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vendredi 21 novembre 2025

Assassinat d'Eric Sévère-Jolivet : une mise en examen pour meurtre

Et la thèse du cambriolage semble s'éloigner...

En revanche, la mienne s'étoffe : condamné le 12 novembre 2025 par le tribunal correctionnel de Quimper, le meurtrier présumé, qui selon ses explications en audition avait déjà rencontré la victime quelques mois auparavant, s'était présenté à son domicile dès le soir du 13 novembre 2025... et pourquoi donc ? Etait-il prévu qu'il fût condamné ?

Question subsidiaire : pourquoi le magistrat se serait-il engagé vis-à-vis d'un malade psychiatrique auteur de simples faits de vols et dégradations ? ce malade ne lui aurait-il pas rendu quelques services inavouables, à lui ou un de ses amis ?

Et ne serait-il pas désormais guetté par le suicide en prison ? 

Ce n'est sûrement pas la juge d'instruction du pôle criminel de Brest qui va remuer la merde, elle aussi ne se défonce que pour étouffer les plus sales affaires... 

 

Lire ou relire : 

https://satanistique.blogspot.com/2025/11/un-magistrat-la-retraite-assassine.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/11/alexandre-rossi-magistrat-tres-trouble.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/11/le-magistrat-eric-severe-jolivet.html

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https://satanistique.blogspot.com/2025/11/assassinat-deric-severe-jolivet-un.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/11/assassinat-deric-severe-jolivet-la.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/11/assassinat-deric-severe-jolivet-une.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/11/assassinat-deric-severe-jolivet-une_21.html

 

 

https://www.lavoixdunord.fr/1648454/article/2025-11-21/apres-la-mort-d-un-ancien-magistrat-quimper-un-homme-deja-connu-de-la-justice-en

Après la mort d’un ancien magistrat à Quimper, un homme déjà connu de la justice en garde à vue

 
Interpellé ce mercredi, un trentenaire, soupçonné d’avoir tué l’ancien magistrat Éric Sévère-Jolivet à Quimper, était toujours en garde à vue dans la soirée du jeudi 20 novembre.
 

Journaliste au service actualité en continu
Temps de lecture: 2 min

L’ancien magistrat Éric Severe-Jolivet, 61 ans, avait été retrouvé mort, victime de plusieurs plaies à l’arme blanche, à son domicile dans le quartier d’Ergué-Armel à Quimper (Finistère), ce dimanche 16 novembre. Lors des investigations, les enquêteurs avaient retrouvé sa voiture accidentée dans la rue et constaté la disparition de ses pièces d’identité. Une enquête de flagrance du chef d’homicide volontaire avait été ouverte.

Un suspect de 33 ans a été interpellé dès le lendemain de l’autopsie pratiquée ce mardi 18 novembre. Ce jeudi, il était toujours en gadre à vue, annoncent plusieurs médias. L’homme est déjà connu de la justice. Le 12 novembre dernier, il avait été condamné à six mois de prison avec sursis pour deux affaires jointes au cours de l’audience, explique Le Télégramme.

Il lui était reproché une dégradation de biens survenue en août 2024 à Quimper, et des dégradations et vols commis entre septembre et octobre 2024. Les témoins présents à l’audience avaient remarqué son agitation lors du procès. Il aurait aussi fait plusieurs séjours en hôpital psychiatrique.

« Les investigations ont établi que cet individu était susceptible d’avoir été en contact avec la victime les jours précédant son décès. Il va donc être entendu, pour en préciser les circonstances, a répondu la procureure de la République Cécile Flamet à Ouest-France, ce jeudi soir. Toutes les hypothèses sont envisagées et à l’étude. Je ne peux pas confirmer qu’un lien puisse être fait avec un cambriolage ». Aucune trace d’effraction n’aurait été relevée.

Un homme « très discret et gentil »

Éric Sévère-Jolivet, 61 ans, vivait seul et avait fait valoir ses droits à la retraite le 1er janvier. Inquiète de ne plus avoir de nouvelle, sa sœur avait demandé à un autre riverain d’ouvrir la porte de son domicile, révélant le crime. Décrit comme un « homme très discret et gentil » et propriétaire de sa maison depuis « une dizaine d’années », il « gardait ses distances » mais s’avérait serviable. « Il avait réparé mon aspirateur il y a peu », a témoigné un voisin auprès de nos confrères d’Ouest-France.

