Dans cet article d’hier, je rappelais qu’au printemps 2011 Frédéric Mitterrand était venu à Brest où il n’avait pas mis les pieds depuis au moins trente ans :
http://petitcoucou.unblog.fr/2022/07/07/la-fille-dans-le-cercueil-ou-le-sadisme-du-scorpion/
Pour son arrivée le 9 juin 2011, annoncée seulement la veille, toutes mes plaintes contre le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi avaient bien été classées sans suite, la dernière le 23 mai 2011, sans aucune enquête préalable, et l’avis de classement venait tout juste de m’être envoyé par courrier postal.
Il ne restait plus que la plainte ayant conduit à une audition de Jean-Marc Donnadieu à Béziers le 12 juillet 2011.
Dès le mois de juin 2010, après le début des « révélations » publiques me concernant par le cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi sur ses deux blogs « Ici-Blog » et « Tique Toc », j’avais consulté un avocat pour lui demander de saisir la justice en urgence, mais il partait en vacances sitôt après et ne fera jamais rien durant l’été 2010 alors que les règlements de comptes sanglants avaient certainement déjà commencé. Je ferai donc également le tour des pénalistes brestois les plus connus, mais comme elle l’écrivait publiquement sur les blogs Luraghi, la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, qui continuait à me faire écouter illégalement par ses amis techniciens de chez France Télécom, comme elle l’avait toujours fait depuis des lustres, « contrôlait » toutes mes démarches pour les faire échouer, soit par ses interventions directes auprès des avocats que je consultais, soit par l’intermédiaire de ses complices magistrats ultra corrompus du TGI de Brest, notamment le juge Raymond André.
Lorsqu’ils me recevaient, ces avocats dont je ne connaissais aucun auparavant, soit m’écoutaient un peu, me posaient quelques questions, puis ne donnaient pas suite sans même prendre la peine de m’informer de quoi que ce soit (mépris total pour la « sale pute » de femme ingénieur… dans la ville dite de « l’aristocratie ouvrière », nous sommes vraiment très mal perçues, surtout moi qui ai toujours refusé de plier à n’importe quoi), soit me disaient carrément qu’ils ne prenaient pas le dossier du fait que toutes les inventions calomnieuses que publiait le dénommé Pascal Edouard Cyprien Luraghi concernant mon passé ou ma vie privée n’étaient selon eux que la vérité (cas de Ronan Appéré, qui par ailleurs ne voyait aucun problème dans les viols de l’intimité de la vie privée et toutes les insultes incroyablement ordurières dont j’étais aussi victime, et se fera par la suite remarquer pour son féminisme exacerbé, n’est-ce pas, puisqu’il a lui-même été poursuivi et condamné en 2019 pour avoir copieusement insulté puis violenté une femme), alors que tout était bien archi faux, hautement calomnieux, de surcroît destiné à provoquer de très nombreux crimes, et même, à terme, la révolution communiste devant instaurer en France un régime de type soviétique. L’un de ces avocats m’avait même demandé de laisser le génial « écrivain » Pascal Edouard Cyprien Luraghi rédiger et publier tranquillement ma « biographie ». Je le dérangeais en le contredisant systématiquement sur tous les chapitres de sa version de cette « biographie », ce n’était pas bien, il fallait arrêter et surtout pas aller de plus déposer plainte. Je m’apercevrai par la suite que cet avocat était associé à un pédophile s’étant jadis fait prendre en flagrant délit en Thaïlande, où résidait l’un des chefs de la bande Luraghi, le dénommé Georges Cortez originaire de l’Hérault, hôtelier, qui sous le pseudonyme de « Homere » faisait régulièrement l’apologie du terrorisme et de la pédophile, tout comme le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, et se revendiquait de plus bras armé du NPA en Thaïlande (il a aussi revendiqué publiquement les attentats islamistes de janvier 2015 à Paris).
Je n’obtiendrai ainsi jamais rien avant début novembre 2010. Un premier avocat aurait alors déposé une première plainte en mon nom. Problème : celle-ci n’a jamais été enregistrée par le Parquet de Brest et je n’en ai jamais vu aucune trace nulle part.
Cela permettra à la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest de se présenter comme la première plaignante dans cette affaire, le 26 novembre 2010. Elle prétendait alors avoir été avertie au cours de l’été 2010 par un membre de sa famille qu’elle était diffamée sur un blog dénommé « Un petit coucou » dont j’étais l’auteur anonyme, précisait qu’elle avait déjà eu connaissance de ce blog mais ne s’en était pas vraiment inquiétée, et qu’après avoir été informée au cours de l’été 2010 qu’elle y était diffamée, elle était allée le consulter et avait vu qu’elle y était nommée et accusée de nombreux méfaits. En réalité, elle participait très activement aux campagnes de calomnies publiques de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre depuis juin 2010, en apparaissant même comme l’unique source de « renseignements » ou inventions calomnieuses concernant mon passé et ma vie privée, venait aussi, tout comme lui et plusieurs autres membres de sa bande de cybercriminels, me harceler directement sur ce blog, et pour finir, déposait donc plainte à raison des droits de réponse que j’avais commencé à publier pour rétablir quelque peu la vérité sur moi-même. La criminelle n’admettait pas d’être contredite quand elle me présentait mensongèrement, pour faire court, comme une prostituée débile mentale et folle à lier. Elle continuait à mentir éhontément et ne voyait pas non plus de problème à révéler au public mon identité (obtenue grâce à des piratages informatiques dès mon inscription sur le site Rue89 au mois de décembre 2007), ainsi que toutes mes coordonnées et celles de mes proches, avec de récurrents appels au meurtre à notre encontre.
