compteur

dimanche 13 avril 2025

Michel Onfray a lu l'enquête de Frontières sur LFI

 

 

Je peux le dire ? J'ai bien rigolé quand j'ai vu les images de la dame en rose donnant des coups de coude dans la journaliste de Frontières...

 

 

Il va de soi qu'en ce qui me concerne, je n'ai jamais joué du coude nulle part, bien au contraire : c'est moi qui me fais chasser de partout, et particulièrement de mon milieu naturel, par des dégénérés à petits QI très agressifs, et ce depuis des décennies...

 

samedi 12 avril 2025

Mort d'Emile : deux coups violents portés à la tête ?

 

 

Dans cette vidéo postée hier sur Youtube, on apprend qu'Emile aurait reçu à la tête un coup très violent qui l'aurait atteint au nez et à l'orbite.

Le 2 avril dernier, Le Nouveau Détective révélait que selon les experts il avait reçu au niveau de la mandibule un coup très violent qui lui avait décroché la mâchoire (voir article ci-dessous).

Rappelez-vous ce que j'écrivais dans cet article publié le 27 mars 2025 :

https://satanistique.blogspot.com/2025/03/affaire-du-petit-emile-soleil-un.html

"Quand aura-t-il été déshabillé ? Avant ou après avoir été tué ?

Un traumatisme facial violent peut produire des saignements importants et les vêtements retrouvés étaient presque intacts.

Mais une fois de plus, l'information manque de précision et l'on ignore si le nez était cassé, ou si c'est la mâchoire qui s'est décrochée sous l'effet d'un coup violent."

De deux choses l'une : ou bien je suis voyante, ou bien mes écrits sont inspirants...

A ce stade, je crois qu'on va attendre la prochaine communication officielle du procureur pour se prononcer...

On apprenait également le 2 avril dernier avec Le Nouveau Détective que le corps du petit garçon avait séjourné dans trois endroits différents, d'abord au Bas-Vernet, à l'air libre, puis dans un endroit dit quasi-stérile, et enfin sur le sentier forestier où il a été découvert il y a un an, mais il ne s'agissait plus alors que d'un crâne incomplet marqué par des traces de morsures probablement d'origine animale.

 

A lire ou à relire :

http://satanistique.blogspot.com/2023/07/disparition-du-petit-emile-au-vernet-sa.html

http://satanistique.blogspot.com/2023/07/disparition-de-petit-emile-au-vernet.html

http://satanistique.blogspot.com/2023/07/disparition-du-petit-emile-au-vernet.html

http://satanistique.blogspot.com/2023/08/la-famille-du-petit-emile-disparu-deja.html

https://satanistique.blogspot.com/2023/08/disparition-demile-des-precedents-dans.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/03/affaire-du-petit-emile-soleil-un.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/03/de-lenvironnement-de-yannis-more.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/03/mort-demile-soleil-un-coup-violent.html

 

 

https://www.lenouveaudetective.com/enquetes/mort-demile-son-corps-a-ete-cache-a-trois-endroits-differents

Mort d’Émile : son corps a été caché à trois endroits différents

EXCLUSIF 1/2. Émile aurait reçu un coup violent au niveau de la mandibule. Par ailleurs, son corps semble avoir été « stocké » dans trois endroits différents, dont le fameux sentier forestier emprunté par la randonneuse.

Par Christophe GUERRA
Mort d’Émile : son corps a été caché à trois endroits différents
@Le Nouveau Détective

 

La première révélation que nous sommes en mesure de faire concerne les expertises pratiquées sur le crâne d’Émile. Ce dernier, rappelons-le, a été retrouvé sur un sentier forestier fin mars 2024 près du hameau du Haut-Vernet. Il était incomplet, sa mâchoire inférieure étant manquante. Et pour cause. Selon nos informations, les experts ont conclu qu’Émile avait reçu un choc au niveau de l’accroche de la mandibule. Un choc suffisamment violent pour en décrocher la partie inférieure.

Le corps d’abord caché au Bas-Vernet
La seconde révélation concerne le stockage du corps d’Émile, sujet à toutes les interrogations depuis la dernière conférence de presse du procureur Jean-Luc Blachon. Le magistrat expliquait en effet que « le corps n’est pas demeuré au même endroit et dans le même biotope au cours du processus de décomposition ». En clair, la dépouille a été stockée quelque part, puis déposée en forêt.

Or selon nos informations, le corps d’Émile aurait reposé non pas à deux, mais à trois endroits différents. Les experts ont pu en dessiner les contours en étudiant le biotope, notamment les résidus de pollens. Le premier « lieu de stockage » se situerait ainsi à l’air libre, au niveau du Bas-Vernet (la partie basse du village). Il ne s’agirait pas de la fameuse jardinière saisie près de la chapelle. Le second serait un lieu clos, « quasi-stérile » pour reprendre la formule initiale de nos confrères du Parisien. Le dernier est le sentier forestier où Sadia, la randonneuse, a découvert le crâne incomplet du petit garçon.

