Deux écoles de cul, c’est décidément beaucoup trop…
Voir ici :
Quant à Elisabeth Borne qui était déjà « épuisée » le 29 juin, on commence à se demander combien de temps elle va pouvoir rester en poste, car elle n’a pas fini d’en voir.
Le 14 juillet approche maintenant à grands pas et le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi va encore tenter d’en faire une grande fête islamiste, comme en 2016 pour sa procédure parisienne à mon encontre (il s’agissait alors de fêter mon assignation devant le TGI de Paris, du 12 juillet 2016).
Et cela ne va pas s’arrêter là, sauf bien sûr si les autorités se décident enfin à mettre ce malade et sa bande de cybercriminels dits « déconnologues » hors d’état de nuire.
Cependant, depuis le temps que ça dure, avec toujours la même complicité active des magistrats ultra corrompus du TJ de Brest, qui dès l’été 2010 savaient très bien ce qui allait se passer s’ils ne réagissaient pas en urgence aux exactions d’alors et en ont été réinformés à plusieurs reprises au cours des années suivantes, on doute très fortement d’une quelconque volonté d’empêcher de nouveaux massacres.
Notons au passage qu’Elisabeth Borne est une femme ingénieur qui n’est jamais sortie du cocon extrêmement protecteur de la fonction publique, n’a donc jamais connu les maltraitances que subissent régulièrement les ingénieurs du privé, particulièrement lorsqu’il s’agit de femmes, et par voie de conséquence n’en a pas non plus la résistance.
Pour l’exemple, je reprends mon cas personnel : les patrons voyous ayant besoin de coincer pour « faute » les ingénieurs qu’ils emploient afin de pouvoir ensuite en obtenir tout ce qu’ils veulent, mes anciens employeurs harceleurs ont à plusieurs reprises tenté de m’y conduire en me confiant des travaux jugés techniquement infaisables, à réaliser de plus sous des délais extrêmement tronqués ou même déjà dépassés lors de mon arrivée sur les projets dont il s’agissait. Or, à chaque fois, j’ai bien trouvé des solutions et réalisé tous les travaux demandés en un temps record. Résultat : en guise de « récompense », à chaque fois j’ai eu droit à de nouvelles violences physiques du fait que l’opération dite de « harcèlement moral » avait échoué. Mais pour les magistrats, toutes ces violences n’ont jamais été suffisantes, une femme ingénieur ne « mérite », comme dira l’un d’entre eux, que d’être torturée à mort et de voir aussi mourir tous les siens de même, tant qu’à faire, car tous les proches d’une femme ingénieur en sont eux-mêmes fautifs ou coupables, surtout ceux qui ont mis au monde un tel monstre.
Remaniement. Damien Abad dénonce des « calomnies ignobles » en quittant le gouvernement
Le ministre des Solidarités, de l’Autonomie et du Handicap, Damien Abad, qui fait l’objet d’une enquête pour tentative de viol, n’a pas été reconduit dans le nouveau gouvernement d’Élisabeth Borne. Lors de la passation de pouvoir, le député a jugé « préférable, face aux calomnies ignobles dont (il est) la cible », de pouvoir se « défendre sans entraver l’action du gouvernement ».
Visé par une enquête pour tentative de viol, Damien Abad ne fait pas partie du nouveau gouvernement d’Élisabeth Borne. Le ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées a été écarté lors du remaniement annoncé ce lundi 4 juillet. Il est remplacé par Jean-Christophe Combe, directeur général de la Croix-Rouge.
Accusé de violences sexuelles par plusieurs femmes, l’ancien patron des députés LR nie les faits. S’il n’est plus ministre, Damien Abad ne quitte pas la vie politique pour autant. Il siégera à l’Assemblée nationale, après sa réélection dans la 5e circonscription de l’Ain aux dernières législatives.
Retrouvez notre direct consacré à l’annonce de la composition du nouveau gouvernement
« Je quitte ce ministère avec beaucoup de regret »
« Je quitte ce ministère avec beaucoup de regret […] on ne m’aura pas laissé le temps », a-t-il déclaré lors de la passation de pouvoir au ministère des Solidarités. « Je vais poursuivre mon action dans ma circonscription et à l’Assemblée nationale », a assuré le député.
