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vendredi 18 mars 2016

Josette Brenterch contre Petitcoucou et OverBlog : les prévenues n'étaient pas coupables mais victimes !

En 2008, une bande de pirates informatiques et de militants de l’extrême-gauche en relation avec des figures du grand banditisme s’est constituée autour de l’autoproclamé « écrivain en ligne et à l’oeil » Pascal Edouard Cyprien Luraghi alors que plusieurs d’entre eux s’étaient inscrits sur le site d’information Rue89 pour y poursuivre sur ce terrain médiatique leurs « combats » habituels.

Le prétendu « écrivain » en faisait partie. Il pensait avoir trouvé là le moyen de se faire connaître et de voir enfin reconnu son « génie littéraire », un style « prolo » qui a toujours fait fuir tous les « bourgeois » qu’il hait tant depuis sa plus tendre enfance, lui qui a quitté l’école à 14 ans en situation d’échec scolaire.

Las, il s’est surtout fait remarquer pour ses injures et calomnies incessantes à l’encontre de toutes sortes d’individus, certains connus et d’autres non, notamment les nombreux commentateurs du site qui ne s’extasiaient pas à chacun de ses dégueulis, ou pire encore, qui se voyaient eux-mêmes encenser pour l’intérêt de leurs commentaires quand les siens étaient régulièrement supprimés comme hors-sujet ou hors-la-loi.

Il s’est mis à détester tous ces riverains et blogueurs de Rue89, à les poursuivre partout de ses injures et agressions internétiques diverses et variées, comprenant dès 2008 des piratages informatiques qui lui permettaient de les identifier, de fouiller leurs vies privées et de récupérer toutes les données qu’il utilisait dès lors pour se livrer à leur encontre à des harcèlements des plus pernicieux.

Or, j’en faisais partie.

Et contrairement à d’autres, j’étais déjà victime de faits analogues de la part de Josette Brenterch et de ses sbires de la LCR de Brest depuis de nombreuses années.

Cyprien Luraghi s’y est naturellement rallié pour toutes ses exactions à mon encontre.

Cette association explique la forme particulière que prennent dès leur origine toutes ses attaques à mon encontre, son acharnement extraordinaire à me faire taire absolument partout et à tout propos, mais d’abord sur moi-même, quoique je sois toujours restée anonyme, la richesse des informations et de toutes les inventions calomnieuses qu’il se permet lui-même de publier ou de propager à mon sujet.

Toujours à la recherche de « personnages » pour ses « romans » parmi les différents internautes qu’il croise sur la toile, il pense enfin tenir celui qui lui apportera gloire et richesse et ne le lâche plus.

La perverse Josette Brenterch l’entretient dans ces idées fallacieuses. Elle l’utilise pour son propre « combat » éminemment destructif contre toute ma famille.

Au mois de juin 2010, elle lui donne son feu vert pour la révélation au public sur ses deux blogs alors actifs de mon identité ainsi que de nombreuses autres informations relevant de l’intimité de ma vie privée.

Ce faisant, ils commettent à mon encontre le délit d’atteinte à l’intimité de la vie privée que l’année suivante ils m’accuseront mensongèrement d’avoir commis contre eux.

En effet, ils révélaient eux-mêmes leurs identités au public ou écrivaient sous leurs patronymes véritables tandis que pour ma part j’avais toujours veillé à rester parfaitement anonyme sur Internet.

Je ne communiquais même pas mon identité à des internautes avec lesquels j’entretenais pourtant des échanges privés très réguliers voire quotidiens.

Et naturellement, j’avais bien signifié aux délinquants mon opposition formelle à la révélation de mon identité au public dès lors qu’ils m’avaient menacée de commettre ce viol au mois de juin 2010.

Mais ils n’auraient jamais dû en avoir connaissance. Ce sont bien les piratages informatiques dont j’étais déjà victime de leur part depuis deux ans qui leur avaient permis de la découvrir.

S’associait d’emblée à cette révélation la publication tout aussi illégale d’une montagne d’affabulations délirantes et particulièrement infamantes à mon égard, présentées mensongèrement comme autant d’éléments de ma vraie vie ou de ma personnalité véritable.

Mes premiers démentis publics concernant ces calomnies étaient suivis de nouvelles publications dans lesquelles j’étais notamment abondamment traitée de menteuse ou de mythomane à propos de mes relations privées avec des tiers, ces derniers étant eux aussi nommés et calomniés par les délinquants.

Et cela continuera quotidiennement jusqu’à la fermeture au public des commentaires des différents blogs où, toujours aujourd’hui, Pascal Edouard Cyprien Luraghi et sa bande de dingues continuent à délirer à mon sujet tout en commentant toutes les informations qu’ils obtiennent toujours illégalement sur mon compte et celui de mes proches ou de mes anciennes relations.

Ces campagnes de calomnies publiques nominatives d’une rare violence, menées simultanément sur plusieurs sites par toute une bande de psychopathes déchaînés, m’obligeaient dès le mois de juin 2010 à rechercher l’avocat qui pourrait m’aider à faire cesser ces exactions dans les plus brefs délais.

Dans l’attente que la justice ne prenne le relais, je commençais également à publier des droits de réponse afin de rétablir la vérité sur ma propre biographie ou ses principaux éléments.

