Le profil d'un présumé pickpocket à domicile interpellé hier se précise, et... j'en connais d'autres qui sont bien plus malins que celui-là : ils vont voir leur pote magistrat bien avant le tout premier souci... mais celui-ci n'est pas toujours en mesure de tout arranger ou d'obtenir pile poil les décisions demandées contre les victimes...
Un magistrat à la retraite a été retrouvé mort dimanche chez lui à Quimper (Finistère).
Éric Sévère-Jolivet présentait de nombreuses plaies à l'arme blanche.
Un homme âgé d'une trentaine d'années a été interpellé et placé en garde à vue.
Une
affaire qui a bouleversé la commune du Finistère et des informations au
compte-goutte dans cette affaire sensible. Jeudi, un homme âgé d'une
trentaine d'années a été placé en garde à vue dans l'enquête sur le meurtre par arme blanche d'un magistrat retraité à son domicile de Quimper, a annoncé le parquet dans un communiqué.
"Les
investigations ont établi que cet individu était susceptible d’avoir
été en contact avec la victime les jours précédant son décès. Il va donc
être entendu, pour en préciser les circonstances", a indiqué la procureure de Quimper Cécile Flamet. "Il n’y aura pas d’autre communication en l’état", a-t-elle ajouté. Éric Sévère-Jolivet, 61 ans, était à la retraite depuis le début de l'année.
Plusieurs séjours en hôpital psychiatrique
D'après Le Télégramme (nouvelle fenêtre),
il s'agirait d'un homme de 33 ans ayant fait plusieurs séjours en
hôpital psychiatrique. Il a été condamné le 12 novembre dernier par le
tribunal judiciaire de Quimper à six mois de prison avec sursis pour des
dégradations et des vols commis en 2024, selon le journal.
"Les témoins présents à l’audience ont évoqué un homme très excité durant le procès", écrit le quotidien.
L'autopsie confirme un décès par arme blanche
Le
corps d’Éric Sévère-Jolivet, 61 ans, ancien avocat général à la cour
d'appel de Rennes, avait été découvert dimanche dans sa maison de
Quimper. Il avait plusieurs plaies sur le corps, ses papiers d'identité
avaient disparu et sa voiture a été retrouvée accidentée dans la rue.
L’autopsie pratiquée mardi a confirmé que sa mort avait été provoquée
par une arme blanche.
Éric
Sévère-Jolivet était à la retraite depuis le 1er janvier 2025. Il a
notamment été juge d'instruction à Cayenne, chargé de formation à
l’École nationale de magistrature, vice-président de tribunal à Papeete,
substitut général au parquet général de Paris puis avocat général à la
cour d’appel de Rennes.
Pour ce qui me concerne, je préviens tout de suite : ce ne sera sûrement pas un cambriolage qui a mal tourné, mais bel et bien un assassinat. J'ai déjà fait l'objet de plusieurs tentatives d'assassinat, plusieurs de mes proches également, et certains ont bel et bien été assassinés. Par ailleurs, il y a déjà eu plusieurs tentatives d'entrée par effraction à mon domicile de nuit, et il ne s'agissait certainement pas de cambrioleurs.
En ce qui concerne le magistrat à la retraite qui résidait à Quimper, la piste d'un cambriolage qui aurait mal tourné est étudiée.
Qu'est-ce qu'un "cambrioleur" assez étrange pour emporter les papiers d'identité de sa victime peut-il bien rechercher dans sa maison ? Eh bien, des papiers, apparemment, peut-être beaucoup de papiers, des dossiers compromettants soigneusement conservés à son domicile par l'ancien magistrat, ou tous les moyens d'accès à ces documents ultra-sensibles, par exemple dans un coffre où il les aurait mis à l'abri.
Donc, ça tourne mal, le proprio qui se fait voler ses papiers chez lui a surpris le voleur qui le tue illico en s'acharnant un peu, quand même, et ensuite, histoire de se faire remarquer après avoir commis un meurtre qui n'était pas à son programme, pas paniqué du tout il vole la voiture de sa victime, roule exprès sur un clou pour crever un pneu et se faire encore plus remarquer 100 m plus loin... puis rentre tranquillement chez lui en attendant que la police vienne le cueillir.
C'est vraiment un pro de la cambriole, ça ?
Et toi, tu fais quoi ? Pickpocket à domicile. Je rentre chez les gens, je leur fais les poches, et si ça les réveille, je les tue, puis je me tire avec leur caisse.
