Je peux le dire ? J'ai bien rigolé quand j'ai vu les images de la dame en rose donnant des coups de coude dans la journaliste de Frontières...
Il va de soi qu'en ce qui me concerne, je n'ai jamais joué du coude nulle part, bien au contraire : c'est moi qui me fais chasser de partout, et particulièrement de mon milieu naturel, par des dégénérés à petits QI très agressifs, et ce depuis des décennies...
Dans cette vidéo postée hier sur Youtube, on apprend qu'Emile aurait reçu à la tête un coup très violent qui l'aurait atteint au nez et à l'orbite.
Le 2 avril dernier, Le Nouveau Détective révélait que selon les experts il avait reçu au niveau de la mandibule un coup très violent qui lui avait décroché la mâchoire (voir article ci-dessous).
Rappelez-vous ce que j'écrivais dans cet article publié le 27 mars 2025 :
"Quand aura-t-il été déshabillé ? Avant ou après avoir été tué ?
Un traumatisme facial violent peut produire des saignements importants et les vêtements retrouvés étaient presque intacts.
Mais
une fois de plus, l'information manque de précision et l'on ignore si
le nez était cassé, ou si c'est la mâchoire qui s'est décrochée sous
l'effet d'un coup violent."
De deux choses l'une : ou bien je suis voyante, ou bien mes écrits sont inspirants...
A ce stade, je crois qu'on va attendre la prochaine communication officielle du procureur pour se prononcer...
On apprenait également le 2 avril dernier avec Le Nouveau Détective que le corps du petit garçon avait séjourné dans trois endroits différents, d'abord au Bas-Vernet, à l'air libre, puis dans un endroit dit quasi-stérile, et enfin sur le sentier forestier où il a été découvert il y a un an, mais il ne s'agissait plus alors que d'un crâne incomplet marqué par des traces de morsures probablement d'origine animale.
Mort d’Émile : son corps a été caché à trois endroits différents
EXCLUSIF
1/2. Émile aurait reçu un coup violent au niveau de la mandibule. Par
ailleurs, son corps semble avoir été « stocké » dans trois endroits
différents, dont le fameux sentier forestier emprunté par la
randonneuse.
La première révélation que nous sommes en mesure de faire concerne
les expertises pratiquées sur le crâne d’Émile. Ce dernier,
rappelons-le, a été retrouvé sur un sentier forestier fin mars 2024 près du hameau du Haut-Vernet.
Il était incomplet, sa mâchoire inférieure étant manquante. Et pour
cause. Selon nos informations, les experts ont conclu qu’Émile avait
reçu un choc au niveau de l’accroche de la mandibule. Un choc
suffisamment violent pour en décrocher la partie inférieure.
Le corps d’abord caché au Bas-Vernet La seconde révélation concerne le stockage du corps d’Émile, sujet à toutes les interrogations depuis la dernière conférence de presse du procureur Jean-Luc Blachon. Le magistrat expliquait en effet que « le corps n’est pas demeuré au même endroit et dans le même biotope au cours du processus de décomposition ». En clair, la dépouille a été stockée quelque part, puis déposée en forêt.
Or selon nos informations, le corps d’Émile aurait reposé non pas à
deux, mais à trois endroits différents. Les experts ont pu en dessiner
les contours en étudiant le biotope, notamment les résidus de pollens.
Le premier « lieu de stockage » se situerait ainsi à l’air libre, au
niveau du Bas-Vernet (la partie basse du village). Il ne s’agirait pas
de la fameuse jardinière saisie près de la chapelle. Le second serait un
lieu clos, « quasi-stérile » pour reprendre la formule
initiale de nos confrères du Parisien. Le dernier est le sentier
forestier où Sadia, la randonneuse, a découvert le crâne incomplet du
petit garçon.
Voilà qui pourrait esquisser le scénario d’un crime non prémédité,
suivi d’un camouflage réalisé dans l’urgence. Le « tueur » donne la
mort à Émile, cache son corps à proximité, dans la panique, puis le
déplace à l’abri en lieu sûr. Enfin, de longs mois plus tard, il s’en
débarrasse sur un sentier forestier. Reste à savoir qui.
D’autres révélations sont à venir sur notre site.
Par Mathieu Fourquet, envoyé spécial au Haut-Vernet
Mort d'Émile: le crâne de l'enfant "présente des traces de morsures", "probablement" d'origine animale
Vincent Gautier
Selon le procureur de la République Jean-Luc Blachon,
"l'aspect des os et des dépôts sur ces os permettent d'affirmer qu'ils
n'ont pas été enfouis", comme il l'a expliqué en conférence de presse ce
mardi 2 avril.