Voilà qui pourrait esquisser le scénario d’un crime non prémédité, suivi d’un camouflage réalisé dans l’urgence. Le « tueur » donne la mort à Émile, cache son corps à proximité, dans la panique, puis le déplace à l’abri en lieu sûr. Enfin, de longs mois plus tard, il s’en débarrasse sur un sentier forestier. Reste à savoir qui.

D’autres révélations sont à venir sur notre site.

Par Mathieu Fourquet, envoyé spécial au Haut-Vernet

 

https://www.bfmtv.com/bfm-dici/mort-d-emile-le-crane-de-l-enfant-presente-des-traces-de-morsures-probablement-d-origine-animale_AV-202404020779.html

Mort d'Émile: le crâne de l'enfant "présente des traces de morsures", "probablement" d'origine animale

 
Vincent Gautier

Des vêtements, dont un T-shirt, des chaussures et une culotte, ont toutefois été retrouvés à environ 150 mètres de l'endroit où les ossements ont été repérés par la randonneuse.

Tous les soirs dans Le titre à la une, découvrez ce qui se cache derrière les gros titres. Céline Kallmann vous raconte une histoire, un récit de vie, avec aussi le témoignage intime de celles et ceux qui font l'actualité.
Émile: qui sont les experts sur le terrain chargés de trouver les causes de sa mort?
16:08

Les os "n'ont pas été enfouis"

"Un maxillaire est absent, sans que l'on puisse savoir aujourd'hui si cet os maxillaire s'est détaché naturellement ou sous la force d'une traction", a ajouté le procureur lors de cette conférence de presse.

Jean-Luc Blachon a par ailleurs indiqué que "l'aspect des os et des dépôts sur ces os permettent d'affirmer qu'ils n'ont pas été enfouis et qu'ils ont exposés longtemps aux variations météorologiques et aux intempéries".

Les analyses effectuées par l'IRCGN (Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale) sur le crâne et les dents de l'enfant ne permettent toutefois pas pour le moment "de dire quelle est la cause de la mort d'Émile", a souligné le procureur de la République d'Aix-en-Provence.

dossier :

Mort d'Émile

Vincent Gautier

 

https://www.closermag.fr/vecu/faits_divers/mort-demile-au-vernet-pas-sur-du-tout-ce-temoignage-cle-pas-loin-de-tomber-a-leau-3535802

Mort d’Emile au Vernet : “pas sûr du tout”, ce témoignage clé pas loin de tomber à l’eau 

Un jeune témoin qui aurait vu Emile passer devant chez lui ne se souvient plus exactement du visage de l'enfant.



L’enquête sur la mort d’Emile se poursuit. Alors que plusieurs membres de sa famille ont été placés en garde à vue, avant d’être relâchés, de nombreuses questions restent toujours sans réponse. Si le procureur de la République d’Aix-en-Provence a bel et bien confirmé que le petit garçon avait été tué par un tiers, l’identité de la ou des personnes impliquées n’est toujours pas connue.

Nos confrères du Nouveau Détective sont alors revenus sur les nombreux témoignages qui ont été délivrés à la gendarmerie au sujet de la mort d’Emile. Et il y en a un qui a bien du mal à tenir la route. Un jeune homme, prénommé Tom et âgé de 17 ans au moment des faits, aurait aperçu le petit garçon en train de passer devant chez lui, le jour de sa disparition. “Un témoignage crucial qui semble appuyer l’idée que l’enfant s’est bien, non enfui, du moins éloigné seul de chez lui”. 

Cet adolescent ne se souvient plus de l'identité de l'enfant qui passé devant sa maison

Mais apparemment, Tom “n’est pas complètement sûr qu’il s’agisse bien d’Emile”, est-il précisé. En effet, un des membres de sa famille est revenu sur ce sujet : “Tom bricolait à l’étage. Il a dit aux gendarmes qu’en descendant chercher une perceuse, il a vu un enfant passer devant la maison, mais il avait la tête dans ses travaux et n’est pas très curieux de la vie des autres”, explique un membre de cette famille.

Alors Tom n’est “pas sûr du tout que c’était Emile”. Ce témoignage clé est donc quasiment tombé à l’eau.

Emile a-t-il été suivi par son grand-père alors qu'il descendait du Haut-Vernet ?

Puis, il y a un second témoin, qui aurait vu Emile descendre vers le Bas-Vernet. Cet homme, un sexagénaire, vit à quelques dizaines de mètres des grands-parents d’Emile. Selon ses dires, le garçon serait descendu par la route, devant ses yeux. 

"Philippe Vedovini l’a imité quelques minutes plus tard. Le témoin aurait vu le grand-père remonter seul”. Mais alors qu’est-ce qui est arrivé au petit Emile ce jour du 8 juillet 2023. Pourquoi son corps a-t-il été déplacé et ses ossements déposés plusieurs mois après sa disparition ? Autant de questions qui restent aujourd’hui encore sans réponse.


vendredi 11 avril 2025

L'extrême-gauche chez elle à l'Assemblée nationale...

 

 

L'Assemblée nationale devient un collectif d'extrême-gauche comme un autre...

Du coup, tous ceux qui dérangent les politiques de l'extrême-gauche s'en font chasser dans la violence, comme cela s'est toujours fait sur tous les terrains de "luttes" qu'elle investit pour empêcher les autres de s'y exprimer.