Convoquée par la police pour m’expliquer sur sa dénonciation le 7 décembre 2010, je déposerai plainte en réplique à cette date, ce qui provoquera dès le lendemain une nouvelle salve d’attaques et menaces publiques délirantes à mon encontre de la part du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, furieux de ce dépôt de plainte du 7 décembre 2010 dont il avait déjà connaissance. D’où, de ma part, une nouvelle plainte sur laquelle il sera entendu le 14 mars 2011.
Cette dernière plainte ayant été classée sans suite le 6 avril 2011 avec un motif totalement incompréhensible, j’en avais déposé une autre le 19 avril 2011 avec de nouveaux éléments ainsi que les témoignages d’autres victimes, mais désormais toutes mes plaintes étaient jetées sans la moindre considération dans un carton poubelle à mon nom marqué « plaignante d’habitude » – décision du substitut François Dresen, une petite merde issue de la fac de droit de Brest et qui savait donc depuis très longtemps, tout comme les autres magistrats brestois, que j’étais la « sale pute » de femme ingénieur qui dans les années 1990 avait toujours refusé de commettre des crimes et délits contre la Nation pour le compte de trafiquants d’armes extrêmement bien perçus dans la magistrature, surtout à Brest.
Le pédophile, trafiquant de drogue, cybercriminel et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi communiquait directement avec lui et annonçait publiquement sur son blog les classements sans suite de mes plaintes à peine ceux-ci signés et parfois même avant que le magistrat ne les eût formalisés.
Il l’avait fait pour le classement sans suite du 6 avril 2011 en annonçant fièrement à tous ses camarades « déconnologues » que tout avait marché comme sur des roulettes et que désormais ils étaient tranquilles et pouvaient continuer à violer quotidiennement l’intimité de ma vie privée, me calomnier et me harceler autant qu’ils le voulaient sans plus aucun souci.
Son plan, alors qu’en début d’année 2011 il savait que ma plainte de décembre 2010 le visant personnellement était traitée, puisqu’il était en ligne directe avec le magistrat qui en était chargé, avait consisté à publier toute une série de nouveaux articles calomnieux m’étant consacrés et dans lesquels il affectait de « réagir » pour la toute première fois à mes propos publics le concernant et qui n’étaient en fait que des réponses à toutes ses publications calomnieuses, ordurières et extrêmement violentes à mon encontre depuis juin 2010. Il faisait comme si tous ces précédents n’avaient jamais existé.
Le gendarme qui l’avait interrogé le 14 mars 2011 avait bien vu toute cette série d’articles de blog de janvier et février 2011, mais s’était arrêté là. Il n’a jamais consulté aucune des pages de commentaires de son blog, où se trouvait pourtant l’essentiel de ses publications me concernant, celles du quotidien depuis le début. Il devait également consulter le blog Tique Toc, mais n’en a jamais rien fait, se contentant des déclarations du délinquant qui lui affirmait que tout y était correct. Ayant néanmoins constaté l’existence des nouveaux articles de janvier et février 2011, alors qu’il avait entre les mains une plainte de décembre 2010 portant sur de précédents textes, il s’était contenté de demander au délinquant s’il en était bien l’auteur et ne l’a jamais interrogé sur les contenus dont il s’agissait. Le délinquant n’étant nullement tenu de justifier le moindre de ses propos publics me concernant, il ne le fera jamais, se contentant seulement de reconnaître qu’ils n’étaient « pas très sympathiques » à mon égard, et tout le monde fera toujours comme s’il n’avait toujours dit que la vérité sur tout, aussi bien dans ses écrits publics que dans ses déclarations du 14 mars 2011, sans jamais s’interroger sur la provenance de toutes ses allégations très particulières concernant ma vie privée et celles de mes proches, alors qu’il n’était pas censé me connaître, et mes proches, qui eux n’avaient jamais participé à aucun débat public, encore moins que moi.
Et pour ma plainte du 19 avril 2011, comme au préalable j’en avais discuté par courriers électroniques avec les autres victimes qui acceptaient de me fournir leurs témoignages, qu’elles m’avaient aussi communiqués par mails, tandis que le cybercriminel continuait à me pirater avec ses complices, il était parfaitement au courant de ce nouveau dépôt et supprimera tous ses articles de janvier et février 2011 dès le lendemain après avoir vérifié auprès du commissariat de police de Brest que je l’avais bien effectué – c’est en fait une de ses complices qui s’en était chargée, et avait même appelé plusieurs fois le commissariat en se faisant passer pour moi, si bien qu’ensuite une policière avait appelé à mon domicile pour demander si j’allais bien, car ces appels répétés dont j’aurais été l’auteur à propos de ma propre plainte lui paraissaient assez délirants…
A partir de ce printemps 2011, donc, non seulement je deviens une « plaignante d’habitude », mais de plus ma santé mentale est dite « sujette à caution » du fait de ces appels téléphoniques répétés au Commissariat central de police de Brest concernant ma plainte du 19 avril 2011 et dont en réalité je n’ai jamais été l’auteur.
C’en est fini de mes plaintes, avec cette nouvelle faute grave du magistrat : s’il croit vraiment que je suis malade mentale ou en train de craquer, les faits dont je suis victime en sont aggravés et il est encore plus urgent d’y mettre un terme.