INFO
LE TÉLÉGRAMME. Trois jours après la découverte du corps d’Éric
Sévère-Jolivet, avocat général à la retraite, tué de plusieurs coups de
couteau chez lui, à Quimper, les policiers ont interpellé, mercredi
19 novembre, un homme de 33 ans.
Le corps de l’ancien magistrat a été retrouvé dans une chambre de cette
bâtisse quimpéroise du quartier d’Ergué-Armel. (Photo Yves Madec/Le
Télégramme)
Trois
jours. C’est le laps de temps qu’il a fallu aux enquêteurs de la DCOS
(division de la criminalité organisée et spécialisée, ex PJ) pour
procéder à une interpellation dans le cadre des coups de couteau qui ont
entraîné la mort d’Éric Sévère-Jolivet, 61 ans, ancien avocat général
près de la cour d’appel de Rennes, et qui vivait à Quimper, dans une
maison bourgeoise du quartier d’Ergué-Armel.
Magistrat retraité tué chez lui en Bretagne : la piste du cambriolage qui a mal tourné étudiée
L’enquête criminelle
ouverte après la découverte du corps sans vie d’un ancien magistrat à
Quimper (Finistère) se poursuit. Selon nos informations, la piste du
cambriolage qui a mal tourné est très regardée. « Toutes les hypothèses
sont envisagées », répond la procureure de la République.
Le corps sans vie d’Éric
Sévère-Jolivet a été découvert dans cette maison de Quimper (Finistère),
au 8, avenue de Kergoat-ar-Lez, dimanche 16 novembre 2025. | OUEST-FRANCE
Le corps sans vie d’un magistrat à la retraite a été
découvert, chez lui, dans un quartier résidentiel de Quimper
(Finistère), dimanche 16 novembre 2025, à l’heure du déjeuner. L’autopsie a confirmé que le décès d’Éric Sévère-Jolivet « était consécutif à plusieurs plaies par arme blanche ».Depuis,
de nombreuses investigations de police technique et scientifique sont
en cours, notamment dans la voiture de la victime, retrouvée accidentée
dans la rue.
Ex-magistrat tué à Quimper : un trentenaire interpellé et bientôt auditionné
L’homme
est susceptible d’avoir été en contact il y a peu avec Éric
Sévère-Jolivet, 61 ans, retrouvé mort à son domicile dimanche.
Par Le Parisien
Le 20 novembre 2025 à 21h46
Le trentenaire a été placé ce jour en garde à vue (illustration). LP/Arnaud Journois
Le corps d’Éric Sévère-Jolivet
a été découvert dimanche dans sa maison de Quimper (Finistère).
L’autopsie a révélé que cet ancien avocat général à la cour d’appel de
Rennes (Ille-et-Vilaine), âgé de 61 ans, présentait des traces de plaie à l’arme blanche.
Une
enquête pour meurtre a été ouverte par Cécile Flamet, procureure de
Quimper, pour faire la lumière sur cette affaire. En charge des
investigations, la Division de la criminalité organisée et spécialisée
de la police du Finistère a interpellé un suspect, relate Le Télégramme, une information confirmée par Le Parisien.
Le
trentenaire a été placé ce jour en garde à vue. « Les investigations
ont établi que cet individu était susceptible d’avoir été en contact
avec la victime les jours précédant son décès. Il va donc être entendu,
pour en préciser les circonstances », précise le parquet.
Les papiers d’identité introuvables, le véhicule accidenté
Éric
Sévère-Jolivet, dont les papiers d’identité ont disparu et dont la
voiture a été retrouvée accidentée dans la rue, n’était plus en activité
depuis le 1er janvier 2025. Il avait commencé sa vie professionnelle
comme commis greffier, avant d’intégrer l’École nationale de la
magistrature (ENM) puis de devenir juge des enfants à Brest.
Il a notamment été juge d’instruction à Cayenne, chargé de formation à l’École nationale de la magistrature (ENM),
vice-président de tribunal à Papeete, substitut général au parquet
général de Paris puis avocat général à la cour d’appel de Rennes.
Le
procureur général de Rennes, Thierry Pocquet du Haut-Jussé, a fait
respecter une minute de silence en sa mémoire lundi, lors de la réunion
des magistrats du parquet général.
Une autopsie a été réalisée dans la journée, le procureur a fait paraître un communiqué, et les journaux commencent à en parler dans tout l'Hexagone...
Nouvel élément d'information ce soir : les papiers d'identité de la victime ont disparu...