 

Lire ou relire :

https://satanistique.blogspot.com/2014/10/pourquoi-josette-brenterch-du-npa-de_72.html

https://satanistique.blogspot.com/2016/10/deces-en-2008-de-christian-hamon-ancien.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/03/lfi-et-son-affiche-antisemite-visant.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/03/jean-luc-melenchon-brest-ce-mercredi-19.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/03/affiches-stigmatisantes-apres-lfi-la-cgt.html

 

Grosse fête à Pontanézen hier soir...

Ils ont gagné...

Et comme d'habitude, toute la ville en a eu plein les oreilles...

 

https://www.letelegramme.fr/finistere/brest-29200/affrontements-entre-forces-de-lordre-et-bandes-de-jeunes-dans-le-quartier-de-pontanezen-a-brest-6796559.php

Affrontements entre forces de l’ordre et bandes de jeunes dans le quartier de Pontanézen, à Brest [Vidéo]

Didier Deniel
Paul Bohec

Par Didier Deniel et Paul Bohec

Des affrontements entre les forces de l’ordre et des jeunes du quartier de Pontanézen, à Brest, ont éclaté, ce jeudi soir. Une rame de tramway a aussi été visée par des tirs de mortier d’artifice.

Il était précisément 22 h 53, ce jeudi 10 avril 2025, quand un tramway qui circulait sur la ligne A a été victime d’une « attaque à la diligence », à Brest. Visée par des tirs de mortier d’artifice à la hauteur du quartier de Pontanézen, la rame a été immobilisée par son conducteur alors que des usagers se trouvaient à bord. Rapidement sur place, les forces de l’ordre ont escorté le tramway le temps qu’il puisse repartir et rentrer jusqu’au centre d’exploitation et de maintenance. À leur tour pris pour cibles, les policiers ont été visés par des mortiers d'artifice, à tir tendu, le long de la ligne de tram entre les arrêts Europe et Pontanézen. Au vu des munitions que les jeunes du quartier avaient à leur disposition, on peut penser que cette émeute était parfaitement planifiée. À tir tendu, un mortier d'artifice peut provoquer des blessures relativement graves comme des brûlures, mais le projectile peut aussi casser un os ou arracher une main ou un doigt.

En réponse à une descente de police

La scène s'est déroulée sous les yeux stupéfaits ou désabusés des habitants. « Ils sont fous, commentait un jeune couple qui sortait d'un fast-food. Pas étonnant que ça ait bardé ce soir : ce matin, une descente de police a eu lieu. C'est leur manière de répliquer. Nous on habite un peu plus loin, dans des rues plus calmes. Certains de nos amis habitent le coeur du quartier. Ils n'en peuvent plus. Dans certaines familles, des enfants sont terrorisés. En tout cas ce soir, on avait l'impression de vivre une scène de guerre ».

Vers 23 h 30, répliquant par des tirs de lacrymogène, les policiers sont parvenus à disperser les émeutiers avant de reprendre la direction du commissariat central. Quelques minutes plus tard, rue Cézanne, une vingtaine d’individus, encagoulés et équipés, pour certains, de barres métalliques, circulait à pied sur la chaussée et les rails en criant « On a gagné ! ». Plusieurs véhicules ont ensuite été incendiés rue Daumier et sur le parking de la Biocoop du quartier de l'Europe.

 

Les forces de l’ordre sont intervenues à Pontanézen, ce jeudi 10 avril 2025. Des affrontements avec des jeunes du quartier ont éclaté.
Les forces de l’ordre sont intervenues à Pontanézen, ce jeudi 10 avril 2025. Des affrontements avec des jeunes du quartier ont éclaté. (Photo Le Télégramme / Didier Déniel)
 

Un tramway déjà pris pour cible en 2022

L’intégralité du réseau Bibus a été suspendue à la suite de ces incidents, comme le veut la procédure. Selon nos informations, ni le conducteur de la rame ni aucun passager présent à l'intérieur n'a été physiquement blessé. Mais cette attaque, qui n’est pas sans rappeler un guet-apens qui avait déjà ciblé un tramway, en janvier 2022, exactement au même endroit, aura certainement des répercussions psychologiques.

 

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/tram-caillasse-policier-blesse-a-brest-des-affrontements-entre-forces-de-l-ordre-et-une-bande-de-jeunes-a-pontanezen-5714602

Tram caillassé, policier blessé : à Brest, des renforts attendus dès ce vendredi soir dans le quartier de Pontanézen

 

trois véhicules ont été incendiés par les émeutiers © Radio France - Corentin Dévé

Publié le Mis à jour le

 

Des violences urbaines ont émaillé dans la soirée et la nuit de jeudi à vendredi. Un groupe d'une trentaine de personnes a lancé des mortiers d'artifice sur un tramway du réseau Bibus et sur les policiers venus le protéger. Les forces de l'ordre ont riposté avec des grenades lacrymogènes.

La nuit a été tendue dans le quartier de Pontanézen, à Brest (Finistère) ce jeudi 10 avril. Selon des sources concordantes à "ici Breizh Izel", confirmant les informations du Télégramme, une bande d'une trentaine de personnes, aux visages dissimulés, a caillassé et dégradé le tram, rue Cézanne dans ce quartier nord de la ville dans la soirée de jeudi.

