Rappelons au passage que le malade mental de Puy-l’Evêque affectionne tout particulièrement les braqueurs depuis que l’un d’eux a été l’amant de sa soeur au milieu des années 1990.
Il s’est pris d’amour pour ce braqueur de banques multirécidiviste après sa dernière arrestation, suivie d’une nouvelle peine de réclusion criminelle puis de son suicide peu de temps après sa libération.
Un membre de la famille de sa nouvelle compagne l’avait « balancé », probablement Pascal Edouard Cyprien Luraghi lui-même.
Ce dernier n’aime pas sa soeur, il l’a toujours haïe depuis qu’elle l’a remplacé dans le coeur maternel, lui qui, habillé et coiffé en fille durant son enfance, était la petite chérie de sa mère avant la naissance de cette vraie fille.
Sa jalousie maladive à l’égard des filles s’est encore manifestée dans ses attaques insensées contre plusieurs riveraines du site Rue89 dont moi-même à compter de l’année 2008.
En effet, dès le début, il s’est pris de passion pour nos « amants » présumés, jusqu’à les rechercher pour tenter d’en faire ses propres amants à travers nous après nous avoir totalement détruites, éliminées, effacées, ensevelies sous des camions bennes d’ordures.
Les relations de couples ou autres peuvent être assez compliquées. Nous n’avions pas besoin qu’une sangsue comme ce malade mental vienne y ajouter son grain phénoménal.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/03/25/01016-20160325ARTFIG00001-un-projet-d-attentat-avance-dejoue-en-france.php
Un homme arrêté pour un projet «avancé» d’attentat en France
-
- Par Christophe Cornevin
- Mis à jour le 25/03/2016 à 11:47
- Publié le 25/03/2016 à 00:01
La France, encore endeuillée par les attaques kamikazes du 13 novembre qui
ont fait 130 morts à Paris et Saint-Denis, vient, semble-t-il,
d’échapper à un nouveau projet d’attentat sur son sol. Cette fois, la
Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), déjà mobilisée à
retrouver les derniers membres de la cellule qui a frappé la capitale
puis Bruxelles, a neutralisé une nouvelle équipée terroriste fomentée à
Argenteuil, dans le Val-d’Oise.
Dans la soirée, Bernard Cazeneuve a révélé que les policiers ont effectué, le matin même, une «interpellation importante», à Boulogne-Billancourt, qui a permis de «mettre en échec un projet d’attentat en France conduit à un stade avancé». «Aucun élément tangible ne lie ce projet aux attentats de Paris et de Bruxelles», a précisé le ministre de l’Intérieur. De l’explosif de type TATP, des armes de poing mais aussi au moins une kalachnikov ont été saisies.
Le suspect interpellé, Reda K., âgé de 34 ans et natif de Courbevoie (Hauts-de-Seine), a été condamné par contumace à 10 ans de prison en Belgique, lors du même procès que Abdelhamid Abaaoud, organisateur présumé des attaques du 13 novembre, pour appartenance à une filière d’acheminement de djihadistes en Syrie. Reda K. faisait l’objet, depuis janvier 2016, d’une fiche de recherche diffusée à tous les services de police. Dans celle-ci, l’homme âgé de 34 ans est décrit comme extrêmement dangereux et susceptible de se déplacer armé.
Peu avant minuit, une perquisition était menée par la DGSI avec l’appui des policiers d’élite du RAID dans un immeuble d’habitation sur commission rogatoire d’un juge d’instruction du pôle antiterroriste de Paris. Le bâtiment a été évacué de ses occupants et des opérations de déminage étaient menées afin que, selon la place Beauvau, «les policiers puissent procéder à la perquisition de l’appartement, du parking et des parties communes dans des conditions optimales». Un périmètre de sécurité a été déployé alors que les journalistes ont été invités à se tenir à distance.
«L’individu interpellé, de nationalité française, est suspecté d’être impliqué à haut niveau au sein d’un réseau terroriste qui projetait de frapper la France, a déclaré le ministre. Cette arrestation est le fruit d’une enquête minutieuse conduite depuis plusieurs semaines, qui a mobilisé d’importants moyens de surveillance physique et technique, ainsi qu’une coopération étroite et constante entre services européens».