Découvert samedi 30 mars par une randonneuse,
le crâne d'Émile, le petit garçon disparu le 8 juillet dernier au
Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence), "présente de petites fractures et
des fissures post-mortem" et "des traces de morsure, probablement
causées par un ou des animaux", a annoncé Jean-Luc Blachon, procureur de
la République d'Aix-en-Provence, lors d'une conférence de presse ce
mardi 2 avril.
"Aucun trauma ante mortem n'a été observé", a
cependant ajouté le procureur, qui a également précisé qu'aucun autre
ossement n'a été retrouvé dans le secteur où le crâne et des dents du
petit garçon ont été découverts ce week-end.
Émile: qui sont les experts sur le terrain chargés de trouver les causes de sa mort?
16:08
Les os "n'ont pas été enfouis"
"Un
maxillaire est absent, sans que l'on puisse savoir aujourd'hui si cet
os maxillaire s'est détaché naturellement ou sous la force d'une
traction", a ajouté le procureur lors de cette conférence de presse.
Jean-Luc
Blachon a par ailleurs indiqué que "l'aspect des os et des dépôts sur
ces os permettent d'affirmer qu'ils n'ont pas été enfouis et qu'ils ont
exposés longtemps aux variations météorologiques et aux intempéries".
Les
analyses effectuées par l'IRCGN (Institut de recherche criminelle de la
gendarmerie nationale) sur le crâne et les dents de l'enfant ne
permettent toutefois pas pour le moment "de dire quelle est la cause de la mort d'Émile", a souligné le procureur de la République d'Aix-en-Provence.
Un jeune témoin qui aurait vu Emile
passer devant chez lui ne se souvient plus exactement du visage de
l'enfant.
L’enquête sur la mort d’Emile se poursuit. Alors que
plusieurs membres de sa famille ont été placés en garde à vue,
avant d’être relâchés, de nombreuses questions restent toujours
sans réponse. Si le procureur de la République d’Aix-en-Provence a
bel et bien confirmé que le petit garçon avait été tué par
un tiers, l’identité de la ou des personnes impliquées
n’est toujours pas connue.
Nos confrères du Nouveau Détective sont alors revenus
sur les nombreux témoignages qui ont été délivrés à la gendarmerie
au sujet de la
mort d’Emile. Et il y en a un qui a bien du mal à tenir la
route. Un jeune homme, prénommé Tom et âgé de 17 ans au moment des
faits, aurait aperçu le petit garçon en train de passer devant chez
lui, le jour de sa disparition. “Un témoignage crucial qui
semble appuyer l’idée que l’enfant s’est bien, non enfui, du moins
éloigné seul de chez lui”.
Cet adolescent ne se souvient plus de l'identité de l'enfant
qui passé devant sa maison
Mais apparemment, Tom “n’est pas complètement sûr
qu’il s’agisse bien d’Emile”, est-il précisé. En
effet, un des membres de sa famille est revenu sur ce sujet :
“Tom bricolait à l’étage.Il a dit aux gendarmes qu’en
descendant chercher une perceuse, il a vu un enfant passer devant
la maison, mais il avait la tête dans ses travaux et n’est pas très
curieux de la vie des autres”, explique un membre de cette
famille.
Alors Tom n’est “pas sûr du tout que c’était
Emile”. Ce témoignage clé est donc quasiment
tombé à l’eau.
Emile a-t-il été suivi par son
grand-père alors qu'il descendait du Haut-Vernet ?
Puis, il y a un second témoin, qui aurait vu Emile descendre
vers le Bas-Vernet. Cet homme, un sexagénaire, vit à quelques
dizaines de mètres des grands-parents d’Emile. Selon ses dires, le
garçon serait descendu par la route, devant ses yeux.
"Philippe Vedovini l’a imité quelques minutes plus tard.
Le témoin aurait vu le grand-père remonter
seul”. Mais alors qu’est-ce qui est arrivé au petit
Emile ce jour du 8 juillet 2023. Pourquoi son corps a-t-il été
déplacé et ses ossements déposés plusieurs mois
après sa disparition ? Autant de questions qui restent
aujourd’hui encore sans réponse.
L'Assemblée nationale devient un collectif d'extrême-gauche comme un autre...
Du coup, tous ceux qui dérangent les politiques de l'extrême-gauche s'en font chasser dans la violence, comme cela s'est toujours fait sur tous les terrains de "luttes" qu'elle investit pour empêcher les autres de s'y exprimer.