À propos des accusations de tentative de viols, l’ancien patron de LR a dénoncé des « calomnies ignobles » et dit vouloir se « défendre sans entraver l’action du gouvernement ».
« La calomnie est devenue une arme politique […] Je me battrai contre ce mouvement qui relègue la présomption d’innocence au rang de vieillerie sans importance », a-t-il dit encore
Chrysoula Zacharopoulou reste au gouvernement
La secrétaire d’État chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats, Chrysoula Zacharopoulou, accusée de viols, est quant à elle reconduite.
La gynécologue de 46 ans, qui dément toutes les accusations, est visée par deux plaintes pour viol et une troisième plainte pour violences sans incapacité de travail par personne chargée d’une mission de service public. Le parquet de Paris a ouvert une enquête.
Remaniement: la secrétaire d’Etat Chrysoula Zacharopoulou, accusée de viol, conservée au gouvernement
Le gouvernement d’Elisabeth Borne
Contrairement à Damien Abad, l’ancienne députée européenne, accusée par plusieurs anciennes patientes de viol dans le cadre de ses activités de gynécologue est maintenue au gouvernement.
par Sacha Nelken
Contrairement à Damien Abad, Chrysoula Zacharopoulou reste au gouvernement. Un peu plus d’un mois après avoir été nommée secrétaire d’Etat auprès de la ministre des Affaires étrangères chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux, la Franco-Grecque a été reconduite dans le second gouvernement d’Elisabeth Borne. Et ce, malgré, des accusations de viols qui auraient été perpétrés durant l’exercice de sa profession de gynécologue dans les années 2010.Le 22 juin dernier, le magazine Marianne révèle qu’une enquête a été ouverte par le parquet de Paris le 27 mai après deux plaintes déposées contre la secrétaire d’Etat pour des viols supposés intervenues dans le cadre de ses fonctions de gynécologue à Paris pour «déterminer si les faits sont susceptibles de tomber sous le coup d’une qualification pénale». Il s’agirait de pénétrations lors d’examens médicaux sans avoir obtenu le consentement des patientes, pourtant consacré par la loi dite Kouchner du 4 mars 2002.
Deux jours plus tard, une troisième femme porte plainte contre l’ex-députée européenne spécialiste de l’endométriose, pour «violences sans incapacité de travail par personne chargée d’une mission de service public». Dans la foulée des plaintes, les témoignages contre la secrétaire d’Etat s’accumulent. Auprès de Libération, deux anciennes patientes font état de rendez-vous «traumatisants». «J’ai hurlé de douleur et pleuré», [après un toucher vaginal fait sans prévenir ndlr], raconte par exemple, Nina. Ce à quoi la médecin aurait répondu : «arrêtez de faire votre chochotte.»
Chrysoula Zacharopoulou accusée de violences gynécologiques: un nouveau témoignage d’une patiente mineure
25 juin 2022abonnés
Mise en cause, Chrysoula Zacharopoulou s’est défendue dans un communiqué le 24 juin dernier. «Les accusations graves à mon encontre, portant sur des examens cliniques médicaux réalisés afin de diagnostiquer et de soigner la maladie de mes patientes, sont inacceptables et révoltantes», écrit-elle. La macroniste qui affirme n’avoir «jamais imposé le moindre examen à aucune de mes patientes sans leur consentement» souligne que les plaintes «ont été déposées dans les jours qui ont suivi [sa] nomination au gouvernement et qui concernent des consultations qui seraient intervenues il y a plusieurs années». Comprendre : il s’agirait d’une cabale à but politique.
A son tour interrogée sur LCI, la Première ministre Elisabeth Borne a assuré que Chrysoula Zacharopoulou lui «a dit qu’elle était très surprise, voire choquée, qu’on puisse questionner sa pratique médicale». «Mais je pense que les plaintes sont déposées, la justice va faire son travail» et sa secrétaire d’Etat «aura l’occasion de s’expliquer», a poursuivi la cheffe du gouvernement qualifiant de «débat important» celui «du consentement quand on fait des examens».