Tirs de mortiers contre les policiers

Tout a commencé aux alentours de 22h20, lorsqu'un équipage de la police qui patrouillait a été pris à partie par un groupe en train de se rassembler. Le calme est ensuite revenu, jusqu'à ce que des pierres posées sur les rails bloquent le tram et oblige les forces de l'ordre à intervenir. Les policiers et le tram se sont retrouvés visés par de nombreux tirs de mortiers d'artifice. Les forces de l'ordre ont répliqué par 37 tirs de grenades lacrymogènes pour se protéger et permettre le passage du tram, poursuivent ces mêmes sources. Un policier a été blessé. Il souffre d'une entorse au genou, 21 jours d'arrêt de travail lui ont été prescrits.

Les forces de l'ordre ont dû escorter le tram en marche arrière direction la zone commerciale du Froutven, à Guipavas, jusqu'au terminus. Sur le réseau X (ex-Twitter), Bibus, le réseau de transports de la métropole de Brest, annonçait à 23h18 jeudi stopper complètement le trafic de bus et de tram et ce "jusqu'à la fin de service". La circulation a repris ce vendredi 11 avril au matin.

"Le harcèlement des points de deal ne plait pas aux trafiquants"

Des renforts de la CRS spécialisée violences urbaines vont arriver dès ce vendredi soir, a appris "ici Breizh Izel" auprès du sous-préfet de Brest, Jean-Philippe Setbon. Ils resteront le temps que le calme revienne, selon lui. Ces émeutes interviennent alors que préfet du Finistère a mis en œuvre il y a quelques semaines le plan d’action départemental de restauration de la sécurité au quotidien (PADRSQ), à la demande du ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau.

Une source proche du dossier confie à "ici Breizh izel" que la situation est tendue depuis deux jours dans le quartier de Pontanézen : "on a mis en place une stratégie de harcèlement des points de deal, et ça ne plait pas aux trafiquants", nous indique cette source policière. Des policiers patrouillent en effet toute la journée à Pontanézen, mais également dans d'autres quartiers de Brest depuis plusieurs jours et dérange le trafic de stupéfiants.

"De tels agissements sont inadmissibles", réagit François Cuillandre, le maire de Brest

Dans un communiqué, François Cuillandre, le maire de Brest "condamne fermement" les faits qui se sont déroulés. "De tels agissements sont inadmissibles. Ils pénalisent de surcroît les habitants et usagers du tramway, par la faute de quelques personnes à qui je demande fermement de mesurer la portée de leurs exactions vis-à-vis de leurs familles et voisins". Le maire de Brest salue le travail des forces de la Police nationale "qui a pu assurer la sécurisation du tramway, de son conducteur et de ses passagers, ciblés par des tirs de mortiers. Je souhaite que ce quartier, qui a toujours été au centre de nos attentions, retrouve un calme durable dès à présent ".

 

lundi 7 avril 2025

Echec d'un projet d'attentat à Dunkerque le 3 avril 2025

J'indique la date du 3 avril 2025, car les deux dates des 2 et 3 avril 2025 ressortent dans mes statistiques de blog :

 


Comme très souvent je suis prévenue de l'imminence d'un attentat la veille de sa commission, je suppose qu'il aurait dû intervenir le 3 avril 2025 et que l'information de l'interpellation du kamikaze mardi 1er avril 2025 n'avait pas fuité en direction de ses commanditaires qui ne voyant rien venir le 3 avril m'ont alors remis la gomme sur le blog en pensant qu'il surviendrait avec un peu de retard le 4 avril 2025.

Il est déjà arrivé que des attentats soient commis avec du retard sur ce qui avait été prévu.

Ce fut notamment le cas pour celui du 26 juillet 2016 dans l'église Saint-Étienne de Saint-Étienne-du-Rouvray, l'assassinat du père Jacques Hamel, qui très certainement aurait dû être commis le dimanche 24 juillet 2016, pour l'anniversaire du premier site du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ouvert le 24 juillet 2001.

Rappelez-vous, certain(e)s s'en impatientaient tellement qu'ils ou elles n'avaient pu contenir leur joie dès qu'il fut commis :

https://satanistique.blogspot.com/2016/07/fausse-rousse-et-vraie-connasse-julie.html

https://satanistique.blogspot.com/2016/08/en-juin-2015-julie-le-goic-rendait-au.html

https://satanistique.blogspot.com/2016/08/julie-le-goic-tout-dun-coup-celebre.html

https://satanistique.blogspot.com/2016/08/julie-le-goic-est-elle-aussi-folle-que.html

https://satanistique.blogspot.com/2019/05/alexandre-hervaud-fait-des-blagues-sur.html

Passons maintenant au lieu où cet attentat aurait dû être commis, dans le Nord.

Voilà la source d'inspiration des commanditaires :

https://satanistique.blogspot.com/2025/03/genealogies-connaissez-vous-la-meilleure.html

Ce n'est pas la première fois que l'origine de certains de mes ancêtres les excite, mais c'est bien la première fois qu'ils aient trouvé l'info parmi mes publications - les autres fois, ils y avaient eu accès grâce à tous leurs piratages à mon encontre.