Des
affrontements entre les forces de l’ordre et des jeunes du quartier de
Pontanézen, à Brest, ont éclaté, ce jeudi soir. Une rame de tramway a
aussi été visée par des tirs de mortier d’artifice.
Il
était précisément 22 h 53, ce jeudi 10 avril 2025, quand un tramway qui
circulait sur la ligne A a été victime d’une « attaque à la
diligence », à Brest. Visée par des tirs de mortier d’artifice à la
hauteur du quartier de Pontanézen, la rame a été immobilisée par son
conducteur alors que des usagers se trouvaient à bord. Rapidement sur
place, les forces de l’ordre ont escorté le tramway le temps
qu’il puisse repartir et rentrer jusqu’au centre d’exploitation et de
maintenance. À leur tour pris pour cibles, les policiers ont été visés
par des mortiers d'artifice, à tir tendu, le long de la ligne de tram
entre les arrêts Europe et Pontanézen. Au vu des munitions que les
jeunes du quartier avaient à leur disposition, on peut penser que cette
émeute était parfaitement planifiée. À tir tendu, un mortier d'artifice
peut provoquer des blessures relativement graves comme des brûlures,
mais le projectile peut aussi casser un os ou arracher une main ou un
doigt.
En réponse à une descente de police
La
scène s'est déroulée sous les yeux stupéfaits ou désabusés des
habitants. « Ils sont fous, commentait un jeune couple qui sortait d'un
fast-food. Pas étonnant que ça ait bardé ce soir : ce matin, une
descente de police a eu lieu. C'est leur manière de répliquer. Nous on
habite un peu plus loin, dans des rues plus calmes. Certains de nos amis
habitent le coeur du quartier. Ils n'en peuvent plus. Dans certaines
familles, des enfants sont terrorisés. En tout cas ce soir, on avait
l'impression de vivre une scène de guerre ».
Vers
23 h 30, répliquant par des tirs de lacrymogène, les policiers sont
parvenus à disperser les émeutiers avant de reprendre la direction du
commissariat central. Quelques minutes plus tard, rue Cézanne, une
vingtaine d’individus, encagoulés et équipés, pour certains, de barres
métalliques, circulait à pied sur la chaussée et les rails en criant «
On a gagné ! ». Plusieurs véhicules ont ensuite été incendiés rue Daumier et sur le parking de la Biocoop du quartier de l'Europe.
Les
forces de l’ordre sont intervenues à Pontanézen, ce jeudi 10 avril
2025. Des affrontements avec des jeunes du quartier ont éclaté. (Photo
Le Télégramme / Didier Déniel)
Un tramway déjà pris pour cible en 2022
L’intégralité
du réseau Bibus a été suspendue à la suite de ces incidents, comme le
veut la procédure. Selon nos informations, ni le conducteur de la rame
ni aucun passager présent à l'intérieur n'a été physiquement blessé.
Mais cette attaque, qui n’est pas sans rappeler un guet-apens qui avait déjà ciblé un tramway, en janvier 2022, exactement au même endroit, aura certainement des répercussions psychologiques.
Des violences
urbaines ont émaillé dans la soirée et la nuit de jeudi à vendredi. Un
groupe d'une trentaine de personnes a lancé des mortiers d'artifice sur
un tramway du réseau Bibus et sur les policiers venus le protéger. Les
forces de l'ordre ont riposté avec des grenades lacrymogènes.
La nuit a été tendue dans le quartier de Pontanézen, à Brest (Finistère) ce jeudi 10 avril. Selon des sources concordantes à "ici Breizh Izel", confirmant les informations du Télégramme,
une bande d'une trentaine de personnes, aux visages dissimulés, a
caillassé et dégradé le tram, rue Cézanne dans ce quartier nord de la
ville dans la soirée de jeudi.
Tirs de mortiers contre les policiers
Tout
a commencé aux alentours de 22h20, lorsqu'un équipage de la police qui
patrouillait a été pris à partie par un groupe en train de se
rassembler. Le calme est ensuite revenu, jusqu'à ce que des pierres
posées sur les rails bloquent le tram et oblige les forces de l'ordre à
intervenir. Les policiers et le tram se sont retrouvés visés par de
nombreux tirs de mortiers d'artifice. Les forces de
l'ordre ont répliqué par 37 tirs de grenades lacrymogènes pour se
protéger et permettre le passage du tram, poursuivent ces mêmes sources.