Éric Sévère-Jolivet avait occupé plusieurs postes au cours de sa carrière. D’abord greffier, il était ensuite devenu greffier en chef, et avait intégré l’École nationale de la magistrature (ENM) en 1990 puis exercé comme juge des enfants au tribunal de Brest. Il avait ensuite été juge d’instruction à Cayenne, rejoint le parquet de Paris et était devenu chargé de formation à l’ENM. Devenu vice-président du tribunal de première instance à Papeete (Tahiti), il avait poursuivi sa carrière comme substitut général affecté à la chambre de l’instruction au parquet général de Paris avant d’arriver à la cour d’appel de Rennes, en 2019 donc, en tant qu’avocat général. Chargé d’abord du suivi de la chambre de l’instruction, il avait repris des fonctions au sein des chambres correctionnelles.

Le procureur général de Rennes, Thierry Pocquet du Haut-Jussé, a fait respecter une minute de silence en sa mémoire lors de la réunion des magistrats du parquet général organisée ce lundi 15 novembre, indique l’AFP.

 

https://www.ouest-france.fr/societe/faits-divers/magistrat-retraite-tue-chez-lui-en-bretagne-un-trentenaire-mis-en-examen-pour-meurtre-et-ecroue-0544882c-c6f8-11f0-8ddc-e3dc0f9c5bad

Magistrat retraité tué chez lui en Bretagne : un trentenaire mis en examen pour meurtre et écroué

Un homme âgé de 33 ans a été mis en examen pour meurtre dans l’enquête criminelle ouverte à la suite du décès d’Eric Sévère-Jolivet. L’ancien magistrat avait été retrouvé mort chez lui, à Quimper (Finistère), dimanche 16 novembre 2025.

 

Un corps sans vie a été découvert dans cette maison de Quimper (Finistère), au 8, avenue de Kergoat Ar Lez.
Un corps sans vie a été découvert dans cette maison de Quimper (Finistère), au 8, avenue de Kergoat Ar Lez. | OUEST-FRANCE
 

Éric Sévère-Jolivet, magistrat retraité, a été retrouvé mort, dimanche 16 novembre 2025, chez lui à Quimper (Finistère). Cinq jours plus tard, ce vendredi 21 novembre 2025, un homme âgé de 33 ans a été mis en examen pour meurtre et placé en détention provisoire, fait savoir Cécile Flamet, procureure de la République.

Interpellé jeudi 20 octobre

Les investigations ont permis « d’établir que les faits s’étaient déroulés entre la soirée du jeudi 13 novembre et la matinée du samedi 15 novembre ». La procureure de la République indique par ailleurs « qu’un individu âgé de 33 ans, habitant du Sud Finistère, avait été hospitalisé sous contrainte samedi 15 novembre 2025, après s’être présenté à une de ses connaissances dans un état d’extrême agitation ». Il a ensuite été interpellé jeudi 20 novembre et placé en garde à vue.

Cécile Flamet développe : « En audition, l’intéressé expliquait avoir déjà rencontré la victime quelques mois auparavant et s’être présenté à son domicile le soir des faits ». Les investigations laissent à penser que l’absence de signe d’effraction pourrait indiquer qu’il serait entré avec l’accord d’Éric Sévère-Jolivet. Selon la procureure, un différend entre eux aurait ensuite débouché sur une rixe, au cours de laquelle le mis en cause aurait porté plusieurs coups de couteau à la victime.

Le trentenaire explique qu’ensuite il a quitté la maison après s’être emparé de « plusieurs effets de la victime ». « Il s’était enfui avec le véhicule appartenant à Éric Sévère-Jolivet. Il était toutefois revenu ultérieurement sur place et l’avait abandonné sur le trottoir », indique par ailleurs la procureure.

Pas de lien avec la carrière de procureur de la victime

Cécile Flamet précise qu’en l’état des investigations, « il n’apparaît pas de lien entre les faits commis et l’activité professionnelle passée » de la victime.

