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dimanche 3 juillet 2022

A Reims, des interpellations pour financement du terrorisme

 

Et à Puy-l’Evêque dans le Lot, toujours rien…

La menace de nouveaux attentats est pourtant très sérieuse comme je l’indiquais dans cet article de lundi dernier :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/06/27/nouvelles-menaces-dattentats-islamistes/

Si les attaques terroristes de Mohammed Merah ont pu surprendre beaucoup de monde en mars 2012 (moi très peu, je craignais ce genre de chose depuis juin 2010 et avais compris tout de suite de quoi il retournait le 11 mars 2012 lors de la sortie de la dépêche AFP concernant le premier assassinat de militaire), aujourd’hui nous en sommes quand même à une dizaine d’années d’actes terroristes qui permettent très largement d’analyser le phénomène et de le comprendre suffisamment pour y mettre un terme.

J’en ai déjà parlé à de multiples reprises.

Je rappelle encore ce qui suit :

A chaque fois que j’arrive à faire entendre une part de vérité dans le conflit tout à fait hallucinant qui m’oppose aux criminels de la bande du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi depuis les années 2008 à 2010, ça se calme.

Et pourquoi donc ?

Tout simplement parce que le malade mental de Puy-l’Evêque n’a plus de quoi pavoiser et poursuivre sa fête islamiste.

 

 

https://www.lunion.fr/id387571/article/2022-07-02/trois-personnes-interpellees-reims-et-soupconnees-davoir-aide-un-djihadiste-ont

Trois personnes, interpellées à Reims, mises en examen pour «financement du terrorisme»

Mis en ligne le 2/07/2022 à 17:57L’union avec AFP

Elles sont soupçonnées d’avoir apporté un soutien logistique et/ou financier à un djihadiste français présent dans la zone syro-irakienne.

 

Le RAID était déjà intervenu dans le quartier de Croix-Rouge, en janvier 2015, à la recherche des frères Kouachi.

Le RAID était déjà intervenu dans le quartier de Croix-Rouge, en janvier 2015, à la recherche des frères Kouachi. – Archives Christian Lantenois

 

Trois personnes ont été mises en examen vendredi pour « financement du terrorisme » et placées sous contrôle judiciaire par un juge d’instruction antiterroriste parisien. Selon une source proche du dossier, ces personnes sont soupçonnées d’avoir apporté un soutien logistique et/ou financier à un djihadiste français présent dans la zone syro-irakienne.

Dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte en mars, ces trois personnes avaient été interpellées mardi matin à Reims avec trois autres par des policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et du Raid.

L’opération avait été menée dans la plus grande discrétion, à Croix-Rouge. Parmi les rares témoins, un homme habitué à se promener dès 6 heures, avait rapporté avoir vu « des flics en planque » dans le secteur de l’allée des Limousins.

Il s’agissait d’une intervention de la DGSI menée avec l’appui du RAID, dans le cadre d’une enquête pilotée depuis Paris. Contacté, le procureur de Reims Matthieu Bourrette n’avait pas confirmé l’information, sans l’infirmer non plus, se contentant d’indiquer que cette enquête n’avait effectivement « rien de local ». Sollicités par L’union, le parquet de Paris et le parquet national antiterroriste n’avaient pas donné suite.

 

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