Le 31 mai 2017, j’écrivais que Richard Ferrand se défendait comme Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ce que la série de lectures de Satanistique rapportée ci-dessous est venue me rappeler le 22 septembre 2018 entre 9h03 et 9h20.
Dois-je en déduire qu’il pourrait me menacer de procès pour les quelques lignes où je l’ai cité la veille, 21 septembre 2018, à propos du chômage et des chômeurs ?
Si ce que j’écris pose problème, la moindre des choses est de commencer par me le faire savoir.
Les commentaires sur Satanistique sont toujours ouverts.
Il est aussi possible de m’envoyer des messages en utilisant le formulaire de contact du même blog.
Cela dit, observons que Richard Ferrand n’est pas le seul à reproduire propos ou comportements de Cyprien Luraghi, puisqu’à l’instar de cet individu lors de nos deux rencontres dans l’enceinte du Tribunal de Grande Instance de Paris en 2016, Tariq Ramadan était très entouré lors de sa confrontation à son accusatrice surnommée « Christelle » la semaine dernière, mardi 18 septembre 2018.
En outre, et ce tout comme lors de sa confrontation à sa première accusatrice, le 19 juillet dernier, il se serait lui aussi abondamment « moqué » de sa victime présumée comme des juges, puisqu’il semble désormais avéré qu’il leur aurait menti avec beaucoup d’aplomb.
Je précise ici qu’en ce qui me concerne, à deux reprises, le 13 septembre 2016 à 10h00 et le 8 novembre 2016 à 11h30, je m’étais trouvée confrontée, seule et sans avocat, à environ une dizaine de « déconnologues ».
Bien évidemment, je m’y attendais, et craignais au plus haut point les agressions physiques aux abords du tribunal.
Aussi, la première fois, j’avais demandé à un ami de m’accompagner, mais il est arrivé en retard et je n’ai pu le retrouver qu’à la sortie du tribunal, cette première audience s’étant assez vite conclue par un renvoi. Nous étions ensuite allés boire un verre à la terrasse du café d’en face, d’où nous avions pu voir Cyprien Luraghi et sa bande, qui m’avaient totalement perdue de vue dès la sortie de la salle d’audience, aller s’installer à l’autre terrasse du même café… que nous n’avons pu éviter de longer en quittant les lieux… Or, ils s’y trouvaient toujours, en grande discussion avec leur avocat qui heureusement pour moi ne les avait pas lâchés depuis l’audience. De ce fait, ils ne nous avaient pas vus passer, jusqu’au moment où la seconde femme du groupe, se caractérisant par des cheveux teints de couleur auburn, et que je présume être Annie Luraghi, l’épouse du « Konducator », s’était mise à s’agiter en faisant des gestes dans notre direction. Trois d’entre eux n’avaient alors tardé à se lever pour nous courir après…
Il s’agissait de cette femme, de Cyprien Luraghi et de Josette Brenterch du NPA de Brest.
Finalement, ils n’avaient rien à nous dire et rebroussèrent chemin après nous avoir rattrapés et dévisagés avec insistance, surtout mon ami qui manifestement les intriguait…
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https://www.lejdd.fr/societe/justice/tariq-ramadan-christelle-raconte-leur-confrontation-devant-le-juge-3759716
Tariq Ramadan : « Christelle » raconte leur confrontation devant le juge
17h58 , le 19 septembre 2018
Une confrontation a eu lieu mardi entre « Christelle » et Tariq Ramadan, qu’elle accuse de viol. La défense du théologien a une nouvelle fois déposé une demande de mise en liberté.
La confrontation a duré plus de huit heures. Mardi, Tariq Ramadan et l’une de ses accusatrices, surnommée « Christelle », se sont fait face chez les juges, après une première confrontation en février pendant la garde à vue de l’intellectuel. A L’Obs, la plaignante – qui a déposé plainte pour un viol en octobre 2009 dans un hôtel de luxe lyonnais – raconte avoir subi « mauvaise foi et mensonges, invectives, théories complotistes sauce internet, rires ‘narquois’, provocations ». « C’était difficile à supporter, mais il a fallu faire front », ajoute Christelle, tout en se disant « confiante » car Tariq « Ramadan et Me Marsigny [son avocat] ont été mis face à leurs contradictions multiples et à leurs actes répréhensibles ».
Lire aussi – Tariq Ramadan : la justice suisse ouvre une instruction pour « viol » et « contrainte sexuelle »
« Ils sont venus à six, Tariq Ramadan et cinq conseils français et belges, sans nous prévenir, pour exercer la pression du nombre et essayer de rivaliser face à Me Eric Morain et moi. Sans pour autant, objectivement, y arriver », poursuit-elle sur le site de l’hebdomadaire.
