http://www.non-stop-people.com/actu/sport/michael-schumacher-sabine-kehm-menace-la-presse-63459
Michael Schumacher : Sabine Kehm menace la presse !
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Michael Schumacher avant son accidentMichael Schumacher, grand
sportif, pratique également le football et le ski en dehors du pilotage
automobile, pour son plaisir.
Jeudi 26 Juin – 16:51
Dans l’attente du réveil puis des progrès de Michael Schumacher, la
famille du pilote est désormais dans l’angoisse. Tous craignent que le
dossier médical volé à Grenoble apparaisse sur la toile ou dans un
médias. Sabine Kehm, porte-parole officielle a d’ailleurs menacé les
journalistes.
Plus que jamais la tension est à son comble à Lausanne. Un
simple voleur ou un opportuniste qui passait près d’une poubelle du CHU
de Grenoble est en train de semer une énorme panique dans le clan
Schumacher. Depuis ce lundi, le vol d’une copie du dossier médical de Michael Schumacher a en effet été officialisé. Sans surprise, ce vol n’a qu’un seul objectif, rapporter de l’argent et le présumé coupable qui se présente à la presse sous le pseudo : « Kagemusha » réclame l’équivalent de 50 000 euros pour tout dévoiler.Après plusieurs rumeurs, il apparait que ce qui est en possession du fameux « Kagemusha » n’est pas l’intégralité du dossier médical de Michael Schumacher, par ailleurs référencé sous le nom de code « Jérémy Martin » au CHU de Grenoble. Il est en effet apparu au fur et à mesure de l’enquête qu’il n’y aurait pas eu de piratage informatique et que ce vol ne serait en réalité que celui d’un brouillon de lettre.
Mais bien évidemment de pas n’importe quelle lettre… En effet, le document mis aux enchères par le fameux « Kagemusha » est en réalité le brouillon de la lettre rédigée par le CHU de Grenoble à destination du CHUV de Lausanne. Un courrier qui retrace donc l’état de santé de Michael Schumacher, son évolution et le traitement reçu.
« Des dommages et intérêts seront réclamés«
Un document qui fait frémir la famille de l’ancien champion du monde qui tente désespérément de dissimuler toutes les informations sur l’état réel de Michael Schumacher. En exemple, les multiples prédictions – notamment celles de Gary Hartstein – n’ont plus été démenties depuis de longs mois, et Sabine Kehm n’avait plus pris la parole depuis le 4 avril avant d’annoncer le transfert de Michael Schumacher il y a quelques jours. Dernière illustration, la polémique autour du communiqué « bilan de santé » envoyé par le CHUV de Lausanne à la presse britannique avant d’être également contesté par … le CHUV de Lausanne.Il est donc évident que les proches de Schumacher, refuse que son état de santé soit en Une de la presse. En conséquence, Sabine Kehm, porte-parole de la famille de Michael Schumacher n’a pas hésité à menacer les médias tentés de s’offrir le document proposé par « Kagemusha ».
« L’achat de tels documents ainsi que leur publication sont interdits. Les données du dossier médical sont hautement confidentielles et ne peuvent pas être rendues accessibles au public. Nous allons donc, pour chaque cas rapporté, déposer une plainte en justice et des dommages et intérêts seront réclamés pour toute publication du contenu ou référence au dossier médical », explique Sabine Kehm dans un communiqué.
Par Non Stop People TV
http://www.lechorepublicain.fr/france-monde/actualites/societe/people/2014/05/10/schumacher-enquete-en-cours-sur-le-vol-du-dossier-medical_11054285.html
24/06/14 – 07h30
Schumacher: enquête en cours sur le vol du dossier médical
La police enquête sur le vol d’un rapport médical rédigé sur l’ancien pilote Michael Schumacher, et proposé pour environ 50.000 euros à plusieurs journaux, ce qui constitue un nouveau dérapage dans cette affaire à fort retentissement médiatique.
L’enquête a été ouverte la semaine dernière après le dépôt de deux plaintes de l’hôpital de Grenoble et de la famille Schumacher pour vol et violation du secret médical.