Alors ça, ça sent le contrat... même si l'exécution semble assez désordonnée au vu des éléments rendus publics pour l'instant...
Rappelez-vous le double meurtre du stand de tir de la Villeneuve à Brest... il s'agissait aussi d'un contrat... exécuté par le type d'exécutants habituellement recrutés pour les contrats de l'extrême-gauche de Brest... toujours assez brouillons... au point de parfois se tromper de cible...
Mais je ne crois pas qu'en l'occurrence ce soit le cas, c'est bien le haut magistrat qui était visé et personne d'autre, sinon, éventuellement, un autre magistrat...
Le corps sans vie d'un ancien magistrat a
été découvert dimanche dans sa maison à Quimper. Une enquête a été
ouverte pour homicide volontaire. Une autopsie a permis de déterminer
les causes du décès.
Retrouvé mort à son domicile dans le quartier d'Ergué-Armel à
Quimper (Finistère) dimanche 16 novembre, un ancien magistrat de 61 ans a
probablement été tué.
C'est ce que confirme la procureure de la
République de Quimper, dans un communiqué. Une autopsie, pratiquée ce
mardi 18 novembre, a confirmé que "le décès était consécutif à
plusieurs plaies par arme blanche. L’intervention d’un tiers est, à ce
stade, l’hypothèse privilégiée".
Cela corrobore les révélations de nos confrères du Télégramme,
selon lesquelles le corps portait trace de plusieurs plaies au cou et
aux bras, lorsqu'il a été découvert par un proche. La police aurait
retrouvé un couteau au domicile, sur la porte duquel des scellées ont
été apposées le week-end dernier.
Papiers disparus, véhicule accidenté
Selon le parquet de Quimper, qui a ouvert une "enquête de flagrance, du chef d’homicide volontaire", les documents d'identité de la victime ont par ailleurs disparu et son véhicule a été retrouvé dans la rue accidenté.
Des
examens médicaux complémentaires vont être pratiqués. De nombreuses
investigations de police technique et scientifique sont en cours,
notamment dans le véhicule. L’enquête criminelle est confiée à la
Division de la criminalité organisée et spécialisée de la direction
interdépartementale de la police nationale du Finistère, sous le
contrôle de la procureure de la République de Quimper.
Pas d'interpellation
Cette dernière indique qu'à ce stade "aucune interpellation n’est intervenue et toutes les pistes sont examinées par les enquêteurs".
L'ancien
juge, Eric Sévère-Jolivet, vivait a priori seul depuis sa retraite
début 2025. Il avait terminé sa carrière au poste d’avocat général près
la cour d’appel de Rennes, où une minute de silence a été observée en
sa mémoire, lundi. Greffier, il était sorti diplômé de l'Ecole nationale
de la magistrature en 1990. D'abord juge pour enfant au tribunal de
Brest, il avait ensuite occupé plusieurs postes outre-mer avant de
revenir en métropole, où il a continué à gravir les échelons.
"Toutes les pistes sont examinées." Le décès d'un ancien magistrat à
Quimper reste un mystère
Éric Sévère-Jolivet, ancien avocat général de la
Cour d'appel de Rennes, est décédé de blessures par arme blanche à
Quimper. Pour l'heure, il n'y a eu aucune interpellation.
Dans quelles circonstances est décédé Éric Sévère-Jolivet, ancien avocat général de la Cour d’appel de Rennes (Ille-et-Vilaine) ? L’enquête criminelle pour homicide volontaire ouverte par le parquet de Quimper (Finistère) devra le déterminer.
Éric Sévère-Jolivet, 61 ans, était en retraite depuis début 2025 et vivait dans le quartier d’Ergué-Armel à Quimper. Son corps a été retrouvé par un proche, dimanche 16 novembre, à son domicile comme l’indiquait Le Télégramme.
Blessures mortelles à l’arme blanche
Mardi 18 novembre, la procureure de la République de Quimper confirme dans un communiqué que la victime avait « plusieurs plaies sur le corps » causées par « une arme blanche« .
Ce
mardi, une autopsie a confirmé que ces blessures étaient à l’origine du
décès. « L’intervention d’un tiers est, à ce stade, l’hypothèse
privilégiée », écrit Cécile Flamet, la procureure de la République de Quimper.
Elle
précise que « des examens médicaux complémentaires vont être
pratiqués » et que « de nombreuses investigations de police technique et
scientifique sont en cours, notamment dans le véhicule de la victime ».
