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mercredi 3 août 2022

Le 11 septembre 2008, Cyprien Luraghi annonçait déjà son futur attentat contre Charlie Hebdo

 

Toujours pas de réaction publique de Cyprien Luraghi après l’annonce américaine d’avant-hier concernant l’un de ses amis islamistes.

Lire ou relire à ce sujet :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/08/02/ayman-al-zawahiri-chef-dal-qaida-tue-par-un-drone-americain/

Et pourtant, depuis que ses amis Talibans sont au pouvoir en Afghanistan, il a plusieurs fois retweeté des informations qui en provenaient ou les concernaient.

Tout juste a-t-il posté ceci en début d’après-midi :

 

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Le 11 septembre 2008, Cyprien Luraghi annonçait déjà son futur attentat contre Charlie Hebdo dans AC ! Brest KV_miNO__normal

Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
Tout le monde se prend le chou, ces derniers temps. Par contre ça manque terriblement de carottes ici, je trouve.
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Et précédemment cette réponse à son ami résident en Thaïlande Georges Cortez alias « Homere » autrefois sur Rue89 et « Long John Silver@merou_agile » aujourd’hui sur Twitter :

 

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mLSWR7u3_normal dans Attentats

Long John Silver
@merou_agile
·
Je ne sais même pas qui c’est ce con de Booba, et je m’en branle… Les tendances Twitter, c’est vraiment l’IRM du cerveau malade de notre monde.
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KV_miNO__normal dans Calomnie

Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
Replying to

Idem : ça cause d’un tas d’inconnus et c’est vraiment sans intérêt.
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Dans ce cas, que fait-il donc sur Twitter ?

Notons que ces derniers temps, il y a encore à plusieurs reprises comparé des humains à divers fruits et légumes… qu’il mange…

Hier, j’ai montré à mes fidèles lecteurs l’essentiel de ses publications de septembre 2008 toujours en ligne actuellement.

Je les complète aujourd’hui avec la copie de l’article qu’il avait posté le 11 septembre 2008 pour les sept ans de l’attentat du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis, attentat terroriste qu’il a toujours loué (voir ci-dessous).

Rappelons pour commencer comment en date du 6 décembre 2008 il appelait au pilori public sur son blog pour tous les riverains de Rue89 qui le dérangeaient et qu’il harcelait déjà sur ce site :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/07/25/avec-cyprien-luraghi-cest-le-pilori-pour-tout-le-monde/

Je n’y étais pas explicitement citée, mais avais déjà eu droit en date du 11 septembre 2008 à un article sur son blog m’étant entièrement consacré ainsi qu’aux attentats du 11 septembre et à Charlie Hebdo – nous y étions déjà tous associés dans la même salade manifestement inspirée par ses « potes(ses) » qui venaient d’obtenir le 6 septembre 2008 la suppression de mon compte « existe » sur le site Rue89 ainsi que de tous les commentaires associés depuis l’ouverture de ce compte au mois de décembre 2007 (plusieurs centaines de commentaires tous très sérieux, et assez souvent sélectionnés par les journalistes du site comme particulièrement intéressants ou pertinents).

Bien sûr, pour le comprendre, il faut connaître tout à la fois le pseudonyme que j’avais utilisé jusque-là, ainsi que mon patronyme, qu’il connaissait déjà, comme il le reconnaîtra publiquement deux ans plus tard, puisqu’il s’y réfère avec des jeux de mots à la con, et aussi, bien évidemment, ce qui venait de se passer entre le 4 et le 6 septembre 2008 dans les commentaires sur un article de Rue89 portant sur le sujet du harcèlement moral en entreprise et ayant donc conduit à la suppression de mon premier compte sur ce site, une discussion à laquelle il faisait déjà allusion dans son article du 4 septembre 2008 intitulé « Chaussonnier » lorsqu’il écrivait, commentant cet article de Rue89 consacré au harcèlement moral en entreprise dont il déplorait la publication, selon lui un « marronnier » :

Quand je pense qu’il y en a qui se gavent de benzodiazépines aux frais de la Sécu alors qu’une paire de charentaises de Taïwan suffit à ma béatitude, je bous. Doucement tout de même : je frémis, on va dire. Je ménage ma révolte car qui va piano, va sano e va lontano.