Le document volé, un rapport de synthèse de 11 ou 12 pages, a été rédigé par le médecin grenoblois du septuple champion de Formule 1 en vue d’être transmis à son homologue suisse, dans le cadre du transfert du pilote de Grenoble vers Lausanne.
« Le ou les auteurs du vol ont contacté un certain nombre de journalistes français, suisses et allemands. Cet individu, qui communique par mail, demande 60.000 francs suisses (49.300 euros, ndlr) pour fournir le document », a déclaré à l’AFP Jean-Yves Coquillat, procureur à Grenoble.
« Pour justifier ses dires, il fournit une partie de ce rapport qui permet de penser qu’il est en possession du dossier », a ajouté le magistrat. Il est « probable » que ce rapport médical ait été volé à Grenoble mais « ce n’est pas établi », a-t-il précisé.
Le document volé ne serait pas le rapport final mais un brouillon, qui a passé plusieurs heures dans une poubelle de l’hôpital. Dans ses courriels, son détenteur se fait appeler « Kagemusha », en référence à un film du Japonais Akira Kurosawa, Palme d’or à Cannes en 1980, selon le parquet, confirmant une information du Dauphiné Libéré.
Les policiers grenoblois sont en train de retracer « l’emploi du temps » du rapport médical, en interrogeant les nombreuses personnes qui auraient pu l’avoir entre les mains. Parallèlement, le CHU de Grenoble mène un audit informatique interne afin de détecter une éventuelle intrusion dans son système informatique.
Le procureur espère aussi pouvoir compter sur l’aide des médias contactés par le voleur. « Si dans un souci de coopération, pour lutter contre ce genre de voyous, des journalistes voulaient aider la justice, la justice ne refuserait pas leur aide », a déclaré M. Coquillat.
C’est d’ailleurs grâce au quotidien allemand Bild que l’affaire a éclaté. Des journalistes de Bild ont en effet prévenu la porte-parole de Michael Schumacher, Sabine Kehm, qu’ils avaient été approchés par « Kagemusha » et lui ont transmis les documents qu’ils avaient reçus.
- ‘Comportement inadmissible’ -
« J’espère que tout le monde comprendra que ce type de comportement est inadmissible. Chacun a droit au respect de son secret médical », a souligné le procureur, qui a saisi la police judiciaire de l’affaire.
La porte-parole de Schumacher a annoncé lundi soir dans un communiqué que la famille du champion allemand porterait plainte chaque fois qu’un média publierait ces documents.
L’hôpital avait pourtant pris des mesures strictes pour protéger le dossier de Michael Schumacher, en interdisant à son personnel de le consulter via le système informatique interne. La version papier du dossier avait été masquée sous plusieurs pseudonymes dont le dernier était « Jérémy Martin ».
L’accès à la chambre du champion allemand, hospitalisé à Grenoble après un grave accident de ski en décembre 2013 à Méribel (Savoie), était protégé par un vigile 24H/24 et 7 jours sur 7.
Au début de son hospitalisation, un journaliste allemand déguisé en prêtre avait tenté de s’y introduire.
Plusieurs autres personnes ont tenté de faire de même dans les semaines suivantes, sans doute pour prendre des photos ou des vidéos.
Des journalistes allemands avaient en outre dit à l’AFP s’être vu proposer contre rémunération des photos de Schumacher inconscient prises à l’intérieur de l’hôpital. Ces clichés n’ont jamais été publiés.
« Si son dossier médical a été volé, c’est navrant », a réagi mardi Olivier Véran, député PS de l’Isère et médecin neurologue au CHU de Grenoble. « Ça n’aide pas d’avoir une pression médiatique quand on soigne quelqu’un », a ajouté le parlementaire, saluant le « professionnalisme et le sang-froid » du personnel du CHU.
http://www.auto123.com/fr/actualites/les-enqueteurs-proches-didentifier-le-voleur-du-dossier-medical-de-schumacher?artid=168858
Les enquêteurs proches d’identifier le voleur du dossier médical de Schumacher
Par Auto123.com (Auto123.com),
jeudi, 26 juin 2014
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D’après GMM
L’hôpital de Grenoble avait signalé auprès des autorités le vol d’un résumé du dossier médical de Michael Schumacher, au moment de son transfert pour Lausanne.