Un policier a été blessé. Il souffre d'une entorse au genou, 21 jours d'arrêt de travail lui ont été prescrits.
Les
forces de l'ordre ont dû escorter le tram en marche arrière direction
la zone commerciale du Froutven, à Guipavas, jusqu'au terminus. Sur le
réseau X (ex-Twitter), Bibus, le réseau de transports de la métropole de
Brest, annonçait à 23h18 jeudi stopper complètement le trafic de bus et
de tram et ce "jusqu'à la fin de service". La circulation a repris ce vendredi 11 avril au matin.
"Le harcèlement des points de deal ne plait pas aux trafiquants"
Des renforts de la CRS spécialisée violences urbaines vont
arriver dès ce vendredi soir, a appris "ici Breizh Izel" auprès du
sous-préfet de Brest, Jean-Philippe Setbon. Ils resteront le temps que
le calme revienne, selon lui. Ces émeutes interviennent alors que préfet
du Finistère a mis en œuvre il y a quelques semaines le plan d’action
départemental de restauration de la sécurité au quotidien (PADRSQ), à la
demande du ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau.
Une source proche du dossier confie à "ici Breizh izel" que la situation est tendue depuis deux jours dans le quartier de Pontanézen : "on a mis en place une stratégie de harcèlement des points de deal, et ça ne plait pas aux trafiquants", nous
indique cette source policière. Des policiers patrouillent en effet
toute la journée à Pontanézen, mais également dans d'autres quartiers de
Brest depuis plusieurs jours et dérange le trafic de stupéfiants.
"De tels agissements sont inadmissibles", réagit François Cuillandre, le maire de Brest
Dans un communiqué, François Cuillandre, le maire de Brest "condamne fermement" les faits qui se sont déroulés. "De
tels agissements sont inadmissibles. Ils pénalisent de surcroît les
habitants et usagers du tramway, par la faute de quelques personnes à
qui je demande fermement de mesurer la portée de leurs exactions
vis-à-vis de leurs familles et voisins". Le maire de Brest salue le travail des forces de la Police nationale "qui
a pu assurer la sécurisation du tramway, de son conducteur et de ses
passagers, ciblés par des tirs de mortiers. Je souhaite que ce quartier,
qui a toujours été au centre de nos attentions, retrouve un calme
durable dès à présent ".
J'indique la date du 3 avril 2025, car les deux dates des 2 et 3 avril 2025 ressortent dans mes statistiques de blog :
Comme très souvent je suis prévenue de l'imminence d'un attentat la veille de sa commission, je suppose qu'il aurait dû intervenir le 3 avril 2025 et que l'information de l'interpellation du kamikaze mardi 1er avril 2025 n'avait pas fuité en direction de ses commanditaires qui ne voyant rien venir le 3 avril m'ont alors remis la gomme sur le blog en pensant qu'il surviendrait avec un peu de retard le 4 avril 2025.
Il est déjà arrivé que des attentats soient commis avec du retard sur ce qui avait été prévu.
Ce fut notamment le cas pour celui du 26 juillet 2016 dans l'église Saint-Étienne de Saint-Étienne-du-Rouvray, l'assassinat du père Jacques Hamel, qui très certainement aurait dû être commis le dimanche 24 juillet 2016, pour l'anniversaire du premier site du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ouvert le 24 juillet 2001.
Rappelez-vous, certain(e)s s'en impatientaient tellement qu'ils ou elles n'avaient pu contenir leur joie dès qu'il fut commis :
Ce n'est pas la première fois que l'origine de certains de mes ancêtres les excite, mais c'est bien la première fois qu'ils aient trouvé l'info parmi mes publications - les autres fois, ils y avaient eu accès grâce à tous leurs piratages à mon encontre.
Comme cette fois-ci je l'avais publiée, je ne suis pas gênée pour la montrer ou la reproduire, il s'agissait donc d'une information du 18 mars 2025.
Dès le lendemain, Jean-Luc Mélenchon venait à Brest noyer le poisson, et le député d'aujourd'hui tout juste neuf mois Pierre-Yves Cadalen de LFI ressortait de la naphtaline la fille à papa Le Goïc (ancien de la LCR de Brest) :
Ligue du LOL, attentats islamistes, ce sont les meilleurs....
P.S.: L'interpellation a eu lieu mercredi 2 avril et non mardi 1er avril. L'article de Paris Match recopié ci-dessous était erroné sur ce point.