Si le projet se confirme, il s’agirait de la douzième tentative déjouée en quinze mois puisque, comme l’avait révélé fin janvier Bernard Cazeneuve, les services ont déjà tué dans l’œuf pas moins de «onze attentats dans le courant de l’année 2015, dont six depuis le printemps».
À la mi-décembre 2015, une équipée sanglante visant le commissariat d’Orléans avait notamment été stoppée par la DGSI. Deux Français de 24 et 25 ans avaient été interpellés dans le Loiret. Ils avaient déjà récupéré près de 4000 euros envoyés par mandat depuis la Syrie pour acheter des fusils d’assaut et passer à l’acte. Le principal instigateur faisait l’apologie de l’EI et s’était félicité des tueries de novembre.
Le 29 octobre, les hommes de la Sécurité intérieure basée à Levallois, encore eux, avaient appréhendé Hakim, Français de 25 ans, alors qu’il venait lui aussi de tenter de se procurer des armes pour attaquer la base navale de la ville afin d’assassiner des militaires de la marine nationale. À la veille du 14 juillet, la DGSI avait neutralisé un commando de trois hommes visant le Centre national d’entraînement du fort Béar, près de Collioure (Pyrénées-Orientales). Le groupe, dans lequel figurait un matelot révoqué, voulait décapiter un officier. Et il était lui aussi relié avec un combattant de Daech en Syrie.
Depuis le début de l’année 2016, quelque 75 individus en lien avec des activités terroristes ont déjà été interpellés à travers le pays. Ces interpellations ont donné lieu à 37 mises en examen et 28 incarcérations. Jamais le spectre du terrorisme n’a été aussi menaçant.
Dans la soirée, Bernard Cazeneuve a révélé que les policiers ont effectué, le matin même, une «interpellation importante», à Boulogne-Billancourt, qui a permis de «mettre en échec un projet d’attentat en France conduit à un stade avancé». «Aucun élément tangible ne lie ce projet aux attentats de Paris et de Bruxelles», a précisé le ministre de l’Intérieur. De l’explosif de type TATP, des armes de poing mais aussi au moins une kalachnikov ont été saisies.
Le suspect interpellé, Reda K., âgé de 34 ans et natif de Courbevoie (Hauts-de-Seine), a été condamné par contumace à 10 ans de prison en Belgique, lors du même procès que Abdelhamid Abaaoud, organisateur présumé des attaques du 13 novembre, pour appartenance à une filière d’acheminement de djihadistes en Syrie. Reda K. faisait l’objet, depuis janvier 2016, d’une fiche de recherche diffusée à tous les services de police. Dans celle-ci, l’homme âgé de 34 ans est décrit comme extrêmement dangereux et susceptible de se déplacer armé.
Peu avant minuit, une perquisition était menée par la DGSI avec l’appui des policiers d’élite du RAID dans un immeuble d’habitation sur commission rogatoire d’un juge d’instruction du pôle antiterroriste de Paris. Le bâtiment a été évacué de ses occupants et des opérations de déminage étaient menées afin que, selon la place Beauvau, «les policiers puissent procéder à la perquisition de l’appartement, du parking et des parties communes dans des conditions optimales». Un périmètre de sécurité a été déployé alors que les journalistes ont été invités à se tenir à distance.
«L’individu interpellé, de nationalité française, est suspecté d’être impliqué à haut niveau au sein d’un réseau terroriste qui projetait de frapper la France, a déclaré le ministre. Cette arrestation est le fruit d’une enquête minutieuse conduite depuis plusieurs semaines, qui a mobilisé d’importants moyens de surveillance physique et technique, ainsi qu’une coopération étroite et constante entre services européens».
Une nouvelle attaque déjouée
Si le projet se confirme, il s’agirait de la douzième tentative déjouée en quinze mois puisque, comme l’avait révélé fin janvier Bernard Cazeneuve, les services ont déjà tué dans l’œuf pas moins de «onze attentats dans le courant de l’année 2015, dont six depuis le printemps».