Le journal Bild rapporte que le « vendeur » du dossier est en contact par email avec plusieurs publications internationales, sous le nom « Kagemusha ».
Kagemusha est un mot japonais qui signifie « guerrier » et souligne aussi un leurre politique.
C’est également le titre d’un film de 1980, dont le résumé est « un petit voleur à la ressemblance absolue avec un chef de guerre samouraï ».
https://fr.sports.yahoo.com/news/schumacher-kagemusha-ennemi-num%C3%A9ro-1-085138043.html
numéro 1
Schumacher : Kagemusha, ennemi numéro 1
Contenu relatif
L’enquête se poursuit pour identifier le voleur de la synthèse du dossier médical de Michael Schumacher.
Celle-ci a été proposée à des
médias français, britanniques et allemands contre la somme de 60.000
francs suisses, environ 50.000 euros.
Le Bild rapporte dans
sa dernière édition que son détenteur se fait appeler ‘Kagemusha’ dans
ses différents courriels envoyés aux médias.
Il s’agit d’une référence au
film « Kagemusha, l’ombre du guerrier », qui valut à son réalisateur, le
Japonais Akira Kurosawa, la Palme d’or du Festival de Cannes en 1980.
Ce film dévoile les aventures d’un voleur masqué dont l’objectif est de
se faire passer pour un chef charismatique, récemment décédé, afin que
ses troupes ne perdent pas de leur courage.
Parallèlement, les enquêteurs
grenoblois sont en train de retracer le parcours de cette synthèse
médicale. Toutes les personnes qui auraient pu l’avoir entre leurs mains
sont interrogées.
Rendez-vous sur F1i.com pour découvrir les photos de l’impressionnante propriété de Michael Schumacher située à Gland, en Suisse.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Kagemusha,_l%27ombre_du_guerrier
Kagemusha, l’ombre du guerrier
Kagemusha, l’ombre du guerrier
Réalisation | Akira Kurosawa Ishiro Honda |
---|---|
Scénario | Akira Kurosawa Masato Ide |
Acteurs principaux | |
Pays d’origine | Japon |
Sortie | 1980 |
Durée | 153 minutes (2h33) |
Kagemusha, l’ombre du guerrier ( 影武者, Kagemusha?) est un film américano-japonais réalisé par Akira Kurosawa, sorti en 1980.
Sommaire
- 1 Synopsis
- 2 Résumé de l’histoire
- 3 Fiche technique
- 4 Distribution
- 5 Autour du film
- 6 Récompenses
- 7 Critique
- 8 Liens externes
Synopsis
Au XVIe siècle , le Japon est en proie à des guerres incessantes entre les clans. Le clan Takeda fait partie des plus puissants. Son chef charismatique, Shingen Takeda, rêve de prendre Kyōto et de s’emparer ainsi de tout le pays. Mais il est mortellement blessé avant de parvenir à ses fins, lors du siège du château de Noda.Pour protéger le clan, il ordonne alors à ses vassaux de dissimuler sa mort pendant une durée de trois ans.
Le frère de Shingen, qui à l’occasion lui servait de doublure, met la main sur un sosie parfait. Celui-ci n’a cependant pas l’étoffe de Shingen et chacun s’inquiète de le voir démasqué. Lui qui n’est qu’un voleur sans envergure devra braver les intrigues, tromper l’entourage de Shingen et défendre le territoire des Takeda.