Par ailleurs, Le Parisien indique que le Dunkerquois avait posté des messages sur Snapchat appelant à « noyer dans le sang les mécréants »
et qu’il aurait relayé des vidéos glorifiant les auteurs d’attentats en
France, dont Khamzat Azimov, qui avait fait un mort dans un attentat au couteau dans le quartier de l’Opéra, à Paris, en mai 2018.
Voilà, j'ai des ancêtres de Noyelles dans le Nord, et maintenant on appelle à « noyer dans le sang les mécréants »...
Et j'ai reparlé récemment dans des courriers électroniques privés (toujours piratés) de la tentative d'assassinat dont j'avais été victime en mai 1994 dans le quartier Opéra... Lors de l'attentat de mai 2018, le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi venait de perdre un mois plus tôt pour la seconde fois, en appel, le procès qu'il me faisait à Paris depuis le printemps 2016 (attentats associés : tous ceux de cette période, du printemps 2016 au printemps 2018, celui de Nice pour fêter l'assignation à comparaître qui m'avait été délivrée par acte d'huissier le 12 juillet 2016; au cours de cet été 2016, la fête battait son plein, la bande de malades mentaux était sûre de gagner; quelque peu déstabilisée de me voir venir me défendre seule aux audiences de septembre et novembre 2016, elle s'était pris une première douche froide début janvier 2017...).
Enfin, Franceinfo précise ce 8 avril 2025 que le candidat à l'attentat-suicide était connu pour des affaires de stupéfiants. Or, quasiment tous les complices du trafiquant de drogue Pascal Edouard Cyprien Luraghi sont bien eux-mêmes dans les trafics de stupéfiants ou a minima toxicomanes.
Le
principal suspect, âgé de 19 ans, a été dénoncé par son complice, pris
de panique par la tournure sérieuse que prenait le projet terroriste.
Les deux hommes ont été placés en détention provisoire.
Il a été pris de panique quand il s’est rendu
compte du sérieux de l’acte. D’après les informations de Paris Match,
obtenues auprès de sources concordantes, Mourad M., âgé de 19 ans,
suspecté de vouloir mener un attentat interpellé à Dunkerque
mardi dernier et inculpé pour participation à une association de
malfaiteurs terroriste dimanche, a été dénoncé par son principal
complice.
Hier, les deux hommes ont été mis en examen et placés en détention
provisoire pour ces faits, a appris Paris Match du parquet national
antiterroriste.
Il avait glissé des pétards dans un gilet
Quelques heures avant l’interpellation, lorsque les enquêteurs ont
été prévenus d’une attaque potentiellement imminente par l’autre suspect
né en 2005, ils se sont directement rendus à son domicile pour
l’interpeller. Sur place, ils ont découvert un gilet fabriqué par ce
dernier, dans lequel il y avait glissé « des pétards » pour voir ce que
ça pouvait donner. Selon une source concordante, il avait ensuite prévu
d’y mettre des explosifs.
L’objectif de ce suspect, connu pour des affaires de stupéfiants,
était de commettre une attaque dans un lieu public pour « punir des
mécréants », sans préciser les cibles. Cette attaque aurait été
revendiquée au nom de l’État Islamique, sans qu’il n’y ait vraiment
prêté allégeance.
Une troisième personne interpellée pour « non-empêchement de crime »
Un troisième homme, né en 2003, a été inculpé pour non-dénonciation
d’un crime terroriste et placé sous contrôle judiciaire, selon le
parquet national antiterroriste. Désormais, les enquêteurs de
la Sous-direction anti-terroriste (SDAT), qui mènent les investigations,
vont creuser pour savoir s’il allait vraiment passer à l’acte et pour
connaître les cibles.
Mi-mars, un adolescent de 17 ans, interpellé en Haute-Saône
(centre-est), avait été inculpé et placé en détention provisoire,
soupçonné d’avoir projeté une action violente « pendant le ramadan ».
Le 26 février, un homme algérien - qui présentait un profil
« schizophrène », selon le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau - a
lui aussi été inculpé pour assassinat terroriste et placé en détention
provisoire, après avoir tué un passant à Mulhouse (est) et blessé six
autres personnes.
Un
projet d'attaque à la ceinture d'explosifs a été déjoué dans le nord de
la France. Un jeune homme de 19 ans, radicalisé récemment, a été
interpellé avec deux autres suspects. Des perquisitions ont révélé un
dispositif de mise à feu et une recette pour fabriquer un explosif.