Précisons pour ceux qui n’auraient jamais déposé aucune plainte dans un commissariat de police que c’est quand même assez difficile quand on est victime d’une multitude de faits de la part d’un grand nombre de personnes agissant toutes en bande organisée. Les dépositions sont courtes, une page ou deux, il n’est pas possible de tout déclarer ni tout expliquer, et d’ailleurs les policiers restreignent généralement la plainte à un seul fait et un seul mis en cause, deux tout au plus. Ils ne prennent pas non plus tous les justificatifs que l’on voudrait fournir, juste quelques-uns, et parfois même aucun, comme ce fut le cas lors de mon audition pour la confirmation de ma plainte de décembre 2010 contre le dénommé Pascal Edouard Luraghi car, selon la policière, c’était inutile, le gendarme de Puy-l’Evêque allait de toute façon consulter tous les blogs que je citais à la recherche des écrits me concernant, ce qu’il n’a jamais fait.
En outre, le propre des faits de harcèlement est précisément leur répétition ou leur renouvellement perpétuel. Il y en a sans arrêt. Dans certains cas, c’est tous les jours qu’on pourrait déposer de nouvelles plaintes, et ce n’est sûrement pas une seule et première plainte qui peut suffire pour tout arrêter.
C’est donc dans ce cadre-là, bien connu de tous dès le début, que je me retrouve très rapidement catégorisée « plaignante d’habitude » par le magistrat François Dresen, dont en fait il est certain qu’il ne servait que les intérêts de mes harceleurs en relation directe avec eux.
Aussi, à compter du 20 mai 2011, le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, déjà assuré de cette issue de ma dernière plainte contre lui, s’était mis à hacker comme un fou sous le pseudonyme de SaMo_Dz (il est en effet le pirate des préfectures de cette année-là et avait choisi pour sévir contre l’Etat la date du 24 juillet car c’était l’anniversaire des dix ans de son ancien « Site à Cyp », tout comme en 2016 il avait bien prévu de faire commettre par ses esclaves islamistes l’attentat du 26 juillet à cette même date, soit pour la messe du dimanche 24 juillet 2016, et cette année encore il risque de frapper à cette même date).
Puis, le 25 mai 2011, il avait publié un article de blog par lequel il indiquait à son public avoir décidé de fermer définitivement son atelier de dépannage informatique pour ne plus se consacrer qu’à l’écriture de son « bouquin » me concernant et précisait dans les commentaires sur cet article qu’il avait reçu à cet effet une somme d’argent assez conséquente pour le dispenser de travailler jusqu’à la fin de ses jours.
En voici une copie :
Dans la foulée sera annoncée le 8 juin 2011 une visite surprise de Frédéric Mitterrand à Brest le lendemain.
J’en avais été tellement choquée que j’avais alors publié l’article ci-dessous sur mon ancien blog « Un petit coucou » chez OverBlog (cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire le texte) :
En effet, le dénommé Georges Cortez me menaçait depuis déjà longtemps des foudres de Frédéric Mitterrand qu’il disait très bien connaître.
De plus, à cette époque, ce dernier était Ministre de la Culture et les conservateurs du patrimoine étaient à l’évidence acquis à leur collègue Alain Pougetoux, « meilleur ami » de Cyprien Luraghi selon ce dernier, en tous les cas assez pour lui avoir acheté et offert la maison dont il est propriétaire à Puy-l’Evêque depuis 2003.
Ressortons donc la fiche Wikipédia de Frédéric Mitterrand (voir ci-dessous).
Il s’agit encore d’un pur produit de l’école de cul de Paris dont la critique n’est devenue possible que depuis janvier 2021.
Si en 2011, je n’avais pas dit grand-chose, maintenant je ne me gêne donc plus autant pour dire ce qui se passe et souligne encore que le protecteur de mes harceleurs n’est lui non plus vraiment pas du genre à se gêner :
Cavalier législatif au profil de LVMH
Alors que la construction de l’immeuble de la Fondation Louis-Vuitton est mise en difficulté, notamment en raison du fait que le bois de Boulogne n’est pas constructible62, Frédéric Mitterrand est soupçonné d’avoir fait usage d’un cavalier législatif pour faire valider par la loi sa construction63.
En janvier 2011 déjà, des riverains avaient aussi exprimé leur mécontentement face à ce projet, faisant annuler le permis du musée LVMH dont les travaux étaient en cours64. Afin que la construction de l’oeuvre soit réalisée malgré les interdictions, et dans le cadre de la deuxième lecture d’une proposition de loi sur le livre numérique, Frédéric Mitterrand propose un amendement sans réel rapport avec le livre numérique en faveur de la construction du musée de la fondation, faisant valoir un objectif culturel évident. Le député Nicolas Alfonsi (RDSE) accuse alors directement le Ministre de la Culture de faire pression dans une affaire judiciaire en cours avec un amendement sans rapport avec l’objet du texte65.
Une curiosité à ce tableau : l’intérêt dont il fit montre pour la prochaine inhumation dans l’enceinte du château de Brest de « l’inconnu de Vanikoro », lequel pourrait être l’Abbé Jean-André Mongez, dont je suis parente, et qui à l’égal de tous les autres membres de l’expédition La Pérouse est honoré par cette sépulture.
