Ce n’est pas nouveau, chez lui c’est même habituel.
Ses lecteurs assidus se souviennent par exemple qu’en 2012 il
prétendait que j’avais déjà été condamnée pour des faux témoignages
ainsi qu’à verser des sommes astronomiques à d’anciens employeurs.
Or, je n’avais jamais fait l’objet de poursuites d’aucune sorte avant cette même année 2012.
Je rappelle ici que l’unique condamnation qui me soit jamais tombée
sur la tête, le 11 juin 2013, a depuis été annulée par la Cour d’Appel
de Rennes, le 2 décembre 2015, par un arrêt que le cyberdélinquant
Pascal Edouard Cyprien Luraghi prétend avoir intégralement publié le 5
mars 2016.
Je n’ai pas vérifié ses dires à cet égard, je me suis d’abord
contentée d’aller voir la fin de son texte et ai constaté que le
dispositif affiché n’était pas conforme à celui caractérisant la
décision citée.
Je m’aperçois maintenant qu’il a aussi omis de préciser qu’en date du
13 juin 2013 Josette Brenterch avait fait appel du jugement rendu le 11
juin 2013, par lequel les juges brestois l’avaient pourtant satisfaite à
la lettre en toutes ses demandes absolument scandaleuses.
Je ne vais pas plus loin dans la lecture de ce texte et préviens donc
le lecteur qu’il est truffé de coquilles des plus curieuses,
susceptibles d’être intentionnelles, sans compter que les accusations
mensongères de Josette Brenterch qui s’y trouvent reproduites ne sont
pas contredites par les éléments en réponse que j’avais moi-même versés à
la procédure.
Cyprien Luraghi n’est de toute façon pas habilité à faire des
« transcriptions » de jugements, ni à les publier comme il le fait.
Comme d’habitude à chaque fois que ses textes me concernent, cette publication tombe sous le coup de la loi.
Cela dit, je fais remarquer à propos de l’avidité toute particulière
de la bande d’escrocs à laquelle j’ai affaire, ou en l’occurrence, de
leur cheftaine Josette Brenterch du NPA de Brest, qu’en appel elle avait
multiplié par deux le montant des sommes qu’elle réclamait, soit 7000
euros en première instance, et 14000 euros en appel.
Par ailleurs, en première instance elle avait obtenu des
condamnations à des peines d’amendes de 10000 euros pour chacune des
deux parties poursuivies, mon soi-disant « complice » OverBlog et
moi-même, ainsi que la publication de la décision dans la presse locale à
nos frais jusqu’à concurrence de 3000 euros. Elle attendait que nous
soyons au moins recondamnés à l’identique en appel.
Or, dès le départ, comme l’a maintes fois écrit publiquement son
complice Jean-Marc Donnadieu de Béziers dès 2010, leur plan en attaquant
mon hébergeur tous azimuts était de le forcer à se retourner contre moi
pour me faire payer ses condamnations.
Avec leur procédure rennaise, ces escrocs escomptaient donc me
dépouiller au total d’une somme de 37000 euros, sans compter les frais
d’avocat.
Je rappelle que dans l’Hérault, le complice de Josette Brenterch
Jean-Marc Donnadieu n’attaque qu’OverBlog. Il m’a toujours écartée de
ses procédures de manière à s’éviter d’être trop contredit sur les faits
et pouvoir ainsi plus facilement tromper les juges et obtenir les
condamnations qu’il réclame.
Je rappelle aussi que depuis le début, c’est moi la victime de ces
malfrats auxquels je n’ai jamais rien fait hormis tenter de me défendre
contre toutes leurs attaques, alors que leur cheftaine Josette Brenterch
me maintenait dans une situation d’isolement quasi total et
naturellement sans emploi ni indemnités d’aucune sorte par divers moyens
illégaux depuis plusieurs années.
Pourquoi donc s’est-elle amusée à me vendre publiquement comme
prostituée à compter de juin 2010, en parallèle de toutes ces procédures
caractéristiques de tentatives d’escroqueries au jugement ?
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