Un
projet d'attaque à la ceinture d'explosifs a été déjoué ces derniers
jours par les services antiterroristes. Trois hommes ont été interpellés
dans le nord de la France, mais c'est surtout l'un de ces trois
suspects qui préoccupe les enquêteurs et la justice. Il a 19 ans et
était, jusque-là, inconnu des services de renseignement. Mais ces
derniers temps, ce garçon qui vivait dans un foyer dans la région de
Dunkerque, s'est radicalisé tout seul, selon un connaisseur du dossier.
Les
enquêteurs ont découvert qu'il consultait des vidéos de décapitation et
qu'il avait fait allégeance à l'État islamique dans un courrier
retrouvé en perquisition. Selon cette même source, il ne se cachait pas
non plus sur les réseaux sociaux, avec notamment des logorrhées à la
gloire des attentats du 13 novembre 2015. Il se mettait aussi en scène
dans des vidéos avec une arme qui s'est révélée factice.
Projet d'action violente plutôt qu'attentat déjoué
Cette
fois, ce ne sont pas les algorithmes des géants d'Internet ou la veille
des services de renseignement qui ont permis de l'identifier, mais le
signalement d'un proche, parvenu aux oreilles de la police il y a une
dizaine de jours, qui redoutait un passage à l'acte. Mardi 1er avril,
les policiers locaux sont allés interpeller ce suspect avec le Raid. Ce
qui a été découvert en perquisition a conforté les craintes : une
ceinture artisanale équipée d'un dispositif de mise à feu composé de
deux simples pétards. Mais le jeune homme s'était procuré une recette
pour confectionner du TATP, un explosif bien plus puissant.
La
communauté juive se trouvait parmi les cibles du suspect, mais pour ce
qui est de l'échéance, impossible de le savoir. Au moment de
l'interpellation, le suspect n'était pas en position d'aller se faire
sauter avec sa ceinture puisqu'il n'avait pas encore fabriqué
d'explosifs. C'est la raison pour laquelle certains préfèrent parler de
projet d'action violente plutôt que d'attentat déjoué, même si un
connaisseur de l'affaire disait que le profil visiblement instable du
suspect pouvait l'amener à passer à l'acte avec une arme blanche sans
prévenir.
Il a été mis en examen et écroué,
tout comme un autre suspect interpellé par la sous-direction
antiterroriste de la police judiciaire. Un troisième homme, lui, est
poursuivi pour non-dénonciation.
Un éclairage de Pierre de Cossette, édité par Lucie Grandhay-Lavigne.
Ils sont soupçonnés d'avoir voulu
organiser une action violente à l'explosif : 3 hommes, âgés de 19 à 24
ans, originaires de Dunkerque et Lille, ont été interpellés. Le parquet
national antiterroriste mène l'enquête.
France
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newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Vous
pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette
newsletter. Notre politique de confidentialité
C'est un proche de l'un des hommes qui a alerté la police, de
peur que son ami ne passe à l'acte. Chez ce Dunkerquois de 19 ans,
inconnu des services de police, les enquêteurs retrouvent en effet une ceinture artisanale.
Pas d'explosif à l'intérieur, mais selon les premières investigations,
le jeune homme est soupçonné de préparer un attentat, à l'encontre,
notamment de la communauté juive. Selon RTL, d'autres cibles sont
évoquées comme un foyer pour jeunes du Nord, un restaurant ou encore une boîte de nuit.
Un profil très inquiétant
Plusieurs publications sur les réseaux sociaux interpellent son
entourage et confirment ses intentions : le Nordiste, auteur d'un
courrier d'allégeance à l'Etat islamique, met en avant
plusieurs vidéos de Khamzat Azimov, l'auteur de l'attentat au couteau du
quartier de l'Opéra à Paris, en 2018. Il publie également des notes
glorifiant l'attentat du Bataclan.
Chez lui, des documents permettant la fabrication de TATP
sont saisis, d'après les informations du Parisien, un explosif bien
connu dans le milieu des djihadistes. L'homme est interpellé mardi 1er
avril 2025.
Deux de ses proches interpellés
Les investigations conduisent les enquêteurs à deux amis du suspect.
La même journée, un autre homme, toujours dans le Dunkerquois, est
également interpellé. Il aurait fourni au principal suspect une arme à
feu. Arme qui s'est finalement révélée factice.
Enfin, les services antiterroristes arrêtent un troisième homme
soupçonné de ne pas avoir dénoncé le projet d'attentat alors qu'il en
avait connaissance.
Produit incendiaire et explosif
Ce dimanche 6 avril 2025, les deux premiers hommes ont été mis en examen et placés en détention provisoire pour "association de malfaiteurs terroriste criminelle" et détention de "substance ou produit incendiaire ou explosif". Le troisième suspect a été mis en examen pour non-dénonciation de crime terroriste et placé sous contrôle judiciaire.
