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lundi 17 novembre 2025

Le magistrat Eric Sévère-Jolivet assassiné à Quimper

Le Télégramme a déjà étoffé son article de 12h26 à ce sujet (voir ci-dessous).

Le magistrat tué dans des circonstances pour l'heure inconnues avait été affecté le 10 juillet 2015 à la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris pour le parquet général de Paris, puis avait été nommé le 19 décembre 2018 avocat général à la cour d’appel de Rennes, où il avait à nouveau été chargé du suivi de la chambre de l’instruction, avant de reprendre des fonctions au sein des chambres correctionnelles.

La chambre de l'instruction a pour mission de contrôler le travail des juges d'instruction, ce qu'elle fait généralement à la manière dont le Bâtonnier de l'Ordre des Avocats d'un barreau traite les plaintes qu'il reçoit contre les avocats de son barreau, ou le Conseil de l'Ordre des Médecins celles qu'il reçoit contre des médecins...

A compter de 2019 et jusqu'à une date non encore publiée, Eric Sévère-Jolivet avait donc suivi les procédures de recours contre des décisions des juges d'instruction bretons, dont ceux de Brest et Quimper, connus pour un degré de CORRUPTION tout à fait hors norme. 

Ainsi, par exemple, ces magistrats prennent-ils leurs ordres directement auprès du malade mental, trafiquant de drogue, pédocriminel et terroriste islamiste Pascal Edouard Cyprien Luraghi pour tout ce qui me concerne et concerne aussi mes proches ainsi que mes présumés amis ou alliés.

Eric Sévère-Jolivet aurait-il pu l'ignorer ? Probablement pas.

 

Lire ou relire :

https://satanistique.blogspot.com/2025/11/un-magistrat-la-retraite-assassine.html

Mais aussi : 

https://satanistique.blogspot.com/2024/04/le-procureur-de-la-republique-de-cahors.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/11/alexandre-rossi-magistrat-tres-trouble.html

 

 

https://www.letelegramme.fr/finistere/quimper-29000/a-quimper-un-avocat-general-a-la-retraite-retrouve-mort-dans-des-circonstances-suspectes-6930231.php

À Quimper, un avocat général à la retraite retrouvé mort dans des circonstances suspectes [Vidéo]

INFO LE TÉLÉGRAMME. Une enquête est ouverte après la mort suspecte, découverte ce week-end, à Quimper, d’Éric Sévère-Jolivet, un ancien avocat général près la cour d’appel de Rennes.

« Meurtre ». Tel est l’intitulé qui figure sur les scellés apposés sur la porte d’entrée de la maison quimpéroise de l’ancien avocat général près la cour d’appel de Rennes, Éric Sévère-Jolivet. Le retraité de 61 ans a été retrouvé mort, ce week-end, dans l’une des pièces de la bâtisse située dans le quartier d’Ergué-Armel, à Quimper. C’est un proche de cet homme, inquiet de ne plus avoir de ses nouvelles, qui a donné l’alerte.

Selon nos informations, le corps du retraité - il l’était depuis le début d’année - portait trace de plusieurs plaies aux bras et au cou, vraisemblablement causées par une lame.

Pour l’heure, la cause du décès reste inconnue. Comme la date des faits. Ce dimanche 16 novembre 2025, plus d’une trentaine de policiers finistériens et rennais étaient présents sur les lieux pour réaliser les prélèvements et constatations. « La police scientifique était là depuis midi et ils sont restés jusque tard dans la nuit », confirme un voisin. Une enquête de voisinage a aussi été effectuée.

Une autopsie prévue

Une autopsie devait être pratiquée afin de permettre de préciser les circonstances de la mort. Contacté, le parquet de Quimper n’a pas souhaité confirmer les faits. Il indique simplement qu’une « enquête décès » est ouverte et qu’elle est confiée à la police. Toutes les hypothèses sont envisagées. À notre connaissance, aucune interpellation n’est, pour l’instant, survenue dans ce dossier.

Selon des riverains, la voiture de la victime, habituellement stationnée devant son domicile, a été retrouvée à une centaine de mètres de là. Elle avait un pneu crevé. L’ancien avocat général venait, par ailleurs, de vendre sa maison quimpéroise.

Une minute de silence

La victime, qui vivait seule, a effectué sa carrière au sein de la magistrature. Éric Sévère-Jolivet avait terminé sa carrière au poste d’avocat général près la cour d’appel de Rennes. Ce lundi, Thierry Pocquet du Haut-Jussé, procureur général de Rennes, a fait respecter une minute de silence en sa mémoire, lors de la réunion des magistrats du parquet général. Il a dit avoir appris « avec une profonde émotion la disparition brutale d’Éric Sévère-Jolivet ».

« Parcours extrêmement riche »

Greffier au début de sa carrière, l’avocat général honoraire avait « gravi les échelons jusqu’à devenir greffier en chef » avant d’intégrer, en 1990, l’école nationale de la magistrature. Il avait exercé ses premières fonctions en tant que juge des enfants, à Brest. « En 1994, il a intégré l’administration centrale avant de rejoindre le tribunal de Cayenne, en 1998, comme juge d’instruction. De retour en métropole, en 2003, il choisit le parquet de Paris puis devient chargé de formation à l’École nationale de la magistrature. En 2006, il retourne en outre-mer en devenant vice-président à Papeete. En 2015, il rejoint le parquet général de Paris comme substitut général, il y est affecté à la chambre de l’instruction ».

 « Nommé, en 2019, avocat général à la cour d’appel de Rennes, il est à nouveau chargé du suivi de la chambre de l’instruction, avant de reprendre des fonctions au sein des chambres correctionnelles, précise Thierry Pocquet du Haut-Jussé. Par ce parcours extrêmement riche, Monsieur Sévère-Jolivet a démontré un réel investissement professionnel et une capacité à s‘adapter à différentes missions et différents territoires. »

 

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