On rend hommage aux scientifiques du XVIIIème siècle et on assassine ceux d’aujourd’hui pour le bon plaisir d’un pédophile.
https://www.ouest-france.fr/bretagne/linconnu-de-vanikoro-inhume-au-chateau-de-brest-468057
« L’inconnu de Vanikoro » inhumé au château de Brest
Ouest-France Modifié le 09/06/2011 à 17h12 Publié le 09/06/2011 à 00h00
Il était parti de Brest, il y revient. Deux siècles après le départ de l’expédition La Pérouse, « l’inconnu de Vanikoro » sera inhumé dans l’enceinte du château de Brest à la fin du mois. Une cérémonie doit avoir lieu le 29 juin prochain pour saluer ce retour symbolique. C’est ce que l’on a appris aujourd’hui à l’occasion d’une visite à Brest du ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand.
Le squelette a été retrouvé en 2003 à proximité de l’épave de la Boussole, l’un des deux navires de l’expédition commandée par Jean-François de La Pérouse et partie de Brest le 1er août 1785. Celle-ci a fait naufrage sur l’île de Vanikoro, dans le Pacifique, en 1788.
L’analyse des ossements a confirmé qu’il s’agit d’un Européen d’1,68 m, âgé d’une trentaine d’années. L’identité de cet homme n’a pas pu être déterminée avec certitude. Mais plusieurs indices portent à penser qu’il ne s’agissait pas d’un simple marin (les boucles de chaussures retrouvées à proximité, une corpulence plutôt gracile, etc.) mais plutôt d’un officier ou d’un savant de l’expédition.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fr%C3%A9d%C3%A9ric_Mitterrand
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Frédéric Mitterrand
Pour les autres membres de la famille, voir Famille Mitterrand.
Frédéric Mitterrand
Frédéric Mitterrand en 2010.Fonctions Ministre de la Culture et de la Communication 23 juin 2009 – 10 mai 2012
(2 ans, 10 mois et 17 jours)Président Nicolas Sarkozy Premier ministre François Fillon Gouvernement Fillon II et III Prédécesseur Christine Albanel Successeur Aurélie Filippetti Biographie Nom de naissance Frédéric Bernard Mitterrand Date de naissance 21 août 1947 (74 ans) Lieu de naissance Paris 16e (France) Nationalité Français
Tunisien1Parti politique PRG puis SE Père Robert Mitterrand Mère Édith Cahier Entourage François Mitterrand (oncle) Diplômé de Université Paris X Nanterre
IEP ParisProfession Animateur de télévision
Enseignant
Journaliste
Écrivain
Scénariste
Producteur de télévision
Réalisateurmodifier Frédéric Mitterrand, né le 21 août 1947 dans le 16e arrondissement de Paris, est une personnalité du milieu culturel et un homme politique français.
Il est tour à tour exploitant de cinéma, animateur et producteur de télévision, chroniqueur et écrivain, réalisateur de documentaires et de films, directeur de l’Académie de France à Rome entre 2008 et 2009, puis ministre de la Culture et de la Communication du 23 juin 2009 au 16 mai 20122,1. Il est élu à l’Académie des beaux-arts en 2019.
Il est le neveu de François Mitterrand, qui fut président de la République française de 1981 à 1995.
Biographie
Enfance et études
Frédéric Bernard Mitterrand est le fils de Robert Mitterrand (1915-2002), ingénieur polytechnicien et haut fonctionnaire, et d’Édith Cahier (1920-2014), nièce par alliance du cofondateur de La Cagoule, Eugène Deloncle. Il est, par son père, le neveu de François Mitterrand (1916-1996), président de la République française de 1981 à 1995, et de Jacques Mitterrand (1918-2009), général français3.
À douze ans, il apparaît pour la première fois à l’écran, sous le nom de Frédéric Robert, dans le film d’Alex Joffé Fortunat, aux côtés de Michèle Morgan et de Bourvil4.
Après avoir suivi des études au lycée Janson-de-Sailly, Frédéric Mitterrand sort licencié d’histoire et de géographie de la faculté de Nanterre puis est diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris en 19684, dans la section service public5. Il se présente au concours de l’ENA et est admissible, mais ne se présente pas à l’oral6.
Les cinémas Olympic
À sa sortie de Sciences-Po Paris, il enseigne l’économie, l’histoire et la géographie à l’École active bilingue Jeannine-Manuel de Paris5.
En 1971, il quitte l’enseignement pour diriger la salle de cinéma l’Olympic dans le 14e arrondissement, rue Boyer-Barret, qu’il rachète. Il restaure la salle et programme à l’Olympic Palace classiques du cinéma et films indépendants. Il crée rapidement un réseau d’une dizaine de salles Art et Essai, ouvrant l’Olympic-Entrepôt en 19757, reprenant le Bilboquet en 1979 sous l’enseigne Olympic Saint-Germain8 et Les 3 Luxembourg de Charles Rochman en 1983, rebaptisé Olympic-Luxembourg9, et travaillant entre 1980 et 1984 avec Jean-Jacques Schpoliansky au Balzac10.
En mars 1981, fêtant les dix ans de l’Olympic au Palace, il apparaît grimé en Lana Turner sur un trapèze11.
La qualité de ses programmations, alliant les classiques des studios américains et les films égyptiens, les films de Pasolini et de Duras, en fait une figure majeure de l’exploitation parisienne. Il diffuse parmi les premiers les films d’Ingmar Bergman, Kurosawa et Ozu. Mais, mauvais gestionnaire, il accumule les dettes pour quinze ans, et doit abandonner ses salles en 19865,12,13.
Il collabore en 1977 comme critique cinématographique au quotidien J’informe3, lancé par l’ancien ministre centriste Joseph Fontanet comme un concurrent de droite du Monde, mais qui ne paraît que trois mois. Il n’en soutient pas moins son oncle, François Mitterrand, aux législatives de 197814,
Homme de télévision
En 1981, inspiré par la fin d’une histoire amoureuse avec un collaborateur, il réalise son premier long-métrage, Lettres d’amour en Somalie, et publie sous le même titre l’année suivante son adaptation en roman12.
