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vendredi 25 mars 2016

Nouveau projet d'attentat déjoué en France, arrestation de Reda Kriket

Tout comme l’un des individus ayant participé à la réunion de comploteurs des 12 et 13 mars derniers chez le cyberdélinquant et grand maître terro Pascal Edouard Cyprien Luraghi, l’homme interpellé, un braqueur, vivait très bien du produit de ses activités et se déplaçait dans une grosse berline allemande, une Mercedes.

Rappelons au passage que le malade mental de Puy-l’Evêque affectionne tout particulièrement les braqueurs depuis que l’un d’eux a été l’amant de sa soeur au milieu des années 1990.

Il s’est pris d’amour pour ce braqueur de banques multirécidiviste après sa dernière arrestation, suivie d’une nouvelle peine de réclusion criminelle puis de son suicide peu de temps après sa libération.

Un membre de la famille de sa nouvelle compagne l’avait « balancé », probablement Pascal Edouard Cyprien Luraghi lui-même.

Ce dernier n’aime pas sa soeur, il l’a toujours haïe depuis qu’elle l’a remplacé dans le coeur maternel, lui qui, habillé et coiffé en fille durant son enfance, était la petite chérie de sa mère avant la naissance de cette vraie fille.

Sa jalousie maladive à l’égard des filles s’est encore manifestée dans ses attaques insensées contre plusieurs riveraines du site Rue89 dont moi-même à compter de l’année 2008.

En effet, dès le début, il s’est pris de passion pour nos « amants » présumés, jusqu’à les rechercher pour tenter d’en faire ses propres amants à travers nous après nous avoir totalement détruites, éliminées, effacées, ensevelies sous des camions bennes d’ordures.

Les relations de couples ou autres peuvent être assez compliquées. Nous n’avions pas besoin qu’une sangsue comme ce malade mental vienne y ajouter son grain phénoménal.


http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/03/25/01016-20160325ARTFIG00001-un-projet-d-attentat-avance-dejoue-en-france.php

Un homme arrêté pour un projet «avancé» d’attentat en France

 

L'opération antiterroriste à Argenteuil, jeudi.
 
VIDÉO – Reda K., impliqué à «haut niveau» dans un réseau terroriste a été interpellé jeudi matin, à Boulogne-Billancourt. De l’explosif de type TATP, des armes de poing et au moins une kalachnikov ont été saisis en perquisition. Jugé «extrêmement dangereux», condamné par contumace en Belgique avec Abdelhamid Abaaoud, il faisait l’objet d’une fiche de recherche.

La France, encore endeuillée par les attaques kamikazes du 13 novembre qui ont fait 130 morts à Paris et Saint-Denis, vient, semble-t-il, d’échapper à un nouveau projet d’attentat sur son sol. Cette fois, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), déjà mobilisée à retrouver les derniers membres de la cellule qui a frappé la capitale puis Bruxelles, a neutralisé une nouvelle équipée terroriste fomentée à Argenteuil, dans le Val-d’Oise.

Dans la soirée, Bernard Cazeneuve a révélé que les policiers ont effectué, le matin même, une «interpellation importante», à Boulogne-Billancourt, qui a permis de «mettre en échec un projet d’attentat en France conduit à un stade avancé». «Aucun élément tangible ne lie ce projet aux attentats de Paris et de Bruxelles», a précisé le ministre de l’Intérieur. De l’explosif de type TATP, des armes de poing mais aussi au moins une kalachnikov ont été saisies.

Le suspect interpellé, Reda K., âgé de 34 ans et natif de Courbevoie (Hauts-de-Seine), a été condamné par contumace à 10 ans de prison en Belgique, lors du même procès que Abdelhamid Abaaoud, organisateur présumé des attaques du 13 novembre, pour appartenance à une filière d’acheminement de djihadistes en Syrie. Reda K. faisait l’objet, depuis janvier 2016, d’une fiche de recherche diffusée à tous les services de police. Dans celle-ci, l’homme âgé de 34 ans est décrit comme extrêmement dangereux et susceptible de se déplacer armé.

Peu avant minuit, une perquisition était menée par la DGSI avec l’appui des policiers d’élite du RAID dans un immeuble d’habitation sur commission rogatoire d’un juge d’instruction du pôle antiterroriste de Paris. Le bâtiment a été évacué de ses occupants et des opérations de déminage étaient menées afin que, selon la place Beauvau, «les policiers puissent procéder à la perquisition de l’appartement, du parking et des parties communes dans des conditions optimales». Un périmètre de sécurité a été déployé alors que les journalistes ont été invités à se tenir à distance.

«L’individu interpellé, de nationalité française, est suspecté d’être impliqué à haut niveau au sein d’un réseau terroriste qui projetait de frapper la France, a déclaré le ministre. Cette arrestation est le fruit d’une enquête minutieuse conduite depuis plusieurs semaines, qui a mobilisé d’importants moyens de surveillance physique et technique, ainsi qu’une coopération étroite et constante entre services européens».