Comme cette fois-ci je l'avais publiée, je ne suis pas gênée pour la montrer ou la reproduire, il s'agissait donc d'une information du 18 mars 2025.

Dès le lendemain, Jean-Luc Mélenchon venait à Brest noyer le poisson, et le député d'aujourd'hui tout juste neuf mois Pierre-Yves Cadalen de LFI ressortait de la naphtaline la fille à papa Le Goïc (ancien de la LCR de Brest) :

https://satanistique.blogspot.com/2025/03/jean-luc-melenchon-brest-ce-mercredi-19.html

https://www.letelegramme.fr/finistere/brest-29200/lune-des-meilleures-conseilleres-municipales-de-brest-ces-dernieres-annees-quand-le-depute-lfi-cadalen-remet-julie-le-goic-en-selle-6782627.php

Ligue du LOL, attentats islamistes, ce sont les meilleurs....


P.S.: L'interpellation a eu lieu mercredi 2 avril et non mardi 1er avril. L'article de Paris Match recopié ci-dessous était erroné sur ce point.

Par ailleurs, Le Parisien indique que le Dunkerquois avait posté des messages sur Snapchat appelant à « noyer dans le sang les mécréants » et qu’il aurait relayé des vidéos glorifiant les auteurs d’attentats en France, dont Khamzat Azimov, qui avait fait un mort dans un attentat au couteau dans le quartier de l’Opéra, à Paris, en mai 2018.

Voilà, j'ai des ancêtres de Noyelles dans le Nord, et maintenant on appelle à « noyer dans le sang les mécréants »...

Et j'ai reparlé récemment dans des courriers électroniques privés (toujours piratés) de la tentative d'assassinat dont j'avais été victime en mai 1994 dans le quartier Opéra... Lors de l'attentat de mai 2018, le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi venait de perdre un mois plus tôt pour la seconde fois, en appel, le procès qu'il me faisait à Paris depuis le printemps 2016 (attentats associés : tous ceux de cette période, du printemps 2016 au printemps 2018, celui de Nice pour fêter l'assignation à comparaître qui m'avait été délivrée par acte d'huissier le 12 juillet 2016; au cours de cet été 2016, la fête battait son plein, la bande de malades mentaux était sûre de gagner; quelque peu déstabilisée de me voir venir me défendre seule aux audiences de septembre et novembre 2016, elle s'était pris une première douche froide début janvier 2017...).

Enfin, Franceinfo précise ce 8 avril 2025 que le candidat à l'attentat-suicide était connu pour des affaires de stupéfiants. Or, quasiment tous les complices du trafiquant de drogue Pascal Edouard Cyprien Luraghi sont bien eux-mêmes dans les trafics de stupéfiants ou a minima toxicomanes.


https://www.parismatch.com/actu/faits-divers/info-paris-match-linstigateur-presume-qui-projetait-un-attentat-kamikaze-denonce-par-son-principal-complice-249778

INFO PARIS MATCH : L’instigateur présumé qui projetait un attentat kamikaze à Dunkerque dénoncé par son principal complice

 

L’instigateur présumé qui projetait un attentat kamikaze dénoncé par son principal complice
Photo d'illustration © AFP
 
Martin Regleyet Stéphane Sellami , Mis à jour le

Le principal suspect, âgé de 19 ans, a été dénoncé par son complice, pris de panique par la tournure sérieuse que prenait le projet terroriste. Les deux hommes ont été placés en détention provisoire.

Il a été pris de panique quand il s’est rendu compte du sérieux de l’acte. D’après les informations de Paris Match, obtenues auprès de sources concordantes, Mourad M., âgé de 19 ans, suspecté de vouloir mener un attentat interpellé à Dunkerque mardi dernier et inculpé pour participation à une association de malfaiteurs terroriste dimanche, a été dénoncé par son principal complice.

Hier, les deux hommes ont été mis en examen et placés en détention provisoire pour ces faits, a appris Paris Match du parquet national antiterroriste.

Il avait glissé des pétards dans un gilet

Quelques heures avant l’interpellation, lorsque les enquêteurs ont été prévenus d’une attaque potentiellement imminente par l’autre suspect né en 2005, ils se sont directement rendus à son domicile pour l’interpeller. Sur place, ils ont découvert un gilet fabriqué par ce dernier, dans lequel il y avait glissé « des pétards » pour voir ce que ça pouvait donner. Selon une source concordante, il avait ensuite prévu d’y mettre des explosifs.

L’objectif de ce suspect, connu pour des affaires de stupéfiants, était de commettre une attaque dans un lieu public pour « punir des mécréants », sans préciser les cibles. Cette attaque aurait été revendiquée au nom de l’État Islamique, sans qu’il n’y ait vraiment prêté allégeance.

Une troisième personne interpellée pour « non-empêchement de crime »

Un troisième homme, né en 2003, a été inculpé pour non-dénonciation d’un crime terroriste et placé sous contrôle judiciaire, selon le parquet national antiterroriste. Désormais, les enquêteurs de la Sous-direction anti-terroriste (SDAT), qui mènent les investigations, vont creuser pour savoir s’il allait vraiment passer à l’acte et pour connaître les cibles.