Ce dernier a été retrouvé accidenté dans la rue où résidait la
victime.
Aucune interpellation
Pour l’heure, l’enquête n’a donné lieu à aucune interpellation.
Elle a été confiée à la Division de la criminalité organisée de la
police. « Toutes les pistes sont examinées par les enquêteurs », conclut
la procureure de la République de Quimper.
La presse nationale n'a encore rien publié sur cette affaire, hormis deux titres, Paris Match hier et le site 20minutes.fr aujourd'hui.
Ce dernier précise :
D’après nos confrères, l’ancien
procureur a été blessé de plusieurs coups de couteau, sans que l’on ne
sache pour l’heure si l’intervention d’un tiers est envisagée.
Ah... il pourrait donc s'agir d'un suicide... après un petit coup de couteau dans un des pneus de sa voiture retrouvée à 100 m de chez lui pour faire diversion...
Après tout, c'est un magistrat, ces gens-là sont vraiment bizarres, surtout par ici où ils se font des idées absolument incroyables sur les ingénieurs... pour ma part, je serais paraît-il capable de "manipuler" jusqu'à tous les instruments de mesure des laboratoires d'analyses médicales pour leur faire produire des résultats contredisant la criminelle Josette Brenterch et ses complices du crime organisé, même à très grande distance (plusieurs centaines de km).
Il
avait pris sa retraite il y a quelques mois. Avocat général à la cour
d’appel de Rennes, Eric Sévère-Jolivet vivait à Quimper (Finistère) depuis quelques années. D’après Le Télégramme,
son corps sans vie a été découvert ce week-end dans la maison qu’il
occupait seul. Sur les scellés apposés sur la porte d’entrée, les
enquêteurs ont mentionné le mot « meurtre ». Pour l’heure, les soupçons
n’ont pas été confirmés par les autorités, qui se sont montrées très
discrètes au sujet de ce décès.
D’après nos confrères, l’ancien
procureur a été blessé de plusieurs coups de couteau, sans que l’on ne
sache pour l’heure si l’intervention d’un tiers est envisagée. Le
magistrat avait vraisemblablement vendu sa maison récemment.Ce sont des proches, inquiets de ne pas avoir de nouvelles, qui ont alerté les autorités. La date de la mort n’a pour l’heure pas été communiquée mais un important déploiement policier a été constaté par des voisins dimanche 16 novembre.
Éric
Sévère-Jolivet, 61 ans, à la retraite depuis le début d'année, a été
retrouvé mort à son domicile du Finistère. Une enquête est en cours et
les enquêteurs évoquent une mort suspecte.
C’était un magistrat à la carrière fournie qui venait de partir en retraite. Proche de Quimper, l’ancien avocat général près la Cour d’appel a été retrouvé mort à son domicile ce week-end, rapportent nos confrères du « Télégramme » .
La découverte a eu lieu à son domicile de Ergué-Armel et selon les
premiers éléments de l’enquête, les policiers estiment qu’il s’agit
d’une mort suspecte.
Des blessures causées vraisemblablement par un couteau
Éric
Sévère-Jolivet, 61 ans, était parti à la retraite depuis le début de
l’année 2025. D’après nos confrères, son corps a été découvert avec
plusieurs plaies aux bras et au cou et ces blessures ont
vraisemblablement été causées par un couteau. L’homme, qui vivait seul
dans sa maison, était un magistrat à la carrière riche. Juge des enfants
au tribunal de Brest, il avait ensuite été vice-président du tribunal
de première Instance de Papeete. Il était par la suite devenu substitut
du procureur général près la cour d‘appel de Paris et avocat général
près la cour d’appel de Rennes.
Pour le moment, l’enquête ne fait que commencer et les enquêteurs
ne savent pas encore à quoi est liée sa mort. Ce dimanche 16 novembre,
de nombreux policiers du Finistère, appuyés par des agents rennais,
étaient sur les lieux pour effectuer des prélèvements et interroger les
voisins. Une autopsie est prévue dans les prochains jours. Ce lundi
17 novembre, aucune interpellation n’a été réalisée dans le cadre de
l’enquête.
Magistrat retraité retrouvé sans vie en Bretagne : l’autopsie va être réalisée ce mardi
Dramatique découverte,
dimanche 16 novembre 2025, dans une maison à Quimper (Finistère) : le
corps de l’homme qui habitait là y a été retrouvé sans vie. L’enquête se
poursuit.