Une nouvelle attaque déjouée


Si le projet se confirme, il s’agirait de la douzième tentative déjouée en quinze mois puisque, comme l’avait révélé fin janvier Bernard Cazeneuve, les services ont déjà tué dans l’œuf pas moins de «onze attentats dans le courant de l’année 2015, dont six depuis le printemps».

À la mi-décembre 2015, une équipée sanglante visant le commissariat d’Orléans avait notamment été stoppée par la DGSI. Deux Français de 24 et 25 ans avaient été interpellés dans le Loiret. Ils avaient déjà récupéré près de 4000 euros envoyés par mandat depuis la Syrie pour acheter des fusils d’assaut et passer à l’acte. Le principal instigateur faisait l’apologie de l’EI et s’était félicité des tueries de novembre.

Le 29 octobre, les hommes de la Sécurité intérieure basée à Levallois, encore eux, avaient appréhendé Hakim, Français de 25 ans, alors qu’il venait lui aussi de tenter de se procurer des armes pour attaquer la base navale de la ville afin d’assassiner des militaires de la marine nationale. À la veille du 14 juillet, la DGSI avait neutralisé un commando de trois hommes visant le Centre national d’entraînement du fort Béar, près de Collioure (Pyrénées-Orientales). Le groupe, dans lequel figurait un matelot révoqué, voulait décapiter un officier. Et il était lui aussi relié avec un combattant de Daech en Syrie.

Depuis le début de l’année 2016, quelque 75 individus en lien avec des activités terroristes ont déjà été interpellés à travers le pays. Ces interpellations ont donné lieu à 37 mises en examen et 28 incarcérations. Jamais le spectre du terrorisme n’a été aussi menaçant.





http://tempsreel.nouvelobs.com/attentats-terroristes-a-paris/20160325.OBS7131/voyage-en-syrie-braquages-ce-que-l-on-sait-sur-reda-kriket-le-djihadiste-arrete-a-argenteuil.html

Voyage en Syrie, braquages… ce que l’on sait de Reda Kriket, le djihadiste arrêté à Argenteuil


Voyage en Syrie, braquages... ce que l'on sait de Reda Kriket, le djihadiste arrêté à Argenteuil
Reda Kriket ((D.R. – N.O.))

 

Les perquisitions menées dans la nuit ont permis de confirmer qu’il était impliqué dans un projet d’attentat en France.



Après l’arrestation jeudi de Reda Kriket, la police a mené des perquisitions à Argenteuil, en région parisienne. Des explosifs ont été découverts dans un appartement. L’homme interpellé est suspecté d’être impliqué dans un projet d’attentat en France, comme l’a confirmé le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve.

Reda Kriket est une nouvelle illustration des liens étroits qui unissent djihadistes belges et français. Selon nos informations, il est né à Courbevoie en 1982, et était surnommé « le Français » au sein de la filière Zerkani, du nom de celui que la justice belge considère comme le plus gros recruteur de combattants pour le djihad ayant opéré sur le sol belge. Le réseau au sein duquel évoluaient également Abdehamid Abaaoud, Chakib Akrouh, tous deux morts à Saint-Denis, et Gelel Attar, arrêté au Maroc dans le cadre de l’enquête sur les attentats de Paris, sera démantelé en février 2014.

« Ghanima »


Résidant à Ixelles, une commune de Bruxelles, Reda Kriket aurait participé à plusieurs réunions du groupe dans un appartement de Molenbeek. Son rôle au sein de cette filière semble avoir été celui de « financier ». Un financement pratiqué par le vol avec violence.
« C’est un braqueur qui pratique la Ghanima », dira de lui un des membres de la filière lors de son audition devant les policiers belges.
Reda Kriket aurait ainsi versé 12.000 euros à un aspirant au départ en Syrie pour financer son voyage ainsi que celui de sa femme. Des bijoux volés avaient également été retrouvés lors des perquisitions à son appartement.

Condamné en 2015


Khalid Zerkani avait été vu en Belgique circulant à bord d’une Mercedes immatriculée au nom de Soufiane B, connu pour des vols qualifiés en compagnie de Kriket. Ce dernier aurait gagné la Syrie durant l’année 2014. Il faisait l’objet d’un mandat d’arrêt international depuis le 4 mars 2014. Ce qui ne l’a pas empêché de revenir en France.

En mai 2015, il avait été condamné par défaut à 10 ans de prison pour sa participation aux activités d’un groupe terroriste.

V.M., V.L.
Vincent Monnier

Vincent Monnier

Journaliste


http://www.lexpress.fr/actualite/societe/projet-d-attentat-liens-avec-abaaoud-syrie-qui-est-reda-kriket-suspect-interpelle_1776814.html

Projet d’attentat, liens avec Abaaoud, Syrie… Qui est Reda Kriket, suspect interpellé?