Chacun a « campé sur ses positions »
« C’était une confrontation âpre » où « chacun est resté campé sur ses positions », a déclaré pour sa part l’avocat de « Christelle », Me Eric Morain, à l’AFP. « M. Ramadan a pu constater que malgré onze mois d’insultes, d’injures, de diffamation, d’identité jetée en pâture, ma cliente était tout autant déterminée », a-t-il ajouté. « Il voit des ennemis partout, c’est un adepte de la théorie du complot et ma cliente a pu lui dire droit dans les yeux qu’elle n’était pas son ennemie mais sa victime. Et que ça fait dix ans qu’elle traîne cette douleur », a complété Me Eric Morain.
De son côté, l’avocat de Tariq Ramadan, Me Emmanuel Marsigny, a indiqué que son client avait « maintenu sa position, fermement : il n’a jamais eu de relations sexuelles avec cette plaignante ».
Lire aussi – Tariq Ramadan : les 5 affaires d’agressions sexuelles et viols dans lesquelles il est soupçonné
En juin, le théologien avait reconnu plusieurs relations extraconjugales « consenties » et des « rapports fougueux, de domination » avec d’autres femmes, notamment avec une troisième plaignante apparue en mars et pour laquelle il n’est pas mis en examen à ce jour.
Une demande de mise en liberté déposée
A l’issue de la confrontation de mardi, la défense de Tariq Ramadan a annoncé déposer une troisième demande de mise en liberté. « Je ne comprendrais pas qu’elle ne soit pas acceptée dans la mesure où il a été indiqué au mois de juillet que c’était l’absence de cette confrontation qui s’opposait à sa remise en liberté », a déclaré son avocat Me Emmanuel Marsigny, à la sortie du bureau des juges d’instruction au tribunal de Paris.
« Je rappelle que son état de santé s’aggrave, qu’il est maintenant handicapé, et qu’il est temps que cela cesse », a ajouté Me Marsigny.
Détenu à l’hôpital pénitentiaire de Fresnes, au sud de Paris, Tariq Ramadan est atteint d’une sclérose en plaques dont le traitement a été jugé administrable en prison. L’intellectuel, qui réclame un placement sous contrôle judiciaire avec remise de son passeport suisse et une caution préalable de 300.000 euros, avait vu cette demande rejetée début août par la cour d’appel de Paris.
(avec AFP)
Sur le même sujet :
Par Anne-Charlotte Dusseaulx
http://www.leparisien.fr/faits-divers/france-rejet-de-la-nouvelle-demande-de-mise-en-liberte-de-tariq-ramadan-26-09-2018-7903206.php
Tariq Ramadan : des SMS compromettants et une remise en liberté refusée
>Faits divers|Jean-Michel Décugis, Jérémie Pham-Lé et Timothée Boutry| 26 septembre 2018, 11h43 | MAJ : 26 septembre 2018, 20h00 |40
Un rapport d’expertise de son téléphone et de son ordinateur vient contredire la version du théologien sur ses relations avec l’une des plaignantes pour viol.
« J’étais sous la douche… mais attends ma douce chienne !!! » Ce SMS écrit par Tariq Ramadan à « Christelle », très peu de temps avant le viol dont cette dernière l’accuse, a pesé lourd dans le rejet, mardi, de la troisième demande de remise en liberté du théologien, incarcéré depuis sept mois.
« Christelle », l’une des trois victimes présumées de l’intellectuel musulman, assure avoir subi de sa part des relations non consenties violentes et humiliantes, le 9 octobre 2009, dans un hôtel à Lyon (Rhône). Or Tariq Ramadan a toujours nié tout rapport physique lors de cette unique rencontre.
Lundi, les magistrats ont reçu un rapport d’expertise qu’ils avaient diligenté cinq mois plus tôt et que nous avons pu consulter. Il s’agit de l’analyse du contenu de 14 scellés, ordinateurs et téléphones portables des plaignantes et de Ramadan, saisis lors de l’enquête ou livrés à la Justice. Parmi ceux-ci un vieux téléphone portable retrouvé, par « Christelle », début 2018, au fond d’une boîte à outils.
L’expertise des données a permis de déterminer que, du 31 août au 15 décembre 2009, 255 SMS ont été adressés depuis le portable du théologien dont huit, le 9 octobre 2009, jour du viol présumé. En sens inverse, on ne sait pas ce que « Christelle » répond. Sur la même période, la jeune femme a envoyé 144 messages que les données techniques de l’époque ne permettent pas d’horodater.
Le 9 octobre 2009, le jour du viol présumé, Tariq Ramadan écrit ainsi : « Tu viendras, tu es prête. Je devrais t’attendre en bas car il faut une carte pour monter dans l’ascenseur ». Troublant : Ramadan a assuré jusque-là n’avoir rencontré la plaignante que dans le bar de l’hôtel. Le 8, l’islamologue se montre impatient : « Il y a de l’amour, du désir, ce que je sais m’attire, mais je sais que ce sera plus encore… demain inch Allah ».