L'enquête est menée par la sous-direction antiterroriste, la police du Nord et la DGSI.
Projet d’attentat déjoué dans le Nord : ceinture explosive, lieu visé, trois jeunes suspects… ce que l’on sait
Les services
antiterroristes ont interpellé, mercredi dernier, trois jeunes hommes
originaires de Lille et Dunkerque qui voulaient commettre un attentat à
la ceinture explosive. Le point sur ce que l’on sait.
Par C. Br., E.A., A.C. et A.M.
Temps de lecture: 5 minPartage :
> Un projet d’attentat terroriste
Ils voulaient s’inspirer de l’attentat du Bataclan : trois jeunes Nordistes, âgés d’entre 19 et 24 ans ont été placés en garde à vue,
mercredi dernier, dans le cadre d’une enquête ouverte par le parquet
national antiterroriste (PNAT) pour « association de malfaiteurs
terroriste criminelle », « détention de substance ou produit incendiaire
ou explosif en relation avec une entreprise terroriste » et
« non-dénonciation de crime », rapportent nos confrères du Parisien.
Ils avaient, d’après le journal, l’intention de
commettre un attentat terroriste au nom de l’organisation État
islamique, certainement à l’aide d’une ceinture explosive.
Contacté par La Voix du Nord,
le PNAT confirme l’ouverture d’une information judiciaire, ce dimanche 6
avril. Deux hommes majeurs ont été mis en examen et placés en détention
provisoire des chefs de « participation à une association de
malfaiteurs terroriste en vue de la préparation d’un crime d’atteinte
aux personnes et détention de substance ou produit incendiaire ou
explosif ou d’éléments destinés à composer un engin incendiaire ou
explosif pour préparer une destruction, dégradation ou atteinte aux
personnes en relation avec une entreprise terroriste ». Le dernier a
été mis en examen pour ces faits, requalifiés en « non-dénonciation
d’un crime terroriste », précise le PNAT. Il a été placé sous contrôle
judiciaire.
> Des suspects nordistes âgés de 19 à 24 ans
Les
trois suspects sont des Nordistes, originaires de Lille et Dunkerque,
selon Le Parisien. Ils ont pu être arrêtés grâce à la dénonciation d’un
de leur proche, qui craignait un passage à l’acte imminent.
D’après BFM TV,
le suspect principal, Morad M. âgé de 19 ans, a été interpellé mercredi
2 avril à 6 heures par le Raid, dans son foyer pour jeunes adultes de
Dunkerque. Selon nos informations, il résidait au Centre d’Hébergement
et de Réinsertion Sociale (C.H.R.S.) Thérèse Caulier Soliha Flandres.
PHOTO LA VOIX DU NORD
Vers 8 heures, mercredi 2 avril, un voisin du Centre
d’Hébergement et de Réinsertion Sociale (C.H.R.S.) Thérèse Caulier
Soliha Flandres s’apprêtait à partir lorsque la police l’en a empêché. « Ils avaient bloqué les accès de chaque extrémité tout autour, et nous interdisaient de sortir avec les véhicules », témoigne-t-il. Le dispositif était « assez discret. Ça rentrait, ça sortait ». Selon lui, les accès ont été bloqués « toute la matinée ». Il a pris connaissance du fond de l’affaire ce lundi. « Ça fait un peu peur mais sur le coup ça ne m’a pas trop fait peur ».
BFM TV précise que Morad M. était, jusqu’à présent, inconnu des fichiers de signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste
(FSPRT), mais connu du renseignement territorial. Il avait notamment
proféré des menaces à l’encontre de Mila, jeune femme qui avait tenu des
propos très critiques contre l’Islam, ce qui lui avait valu une vague
de cyberharcèlement et des menaces de mort. Selon nos confrères, la mère
de Morad M. avait quitté le foyer familial, et son père était absent.
Les deux autres jeunes interpellés sont des proches
du principal suspect. L’un d’eux, âgé de 21 ans, est soupçonné de lui
avoir fourni une arme factice que Morad M. exhibait sur les réseaux
sociaux, selon RTL.
Il a été mis en examen pour association de malfaiteurs terroriste.