Par , publié le 25/03/2016 à 14:13 , mis à jour à 14:57


Des policiers sécurisent un immeuble à Argenteuil. L'immeuble est le lieu de résidence d'un suspect qui prévoyait de commettre un attentat à Paris.
Des policiers sécurisent un immeuble à Argenteuil. L’immeuble est le lieu de résidence d’un suspect qui prévoyait de commettre un attentat à Paris. AFP

 

L’homme fomentait un « projet d’attentat en France », selon Bernard Cazeneuve. Ce Français a été arrêté jeudi à Boulogne-Billancourt entraînant une opération politicière à Argenteuil. Il avait de lourds antécédents, en France et en Belgique.


C’est un Français qui avait fait parler de lui jusqu’en Belgique bien avant les attentats de Bruxelles. Reda Kriket, 34 ans, interpellé jeudi à Boulogne-Billancourt dans les Hauts-de-Seine, illustre une nouvelle fois l’importance de la nébuleuse djihadiste franco-belge. L’homme fomentait un « projet d’attentat en France, conduit à un stade avancé », selon les mots du ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve jeudi soir. Des armes lourdes et des explosifs ont été retrouvés au logement qu’il occupait à Argenteuil, dans le Val-d’Oise.

Originaire de Courbevoie, dans les Hauts-de-Seine, l’homme résidait dans la commune bruxelloise d’Ixelles avant de rejoindre la Syrie, vraisemblablement à la fin de l’année 2014, selon Le Parisien. Sous le coup d’un mandat d’arrêt international, il est activement recherché depuis le 15 janvier par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Sur cette fiche titrée « diffusion urgente » que Le Point publie, il est décrit comme « extrêmement dangereux » et « susceptible de se déplacer avec une arme ».

Le « financier » d’une filière djihadiste


Reda Kriket était recherché pour « association de malfaiteurs en vue de préparer des actes de terrorisme ». Comment est-il rentré en France? A-t-il emprunté comme d’autres terroristes du 13 novembre la « route des migrants« ? Comment enfin les enquêteurs sont-ils remontés jusqu’à lui? De nombreuses questions sont encore en suspens à ce stade de l’enquête.

Selon nos informations, une information judiciaire a été ouverte fin novembre 2015, sans lien avec les attentats de Paris. Elle ne ciblait pas non plus directement Reda Kriket à l’origine mais a fini par déboucher sur lui. Quatre mois plus tard, les hommes de la DGSI mettent la main sur l’homme dans les Hauts-de-Seine.

Condamné à dix ans de prison par contumace


Le suspect est loin d’être un inconnu. Son nom apparaît dans un vaste procès d’acheminement de djihadistes vers la Syrie pour lequel il a été condamné en juillet 2015 en Belgique, en son absence, à dix ans de prison. Cette filière était dirigée par un Bruxellois de 41 ans, Khalid Zerkani, qualifié par les autorités judiciaires belges de « plus grand recruteur de candidats au djihad qu’on ait jamais connu en Belgique ».

Surnommé « le Français » au sein de la filière Zerkani, selon L’Obs, Reda Kriket jouait un rôle de « financier ». Cet ancien braqueur reversait une partie de ses gains et activités de recel, au nom du principe musulman de la « Ghanima », qui signifie « le partage du butin de guerre ». Il mettait également sa Mercedes à disposition de Zerkani pour aider les recrues.

Des complices dans la nature?


Élément troublant: deux autres condamnés par défaut lors de ce procès sont des personnages-clé des attentats du 13 novembre: Abdelhamid Abaaoud, coordinateur des attaques et Chakib Akrouh, membre du commando des terrasses qui s’est fait exploser à Saint-Denis quelques jours plus tard. Pour autant, « à ce stade, aucun lien n’a été établi [entre ce suspect et] les attentats de Paris et de Bruxelles. Rien ne permet de dire pour le moment qu’il est lié à la cellule du 13 novembre », précise à L’Express une source proche de l’enquête.

La question des complicités dont il a pu bénéficier se pose. Bernard Cazeneuve évoquait dès jeudi soir un « réseau terroriste » dans lequel il « évoluait », lui conférant une implication à « haut niveau » dans le projet d’attentat. « Compte tenu de ce qui a été découvert à son domicile et du profil de l’individu, le but est de trouver toute personne liée à cet homme qui aurait pu lui apporter un soutien », commente notre source. « La vraie difficulté est de savoir s’il n’était pas en contact avec d’autres personnes qui eux disposent de moyens logistiques », précise-t-elle.



http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/2657544/2016/03/25/L-homme-qui-projetait-un-attentat-en-France-etait-un-proche-d-Abaaoud.dhtml

L’homme qui projetait un attentat en France était un proche d’Abaaoud


Par: rédaction
25/03/16 – 08h50  Source: Belga

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 © DR.