En effet, pour lui, le harcèlement moral en entreprise n’existe pas, il n’y aurait que des malades mentaux délirants et paranoïaques qui systématiquement se plaindraient de faits imaginaires ou parfaitement normaux (puisque ces gens seraient tous des fous, il serait parfaitement normal de s’en « moquer », tous les faits dits de harcèlement moral n’étant pour lui et ses amis pervers que des « moqueries »; ainsi, par exemple : l’employeur qui soupçonne une de ses salariées de « vouloir lui faire payer un congé maternité » et décide pour cette raison de l’envoyer quotidiennement travailler à 2 heures de trajet de chez elle s’en « moque » de cette manière parce qu’à l’évidence cette femme n’est qu’une « folle » ou une « paranoïaque », et il a bien raison). D’où son assimilation des victimes de harcèlement moral (et particulièrement moi qui venais aussi de perdre compte et commentaires sur le site Rue89 pour avoir osé m’y présenter comme victime de tels faits en en témoignant vaguement) aux Américains du « Couinistan » (cf. son article du 1er septembre 2008), victimes des attentats du 11 septembre 2001 : ces gens seraient tous morts ou auraient tous été victimes de faits graves uniquement pour avoir eu « peur » ou n’être que des « paranoïaques », avec pour moi, de surcroît, la nouvelle punition de la suppression de tous mes commentaires publics anonymes depuis décembre 2007 avec mon compte, qui était encore, symboliquement, une mort, une de plus…

Une mort étant en fait celle de la brebis de son article, « arrachée de haute lutte par le David de la photo à une meute de chiens courants toutes babines retroussées et les crocs projetés sur son mollet droit, plantés dedans, le jour de son achat ».

Si son beau-frère, le frère de sa femme, Annie Belléculée, se prénomme effectivement David et a peut-être même acheté et tué une brebis comme il le raconte dans cet article, David est aussi le prénom de son complice journaliste qui le 6 septembre 2008 avait supprimé mon compte et tous les commentaires associés (type de suppression tout à fait inédit sur le site Rue89 où habituellement les « bannis » se voyaient simplement interdire toute nouvelle publication de commentaire). Il s’agit du sadique David Servenay qui m’avait volontairement « tuée » de cette manière en sachant pertinemment depuis plusieurs mois comment et pourquoi j’avais déjà été socialement « tuée ». De plus, sur le site Rue89, j’étais bien entourée de « chiens courants », c’est-à-dire d’autres internautes qui m’appréciaient et y obtiendront ma réintégration dans les jours ayant suivi cet « attentat » manifeste du pervers extrêmement sadique David Servenay.

C’est donc bien de moi qu’il s’agit à travers cette évocation en apparence sans aucun rapport avec le reste de l’article.

Ce procédé de l’assimilation très allusive est couramment employé par le psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi lorsqu’il ne peut ou ne veut s’exprimer plus clairement.

Dès ce mois de septembre 2008, donc, il m’avait déjà gratifiée de deux de ses articles de blog alors que pour ma part, je ne l’avais pas encore remarqué sur le site Rue89 où, de toute façon, il n’avait officiellement plus aucune présence depuis mai 2008, ayant alors décidé de lui-même de quitter ce site pour y avoir vu supprimer de ses commentaires injurieux à l’égard d’autres internautes.

Il n’y reviendra sous son identité habituelle de « Cyp » que fin novembre 2008, et uniquement pour m’y attaquer d’une manière totalement ahurissante, ce qui a laissé des traces jusqu’à aujourd’hui dans mes échanges de courriers électroniques de cette époque avec deux autres riverains de Rue89 :

 

Le 29/11/2008 à 17:38, [Petitcoucou] a écrit :
Oui, j’ai vu les commentaires de Béatrice. Apparemment, c’est nouveau, je n’en sais pas plus.
En tous les cas, désormais, ils ne pourront plus faire sauter tout un fil au motif que le premier commentaire est hors charte, ils vont être obligés d’appliquer la jurisprudence Béatrice 1 quand les autres ne le sont pas.
—– Original Message —–
From:
To: [Petitcoucou]
Sent: Saturday, November 29, 2008 5:20 PM
Subject: Cyp

j’ai fait ce que j’ai pu…

que se passe-t-i avec Béatrice1 ? des commentaires vides ?
—- Message d’origine —-
De : [Petitcoucou]
À :
Objet : Re:
Date : 29/11/2008 16:05:46 CET

Ici, je me fais attaquer par cyp :
Il est vraiment malade, ce type.
Je ne l’avais pas croisé depuis le jour où il a qualifié « existe » de « petit monsieur »…

 