Un corps sans vie a été découvert dans cette maison de Quimper (Finistère), au 8, avenue de Kergoat Ar Lez. | OUEST-FRANCE
Sur les scellés apposés sur la porte d’entrée de son domicile, figure la mention « meurtre ».
Un couteau aurait aussi été trouvé sur place. Pour autant, jusqu’alors,
les sources officielles se sont abstenues de tout commentaire.
Ce mardi 18 novembre 2025, Cécile Flamet, procureure de la République au tribunal judiciaire de Quimper, indique « que l’autopsie doit être pratiquée dans la journée ».
Le Télégramme a déjà étoffé son article de 12h26 à ce sujet (voir ci-dessous).
Le magistrat tué dans des circonstances pour l'heure inconnues avait été affecté le 10 juillet 2015 à la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Paris pour le parquet général de Paris, puis avait été nommé le 19 décembre 2018 avocat général à la cour d’appel de Rennes, où il avait à
nouveau été chargé du suivi de la chambre de l’instruction, avant de
reprendre des fonctions au sein des chambres correctionnelles.
La chambre de l'instruction a pour mission de contrôler le travail des juges d'instruction, ce qu'elle fait généralement à la manière dont le Bâtonnier de l'Ordre des Avocats d'un barreau traite les plaintes qu'il reçoit contre les avocats de son barreau, ou le Conseil de l'Ordre des Médecins celles qu'il reçoit contre des médecins...
A compter de 2019 et jusqu'à une date non encore publiée, Eric Sévère-Jolivet avait donc suivi les procédures de recours contre des décisions des juges d'instruction bretons, dont ceux de Brest et Quimper, connus pour un degré de CORRUPTION tout à fait hors norme.
Ainsi, par exemple, ces magistrats prennent-ils leurs ordres directement auprès du malade mental, trafiquant de drogue, pédocriminel et terroriste islamiste Pascal Edouard Cyprien Luraghi pour tout ce qui me concerne et concerne aussi mes proches ainsi que mes présumés amis ou alliés.
Eric Sévère-Jolivet aurait-il pu l'ignorer ? Probablement pas.
À Quimper, un avocat général à la retraite retrouvé mort dans des circonstances suspectes [Vidéo]
INFO
LE TÉLÉGRAMME. Une enquête est ouverte après la mort suspecte,
découverte ce week-end, à Quimper, d’Éric Sévère-Jolivet, un ancien
avocat général près la cour d’appel de Rennes.
«
Meurtre ». Tel est l’intitulé qui figure sur les scellés apposés sur la
porte d’entrée de la maison quimpéroise de l’ancien avocat général près
la cour d’appel de Rennes, Éric Sévère-Jolivet. Le retraité de 61 ans a
été retrouvé mort, ce week-end, dans l’une des pièces de la bâtisse
située dans le quartier d’Ergué-Armel, à Quimper. C’est un proche de cet
homme, inquiet de ne plus avoir de ses nouvelles, qui a donné l’alerte.
Selon
nos informations, le corps du retraité - il l’était depuis le début
d’année - portait trace de plusieurs plaies aux bras et au cou,
vraisemblablement causées par une lame.
Pour l’heure, la cause du
décès reste inconnue. Comme la date des faits. Ce dimanche 16 novembre
2025, plus d’une trentaine de policiers finistériens et rennais étaient
présents sur les lieux pour réaliser les prélèvements et constatations. «
La police scientifique était là depuis midi et ils sont restés jusque
tard dans la nuit », confirme un voisin. Une enquête de voisinage a
aussi été effectuée.
Une autopsie prévue
Une
autopsie devait être pratiquée afin de permettre de préciser les
circonstances de la mort. Contacté, le parquet de Quimper n’a pas
souhaité confirmer les faits. Il indique simplement qu’une « enquête
décès » est ouverte et qu’elle est confiée à la police. Toutes les
hypothèses sont envisagées. À notre connaissance, aucune interpellation
n’est, pour l’instant, survenue dans ce dossier.
Selon des
riverains, la voiture de la victime, habituellement stationnée devant
son domicile, a été retrouvée à une centaine de mètres de là. Elle avait
un pneu crevé. L’ancien avocat général venait, par ailleurs, de vendre
sa maison quimpéroise.