La même année, il propose une émission de cinéma à TF1, Étoiles et toiles, qu’il anime et produit jusqu’en 1986, et Ciné-Fêtes en 1984. Il poursuit ensuite avec Acteur Studio de 1986 à 1987, Permission de minuit de 1987 à 1988, Destins de 1987 à 19885.
Remercié par la première chaîne privatisée, il passe sur Antenne 2 en 1988, où il présente Du côté de chez Fred jusqu’en 1991, Étoile Palace en 1990, C’est votre vie en 1993, Les Amants du siècle en 1993 ou encore Caravane de nuit en 1994. Son « bonsoir » et sa voix nasale et nonchalante deviennent célèbres. Recevant un 7 d’or du meilleur animateur pour Du côté de chez Fred qui vient d’être arrêtée par la direction, il pose le trophée à terre en déclarant : « C’est là où se trouve le service public », puis s’en excuse le lendemain5.
Frédéric Mitterrand se passionne également pour les grands personnages historiques et notamment les têtes couronnées : il est ainsi souvent demandé pour commenter des cérémonies royales.
Il poursuit sa collaboration avec France Télévisions avec Ciné-Club (1996), Légendes du siècle (1996-1997), Les Aigles foudroyés (1997), Cercle des arts (1997-1998), Norodom Sihanouk, Roi cinéaste (1997), Mémoires d’exil (1999), Raissa, souvenirs d’un grand amour (2000), Je suis la Folle de Brejnev (2001), et présente une émission d’entretiens sur Match TV, Plaisir de France, de 2001 à 2004…
Il réalise de nombreuses séries documentaires sur les grands destins du XXe siècle ainsi que des films pour le cinéma.
Il endosse aussi des fonctions institutionnelles comme commissaire général de la saison tunisienne en France en 1995 (mission à la suite de laquelle il reçoit la citoyenneté tunisienne1), de l’année du Maroc en 1999 et de la saison tchèque en 2002. Après avoir présidé la commission Fonds Sud du CNC entre 1998 et 2000, il est nommé en 2000, par la ministre de la Culture Catherine Tasca, à la tête de la commission d’avance sur recettes du cinéma français.
En juin 1998, il reçoit les insignes de chevalier de la Légion d’honneur des mains de son père, Robert Mitterrand, dans la chapelle des Petits-Augustins de l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris11.
D’août 2003 à juillet 200515, il est directeur général délégué chargé des programmes et de l’antenne de TV5.
De 2005 à 2007, il anime Ça s’est passé comme ça sur la chaîne communautaire homosexuelle Pink TV.
En 2012, à la création de D8, il doit animer une émission culturelle sur la chaîne16 mais le projet est finalement abandonné.
En 2018, Frédéric Mitterrand présente une émission en dix épisodes : « Ecrivains au péril de la guerre » (10X13’) réalisée par Thomas Briat en collaboration avec Antoine de Meaux.
Directeur de la Villa Médicis
Le 4 juin 2008, après l’avis positif d’une commission de dix personnalités créée pour l’occasion (la commission Gall)17, qui avait retenu trois candidats, le président de la République Nicolas Sarkozy choisit Frédéric Mitterrand à la direction de l’Académie de France à Rome, plus connue sous le nom de « Villa Médicis »18. Il est nommé par un décret du 5 juillet suivant et prend ses fonctions le 1er septembre19.
Pendant cette période, il négocie avec Laurent Solly du groupe TF1 la coproduction d’une émission mensuelle sur la Villa Médicis20 pour la chaîne Odyssée21. Mais il fait rapidement part de l’ennui qu’il ressent à cette fonction, qu’il laisse le temps d’un soir, pour présenter la Nuit des Molières en juin 200911.
Membre du jury du prix Médicis depuis 2007, il s’est mis en disponibilité en septembre 2009. Selon son président, l’écrivain Michel Braudeau, il en redeviendra membre de droit dès la cessation de ses fonctions ministérielles22.
Entre 2008 et sa nomination comme ministre de la Culture et de la Communication, il tient une chronique dans le mensuel Têtu23.
Ministre de la Culture et de la Communication
Bureau de Frédéric Mitterrand au ministère de la Culture, lors des journées du patrimoine 2009.Fasciné par le général de Gaulle dès son enfance, mais contraint à une « nécessaire solidarité familiale » vis-à-vis de son oncle, François Mitterrand, il est longtemps politiquement inclassable : séduit par la personnalité de Bernard Tapie, il adhère au Mouvement des radicaux de gauche (MRG) en juin 199321, soutient Jacques Chirac à la présidence de la République en 1995 et ne prend pas position lors de l’élection présidentielle de 200724.
Le 23 juin 2009, Frédéric Mitterrand est nommé ministre de la Culture et de la Communication dans le gouvernement Fillon II remanié25. Il succède alors à Christine Albanel, affaiblie par la censure partielle de la loi Hadopi contre le piratage sur Internet. Interviewé par France 2, il confirme sa nomination avant qu’elle ne soit annoncée officiellement par le secrétaire général de l’Élysée, Claude Guéant. Selon Patrick Buisson, il doit sa nomination à l’intervention de Carla Bruni-Sarkozy auprès de son époux26.
Un des premiers dossiers qu’il doit gérer est le vote de la loi « Hadopi 2 ».