Le 03/12/2008 à 18:57, [Petitcoucou] a écrit :
Euh… je me corrige : là où j’ai écrit « Elle est intervenue sur le blog de site… » il faut lire « blog de Cyp ».
Je t’encourage à y laisser un message de soutien pour Kamikanaze si tu veux.
Je m’en abstiens (je la soutiens ailleurs) parce qu’il est hors de question qu’à titre personnel j’alimente d’une quelconque manière le blog de Môssieur Cyp.
—– Original Message —–
From: [Petitcoucou]
To:
Sent: Wednesday, December 03, 2008 6:46 PM
Subject: Re: Cyp
Il se passe des choses depuis hier sur la Rue qui débordent sur le blog de Cyp aujourd’hui, ici :
Sans chercher à comprendre qui que quoi comment pourquoi, une bande de zozos (le Cyp en tête) a organisé une super manif sur la Rue après que l’un des leurs, lamorille, ait annoncé avoir reçu un avertissement de la Rédac’chef. Il ne s’est pas fait virer, ni rien, il a juste eu un avertissement, comme tous les autres participants à une discussion genre règlement de compte perso.
A l’origine : les attaques sournoises de potes à Hestia & Cie contre une victime de harcèlement moral qui a eu maille à partir avec Pomponette quelques temps avant moi et est intervenue pour ma défense après que je me sois fait virer avec tous mes commentaires au mois de septembre.
Elle est intervenue sur le blog de site pour donner sa version des faits, c’est Kamikanaze.
Admire les réponses pleines de fiel que lui fait Hestia…
Elle n’est pas folle du tout, elle fait une déprime.
—– Original Message —–
From: [Petitcoucou]
To:
Sent: Monday, December 01, 2008 6:42 PM
Subject: Re: Cyp
Ici, j’ai parlé un peu de harcèlement, je me suis fait nazer :
Là, je retape un peu sur les flics, et aussi sec je me refais nazer :
Je suis sûre que c’est toujours des éléments de la LCR.
LCR = RG = flicaille corrompue.
—– Original Message —–
From:
To: [Petitcoucou]
Sent: Monday, December 01, 2008 1:26 PM
Subject: Cyp
C ‘est  vrai,  on  sentait que  tu  étais  à  cran . Le  mieux  à  mon  avis  est  que  tu  répondes  de  façon  très  pondérée  à  Cyp  au  prochain incident et  que  tu  lui  poses  la  question : qu’ est-ce  qui  l’ irrite  dans  ton  ou  tes  commentaires ,  depuis  peu.
Mes  commentaires  sur   la  couille  d ‘ Adolf  ont  été  supprimés,  avec  d ‘autres  je  crois. J’ ai  autre  chose  à  faire  que  traîner  dans  cette  impasse, j’ arrête,  sauf  si  un  sujet  me  tient  à  coeur.

 

Manifestement, il ne supportait absolument pas ma réintégration sur le site Rue89 où j’avais été autorisée à me réinscrire sous le pseudonyme de « jexiste » et s’attaquait aussi avec ses amis « déconnologues » aux « chiens courants » qui m’avaient soutenue et aidée dans l’adversité, dont, notamment, la pseudonymée « Kamikanaze », laquelle avait également pour tort de témoigner publiquement dans ses commentaires anonymes sur le site Rue89 de faits de harcèlement moral en entreprise dont elle avait été victime et se faisait tout comme moi traiter de « folle » pour cette raison. Il en exigeait aussi le bannissement de Rue89 d’une manière extrêmement bruyante et consacrera à son lynchage public son article du 2 décembre 2008 intitulé « lamorille vilain pas beau » où, en miroir au soutien que j’avais reçu après la suppression de mon premier compte « existe » le 6 septembre 2008, il appelait au soutien de son ami « lamorille » qui avait simplement reçu un avertissement pour s’être attaqué à « Kamikanaze » avec plusieurs autres.

De ce temps-là, il ne nous a plus jamais lâchées.

Voilà donc cet article qui était toujours public en date du 10 mai 2014, avant qu’il ne décidât encore une fois de supprimer tout son blog de l’espace public pour ne le rouvrir expurgé d’une nouvelle série d’articles compromettants dont celui-là que le 24 décembre 2014, juste avant les attentats de janvier 2015 à Paris qu’il préparait depuis des mois et avait pour ainsi dire annoncés avec plus de six ans d’avance le 11 septembre 2008 :

 

 

 

 

 

 

 

https://www.marianne.net/societe/terrorisme/il-y-a-10-ans-charlie-hebdo-etait-vise-par-une-attaque-et-lache-par-quelques-intellectuels