Sollicité par la radio, son avocat Maître Reda Ghilaci a réagi : « Mon
client n’est pas radicalisé et n’épouse aucune thèse
djihadiste. L’infraction d’association malfaiteur terroriste manque de
rigueur juridique. La défense va activement s’atteler à démontrer que
les infractions pour lesquelles il a été mis en examen ne sont pas
caractérisées en tous leurs éléments constitutifs ».
Le
troisième, vraisemblablement âgé de 24 ans, a été mis en cause pour
« non-dénonciation d’un crime terroriste » et a été placé sous contrôle
judiciaire.
> Des jeunes radicalisés
Morad
M. était très actif sur les réseaux sociaux, notamment sur Snapchat ou
Telegram, où il incitait les utilisateurs à faire le djihad, selon BFM
TV. D’après le média, il lançait également des appels sur ses réseaux
sociaux pour recruter des jeunes.
Le Parisien indique que le Dunkerquois avait posté des messages sur Snapchat appelant à « noyer dans le sang les mécréants »
et qu’il aurait relayé des vidéos glorifiant les auteurs d’attentats en
France, dont Khamzat Azimov, qui avait fait un mort dans un attentat au couteau dans le quartier de l’Opéra, à Paris, en mai 2018.
En
garde à vue, Morad M. a reconnu avoir eu un projet d’action violente
dans une période où il allait mal, mais a dit que ce dernier était « abandonné », relate BFM TV. Il était pourtant encore très actif sur les réseaux sociaux à la veille de son interpellation.
BFM
TV indique que lors de la perquisition au domicile de Morad M., les
policiers ont retrouvé plusieurs éléments qui laissent penser à la
préparation d’un attentat-suicide, ainsi qu’une lettre d’allégeance à
l’État islamique. Le Parisien précise qu’un gilet modifié, qui contenait
des pétards devant faire office de tests avant d’y introduire de
véritables explosifs a notamment été retrouvé, tout comme un dispositif
de mise à feu « potentiellement fonctionnel ». Les trois suspects s’étaient également renseignés sur la fabrication du TATP, un explosif souvent utilisé par les terroristes.
> Plusieurs idées de lieux à viser
Si
le lieu de la future attaque n’a pas été établi avec précision, les
suspects avaient déjà dressé une liste de cibles potentielles, rapporte
RTL. Parmi elles, un foyer pour jeunes du Nord, un restaurant, une boîte
de nuit ou encore un site appartenant à la communauté juive. Les
enquêteurs ne savent pas si l’une d’elles était réellement arrêtée.
D’après Le Parisien, les enquêteurs doivent déterminer si une date de
passage à l’acte avait déjà été fixée, ce qui ne semble pas être le cas à
ce stade.
Le dernier attentat commis dans le Nord – Pas-de-Calais
remonte à octobre 2023, lorsque Dominique Bernard, professeur de
français, avait été mortellement poignardé à Arras par Mohammed Mogouchkov, qui avait revendiqué son acte au nom de l’État islamique.
Trois jeunes hommes ont été arrêtés. Ils étaient soupçonnés de
préparer un attentat à l'explosif. Le plus jeune d'entre eux avait prêté
allégeance à l'État islamique.
Un attentat terroriste se préparait-il derrière les murs d'un foyer social du centre-ville de Dunkerque
(Nord) ? Les policiers sont intervenus mercredi matin, vers 8 heures,
avec l'appui du RAID dans l'établissement. Ils ont interpellé Morad M.,
un jeune homme de 19 ans, de nationalité française, sans emploi, et
connu pour des affaires de stupéfiants. Face aux enquêteurs, il
revendique la préparation d'un attentat à Dunkerque.
Deux de ses proches interpellés
Selon ses dires, le jeune suspect prévoyait de cibler des lieux fréquentés par la communauté juive et des terrasses de café. "Il
a avoué qu'il en avait assez de l'état de la France (...) et qu'il
avait prêté allégeance à Daesh et qu'il voulait faire (...) comme le
Bataclan", explique Marc Alegre, délégué du syndicat de police
Un1té-FO. Un gilet susceptible de recevoir de l'explosif, des pétards et
une lettre d'allégeance à Daesh et un drapeau de l'organisation
terroriste ont été retrouvés à l'intérieur de son appartement.
Morad M. a été dénoncé par un proche. Sa radicalisation avait alerté
les responsables de la structure qui l'hébergeait depuis trois ans. Mis
en examen dimanche 6 avril et écroué, deux de ses proches, âgés de 24
ans, ont aussi été interpellés, l'un a été incarcéré pour association de
malfaiteurs terroriste et l'autre, arrêté pour non-dénonciation de
crime, est ressorti libre sous contrôle judiciaire.