Une minute de silence
La victime, qui vivait seule, a effectué sa carrière au sein de la
magistrature. Éric Sévère-Jolivet avait terminé sa carrière au poste
d’avocat général près la cour d’appel de Rennes. Ce lundi, Thierry
Pocquet du Haut-Jussé, procureur général de Rennes, a fait respecter une
minute de silence en sa mémoire, lors de la réunion des magistrats du
parquet général. Il a dit avoir appris « avec une profonde émotion la
disparition brutale d’Éric Sévère-Jolivet ».
« Parcours extrêmement riche »
Greffier
au début de sa carrière, l’avocat général honoraire avait « gravi les
échelons jusqu’à devenir greffier en chef » avant d’intégrer, en 1990,
l’école nationale de la magistrature. Il avait exercé ses premières
fonctions en tant que juge des enfants, à Brest. « En 1994, il a intégré
l’administration centrale avant de rejoindre le tribunal de Cayenne, en
1998, comme juge d’instruction. De retour en métropole, en 2003, il
choisit le parquet de Paris puis devient chargé de formation à l’École
nationale de la magistrature. En 2006, il retourne en outre-mer en
devenant vice-président à Papeete. En 2015, il rejoint le parquet
général de Paris comme substitut général, il y est affecté à la chambre de l’instruction ».
« Nommé, en 2019, avocat général à la cour d’appel de Rennes, il est à
nouveau chargé du suivi de la chambre de l’instruction, avant de
reprendre des fonctions au sein des chambres correctionnelles, précise
Thierry Pocquet du Haut-Jussé. Par ce parcours extrêmement riche,
Monsieur Sévère-Jolivet a démontré un réel investissement professionnel
et une capacité à s‘adapter à différentes missions et différents
territoires. »
Le
procureur de la République du Lot, Alexandre Rossi, sera jugé au mois
de juin prochain pour violences conjugales, a appris France Bleu
Périgord. Sa garde à vue et son placement sous contrôle judiciaire
remontent au début de la semaine. Ce samedi, il est toujours en poste.
En
début de semaine, Alexandre Rossi, procureur de la République de Cahors
(Lot) a été placé en garde à vue après une plainte de son épouse, avec
laquelle il est en instance de séparation, pour violences conjugales,
ont appris France Bleu Périgord et franceinfo ce samedi. Étant en poste à
Cahors, la procédure a été traitée par le parquet voisin de Montauban,
dans le Tarn-et-Garonne. Entendu par les gendarmes de la brigade de
recherche, il a également été confronté à la plaignante qui a porté plainte à plusieurs reprises au début du mois pour des violences psychologiques et de violences physiques au cours de disputes.
Sous contrôle judiciaire jusqu'à son procès
À
l'issue de sa garde à vue, le procureur d'une quarantaine d'années, en
poste depuis janvier 2022, a été placé sous contrôle judiciaire sans
être mis en examen, mais a reçu une convocation pour être jugé au mois de juin par le tribunal correctionnel de Montauban. Son contrôle judiciaire l'oblige à se soigner et le père de famille a interdiction de se rendre au domicile de sa compagne.
Le magistrat toujours en poste, mais en congés
Alexandre Rossi, que nous avons appelé, a refusé de commenter cette affaire.
Le Procureur Général d'Agen dont dépend le parquet de Cahors indique
qu'Alexandre Rossi est toujours en poste. En revanche, il n'est pas au
travail, en vacances depuis lundi.
Sollicité ce samedi, le ministère de la Justice dit avoir "actionné de manière urgente une phase d'analyse disciplinaire" avant de prendre une décision concernant le procureur Alexandre Rossi.
Le Conseil Supérieur de la Magistrature n'a pas été saisi ce samedi après-midi. Contactée ce samedi après-midi, la chancellerie a engagé "de manière urgence, une phase d'analyse disciplinaire" avant de prendre une décision.
Le procureur a également déposé plainte
Selon nos informations, le procureur de Cahors a également déposé plainte contre son épouse pour des violences.
L'affaire
avait fait du bruit localement. En avril dernier, le procureur de la
République de Cahors (Lot) était mis en cause dans une affaire de
violences conjugales. Il devait comparaître ce mardi 18 juin 2024 au
tribunal correctionnel de Montauban. Le dossier a finalement été renvoyé
à l'automne.
En avril dernier, le
procureur de la République de Cahors dans le Lot, Alexandre Rossi, était
placé en garde-à-vue, selon une information révélée à l'époque par nos confrères de France Bleu Périgord. Le
magistrat, en poste depuis 2022, était accusé de violences conjugales
par sa compagne. Cette dernière avait porté plainte à plusieurs reprises
au début du mois d'avril pour des violences psychologiques et
physiques. Lui-même a déposé plainte.