Résumé de l’histoire
Le film s’ouvre sur un plan statique de six minutes dans lequel on voit le frère de Shingen, Nobukado, lui présenter un voleur qui vient d’échapper au crucifiement. Nobukado pense que la ressemblance du voleur avec Shingen pourrait s’avérer utile. Ce plan est en fait un montage dans lequel le même acteur joue les rôles de Shingen et du voleur. C’est la seule fois où on les voit ensemble.L’armée de Shingen est en train d’assiéger un château appartenant à Tokugawa Ieyasu. Lorsque Shingen se rend sur les lieux pour écouter un mystérieux joueur de flûte nocturne, il est abattu par un tireur embusqué.
Mortellement blessé, il ordonne à ses généraux de garder sa mort secrète pendant trois ans. Il leur conseille aussi fermement de ne pas attaquer pendant cette période mais de défendre leurs positions. La mort de Shingen survient un peu plus tard, dans un col où on l’a transporté, devant très peu de témoins.
Nobukado présente le voleur aux généraux et propose un plan pour que le kagemusha tienne la place de Shingen à plein temps. Le voleur lui-même n’est pas au courant de la mort de Shingen, jusqu’à ce qu’il brise une urne dans laquelle il découvre le corps.
Des espions au service de Tokugawa et de son allié, Oda Nobunaga, suivent l’armée des Takeda qui rentre du siège. Ils soupçonnent d’abord que Shingen a été remplacé, mais le jeu du kagemusha finit par les convaincre du contraire.
De retour à son château, le kagemusha réussit à convaincre les concubines de Shingen et son petit-fils, qui semble même le préférer à l’original. En imitant les manières de Shingen, le kagemusha semble adopter l’attitude d’un maître zen, et parvient même à impressionner les gardes du corps et le wakashu, qui sont pourtant dans le secret. Quand il est mis à l’épreuve, lors d’un conseil avec ses généraux, il s’en remet à la devise du clan qui fait de Shingen une « montagne » inamovible et invincible.
L’une de ces épreuves survient lorsque Tokugawa et Oda Nobunaga lancent une attaque contre le territoire des Takeda. Le fils de Shingen, Katsuyori Takeda, lance une contre-attaque malgré l’avis des autres généraux. Le kagemusha doit conduire des renforts à la bataille de Takatenjin, et par son exemple obtient la victoire pour ses troupes.
Trop sûr de lui, le kagemusha tente de monter le cheval fougueux de Shingen. Quand il est jeté à terre l’imposture est démasquée. Il est chassé du palais tandis que Katsuyori, bien qu’il ait été déshérité, prend le contrôle du clan.
Contre l’avis donné jadis par son père, Katsuyori se lance dans une bataille intempestive contre Oda Nobunaga, qui est maître de Kyōto. Ceci mène à la bataille de Nagashino, dans laquelle la puissante cavalerie et l’infanterie des Takeda, attaquant en vagues successives, sont fauchées par le feu des mousquets ennemis. Le clan des Takeda est réduit à néant (dans la réalité historique le clan survécut des années sous la conduite de Katsuyori). Le kagemusha, qui a suivi l’armée des Takeda, est témoin du massacre. Dans un ultime geste de loyauté il saisit une lance et se jette contre les défenses de Oda. La dernière image du film montre le corps criblé de balles du kagemusha emporté par le courant aux côtés de la bannière du clan.
Fiche technique
- Titre : Kagemusha, l’Ombre du guerrier
- Titre original : Kagemusha (影武者?)