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L’homme interpellé jeudi pour un projet d’attentat en France avait été condamné en son absence avec Abdelhamid Abaaoud, organisateur présumé des attaques du 13 novembre, l’an passé à Bruxelles dans un procès de filière jihadiste vers la Syrie.

L’interpellation de cet homme, Reda Kriket, 34 ans, un ancien braqueur, a conduit jeudi soir les policiers à un appartement d’Argenteuil, dans le Val d’Oise, près de Paris, où une petite quantité d’explosifs a été découverte.

Pas lié aux attentats de Paris et Bruxelles

« A ce stade, aucun élément tangible ne relie ce projet aux attentats de Paris et de Bruxelles », a toutefois affirmé jeudi soir le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve. La capitale belge a été frappée mardi par un double attentat dans un aéroport et dans le métro qui a fait 31 morts et 300 blessés.

Résident d’Ixelles

Né le 17 janvier 1982 à Courbevoie (Hauts-de-Seine), Reda Kriket, de nationalité française, résidait à Ixelles, commune de Bruxelles, lorsqu’un mandat d’arrêt international a été émis contre lui en mars 2014. Lors d’un vaste procès d’acheminement de jihadistes vers la Syrie, une filière dirigée par un Bruxellois de 41 ans, Khalid Zerkani, qualifié par les autorités judiciaires belges de « plus grand recruteur de candidats au jihad qu’on ait jamais connu en Belgique », Reda Kriket avait écopé en juillet 2015 de dix ans de prison par défaut, le jugement soulignant qu’il avait déjà été condamné à cinq ans de prison à Nanterre en 2005.

Financier

D’après les éléments de l’enquête, il a joué un rôle important dans le financement de la filière, en reversant une partie de ses braquages et activités de recel, au nom du principe musulman de la Ghanima (le partage du butin de guerre). Abdelhamid Abaaoud, tué le 18 novembre 2015 dans l’assaut du Raid contre l’appartement de Saint-Denis dans lequel il avait trouvé refuge, était lui condamné en son absence à 20 ans de réclusion. Au total, 28 personnes avaient été condamnés le 29 juillet 2015 dans cette vaste filière qui avait recruté et envoyé en Syrie de nombreux jeunes, parmi lesquels figuraient Abdelhamid Abaaoud et Chakib Akrouh, deux des auteurs des attentats du 13 novembre.

Interpellation importante

L’interpellation de Reda Kriket par les policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a été qualifiée d’ »importante » par Bernard Cazeneuve, car elle a selon lui permis « de mettre en échec un projet d’attentat en France, conduit à un stade avancé ». Dans la nuit de jeudi à vendredi, des policiers ont mené des perquisitions dans un immeuble évacué de ses occupants à Argenteuil (Val-d’Oise). Des opérations de déminage ont été nécessaires pour que les enquêteurs puissent travailler en sécurité.

Quartier bouclé

Des policiers barraient toujours l’accès à la rue menant à cet immeuble vendredi matin. « J’ai essayé de rentrer chez moi mais les policiers ne m’ont pas laissé », pestait dans la nuit Karim, 19 ans, habitant dans l’immeuble voisin. Pour sa soeur Kolod, 23 ans, « normalement c’est très tranquille comme quartier ». « C’est bizarre mais en même temps c’est rassurant de voir ces policiers », a-t-elle ajouté.

Projet d’attentat

Kriket est « suspecté d’être impliqué à haut niveau dans ce projet (d’attentat). Il évoluait au sein d’un réseau terroriste qui projetait de frapper la France », a expliqué le ministre de l’Intérieur. L’enquête, conduite depuis « plusieurs semaines » sous l’autorité d’un juge d’instruction antiterroriste, « a mobilisé d’importants moyens de surveillance physique et technique, ainsi qu’une coopération étroite et constante entre services européens », selon Bernard Cazeneuve.

Multiplication des attaques

Outre les attaques de Paris, les plus meurtrières qu’aient connues la France, les attentats, pour certains avortés, se sont multipliés depuis les attaques contre Charlie Hebdo et le supermarché Hyper Cacher en janvier 2015. De même que les projets non aboutis: au moins six projets d’attentats ont été déjoués depuis janvier 2015, outre les deux tentatives qui ont échoué à Villejuif en avril et à bord du Thalys reliant Amsterdam à Paris en août, avait indiqué Bernard Cazeneuve début mars.

Interpellations

Depuis le début de l’année, 75 personnes « en lien avec des activités terroristes » ont été interpellées, 37 d’entre elles ont été mises en examen, dont 28 incarcérées, a rappelé Bernard Cazeneuve.

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