À
l'issue de sa garde à vue, l'homme, âgé d'une quarantaine d'années,
avait été placé sous contrôle judiciaire le temps d'être jugé. Son procès devait se tenir ce mardi 18 juin 2024 au tribunal correctionnel de Montauban (Tarn-et-Garonne).
L'affaire ayant été dépaysée, finalement, le procès a été renvoyé au 22 novembre 2024.
C'est la défense d'Alexandre Rossi, Me Battikh, qui a réclamé ce renvoi, arguant que son client est actuellement en arrêt maladie et son avocat habituel n'est pas disponible. Une requête à laquelle s'est opposé l'avocat de la partie civile Me Rodriguez.
De
son côté, le parquet de Montauban, qui est en charge de l'affaire, a
également plaidé en faveur d'un renvoi, pour le mois de novembre 2024,
invoquant de nouvelles investigations à réaliser.
Alexandre Rossi est donc toujours présumé innocent.
En attendant son procès renvoyé au 22 novembre prochain il reste placé
sous contrôle judiciaire avec une obligation de soin et l'interdiction
de se rendre au domicile de sa compagne, en revanche il est de nouveau
autorisé à entrer en contact avec ses enfants.
Alexandre Rossi se dit innocent depuis le début
Me
Mourad Battikh tient à rappeler qu'Alexandre Rossi rejette depuis le
début les accusations de violences conjugales et il est satisfait du
report : "C'est une très belle décision pour mon client, c'est le
retour de la présomption d'innocence donc nous l'accueillons avec joie.
Maintenant il faut que l'on se mobilise pour préparer utilement la
défense et faire en sorte que son innocence soit prononcée par un
tribunal, comme il la clame depuis le premier jour. L'objectif de ce
dossier et notre rôle à nous, c'est de faire en sorte qu'il ne soit pas
au dessus des lois, mais surtout pas en dessous des lois."
Plaignante dépassée par la tournure médiatique de l'affaire
Me
Julie-Emilie Rodriguez explique qu'aujourd'hui sa plaignante est
dépassée par la tournure médiatique qu'a pris ce dossier, ce mardi une
dizaine de journalistes assistent à l'audience de demande de report, et
elle raconte à quel point il a été difficile pour sa cliente de porter
plainte contre son procureur de mari : "C'est une démarche qui a
été très violente pour elle de prendre la décision de se rendre en
gendarmerie, d'exposer sa situation. Ce qui se passe dans le confinement
de la cellule familiale, c'est compliqué. La peur de ne pas être
entendue, la peur de ne pas être crue, la peur de l'incertitude sur
l'accueil qu'elle allait recevoir en gendarmerie, Bien sûr, c'est
quelque chose qui lui a pris beaucoup de temps, qui a été éprouvant pour
elle."
L'ancien
procureur de Cahors, Alexandre Rossi, aujourd'hui substitut au parquet
général d'Aix-en-Provence, a été condamné vendredi à 1.500 euros
d'amende avec sursis par le tribunal correctionnel de Montauban pour des
violences sur ses enfants, mais relaxé pour celles que lui reprochait
son épouse.
Il est aujourd'hui substitut
au parquet général d'Aix-en-Provence. L'ancien procureur de Cahors
Alexandre Rossi a été condamné ce vendredi 1er août 2025 à 1.500 euros
d'amende avec sursis par le tribunal correctionnel de Montauban pour des
violences sur ses enfants, mais relaxé pour celles que lui reprochait son épouse. Il avait comparu en juin dernier.
Le procureur avait requis de la prison avec sursis
En
plus de l'amende avec sursis, le tribunal de Montauban a condamné
Alexandre Rossi à verser 600 et 300 euros à deux de ses trois fils au
titre des dommages-intérêts. Le procureur de la République de Montauban,
Bruno Sauvage, avait requis une peine de deux mois de prison avec
sursis assortie d'un stage de parentalité lors du procès.
Lors de l'audience et selon l'AFP, l'ex-procureur de Cahors avait reconnu avoir eu par moments "un comportement de mauvais père", reconnaissant des insultes ou des propos comme "Je vais te massacrer", assénés à ses enfants. Il avait en revanche réfuté avoir été violent.
L'épouse condamnée à une amende avec sursis
La
future ex-épouse d'Alexandre Rossi (le divorce est en cours) a été
condamnée à une amende de 800 euros avec sursis pour l'avoir filmé à son insu.