Plus embarrassant encore, l’expertise confirme la provenance depuis le téléphone de Ramadan d’autres textos envoyés le lendemain du viol présumé. Par exemple, le 10 octobre 2009, à 19h29 : « J’ai senti ta gêne… désolé pour ma violence. J’ai aimé… Tu veux encore ? Pas déçue ? »
Jusqu’à présent, « Christelle » n’avait conservé que des photos de ces derniers SMS, comme nous le révélions en février dernier. « À quoi cela tient. À un vieux téléphone que ma cliente retrouve. Un téléphone qui va peser très lourd pour Ramadan », réagit auprès du Parisien Éric Morain, l’avocat de Christelle.
Le timing est particulièrement cruel pour Ramadan. Lors d’une confrontation avec Christelle la semaine dernière, le prédicateur avait martelé : « Ce n’est pas moi du tout qui ai envoyé ces messages […] Vous n’avez pas le quart du centième d’une preuve. »
Désormais, selon la défense de Tariq Ramadan, la « seule vraie question est de savoir s’il y a eu viol, c’est-à-dire un rapport sexuel forcé. » Et Me Emmanuel Marsigny, l’avocat de Tariq Ramadan, de citer un message troublant de « Christelle », impossible pour l’instant à dater. « Je suis restée et je t’ai donné plus qu’à quiconque et ta peau me manque… tu m’as manqué des que j’ai passé la porte… […] »
« Christelle », l’une des trois victimes présumées de l’intellectuel musulman, assure avoir subi de sa part des relations non consenties violentes et humiliantes, le 9 octobre 2009, dans un hôtel à Lyon (Rhône). Or Tariq Ramadan a toujours nié tout rapport physique lors de cette unique rencontre.
Lundi, les magistrats ont reçu un rapport d’expertise qu’ils avaient diligenté cinq mois plus tôt et que nous avons pu consulter. Il s’agit de l’analyse du contenu de 14 scellés, ordinateurs et téléphones portables des plaignantes et de Ramadan, saisis lors de l’enquête ou livrés à la Justice. Parmi ceux-ci un vieux téléphone portable retrouvé, par « Christelle », début 2018, au fond d’une boîte à outils.
«Il y a de l’amour, du désir, ce que je sais m’attire»
L’expertise des données a permis de déterminer que, du 31 août au 15 décembre 2009, 255 SMS ont été adressés depuis le portable du théologien dont huit, le 9 octobre 2009, jour du viol présumé. En sens inverse, on ne sait pas ce que « Christelle » répond. Sur la même période, la jeune femme a envoyé 144 messages que les données techniques de l’époque ne permettent pas d’horodater.
Le 9 octobre 2009, le jour du viol présumé, Tariq Ramadan écrit ainsi : « Tu viendras, tu es prête. Je devrais t’attendre en bas car il faut une carte pour monter dans l’ascenseur ». Troublant : Ramadan a assuré jusque-là n’avoir rencontré la plaignante que dans le bar de l’hôtel. Le 8, l’islamologue se montre impatient : « Il y a de l’amour, du désir, ce que je sais m’attire, mais je sais que ce sera plus encore… demain inch Allah ».
Ramadan est bien l’auteur des textos
Plus embarrassant encore, l’expertise confirme la provenance depuis le téléphone de Ramadan d’autres textos envoyés le lendemain du viol présumé. Par exemple, le 10 octobre 2009, à 19h29 : « J’ai senti ta gêne… désolé pour ma violence. J’ai aimé… Tu veux encore ? Pas déçue ? »
Jusqu’à présent, « Christelle » n’avait conservé que des photos de ces derniers SMS, comme nous le révélions en février dernier. « À quoi cela tient. À un vieux téléphone que ma cliente retrouve. Un téléphone qui va peser très lourd pour Ramadan », réagit auprès du Parisien Éric Morain, l’avocat de Christelle.
Le timing est particulièrement cruel pour Ramadan. Lors d’une confrontation avec Christelle la semaine dernière, le prédicateur avait martelé : « Ce n’est pas moi du tout qui ai envoyé ces messages […] Vous n’avez pas le quart du centième d’une preuve. »
«La question est de savoir s’il y a eu viol»
Désormais, selon la défense de Tariq Ramadan, la « seule vraie question est de savoir s’il y a eu viol, c’est-à-dire un rapport sexuel forcé. » Et Me Emmanuel Marsigny, l’avocat de Tariq Ramadan, de citer un message troublant de « Christelle », impossible pour l’instant à dater. « Je suis restée et je t’ai donné plus qu’à quiconque et ta peau me manque… tu m’as manqué des que j’ai passé la porte… […] »
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