Avec Gilles Jacob au festival de Cannes 2010.Le 9 octobre 2009, il décide la restitution de cinq fragments de peinture murale issus d’un tombeau de prince égyptien de la XVIIIe dynastie égyptienne, achetés par le Louvre mais dont la légalité de la sortie du territoire égyptien était en doute. Il soutient également la proposition de loi en faveur de la restitution des têtes maories.
Il signe le décret no 2009-1393 du 11 novembre 2009 relatif aux missions et à l’organisation de l’administration centrale du ministère de la Culture et de la Communication qui réorganise son administration en un secrétariat général et trois directions générales, refonte portée par son prédécesseur, Christine Albanel27.
Avec Mélanie Thierry à la 37e cérémonie des César, en 2012.Le 14 novembre 2010, il est reconduit au poste de ministre de la Culture et de la Communication dans le gouvernement François Fillon III28.
Son refus, comme celui d’autres membres du gouvernement29, de condamner le régime du président tunisien Ben Ali qui réprime le mouvement populaire de contestation tunisienne en janvier 2011, est critiqué par le Parti socialiste et Les Verts. Pour lui, « il y a une opposition politique mais qui ne s’exprime pas comme elle pourrait le faire en Europe. Mais dire que la Tunisie est une dictature univoque, comme on le fait si souvent, me semble tout à fait exagéré. »30. Frédéric Mitterrand s’est expliqué en déclarant : « la meilleure manière de protéger ceux auxquels j’étais attaché — et ça représentait tout le peuple tunisien et notamment les opposants — était de ne pas braquer un régime dont je connaissais parfaitement l’autorité »31. Il rappelle qu’il a toujours soutenu les artistes tunisiens32 – en tant que commissaire général de la saison tunisienne ou en tant que ministre – et qu’il a décoré en décembre 2009 notamment le metteur en scène protestataire Fadhel Jaïbi33. Frédéric Mitterrand a plus tard présenté ses « regrets » au peuple tunisien dans une lettre qui a été publiée à la fin du mois de janvier 2011 dans un hebdomadaire tunisien34. Leïla Ben Ali, la femme de l’ancien président Ben Ali, déclare dans une interview publiée le 1er juillet 2012 par Le Parisien : « Le seul à nous avoir soutenus jusqu’au bout, c’est Frédéric Mitterrand »35.
En janvier 2011, Frédéric Mitterrand a retiré Céline du recueil des célébrations nationales après des protestations, notamment celles du président de l’association des Fils et filles de déportés juifs de France (FFDJF), Serge Klarsfeld36. L’année du Mexique en France est également annulée sur fond d’affaire Florence Cassez37.
En février 2011, le Ministère de la Culture lance dans le cadre du forum d’Avignon, le concept de « culture pour chacun » devant concurrencer celui de « culture pour tous ». Le même mois, face à l’opposition du personnel des Archives nationales à l’ouverture de la Maison de l’Histoire de France dans l’Hôtel de Soubise, il démet la directrice, Isabelle Neuschwander37.
Alors que le renouvellement du mandat d’Olivier Py, directeur du Odéon-théâtre de l’Europe, était attendu, la décision de Frédéric Mitterrand de nommer, le 8 avril 2011 Luc Bondy à sa place, est contestée38. Le metteur en scène est ensuite nommé à la tête du Festival d’Avignon37.
Il a accepté, à l’occasion de la première Fête de la gastronomie française, de participer sur M6 à l’émission de télé-réalité Un dîner presque parfait du 23 septembre 201139.
Il reçoit en 2011 le rapport de Jérôme Bouët sur le partenariat entre l’État et les collectivités dans le domaine culturel, celui de Selles et Riester aboutissant au lancement du Centre national de la Musique, et mandate Hervé-Adrien Metzger, Jean-Louis Martinelli, Bernard Murat et Serge Dorny pour une mission d’étude sur le financement du spectacle vivant, pour lequel Frédéric Mitterrand annonce un plan d’actions de 3,5 M€ en 2012, le 8 juillet 2011 à Avignon. Il propose également 15 mesures en faveur des arts plastiques en octobre 2011 et un plan de développement des scènes de musiques actuelles, lance les Cafés cultures, fait voter la loi sur le prix unique du livre numérique, et défend la réforme de la redevance d’archéologie préventive. Durant l’année 2011, le Conseil de la création artistique et le Conseil national des musiques actuelles (CSMA) sont dissous, tandis que l’Institut français est mis en place pour remplacer Culturesfrance dans un contexte difficile pour le réseau culturel français à l’étranger37.
En 2016, il déclare apporter son soutien à François Hollande pour la prochaine élection présidentielle de 201740.
Carrière à la radio
Il présente une émission littéraire de 1997 à 2006 sur Europe 1, et anime Ça me dit l’après-midi sur France Culture de 2006 à 2008.
À partir du 26 août 2013, il anime Jour de Fred sur France Inter du lundi au jeudi de 18 h 20 à 19 h41. En avril 2014, il annonce l’arrêt de l’émission, qui a perdu 200 000 auditeurs en un an ; Frédéric Mitterrand voit dans ce choix une « animosité indigne de sa fonction »42 de la part de la ministre de la Culture Aurélie Filippetti, ce à quoi celle-ci répond : « Je ne suis jamais intervenue ni sur le choix des personnes ni sur le contenu des programmes [...] Je suis la ministre qui a fait voter la loi la plus progressiste en faveur de cette totale indépendance »42.