Maître Julie-Emilia Rodriguez, son avocate, était la seule présente
lors du délibéré. Elle annonce à ICI Occitanie qu'elle ne compte pas
faire appel de ce jugement.
L’avocat
d’une société en redressement judiciaire depuis près de quarante ans
souhaite faire venir à la barre du tribunal correctionnel de Cahors,
celui qui fut chef du parquet du Lot entre 2022 et 2024, mais aussi
l’ancien et actuel président du tribunal de commerce, un mandataire
judiciaire et un avocat
« Un
dossier exemplaire du dysfonctionnement de l’institution judiciaire. »
Thierry Lacamp, avocat au barreau de Paris, multiplie les superlatifs
pour parler de cette affaire commerciale, déportée sur le terrain pénal.
Conseil des sociétés du groupe Ducler, un des plus importants
terrassiers en France implanté dans le Gers, depuis l’ouverture de
procédures de redressement judiciaire à leur encontre en 1986 -
certaines sont toujours en cours - le juriste, porté par le caractère
exceptionnel du dossier à biens des égards, entend faire connaître « le
scandale » lié au traitement de la procédure.
Quitte
à faire citer Alexandre Rossi, ancien procureur de la République de
Cahors, muté depuis quelques mois à la cour d’appel d’Aix-en-Provence
après une condamnation par la justice (1), devant le tribunal
correctionnel pour escroquerie au jugement.
Dépaysé dans le Lot
par la cour d’appel d’Agen, ce dossier a souffert d’une « gestion
calamiteuse » pendant la période d’observation. « Tous les mandataires
de justice qui ont été désignés, jusqu’à...
L’avocat
de sociétés Ducler, qui fut l’un des plus importants groupes
terrassiers en France, a assigné en justice plusieurs magistrats du
tribunal de commerce de Cahors, dont Alexandre Rossi, ancien procureur
du Lot, au motif "d’escroquerie en bande organisée".
Attentats terroristes. Féminicides. Règlements de compte.
Manifestations avec de graves débordements. À chaque fois, une enquête
judiciaire et le communiqué de celui ou celle qui dirigera les
investigations et devra décider des suites : le procureur de la
République.
Malgré cette présence médiatique, accentuée depuis quelque temps, force
est de constater que, hormis les juristes, personne ne sait exactement
quels sont le rôle et les attributions du procureur, ou encore ce qu'il a
fait pour occuper cette place. Est-il un juge, un magistrat, un avocat,
un préfet judiciaire, un membre du ministère de la Justice ?
Il existe bien sûr de nombreux livres relatifs à la fonction de
procureur, mais il s'agit la plupart du temps d'ouvrages universitaires très techniques ou d'essais rédigés par de hauts magistrats sur telle ou telle grande affaire.
Chronique d'un procureur. Comment je suis devenu le proc' souhaite au
contraire offrir le point de vue d'un professionnel à tout citoyen
désireux de connaître le fonctionnement du parquet.
Fort de son expérience professionnelle, Alexandre Rossi raconte son
quotidien, parle de ses motivations, livre sa conception du métier, sans
omettre les difficultés qu'il rencontre et ses insatisfactions.
Une lecture stimulante et accessible, tout particulièrement utile aux étudiants désireux d'accéder à la fonction de procureur.
Procureur
de la République, Alexandre Rossi écume les tribunaux depuis plus de
quinze années. Chaque jour, il se heurte aux clichés sur la justice :
Justice trop lente - Justice « aux ordres » - Justice laxiste - Justice
trop compliquée...
Ces préjugés qui ternissent l'image de la justice sont-ils pour autant
fondés ? Alexandre Rossi questionne cinquante des idées reçues les plus
tenaces de notre société. Passant en revue de célèbres procès, comme
celui de Sarah Halimi, Jacqueline Sauvage, les attentats du 13 novembre
2015, l'affaire Bettencourt, Fillon, Mélenchon, Balkany, Sarkozy,
Bertrand Cantat, le Mur des cons, le procès Outreau, ou encore Patrick
Dils, il démêle le vrai du faux et leur attribue un pourcentage de
vérité.
substitut général près la cour d'appel d'Aix-en-Provence
Objet:
magistrat inspecteur régional titulaire chargé de l'inspection des
administrateurs judiciaires et des mandataires judiciaires pour le
ressort des cours d'appel d'Aix-en-Provence et de Bastia