Elisabeth Borne déjà épuisée : ces “conneries” qu’elle ne supporte plus
Nina Siahpoush-Royoux | mer. 29 juin 2022 à 12h53
@ Eliot Blondet / Pool / Bestimage
Selon les informations du Canard Enchaîné, dévoilées ce mercredi 29 juin, Elisabeth Borne perdrait patience. La raison ? La médiatisation de plusieurs graves accusations de viols visant des membres de son gouvernement.
A propos de
Le lundi 16 mai, après plusieurs jours interminables de réflexion, Emmanuel Macron dévoilait enfin le nom de sa Première ministre : Elisabeth Borne. Un choix réalisé sans grande surprise puisque cette diplômée de l’École Polytechnique a été un véritable pilier du gouvernement durant le premier quinquennat du président de la République, qui souhaitait voir une femme devenir son bras droit. Ministre chargée des Transports, puis de la Transition écologique et finalement du Travail, Elisabeth Borne a donc succédé à Jean Castex, pour le meilleur et pour le pire. Et actuellement, surtout pour le pire…
Comme le révèlent nos confrères du Canard Enchaîné, ce mercredi 29 juin, la Première ministre aurait quelque peu déchanté depuis ses prises de fonction à Matignon. Lassée par les polémiques qui éclaboussent les nouveaux arrivants au sein de son gouvernement, en plus de devoir gérer les critiques la concernant, notamment après la claque de la Macronie lors des législatives, Elisabeth Borne aurait lâché, auprès de son entourage : « Je commence à être fatiguée des conneries relayées par la presse. Chaque semaine, je me tape un nouveau truc sexuel sur Damien Abad. » Et les accusations qui pèsent contre le ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées ne semblent pas être les seules à lui donner un coup au moral.
Découvrez l’évolution physique d’Elisabeth Borne
Des affaires qu’elle ne pensait pas avoir à gérer publiquement
D’après les informations de nos confrères, Elisabeth Borne aurait poursuivi, avec agacement : « Et, quand ça commence à se calmer, on me sort une histoire de viol gynécologique de Chrysoula Zacharopoulou [qui a été nommée Secrétaire d’État chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux à la place de Jean-Baptiste Lemoyne, NDLR].« Visiblement pas du tout prête à devoir s’exprimer sur de telles accusations qui font tache au sein de son gouvernement, la Première ministre aurait ajouté, dépitée : « Je n’avais pas signé pour gérer ce genre d’affaires. » De quoi inspirer Le Canard Enchaîné, qui a supposé que la femme politique avait probablement accepté ses nouvelles fonctions « pour tenter de faire avaler, avec le moins de dégâts possible, la réforme des retraites »… sans vraiment réaliser la « variété » de ses missions.
Article écrit avec la collaboration de 6Medias
Crédits photos : Eliot Blondet / Pool / Bestimage
Darmanin, Abad, Zacharopoulou… Ces ministres qui ont des démêlés avec la justice
Viols, harcèlement, prise illégale d’intérêts… Huit ministres du gouvernement d’Elisabeth Borne ont été épinglés ou sont mis en cause par la justice.
· Publié le 23 juin 2022 à 16h12
Durant la campagne présidentielle de 2017, Emmanuel Macron promettait une « République exemplaire » en cas d’élection. Cinq ans plus tard, en plus des candidats investis par la majorité aux législatives malgré leurs problèmes judiciaires, le gouvernement d’Elisabeth Borne ne compte pas moins de huit ministres et secrétaires d’Etat (sur 27, soit près de 30 % du gouvernement) épinglés, mis en cause ou poursuivis par la justice. Dernières en date : la secrétaire d’Etat à la Francophonie Chrysoula Zacharopoulou, visée par une enquête après deux plaintes pour viol, et la ministre des Affaires étrangères Catherine Colonna, nommée malgré plusieurs signalements pour son management.