Il y a 10 ans, Charlie Hebdo était visé par une attaque… et lâché par quelques "intellectuels"
Charb, assassiné en 2015, pose avec la Une de Charlie Hebdo après l’incendie criminel de novembre 2015.
ALEXANDER KLEIN / AFP

 

Il y a 10 ans, Charlie Hebdo était visé par une attaque… et lâché par quelques « intellectuels »

 

Islamisme

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Publié le 03/11/2021 à 13:00

Dans la nuit du 1er au 2 novembre 2011, les locaux de Charlie Hebdo étaient ciblés par un incendie criminel, alors que la rédaction s’apprêtait à publier un numéro intitulé : « Charia Hebdo ». Peu après, une tribune d’intellectuels appelait à ne pas « s’apitoyer sur les journalistes de Charlie Hebdo »…

 

Il y a dix ans, les locaux de Charlie Hebdo brûlaient. Une première attaque, avant l’attentat qui a coûté la vie à douze personnes le 7 janvier 2015.

Dans la nuit du 1er au 2 novembre 2011, le siège du journal satirique s’embrase. Un riverain, alerté par un bruit de verre brisé, voit s’enfuir deux personnes dans la nuit. Ces assaillants viennent de jeter des cocktails Molotov à l’intérieur de la rédaction de Charlie Hebdo, située alors boulevard Davout dans le 20e arrondissement de Paris. Ils ne seront jamais identifiés. Les locaux sont carbonisés, hors d’usage. Au même moment, le site internet du journal est piraté. La page d’accueil est remplacée par une photo de la grande mosquée de La Mecque, avec un message en anglais : « No god but Allah » (Pas d’autre Dieu qu’Allah »).

Pour continuer à paraître, Charlie Hebdo va s’installer provisoirement dans les locaux de Libération, avant de déménager dans de nouveaux bureaux dans le 11e arrondissement, où aura lieu l’attentat de janvier 2015.

À LIRE AUSSI : Charlie Hebdo, bientôt cinquante ans, décimé il y a cinq ans : non, rien n’est pardonné

En ce mois de novembre 2011, la tension montait depuis plusieurs jours autour de Charlie Hebdo. L’hebdomadaire satirique s’apprêtait à publier un numéro spécial intitulé : « Charia Hebdo ». Sa Une, transmise à certains journalistes, avait été publiée sur les réseaux sociaux. Il s’agissait d’un dessin de Mahomet, hilare, avec ces mots : « 100 coups de fouet, si vous n’êtes pas morts de rire ! ». La rédaction du journal entendait réagir à l’évolution des révolutions du Printemps arabe. La charia était instaurée en Libye et en Tunisie le parti islamique Ennahdha venait de remporter les élections constituantes.

Une pétition signée par une vingtaine d’intellectuels

« Les gens se sont enflammés pour un journal dont ils ne connaissaient pas le contenu », s’étonnait Charb, le directeur de la publication du journal, assassiné quatre ans plus tard. « Nous avons critiqué beaucoup plus les intégristes catholiques. En 19 ans, nous avons eu 13 procès avec certains d’entre eux et un seul avec des musulmans. On ne se lève pas chaque matin en se disant : « qu’est-ce qu’on va pouvoir raconter sur l’islam aujourd’hui ? » », poursuivait-il en faisant référence au procès, intenté par plusieurs organisations musulmanes françaises, après la republication en 2006 des caricatures de Kurt Westergaard, parues dans le quotidien conservateur danois Jyllands Posten. Une procédure judiciaire qui a abouti à une relaxe du journal, poursuivi pour « injures publiques envers un groupe de personnes en raison de sa religion ». Mais cet événement a marqué le point de départ des menaces islamistes contre Charlie Hebdo.

L’incendie de l’hebdomadaire avait suscité une condamnation quasi unanime. Seuls une petite vingtaine d’intellectuels, de journalistes et de militants s’étaient signalés en signant une pétition intitulée « Pour la défense de la liberté d’expression, contre le soutien à Charlie Hebdo ». Les signataires, réunis à l’appel du parti décolonialiste les Indigènes de la République, considérait qu’il n’y avait « pas lieu de s’apitoyer sur les journalistes de Charlie Hebdo, que les dégâts matériels seront pris en charge par leur assurance ». Parmi eux se trouvaient notamment des personnalités comme l’essayiste Rokhaya Diallo, la militante Houria Bouteldja, le journaliste Sébastien Fontenelle, ou l’universitaire Sylvie Tissot, justement qualifiés par Jack Dion, l’éditorialiste de Marianne, « d’idiots inutiles de l’islamisme » qui allait frapper la rédaction quatre ans plus tard.

 

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