Christian Bourgois éditeur
En avril 2019, Frédéric Mitterrand a remplacé provisoirement Dominique Bourgois dans ses fonctions d’éditrice éditoriale de la maison Christian Bourgois éditeur ; la holding de la famille Mitterrand, présidée par Olivier Mitterrand (le frère de Frédéric) est entrée dans le capital de Christian Bourgois éditeur en janvier 2019, avant d’en prendre le contrôle43.
Autres
Académie française
En 2016, il présente sa candidature à l’Académie française, avant de la retirer deux semaines après en faveur d’Andreï Makine44. Il renouvelle sa candidature en 201845 : il obtient 11 suffrages, la majorité mais insuffisamment pour être élu46.
Académie des beaux-arts
Le 5 février 2020, Frédéric Mitterrand est officiellement installé à l’Académie des beaux-arts par son confrère Adrien Goetz, membre de la section des membres libres47.
Frédéric Mitterrand a été élu membre de l’Académie le 24 avril 2019 dans la section des créations artistiques dans le cinéma et l’audiovisuel au fauteuil précédemment occupé par Jeanne Moreau décédée le 31 juillet 201748.
Cinéma
En 2016, il est le président du festival du cinéma américain de Deauville49.
Vie privée
Article détaillé : Famille Mitterrand.Frédéric Mitterrand est ouvertement homosexuel50. Il a trois enfants : un fils naturel (né en 1981) et deux fils adoptés en Tunisie (nés en 1989 et 1991, tous deux à Hammamet).
Polémiques
Affaire d’abus sexuel sur mineur par Roman Polanski
Article détaillé : Affaire d’abus sexuel sur mineur par Roman Polanski.En septembre 2009, Frédéric Mitterrand apporte son soutien au réalisateur Roman Polanski qui, poursuivi aux États-Unis depuis 1977 pour une affaire de crime sexuel commis sur une fille de treize ans51 et délit de fuite, est arrêté en Suisse sur mandat d’arrêt américain52. Déclarant, à propos de cette affaire de viol, qu’il s’agissait d’« une histoire ancienne qui n’a pas vraiment de sens », il provoque la colère d’associations de victimes53 et des réactions négatives de la part de quelques hommes politiques ainsi que l’incompréhension de la presse étrangère, notamment anglo-saxonne54.
La Mauvaise Vie
Article détaillé : La Mauvaise Vie.Le 5 octobre 2009, il est accusé par Marine Le Pen sur le plateau de Mots croisés, d’avoir pratiqué le tourisme sexuel et trouvé du plaisir à « payer des petits garçons thaïlandais », évoquant son récit La Mauvaise Vie paru en 200555 : « J’ai pris le pli de payer pour des garçons […] Évidemment, j’ai lu ce qu’on a pu écrire sur le commerce des garçons d’ici. […] Je sais ce qu’il y a de vrai. La misère ambiante, le maquereautage généralisé, les montagnes de dollars que ça rapporte quand les gosses n’en retirent que des miettes, la drogue qui fait des ravages, les maladies, les détails sordides de tout ce trafic. Mais cela ne m’empêche pas d’y retourner. Tous ces rituels de foire aux éphèbes, de marché aux esclaves m’excitent énormément […] On ne pourrait juger qu’un tel spectacle abominable d’un point de vue moral, mais il me plaît au-delà du raisonnable […] La profusion de garçons très attrayants et immédiatement disponibles me met dans un état de désir que je n’ai plus besoin de réfréner ou d’occulter. L’argent et le sexe, je suis au cœur de mon système, celui qui fonctionne enfin car je sais qu’on ne me refusera pas » Frédéric Mitterrand – La Mauvaise Vie 200556. La polémique médiatique et politique prend rapidement de l’ampleur, le député socialiste Patrick Bloche présentant son récit comme des écrits « insupportables »57 et l’accusant de ramener « les homos 10 ans en arrière »58. Frédéric Mitterrand doit réfuter le 8 octobre, au journal télévisé de TF1, avoir eu des relations sexuelles avec des mineurs et condamne avec fermeté tout tourisme sexuel et acte pédophile59.
À la suite de ces deux polémiques, il se fait médiatiquement plus discret jusqu’à la fin de l’année 200960.
Frédéric Martel
Le 9 septembre 2016, Frédéric Mitterrand est condamné pour injure à 5 000 euros de dommages-intérêts en raison des propos qu’il a tenus à l’encontre de l’écrivain et journaliste Frédéric Martel dans son livre La Récréation (TGI de Paris, XVIIe chambre)61.
Cavalier législatif au profil de LVMH
Alors que la construction de l’immeuble de la Fondation Louis-Vuitton est mise en difficulté, notamment en raison du fait que le bois de Boulogne n’est pas constructible62, Frédéric Mitterrand est soupçonné d’avoir fait usage d’un cavalier législatif pour faire valider par la loi sa construction63.
En janvier 2011 déjà, des riverains avaient aussi exprimé leur mécontentement face à ce projet, faisant annuler le permis du musée LVMH dont les travaux étaient en cours64. Afin que la construction de l’oeuvre soit réalisée malgré les interdictions, et dans le cadre de la deuxième lecture d’une proposition de loi sur le livre numérique, Frédéric Mitterrand propose un amendement sans réel rapport avec le livre numérique en faveur de la construction du musée de la fondation, faisant valoir un objectif culturel évident. Le député Nicolas Alfonsi (RDSE) accuse alors directement le Ministre de la Culture de faire pression dans une affaire judiciaire en cours avec un amendement sans rapport avec l’objet du texte65.