- Réalisation : Akira Kurosawa
- Scénario : Masato Ide et Akira Kurosawa
- Production : Akira Kurosawa, Audie Bock et Tomoyuki Tanaka
- Sociétés de production : Toho et Twentieth Century Fox
- Budget : 6 millions de dollars
- Musique : Shin’ichirō Ikebe
- Photographie : Kazuo Miyagawa, Asaichi Nakai, Masaharu Ueda et Takao Saitō
- Montage : Akira Kurosawa et Yoshihiro Iwatani
- Décors : Shinobu Muraki
- Pays d’origine : Japon
- Langue : japonais
- Format : Couleurs – 1,85:1 – Mono – 35 mm
- Genre : Drame, guerre
- Durée : 153 minutes
- Date de sortie : 1980 (Japon)
Distribution
- Tatsuya Nakadai : Shingen Takeda (VF : Pierre Hatet) / Kagemusha (VF : Marc De Georgi)
- Tsutomu Yamazaki (VF : Georges Aminel) : Nobukado Takeda
- Kenichi Hagiwara (VF : Pierre Arditi) : Katsuyori Takeda
- Jinpachi Nezu (VF : William Sabatier) : Sohachirō Tsuchiya
- Hideji Ōtaki (VF : Philippe Dumat) : Masakage Yamagata
- Daisuke Ryū (VF : Jean Roche) : Nobunaga Oda
- Masayuki Yui (VF : Hervé Bellon) : Ieyasu Tokugawa
- Kaori Momoi : Otsuyanokata
- Mitsuko Baisho : Oyunokata
- Hideo Murota : Nobufusa Baba
- Takayuki Shiho : Masatoyo Naito
- Koji Shimizu : Katsusuke Atobe
- Noburo Shimizu : Masatane Hara
- Sen Yamamoto : Nobushige Oyamada
- Shuhei Sugimori : Masanobu Kosaka
- Takashi Shimura : Gyobu Taguchi
Autour du film
- Francis Ford Coppola et George Lucas sont tous deux producteurs exécutifs sur la version internationale du film.
- Une partie du film traite d’événements historiques réels, comme la mort de Shingen Takeda ou la bataille de Nagashino en 1575.
- Dans le film, Tatsuya Nakadai incarne Shingen Takeda et le Kagemusha. Dans la version française, les personnages ont chacun une voix différente pour bien les distinguer.
Récompenses
- Festival de Cannes 1980 : Palme d’or.
- Hochi Film Awards 1980 : Prix du meilleur film et du meilleur second rôle masculin pour Tsutomu Yamazaki.
- BAFTA Awards 1981: Prix des meilleurs costumes et du meilleur réalisateur ; nominations pour les prix de la meilleure photographie (Takao Saitô et Masaharu Ueda) et du meilleur film.
- Blue Ribbon Awards 1981 : Prix du meilleur acteur (Tatsuya Nakadai), du meilleur film et du meilleur nouvel acteur (Daisuke Ryu).
- César du meilleur film étranger en 1981.
- Prix David di Donatello 1981 : Prix du meilleur réalisateur étranger.
- Italian National Syndicate of Film Journalists 1981 : Prix du meilleur réalisateur étranger.
- Kinema Junpo Awards 1981 : Prix du meilleur second rôle masculin (Tsutomu Yamazaki).
- Mainichi Film Concours 1981 : Prix du meilleur acteur (Tatsuya Nakadai), de la meilleure direction artistique (Yoshirô Muraki), du meilleur réalisateur, du meilleur film et de la meilleure musique.
- Golden Globe 1981 : Nomination pour le meilleur film étranger.
- Oscar 1981 : Nominations pour la meilleure direction artistique et le meilleur film étranger.
Critique
Le film classé comme meilleur film de tous les temps selon la presse sur le site « Allociné » à égalité avec Les moissons du ciel de Terrence Malick, Le dictateur de Charles Chaplin, Les chaussons rouges de Michael Powell et Emeric Pressburger, Il était un père de Yasujiro Ozu, L’Éventail de Lady Windermere d’Ernst Lubitsch, ET l’extra-terrestre de Steven Spielberg, Le Mécano de la « General », de Clyde Bruckman et Buster Keaton, Les poings dans les poches de Marco Bellocchio, El topo d’Alejandro Jodorowsky, In girum imus nocte et consumimur igni de Guy Debord, Mon oncle de Jacques Tati, Voyage au bout de l’enfer de Michael Cimino et Aguirre, la colère de Dieu de Werner Herzog; ces 14 films ayant obtenus la note critique maximale de 5 étoiles.Liens externes
- (en) Kagemusha, l’ombre du guerrier sur l’Internet Movie Database
- Kagemusha, l’ombre du guerrier sur Allociné
- Critiques Cinemasie
- Critiques Hk Mania
- Critique du Clan Takeda
- Analyse du film sur Dvdclassik
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