Ce sont ces articles qui m’ont valu à compter de l’année suivante de la part de Josette Brenterch les poursuites qui avaient conduit à une première condamnation parfaitement scandaleuse le 11 juin 2013, puis à son annulation et ma relaxe définitive comme celle de mon hébergeur OverBlog par la Cour d’Appel de Rennes le 2 décembre 2015.

Pascal Edouard Cyprien Luraghi s’obstinant à me dire « coupable » alors qu’une exception de bonne foi a été plaidée dans cette affaire, je tenais à bien repréciser tout ce qui précède.

Egalement, sa complice Josette Brenterch ayant formé contre la décision du 2 decembre 2015 un pourvoi en cassation qui n’a pas été admis, j’informe le lecteur que les différentes étapes de cette dernière procédure sont intervenues aux dates suivantes :

  • 21/12/2015 – Enregistrement de l’affaire
  • 15/02/2016 – Nomination du conseiller rapporteur
  • 29/02/2016 – Distribution à un avocat général
  • 08/03/2016 – Audience (Section 3 Intérêts civils FR d’admissibilité)
  • 08/03/2016 – Décision n°1645 NON-ADMISSION

Josette Brenterch n’a jamais déposé aucun mémoire en soutien de son pourvoi.

Elle savait donc depuis la nomination d’un conseiller rapporteur le 15 février 2016 que la décision de non admission, inéluctable, n’allait pas tarder à clôturer cette procédure.

Or, dès le lendemain, 16 février 2016, débutait une nouvelle campagne particulièrement profitable pour certains pirates :

http://forum.malekal.com/locky-ransomware-crypto-ransomware-t54444.html

http://www.metronews.fr/high-tech/ransomware-locky-les-francais-premieres-victimes-des-pirates/mpcp!0yc8seyYbK5M2/

Ransomware Locky : les Français, premières victimes des pirates


Mis à jour : 16-03-2016 17:24
- Créé : 16-03-2016 17:03

 

PIRATAGE – Les attaques de logiciels malveillants de type « ransomware » sont en forte hausse. Depuis plusieurs semaines, celui surnommé Locky, vise tout particulièrement la France. Explications.


Ransomware Locky : les Français, premières victimes des pirates

KASPERSKY LAB
Photo:

À croire que les Français sont les vaches à lait de la cybercriminalité. Le mois dernier, l’éditeur d’antivirus Kaspersky Lab a recensé pas moins de 40.000 tentatives de piratage par « ransomware », principalement en France et en Allemagne. Ce logiciel malveillant, surnommé Locky, permet à des pirates d’extorquer de l’argent aux utilisateurs dont les appareils ont été infectés.

Plus concrètement, cela commence par la réception d’un mail semblant provenir de votre opérateur téléphonique, de EDF ou de votre banque. Ce dernier contient une pièce jointe piégée qui, une fois qu’elle est consultée, déclenche automatiquement le téléchargement du logiciel malveillant. Celui-ci s’exécute en chiffrant les fichiers personnels de l’utilisateur afin de les rendre illisibles.

Les pirates restaurent les données dans la plupart des cas

Et l’arnaque est plutôt bien ficelée. « Pour procéder au paiement de la rançon, la victime est dirigée clic après clic grâce à un tutoriel fourni par les pirates », précise l’expert. Ce dernier prend le plus souvent la forme d’un fichier texte (comme dans l’exemple ci-dessous fourni par Kaspersky Lab). « Il arrive parfois que le pirate prenne le contrôle à distance de la machine ou qu’il guide l’utilisateur via un chat en ligne. »

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Ransomware Locky : les Français, premières victimes des pirates

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« Ce sont les photos du petit ou celles du mariage, et les sommes réclamées par les pirates ne sont pas très élevées, autour de 300 euros en moyenne, relève Laurent Heslault, directeur des stratégies de sécurité chez Symantec France. Par conséquent, la majorité des gens paient la rançon. » De leur côté, les piratent ont rapidement compris qu’il était dans leur intérêt de procéder à la restauration.

« Le Bitcoin a fait exploser le phénomène »

Le paiement de la rançon se fait généralement en monnaie électronique. « Le Bitcoin a fait exploser le phénomène, car il est presque impossible de tracer la transaction », souligne Laurent Heslault.

L’expert recommande d’ailleurs de ne pas céder au chantage et faire nettoyer l’ordinateur, si besoin avec l’aide d’un spécialiste, avant de tenter de récupérer les fichiers qui peuvent l’être

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Josette Brenterch contre Petitcoucou et OverBlog : les prévenues n'étaient pas coupables mais victimes ! dans AC ! Brest
Matthieu Delacharlery
Mail-envelope dans CalomnieE-mail


Les courriers électroniques vérolés que j’ai moi-même reçus entre le 1er et le 13 mars 2016 font partie de cette campagne.

Dès le 24 février 2016, Cyprien Luraghi publiait :


Chauffe la couenne !

Par cyp | Publié : 24 février 2016

*
Ingérer, accumuler, profiter.
Les jours rallongent, la sauce aussi.
Ça sent la casserole.
Et la jonquille en attendant les lilas.
*
L’Icyp : 14 ans au compteur et 500 000 commentaires.
…E la nave va !

Publié dans Billet Express, Déconnologie, Tout court | Mots-clefs : Bestioles, cochon, Icyp, Joie, Rêvasserie | 3593 commentaires


Faisant ses comptes, il s’en réjouissait.

Le week-end dernier, il a bien festoyé avec quelques amis.

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