Mi-mars, un adolescent de 17 ans, interpellé en Haute-Saône (centre-est), avait été inculpé et placé en détention provisoire, soupçonné d’avoir projeté une action violente « pendant le ramadan ».

Le 26 février, un homme algérien - qui présentait un profil « schizophrène », selon le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau - a lui aussi été inculpé pour assassinat terroriste et placé en détention provisoire, après avoir tué un passant à Mulhouse (est) et blessé six autres personnes.


https://www.radiofrance.fr/franceinfo/podcasts/les-documents-franceinfo/projet-d-attaque-dejoue-un-jeune-radicalise-preparait-une-ceinture-d-explosifs-4257323

Projet d'attaque déjoué : un jeune radicalisé préparait une ceinture d'explosifs

Publié le lundi 7 avril 2025

 
Le siège de la DGSI où se trouvent les services antiterroristes à Levallois-Perret dans les Hauts-de-Seine (Photo d'illustration). ©Maxppp - IP3 PRESS/MAXPPP
 

 

Un projet d'attaque à la ceinture d'explosifs a été déjoué dans le nord de la France. Un jeune homme de 19 ans, radicalisé récemment, a été interpellé avec deux autres suspects. Des perquisitions ont révélé un dispositif de mise à feu et une recette pour fabriquer un explosif.

Un projet d'attaque à la ceinture d'explosifs a été déjoué ces derniers jours par les services antiterroristes. Trois hommes ont été interpellés dans le nord de la France, mais c'est surtout l'un de ces trois suspects qui préoccupe les enquêteurs et la justice. Il a 19 ans et était, jusque-là, inconnu des services de renseignement. Mais ces derniers temps, ce garçon qui vivait dans un foyer dans la région de Dunkerque, s'est radicalisé tout seul, selon un connaisseur du dossier.

Les enquêteurs ont découvert qu'il consultait des vidéos de décapitation et qu'il avait fait allégeance à l'État islamique dans un courrier retrouvé en perquisition. Selon cette même source, il ne se cachait pas non plus sur les réseaux sociaux, avec notamment des logorrhées à la gloire des attentats du 13 novembre 2015. Il se mettait aussi en scène dans des vidéos avec une arme qui s'est révélée factice.

Projet d'action violente plutôt qu'attentat déjoué

Cette fois, ce ne sont pas les algorithmes des géants d'Internet ou la veille des services de renseignement qui ont permis de l'identifier, mais le signalement d'un proche, parvenu aux oreilles de la police il y a une dizaine de jours, qui redoutait un passage à l'acte. Mardi 1er avril, les policiers locaux sont allés interpeller ce suspect avec le Raid. Ce qui a été découvert en perquisition a conforté les craintes : une ceinture artisanale équipée d'un dispositif de mise à feu composé de deux simples pétards. Mais le jeune homme s'était procuré une recette pour confectionner du TATP, un explosif bien plus puissant.

La communauté juive se trouvait parmi les cibles du suspect, mais pour ce qui est de l'échéance, impossible de le savoir. Au moment de l'interpellation, le suspect n'était pas en position d'aller se faire sauter avec sa ceinture puisqu'il n'avait pas encore fabriqué d'explosifs. C'est la raison pour laquelle certains préfèrent parler de projet d'action violente plutôt que d'attentat déjoué, même si un connaisseur de l'affaire disait que le profil visiblement instable du suspect pouvait l'amener à passer à l'acte avec une arme blanche sans prévenir.

Il a été mis en examen et écroué, tout comme un autre suspect interpellé par la sous-direction antiterroriste de la police judiciaire. Un troisième homme, lui, est poursuivi pour non-dénonciation.

Un éclairage de Pierre de Cossette, édité par Lucie Grandhay-Lavigne.


https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/dunkerque/projet-d-attentat-terroriste-trois-hommes-interpelles-une-ceinture-explosive-retrouvee-dans-le-nord-3134509.html

Projet d'attentat terroriste : trois hommes interpellés, une ceinture explosive retrouvée dans le Nord

 

Ils sont soupçonnés d'avoir voulu organiser une action violente à l'explosif : 3 hommes, âgés de 19 à 24 ans, originaires de Dunkerque et Lille, ont été interpellés. Le parquet national antiterroriste mène l'enquête.

France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous envoyer la newsletter "L'essentiel du jour : notre sélection exclusive". Vous pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette newsletter. Notre politique de confidentialité

C'est un proche de l'un des hommes qui a alerté la police, de peur que son ami ne passe à l'acte. Chez ce Dunkerquois de 19 ans, inconnu des services de police, les enquêteurs retrouvent en effet une ceinture artisanale. Pas d'explosif à l'intérieur, mais selon les premières investigations, le jeune homme est soupçonné de préparer un attentat, à l'encontre, notamment de la communauté juive. Selon RTL, d'autres cibles sont évoquées comme un foyer pour jeunes du Nord, un restaurant ou encore une boîte de nuit.

