tout de suite, sachant déjà que c’était vrai, probablement pour l’avoir lu sur le blog Luraghi, mais n’y voyait aucun mal…
https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/droit-et-justice/l-etat-condamne-pour-deni-de-justice-dans-l-affaire-de-karine-fillette-violee-chez-ses-parents-pendant-des-annees_2944405.html
L’Etat condamné pour déni de justice dans l’affaire de Karine, fillette violée chez ses parents pendant des années
Entre ses 5 et ses 8 ans, Karine a vécu l’enfer : elle a été violée à de multiples reprises par un « ami » de ses parents, hébergé au sein même de la maison familiale. Elle poursuivait l’Etat pour faute lourde.
« Je voudrais simplement que la justice reconnaisse ses erreurs pour que le système change. S’il avait fonctionné normalement, je n’aurais jamais subi tout ça… » raconte Karine au Parisien. A 21 ans, avec sa tante Laurence Brunet, elle a attaqué l’Etat, en juillet dernier, pour « faute lourde » : Karine estime en effet que la justice française ne l’a jamais protégée des innombrables abus qu’elle a subis durant son enfance. Elle est finalement parvenue à obtenir, lundi 17 septembre, une condamnation pour « déni de justice », mais a échoué à obtenir réparation pour « faute lourde » pour des raisons de prescription.
Une situation complexe
Tout commence dès le jour de sa naissance, en juillet 1997. La situation du bébé fait d’ores et déjà l’objet d’un signalement aux services sociaux, comme le relate Le Parisien. Sa mère, Anne-Marie, a été condamnée dans les années 1980 à 8 ans de prison pour avoir tué, à la naissance, d’une centaine de coups de couteau son premier enfant, issu d’un viol. Malgré ce passé violent, le juge des enfants choisit de maintenir Karine chez ses parents.
Pour elle, un calvaire de plus de douze ans commence. Délaissée par ses parents, la petite fille est complètement livrée à elle-même. En septembre 1998, un premier jugement impose une assistance éducative au domicile des parents, mais après une expertise psychiatrique, ces derniers conservent la garde de leur fille, relate Europe 1.
Au fil des années, les rapports des services sociaux se suivent, mettant en évidence une situation alarmante. Toujours selon Europe 1, les services de l’enfance ne notent « aucune évolution positive », décrivant un père « ombrageux » et une mère qui ne parvient pas à « gérer son intimité » avec sa fille, tout en refusant tout suivi thérapeutique. Malgré ces conclusions, un juge estime, en mai 2000, qu’une intervention éducative judiciaire n’est « pas nécessaire » : à nouveau, les parents de Karine gardent leur fille auprès d’eux.
De multiples signalements
A partir de 2002, les parents de Karine hébergent à leur domicile un homme, Roland, en connaissant pourtant ses antécédents de pédophilie. Dans un article du Parisien, la jeune femme raconte son calvaire : « Je me souviens parfaitement, quand il leur donnait de l’argent le mercredi pour qu’ils aillent acheter des cigarettes ou de l’alcool et qu’ils me laissaient seule avec lui. Ils savaient très bien ce qui se passait chez eux. »
L’entourage de la fillette s’inquiète. En 2003, Laurence Brunet, sa tante, alerte les services sociaux, alarmée par un comportement anormalement « sexué » de la petite fille, âgée de seulement 5 ans, précise Europe 1. Elle emmène Karine chez un gynécologue, qui dépiste « une très grosse infection gynécologique ». A l’époque, le médecin questionne la fillette. « Avec ses mots à elle, elle a dit que son papa l’allongeait souvent dans la baignoire et qu’il la touchait beaucoup », raconte sa tante à Europe 1. Une première enquête est ouverte, mais elle est classée sans suite en février 2004.
En 2005, une nouvelle enquête est menée, à nouveau sans suite. « Parce que les parents sont arrivés avec un certificat médical, qu’ils avaient fait faire la veille chez le médecin traitant. Il n’y a pas eu d’investigation plus poussée, il n’y a même pas eu une séance avec un psychologue », déplore Laurence Brunet sur Europe 1. La tante, qui tente alors de faire entendre raison à la justice, est poursuivie pour dénonciation calomnieuse, écope d’un rappel à la loi et se voit contrainte d’écrire « une lettre d’excuses à la justice, pour les perturbations à Karine et à ses parents ».
« Un manque de clairvoyance » de la justice
En 2009, Karine parvient à parler. Le parquet de Rennes ouvre une enquête préliminaire en mai de la même année, mais attend ensuite un an, soit octobre 2010, pour confier l’enquête à un juge d’instruction. La jeune fille est finalement placée chez son oncle et sa tante. En juillet dernier, devant les assises d’Ille-et-Vilaine, Roland a reconnu l’avoir agressée sexuellement et violée entre 2002 et 2005, alors qu’elle était âgée de 5 à 8 ans. Il a été condamné à trente ans de réclusion. Les parents de Karine, eux, ont été poursuivis pour l’avoir empêchée de parler (« subornation de témoin »), la mère écopant de deux ans de prison avec sursis et le père de trois ans de réclusion dont six mois ferme. Mais la victime a également choisi de porter plainte contre l’Etat, pour faute lourde. « La justice aurait dû me protéger, elle ne l’a pas fait », déclare-t-elle au Parisien.
Comment est-il possible qu’on m’ait laissée chez eux, alors qu’Anne-Marie avait été condamnée pour un infanticide ?Karine, victime de pédophilie au « Parisien »
En juillet, aux assises, l’avocat général avait conclu son intervention en reconnaissant « un manque de clairvoyance » de la justice dans cette affaire. « Nous avons des questions à nous poser au niveau de notre responsabilité professionnelle », avait-il déclaré. « Le tribunal de Rennes ne peut que regretter que l’intervention judiciaire n’ait pu être plus efficace » à l’égard de Karine, a pour sa part écrit le président du tribunal de grande instance de Rennes, Ollivier Joulin, dans un courrier au Défenseur des droits consulté par l’AFP. Il y souligne que la juridiction de Rennes a un taux de juges des enfants « parmi les plus faibles de France ». « Ils travaillent sans relâche, presque toujours dans l’urgence absolue », parfois jusqu’au « burn-out » et « ont parfaitement conscience qu’ils ne peuvent, malgré l’intensité de leur engagement, éviter que des situations telles que celle qu’a connue Karine se reproduisent ».
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