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samedi 14 juin 2014

Antifas : des milices ultraviolentes liées à la "justice"

Ceux qui me suivent sur Internet depuis assez longtemps savent que depuis 2008 j’y suis victime de violences singulières de la part d’une bande de cyberdélinquants et malades mentaux qui se présentent comme « antifascistes ».

Leurs exactions à mon encontre, à base de campagnes de calomnies phénoménales et de menaces de mort à répétition, s’appuient sur de multiples atteintes à l’intimité de la vie privée, dont des piratages informatiques qui leur avaient permis de m’identifier dès mon premier commentaire anonyme sur le site Rue89, où ils ont commencé à me harceler en 2008 alors que, précisément, je m’exprimais sur le sujet du harcèlement moral en entreprise, problème que je connais bien pour en avoir été victime.

Selon ces militants ou sympathisants du NPA, le harcèlement en entreprise serait un faux problème, et ses victimes de fausses victimes, des mythomanes, des paranoïaques ou des cas lourds psychiatriques qu’il conviendrait de « démasquer », de dénoncer et de faire taire par tous les moyens, y compris la mort.

Fin mars 2010, après qu’ils m’aient traquée et harcelée en meute sur différents sites dont Rue89 et Le Post jusqu’à réussir à m’en chasser ou m’en faire bannir, je m’étais réfugiée sur la plateforme de blogs OverBlog où j’avais ouvert mon blog « Un petit coucou » pour pouvoir continuer à m’exprimer, et entreprendre de démentir sérieusement toutes leurs allégations publiques me concernant.

Leurs exactions à mon encontre n’ayant cessé de s’aggraver, j’en ai saisi la « justice » à de multiples reprises à compter de l’automne 2010, puis ai vainement attendu que celle-ci daigne prendre les mesures qui s’imposaient. J’attends toujours.

Voilà peut-être une explication aux réponses inappropriées des instances judiciaires sollicitées :


http://fr.novopress.info/169325/hommage-clement-meric-antifas-magistrats-defilent/

Hommage à Clément Méric : antifas et magistrats défilent ensemble


12/06/2014 – PARIS (NOVOpress)

Le milieu « antifa » parisien et ses alliés politiques, du Front de Gauche avec Alexis Corbière jusqu’au Parti communiste en passant par le Nouveau Parti anticapitaliste avec Olivier Besancenot, ont rendu hommage la semaien dernière à Clément Méric, tué lors d’une bagarre.

Comme il est désormais de coutume avec les rassemblements et manifestations d’extrême gauche, de nombreux manifestants ont défilé cagoulés (ce qui est interdit par la loi) et armés. Le tout dans la plus totale impunité puisqu’aucune interpellation n’a jamais été effectuée par les forces de l’ordre.

Le plus étonnant n’est pas la passivité du gouvernement socialiste face aux violences des militants « antifas » mais plutôt la présence de magistrats dans le cortège.

Les signataires de la manifestation d'hommage à Clément Méric (dont Visa)

Les signataires de la manifestation d’hommage à Clément Méric (dont Visa)

Visa : Syndicat de la magistrature et CNT main dans la main

Parmi les signataires de l’appel, derrière l’énigmatique sigle Visa (pour Vigilance et initiatives syndicales antifascistes) se cache un regroupement de « militant-e-s de la FSU, de la CGT, de la CFDT, de SOLIDAIRES, du Syndicat de la Magistrature, de la CNT et de l’UNEF qui, depuis 1996, recensent, analysent, dénoncent, les incursions de l’extrême droite et plus particulièrement du Front national sur le terrain social. » (lien : ) Le but de cette coalition syndicale est de mener, évidemment, le « combat antifasciste » en « informant sur les dangers et le développement de l’extrême droite en France » ou « en alertant sur la présence dans les structures syndicales de militants d’extrême droite se prétendant responsables syndicaux. »

Antifas et magistrats. Cette contradiction pourrait prêter à sourire mais elle montre les incohérences du système judiciaire français et de la mouvance « antifa ». Car la Confédération nationale du travail (CNT), membre de VISA, est le mouvement qui organise et fédère les plus radicaux des « antifas », ceux qui agressent quasi-impunément depuis des années les mouvements patriotes, identitaires ou souverainistes, ceux qui défilent casqués, cagoulés et armés.

L'appel de Visa

L’appel de Visa

Le Syndicat de la Magistrature, quant à lui syndicat de magistrats de gauche et créé en 1968, se retrouve donc depuis des années dans le même groupe (VISA) et dans les mêmes cortèges que la mouvance « antifa » sans que personne ne s’émeuve dans la collusion entre les institutions judiciaires et des militants politiques violents ! 

Représentant « environ 30 % des magistrats », avec trois représentants du Syndicat siégeant au Conseil supérieur de la magistrature, un membre nommé par François Hollande au Conseil constitutionnel et plusieurs de ses militants travaillant au sein même du ministère de la Justice du gouvernement socialiste, le Syndicat de la Magistrature est un rouage important des institutions judiciaires.

Le bureau national du Syndicat de la Magistrature
Le bureau national du Syndicat de la Magistrature

Conex : Les magistrats et les antifas « partagent des informations »

A la vue d’une telle puissance dans la hiérarchie judiciaire et des informations sensibles dont disposent les magistrats membres du Syndicat de la Magistrature, voir des magistrats s’engager ouvertement aux côtés de groupes radicaux et violents peut laisser pantois.

Surtout quand ces mêmes magistrats, garants de l’ordre public, sont à l’initiative de la création de la Coordination nationale contre l’extrême droite (Conex), regroupant pratiquement tous les groupes antifas hexagonaux et Visa (dont le Syndicat de la Magistrature fait partie).

Surtout quand l’un des objectifs de Conex est de « partager des informations » selon le collectif antifasciste de Besançon. La vie privée des militants politiquement incorrect ? Ou des informations sensibles sur les enquêtes menées par la forces de l’ordre sur la mouvance antifa ?

Les organisations membres de Conex

Les organisations membres de Conex

Oui, quelles genres d’informations sont échangées entre les militants antifa et les magistrats ?

Les magistrats forment les antifas

Surtout que dans le même temps, on apprend que le 24 mai dernier, à Besançon, le Syndicat de la Magistrature avec le collectif Visa est intervenu pour former les antifas locaux ! L’annonce a été relayée par le site référence de la mouvance « antifa » La Horde.

L'annonce de la formation assurée par Visa pour les antifas bisontins

L’annonce de la formation assurée par Visa pour les antifas bisontins

Crédit photo Une : Ctruongngoc via Wikipédia (cc). Autres images : Novopress (cc)

Publié le 12 juin 2014 - Modifié le 12 juin 2014
 

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