Le mis en cause a déjà un casier judiciaire et été condamné à plusieurs reprises, essentiellement pour des atteintes aux biens. La procureure rappelle qu’il a comparu « le 12 novembre 2025 devant le tribunal correctionnel de Quimper, pour des vols et dégradations ». Il avait été condamné six mois de sursis probatoire, comprenant une obligation de soin.

Enfin, la procureur indique qu’à l’issue de sa garde à vue, il a été présenté à un juge d’instruction du pôle criminel de Brest, a été mis en examen pour homicide volontaire, et placé en détention provisoire par le juge des libertés et de la détention. Elle rappelle que le crime de meurtre est puni de 30 ans de réclusion criminelle.

 

https://www.letelegramme.fr/bretagne/magistrat-poignarde-chez-lui-a-quimper-un-homme-de-33-ans-mis-en-examen-pour-meurtre-6933274.php

Magistrat poignardé chez lui à Quimper : un homme de 33 ans mis en examen pour meurtre

Interpellé, en début de semaine, à la suite du décès d’Éric Sévère-Jolivet, avocat général à la retraite, tué de plusieurs coups de couteau à son domicile, un Quimpérois de 33 ans a été mis en examen pour meurtre et incarcéré.

 

Le corps de l’ancien magistrat a été retrouvé dans une chambre de cette bâtisse quimpéroise du quartier d’Ergué-Armel.
Le corps de l’ancien magistrat a été retrouvé dans une chambre de cette bâtisse quimpéroise du quartier d’Ergué-Armel. (Photo Yves Madec/Le Télégramme)

 

Comme nous l’avons révélé le jeudi 20 novembre, c’est un Quimpérois de 33 ans qui est soupçonné d’avoir tué Éric Sévère-Jolivet, 61 ans, ancien avocat général près de la cour d’appel de Rennes, et qui vivait depuis à Quimper, dans une maison bourgeoise du quartier d’Ergué-Armel. Son corps a été retrouvé le dimanche 16 novembre dans la chambre, près du lit, gisant dans une importante mare de sang. Son décès était consécutif à plusieurs plaies par arme blanche.

À l’issue de sa garde à vue, l’homme a été présenté au juge d’instruction du pôle criminel du tribunal judiciaire de Brest. Il a été mis en examen pour homicide volontaire et placé en détention par le juge des libertés et de la détention.

« Un différend a débouché sur une rixe »

Les enquêteurs de la DCOS (division de la criminalité organisée et spécialisée, ex-PJ) ont très vite porté leurs soupçons sur cet homme déjà condamné par la justice, dont la dernière fois, le 12 novembre, mais son état psychologique les a empêchés de le placer tout de suite en garde à vue.

Dans un communiqué, adressé ce vendredi 21 novembre au soir, Cécile Flamet, procureure de la République de Quimper, confirme qu’« un individu, âgé de 33 ans, habitant le Sud-Finistère, a été hospitalisé sous contrainte, le samedi 15 novembre, après s’être présenté à une de ses connaissances dans un état d’extrême agitation. Il a été interpellé dans la journée du 20 novembre et placé en garde à vue ».

D’ajouter : « En audition, l’intéressé a expliqué avoir déjà rencontré la victime, quelques mois auparavant, et s’être présenté à son domicile, le soir des faits. L’absence de signe d’effraction semble indiquer qu’il est entré avec l’accord du maître des lieux. Au cours de la soirée, un différend entre eux a débouché sur une rixe, au cours de laquelle le mis en cause a porté plusieurs coups de couteau à M. Éric Sévère-Jolivet. Il a affirmé s’être trouvé en situation de légitime défense. Il a expliqué, ensuite, avoir quitté la maison, après s’être emparé de divers effets de la victime, fuyant à l’aide du véhicule de M. Éric Sévère-Jolivet. Il est toutefois revenu ultérieurement sur place et a abandonné le véhicule sur le trottoir ».

Pas de lien avec le métier de la victime

La procureure précise que « l’ensemble de ces déclarations devra être vérifié par l’information judiciaire ». Et qu’« en l’état des investigations, il n’apparaît pas de lien entre les faits commis et l’activité professionnelle passée » de la victime.

Le crime de meurtre est puni de 30 ans de réclusion criminelle.


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