À la mi-décembre 2015, une équipée sanglante visant le commissariat d’Orléans avait notamment été stoppée par la DGSI. Deux Français de 24 et 25 ans avaient été interpellés dans le Loiret. Ils avaient déjà récupéré près de 4000 euros envoyés par mandat depuis la Syrie pour acheter des fusils d’assaut et passer à l’acte. Le principal instigateur faisait l’apologie de l’EI et s’était félicité des tueries de novembre.
Le 29 octobre, les hommes de la Sécurité intérieure basée à Levallois, encore eux, avaient appréhendé Hakim, Français de 25 ans, alors qu’il venait lui aussi de tenter de se procurer des armes pour attaquer la base navale de la ville afin d’assassiner des militaires de la marine nationale. À la veille du 14 juillet, la DGSI avait neutralisé un commando de trois hommes visant le Centre national d’entraînement du fort Béar, près de Collioure (Pyrénées-Orientales). Le groupe, dans lequel figurait un matelot révoqué, voulait décapiter un officier. Et il était lui aussi relié avec un combattant de Daech en Syrie.
Depuis le début de l’année 2016, quelque 75 individus en lien avec des activités terroristes ont déjà été interpellés à travers le pays. Ces interpellations ont donné lieu à 37 mises en examen et 28 incarcérations. Jamais le spectre du terrorisme n’a été aussi menaçant.
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http://tempsreel.nouvelobs.com/attentats-terroristes-a-paris/20160325.OBS7131/voyage-en-syrie-braquages-ce-que-l-on-sait-sur-reda-kriket-le-djihadiste-arrete-a-argenteuil.html
Voyage en Syrie, braquages… ce que l’on sait de Reda Kriket, le djihadiste arrêté à Argenteuil
Les perquisitions menées dans la nuit ont permis de confirmer qu’il était impliqué dans un projet d’attentat en France.
Vincent MonnierPublié le 25 mars 2016 à 10h06
Après l’arrestation jeudi de Reda Kriket, la police a mené des perquisitions à Argenteuil, en région parisienne. Des explosifs ont été découverts dans un appartement. L’homme interpellé est suspecté d’être impliqué dans un projet d’attentat en France, comme l’a confirmé le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve.
Reda Kriket est une nouvelle illustration des liens étroits qui unissent djihadistes belges et français. Selon nos informations, il est né à Courbevoie en 1982, et était surnommé « le Français » au sein de la filière Zerkani, du nom de celui que la justice belge considère comme le plus gros recruteur de combattants pour le djihad ayant opéré sur le sol belge. Le réseau au sein duquel évoluaient également Abdehamid Abaaoud, Chakib Akrouh, tous deux morts à Saint-Denis, et Gelel Attar, arrêté au Maroc dans le cadre de l’enquête sur les attentats de Paris, sera démantelé en février 2014.
« Ghanima »
Résidant à Ixelles, une commune de Bruxelles, Reda Kriket aurait participé à plusieurs réunions du groupe dans un appartement de Molenbeek. Son rôle au sein de cette filière semble avoir été celui de « financier ». Un financement pratiqué par le vol avec violence.
« C’est un braqueur qui pratique la Ghanima », dira de lui un des membres de la filière lors de son audition devant les policiers belges.
Reda Kriket aurait ainsi versé 12.000 euros à un aspirant au départ en Syrie pour financer son voyage ainsi que celui de sa femme. Des bijoux volés avaient également été retrouvés lors des perquisitions à son appartement.Condamné en 2015
Khalid Zerkani avait été vu en Belgique circulant à bord d’une Mercedes immatriculée au nom de Soufiane B, connu pour des vols qualifiés en compagnie de Kriket. Ce dernier aurait gagné la Syrie durant l’année 2014. Il faisait l’objet d’un mandat d’arrêt international depuis le 4 mars 2014. Ce qui ne l’a pas empêché de revenir en France.
En mai 2015, il avait été condamné par défaut à 10 ans de prison pour sa participation aux activités d’un groupe terroriste.
V.M., V.L.
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