Cela reflète la position d’Emmanuel Macron qui, quelques semaines après son élection en mai 2017, avait appelé à « en finir avec le viol permanent de la présomption d’innocence ». Pour le chef de l’Etat : pas de condamnation, donc pas coupable. En 2017, François Bayrou et Marielle de Sarnez, alors ministre de la Justice et ministre des Affaires européennes, avaient pourtant dû démissionner un mois après leurs nominations, car visés par une enquête préliminaire pour des soupçons d’emplois fictifs. « L’Obs » fait le point sur l’activité judiciaire de l’actuel gouvernement.
- Chrysoula Zacharopoulou, secrétaire d’Etat à la Francophonie, visée par une enquête pour viol
Nommée en mai secrétaire d’Etat chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux, Chrysoula Zacharopoulou est visée par une enquête après le dépôt de deux plaintes pour viol. Selon les informations de « Marianne », les faits reprochés auraient été commis dans le cadre de sa profession de gynécologue.
La première plainte dénonçant des faits de viol a été déposée le 25 mai et l’enquête ouverte deux jours plus tard, a précisé le parquet. Concernant la deuxième plainte, les faits imputés se seraient déroulés « dans un cadre médical » en 2016 et concerneraient une femme majeure. L’enquête a été confiée à la Brigade de Répression de la Délinquance contre la Personne (BRDP).
- Catherine Colonna, ministre des Affaires étrangères, visée par plusieurs signalements pour harcèlement
La nomination de Catherine Colonna au Quai d’Orsay a été actée malgré plusieurs signalements pour harcèlement, selon les informations de Mediapart. Alors ambassadrice de France au Royaume-Uni, Catherine Colonna a été visée par plusieurs signalements adressés à la cellule « tolérance zéro » du Quai d’Orsay au début de l’année 2022. Des témoignages qui devaient donner lieu à une inspection générale, suspendue après sa nomination au gouvernement.
Selon le média d’investigation, un signalement avait même déjà été effectué à la suite d’une inspection menée à l’ambassade d’Italie à Rome à l’époque où Catherine Colonna y était, entre 2014 et 2017. Les témoignages décrivent des faits s’apparentant à du harcèlement moral. « Il est connu que Mme Colonna a des pratiques consistant à briser les gens », rapporte un diplomate à « Libération ». D’après lui, « Emmanuel Macron a nommé ministre la diplomate la plus détestée du réseau diplomatique ».
- Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, accusé de viol
Plusieurs ministres sont accusés de violences sexuelles, à l’instar du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, visé par une accusation de viol et de trafic d’influence qui émanent de deux femmes différentes.
Il est accusé d’avoir promis un « service » à une femme en échange de faveurs sexuelles en 2009. Deux plaintes simples déposées en juin 2017 et janvier 2018 avaient été classées sans suite. Une troisième plainte déposée en mars 2018 par la même plaignante avec constitution de partie civile avait été classée sans suite dans un premier temps, puis relancée par la cour d’appel de Paris en juin 2020. Le parquet de Paris a requis un non-lieu début 2022.
Une autre femme avait porté plainte en février 2018, disant s’être « sentie obligée » d’avoir des relations sexuelles avec le ministre, alors maire de Tourcoing, pour obtenir logement et emploi. L’enquête préliminaire pour « abus de faiblesse » avait été classée sans suite en mai de la même année.
- Damien Abad, ministre des Solidarités, accusé de viol
Au lendemain de sa nomination au gouvernement, le ministre des Solidarités Damien Abad a été accusé de viol par deux femmes. Selon les informations de Mediapart, les faits présumés remontent à 2010 et 2011 : la première femme, âgée de 41 ans, a adressé une lettre à l’Observatoire des Violences sexistes et sexuelles en Politique le 13 mai, dans laquelle elle « souhaite témoigner des faits de viol concernant Damien Abad », alors pressenti pour entrer au gouvernement. La seconde femme a pour sa part porté plainte pour « viol » en 2017, classée sans suite.