Un profil très inquiétant

Plusieurs publications sur les réseaux sociaux interpellent son entourage et confirment ses intentions : le Nordiste, auteur d'un courrier d'allégeance à l'Etat islamique, met en avant plusieurs vidéos de Khamzat Azimov, l'auteur de l'attentat au couteau du quartier de l'Opéra à Paris, en 2018. Il publie également des notes glorifiant l'attentat du Bataclan.

Chez lui, des documents permettant la fabrication de TATP sont saisis, d'après les informations du Parisien, un explosif bien connu dans le milieu des djihadistes. L'homme est interpellé mardi 1er avril 2025.

Deux de ses proches interpellés

Les investigations conduisent les enquêteurs à deux amis du suspect. La même journée, un autre homme, toujours dans le Dunkerquois, est également interpellé. Il aurait fourni au principal suspect une arme à feu. Arme qui s'est finalement révélée factice.

Enfin, les services antiterroristes arrêtent un troisième homme soupçonné de ne pas avoir dénoncé le projet d'attentat alors qu'il en avait connaissance.

Produit incendiaire et explosif

Ce dimanche 6 avril 2025, les deux premiers hommes ont été mis en examen et placés en détention provisoire pour "association de malfaiteurs terroriste criminelle" et détention de "substance ou produit incendiaire ou explosif". Le troisième suspect a été mis en examen pour non-dénonciation de crime terroriste et placé sous contrôle judiciaire.

L'enquête est menée par la sous-direction antiterroriste, la police du Nord et la DGSI.


https://www.lavoixdunord.fr/1573225/article/2025-04-07/trois-jeunes-arretes-dans-le-nord-pour-un-projet-d-attentat-ceinture-explosive

Projet d’attentat déjoué dans le Nord : ceinture explosive, lieu visé, trois jeunes suspects… ce que l’on sait

 
Les services antiterroristes ont interpellé, mercredi dernier, trois jeunes hommes originaires de Lille et Dunkerque qui voulaient commettre un attentat à la ceinture explosive. Le point sur ce que l’on sait.
 
Par C. Br., E.A., A.C. et A.M.
Temps de lecture: 5 min

> Un projet d’attentat terroriste

Ils voulaient s’inspirer de l’attentat du Bataclan : trois jeunes Nordistes, âgés d’entre 19 et 24 ans ont été placés en garde à vue, mercredi dernier, dans le cadre d’une enquête ouverte par le parquet national antiterroriste (PNAT) pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle », « détention de substance ou produit incendiaire ou explosif en relation avec une entreprise terroriste » et « non-dénonciation de crime », rapportent nos confrères du Parisien.

Ils avaient, d’après le journal, l’intention de commettre un attentat terroriste au nom de l’organisation État islamique, certainement à l’aide d’une ceinture explosive.

Contacté par La Voix du Nord, le PNAT confirme l’ouverture d’une information judiciaire, ce dimanche 6 avril. Deux hommes majeurs ont été mis en examen et placés en détention provisoire des chefs de « participation à une association de malfaiteurs terroriste en vue de la préparation d’un crime d’atteinte aux personnes et détention de substance ou produit incendiaire ou explosif ou d’éléments destinés à composer un engin incendiaire ou explosif pour préparer une destruction, dégradation ou atteinte aux personnes en relation avec une entreprise terroriste ». Le dernier a été mis en examen pour ces faits, requalifiés en « non-dénonciation d’un crime terroriste », précise le PNAT. Il a été placé sous contrôle judiciaire.

> Des suspects nordistes âgés de 19 à 24 ans

Les trois suspects sont des Nordistes, originaires de Lille et Dunkerque, selon Le Parisien. Ils ont pu être arrêtés grâce à la dénonciation d’un de leur proche, qui craignait un passage à l’acte imminent.

D’après BFM TV, le suspect principal, Morad M. âgé de 19 ans, a été interpellé mercredi 2 avril à 6 heures par le Raid, dans son foyer pour jeunes adultes de Dunkerque. Selon nos informations, il résidait au Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale (C.H.R.S.) Thérèse Caulier Soliha Flandres.

 

 

Vers 8 heures, mercredi 2 avril, un voisin du Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale (C.H.R.S.) Thérèse Caulier Soliha Flandres s’apprêtait à partir lorsque la police l’en a empêché. « Ils avaient bloqué les accès de chaque extrémité tout autour, et nous interdisaient de sortir avec les véhicules », témoigne-t-il. Le dispositif était « assez discret. Ça rentrait, ça sortait ». Selon lui, les accès ont été bloqués « toute la matinée ». Il a pris connaissance du fond de l’affaire ce lundi. « Ça fait un peu peur mais sur le coup ça ne m’a pas trop fait peur ».

BFM TV précise que Morad M. était, jusqu’à présent, inconnu des fichiers de signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT), mais connu du renseignement territorial. Il avait notamment proféré des menaces à l’encontre de Mila, jeune femme qui avait tenu des propos très critiques contre l’Islam, ce qui lui avait valu une vague de cyberharcèlement et des menaces de mort. Selon nos confrères, la mère de Morad M. avait quitté le foyer familial, et son père était absent.