Le site d’investigation avait publié le 14 juin de nouvelles accusations de la part d’une « élue centriste » qui dit avoir subi une tentative de viol en 2010. Le parquet de Paris avait finalement indiqué le 25 mai qu’il n’ouvrait pas d’enquête préliminaire « en l’état », estimant ne pas disposer « d’élément permettant d’identifier la victime des faits dénoncés ».
- Eric Dupond-Moretti, ministre de la Justice, soupçonné de « prise illégale d’intérêts »
Elle est connue comme étant « l’affaire Dupond-Moretti » et remonte à janvier 2021 quand la commission d’instruction de la Cour de justice de la République (CJR) ouvre une information judiciaire pour « prise illégale d’intérêts » dans deux dossiers. Le garde des Sceaux, mis en examen en juillet 2021, est soupçonné d’avoir profité de sa fonction gouvernementale pour régler des comptes avec trois magistrats du Parquet national financier (PNF) qui avaient fait éplucher ses relevés téléphoniques détaillés (fadettes) quand il était encore avocat.
Le ministre est également accusé d’avoir diligenté des poursuites administratives contre un ancien juge d’instruction qui avait mis en examen un de ses ex-clients. Le 10 mai, le ministère public de la CJR a jugé qu’il existait des « charges suffisantes » contre le ministre pour le renvoyer en procès devant la Cour. La commission d’instruction de la CJR a ensuite rejeté la demande d’annulation de la mise en examen formulée par les avocats du ministre.
- Sébastien Lecornu, ministre des Armées, visé par une enquête pour « prise illégale d’intérêts »
Promu dans le nouveau gouvernement, l’ex-ministre des Outre-mer est visé depuis mars 2019 par une enquête pour « prise illégale d’intérêts » et « omission de déclaration à la HATVP », la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie publique. Dans sa déclaration, Sébastien Lecornue mentionnait avoir touché 7 874 euros brut de « jetons de présence » en tant qu’administrateur de la Société des Autoroutes Paris Normandie (SAPN) entre 2016 et 2017. Le problème : il présidait alors le département de l’Eure et a approuvé plusieurs délibérations en lien avec la SAPN, dont l’une d’elles concernerait un projet pour lequel le département de l’Eure a déboursé un million d’euros, selon « le Canard Enchaîné ». Il a été entendu en avril par la police anticorruption lors d’une audition libre et l’enquête suit son cours.
- Olivier Dussopt, ministre du Travail, visé par une enquête pour « prise illégale d’intérêts » et « corruption »
Autre promu du gouvernement Borne, Olivier Dussopt est visé par une enquête préliminaire du Parquet national financier pour « prise illégale d’intérêts » et « corruption », selon les informations de Mediapart en juin 2020. Alors qu’il était député et maire d’Annonay (Ardèche) en janvier 2017, il avait accepté deux lithographies en cadeau par la société de traitement de l’eau Saur. Six mois après la réception des œuvres, l’ex-ministre de l’Action et des Comptes publics avait signé un contrat entre l’entreprise et sa commune. Après une perquisition au domicile du ministre par l’Office central de Lutte contre la Corruption et les Infractions financières et fiscales en août 2020, l’enquête est toujours en cours.
- Justine Benin, secrétaire d’Etat chargée de la Mer, accusée de clientélisme
Défaite lors des législatives, Justine Benin devrait quitter prochainement le gouvernement. Pour autant, elle est accusée par Mediapart d’avoir, en tant que députée, utilisé l’argent du MoDem pour arroser les associations de sa commune du Moule en Guadeloupe, alors qu’elle était candidate à la mairie.
Dans les comptes du parti centriste des années 2019 et 2020, le média d’investigation a repéré pas moins de 37 000 euros qui ont été versés à 14 organisations locales. L’argent ayant été versé en pleine période électorale, certaines dépenses auraient dû apparaître sur le compte de campagne du MoDem. Pour Mediapart, « la visée électorale est transparente ». Traduction : il s’agit de « clientélisme ».
Par Richard Godin
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