Les deux autres jeunes interpellés sont des proches du principal suspect. L’un d’eux, âgé de 21 ans, est soupçonné de lui avoir fourni une arme factice que Morad M. exhibait sur les réseaux sociaux, selon RTL. Il a été mis en examen pour association de malfaiteurs terroriste. Sollicité par la radio, son avocat Maître Reda Ghilaci a réagi : « Mon client n’est pas radicalisé et n’épouse aucune thèse djihadiste. L’infraction d’association malfaiteur terroriste manque de rigueur juridique. La défense va activement s’atteler à démontrer que les infractions pour lesquelles il a été mis en examen ne sont pas caractérisées en tous leurs éléments constitutifs ».

Le troisième, vraisemblablement âgé de 24 ans, a été mis en cause pour « non-dénonciation d’un crime terroriste » et a été placé sous contrôle judiciaire.

> Des jeunes radicalisés

Morad M. était très actif sur les réseaux sociaux, notamment sur Snapchat ou Telegram, où il incitait les utilisateurs à faire le djihad, selon BFM TV. D’après le média, il lançait également des appels sur ses réseaux sociaux pour recruter des jeunes.

Le Parisien indique que le Dunkerquois avait posté des messages sur Snapchat appelant à « noyer dans le sang les mécréants » et qu’il aurait relayé des vidéos glorifiant les auteurs d’attentats en France, dont Khamzat Azimov, qui avait fait un mort dans un attentat au couteau dans le quartier de l’Opéra, à Paris, en mai 2018.

En garde à vue, Morad M. a reconnu avoir eu un projet d’action violente dans une période où il allait mal, mais a dit que ce dernier était « abandonné », relate BFM TV. Il était pourtant encore très actif sur les réseaux sociaux à la veille de son interpellation.

BFM TV indique que lors de la perquisition au domicile de Morad M., les policiers ont retrouvé plusieurs éléments qui laissent penser à la préparation d’un attentat-suicide, ainsi qu’une lettre d’allégeance à l’État islamique. Le Parisien précise qu’un gilet modifié, qui contenait des pétards devant faire office de tests avant d’y introduire de véritables explosifs a notamment été retrouvé, tout comme un dispositif de mise à feu « potentiellement fonctionnel ». Les trois suspects s’étaient également renseignés sur la fabrication du TATP, un explosif souvent utilisé par les terroristes.

> Plusieurs idées de lieux à viser

Si le lieu de la future attaque n’a pas été établi avec précision, les suspects avaient déjà dressé une liste de cibles potentielles, rapporte RTL. Parmi elles, un foyer pour jeunes du Nord, un restaurant, une boîte de nuit ou encore un site appartenant à la communauté juive. Les enquêteurs ne savent pas si l’une d’elles était réellement arrêtée. D’après Le Parisien, les enquêteurs doivent déterminer si une date de passage à l’acte avait déjà été fixée, ce qui ne semble pas être le cas à ce stade.

Le dernier attentat commis dans le Nord – Pas-de-Calais remonte à octobre 2023, lorsque Dominique Bernard, professeur de français, avait été mortellement poignardé à Arras par Mohammed Mogouchkov, qui avait revendiqué son acte au nom de l’État islamique.


https://www.francetvinfo.fr/replay-jt/franceinfo/21h-minuit/23-heures/dunkerque-un-attentat-a-la-ceinture-explosive-dejoue_7177593.html

Dunkerque : un attentat à la ceinture explosive déjoué

 
Publié
Temps de lecture : 1min - vidéo : 2min
Article rédigé par franceinfo - E. Pelletier, C. Colnet, N. Perez, T. Millot, V. Cruard, F. Bellouti, @RevelateursFTV, L. Lavieille
France Télévisions
 
Trois jeunes hommes ont été arrêtés. Ils étaient soupçonnés de préparer un attentat à l'explosif. Le plus jeune d'entre eux avait prêté allégeance à l'État islamique.

Un attentat terroriste se préparait-il derrière les murs d'un foyer social du centre-ville de Dunkerque (Nord) ? Les policiers sont intervenus mercredi matin, vers 8 heures, avec l'appui du RAID dans l'établissement. Ils ont interpellé Morad M., un jeune homme de 19 ans, de nationalité française, sans emploi, et connu pour des affaires de stupéfiants. Face aux enquêteurs, il revendique la préparation d'un attentat à Dunkerque.

Deux de ses proches interpellés

Selon ses dires, le jeune suspect prévoyait de cibler des lieux fréquentés par la communauté juive et des terrasses de café. "Il a avoué qu'il en avait assez de l'état de la France (...) et qu'il avait prêté allégeance à Daesh et qu'il voulait faire (...) comme le Bataclan", explique Marc Alegre, délégué du syndicat de police Un1té-FO. Un gilet susceptible de recevoir de l'explosif, des pétards et une lettre d'allégeance à Daesh et un drapeau de l'organisation terroriste ont été retrouvés à l'intérieur de son appartement.

Morad M. a été dénoncé par un proche. Sa radicalisation avait alerté les responsables de la structure qui l'hébergeait depuis trois ans. Mis en examen dimanche 6 avril et écroué, deux de ses proches, âgés de 24 ans, ont aussi été interpellés, l'un a été incarcéré pour association de malfaiteurs terroriste et l'autre, arrêté pour non-dénonciation de crime, est ressorti libre sous contrôle judiciaire.