Œuvres
Filmographie
Réalisateur
- 1981 : Lettres d’amour en Somalie (scénariste, réalisateur, narrateur).
- 1984 : Paris vu par… 20 ans après, sketch Rue du Bac (scénariste, réalisateur).
- 1987 : Rapho, histoire d’une famille66, documentaire coréalisé avec Patrick Jeudy.
- 1995 : Madame Butterfly, adaptation de l’opéra de Giacomo Puccini.
- 2015 : Sans rancune, sans retenue : Conversation avec le Président Valéry Giscard d’Estaing (scénariste, réalisateur narrateur) produit par SK Medias.
- 2016 : La rose de Tirana (scénariste, réalisateur narrateur) produit par SK Medias en co-production avec Arte France.
- 2017 : Christian Dior, la France (auteur, réalisateur, narrateur).
- 2017 : Le pays de l’innocence, enfance et adolescence de François Mitterrand (scénariste, réalisateur narrateur) produit par SK Medias & LCP-An.
- 2018 : Tlemcen 1937 (scénariste, réalisateur narrateur) produit par SK Medias.
- 2018 : Hollywood, la vie rêvée de Lana Turner (scénariste, réalisateur narrateur) produit par SK Medias.
- 2018 :Trump, le parrain de Manhattan (scénariste, réalisateur narrateur) – entretiens : Gilles Biassette -produit par SK Medias et Morgane Production.
Producteur
- 1987 : Avril brisé de Liria Bégéja
- 2007 : Le Vivarium de Jacques Richard (producteur associé)
Acteur
- 1960 : Fortunat d’Alex Joffé
- 1974 : Dites-le avec des fleurs de Pierre Grimblat
- 1975 : Le Triangle écorché de Pierre Kalfon
- 1979 : La Mémoire courte d’Eduardo de Gregorio
- 1979 : Roberte de Pierre Zucca
- 1981 : Merry-Go-Round de Jacques Rivette
- 1987 : Dorothée Show
Voix off et narration
- 1989 : Linda Lu Baker, album concept avec Dick Rivers (narrateur)
- 1997 : Mon copain Rachid, court métrage de Philippe Barassat (narrateur)
- 2001 : Le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain de Jean-Pierre Jeunet (acteur, jouant son propre rôle)
- 2001 : Bécassine et le Trésor viking de Philippe Vidal (voix, présentateur)
- 2003 : Les Clefs de bagnole de Laurent Baffie (voix)
- 2015 : Silex and the City, série de Jul. Il interprète le rôle d’un rabbin préhistorique et le rôle du roi Louis-Silex.
Théâtre
- 2018 : « Bonsoir » seul en scène produit par Quartier Libre Production au Studio Marigny.Pour la première fois, Frédéric Mitterrand raconte et se raconte à travers la lecture de morceaux choisis de ses livres Le Festival de Cannes (2007), Une Adolescence (2015) et Mes regrets sont des remords (2016).
Documentaires
Il réalise trois séries sur la chute des monarchies au début du XXe siècle :
- Les Aigles foudroyés, sept épisodes pour un total d’environ neuf heures, diffusé sur la chaîne France 2 en janvier 199767 ;
- Mémoires d’exil68, une série documentaire de six fois 70 minutes, coproduction France 2 (1999) ;
- Farah: The Last Empress69, documentaire de 2009, 75 min70.
Il réalise aussi deux séries sur des personnages historiques du XXe siècle et sur la vie sentimentale des artistes monogames : Étoiles, et Les Amants du siècle. Ces documentaires diffusés par Antenne 2-France 2 ont eu la particularité de se servir de films d’époque pour montrer des moments de la vie privée des familles royales et impériales d’Europe : Nicolas II de Russie se baignant dans une rivière avec son fils, un mariage princier en Autriche, etc. Mitterrand a rédigé deux livres à partir de ces deux séries documentaires.
En 1997, il écrit Norodom Sihanouk, Roi cinéaste71, un film documentaire de 64 minutes réalisé par Jean-Baptiste Martin – France 2 ;
En 1998, il réalise Fairouz72, un reportage-documentaire de 52 min, diffusion Arte.
En 2001, il réalise Je suis la Folle de Brejnev73, un film documentaire de 74 minutes, coproduction France 3, présenté aux festivals : Films gays et lesbiens de Bruxelles (2003), Films gays et lesbiens de Paris (2003), et au Gay Kitsch de Lille (2003).
En 2006, il réalise la série Un printemps 1956, en deux volets : L’Indépendance du Maroc et L’Indépendance de la Tunisie.
En 2008, pour la collection Empreintes de France 5, il réalise Jean d’Ormesson, la vie ne suffit pas.
En 2017, il écrit et réalise « Christian Dior, La France » (2X90’) diffusé sur France 3 et TV5 Monde.
Il est également l’auteur et le réalisateur du film documentaire « La rose de Tirana » (52’) en co-production avec ARTE France et « Le pays de l’innocence, enfance et adolescence de François Mitterrand » (59’) en co-production avec la chaîne Parlementaire (LCP).
En 2018, il écrit et réalise « Tlemcen 1937 » (52’) en co-production avec la chaîne Histoire.
De plus il écrit et réalise « Hollywood, la vie rêvée de Lana Turner » (90’) un documentaire sur Lana Turner en co-production avec ARTE France.
Avec le journaliste Gilles Biassette, il écrit et réalise Trump, le parrain de Manhattan, diffusé le 8 octobre 2018 sur France 374.
Ouvrages
- Tous désirs confondus, Actes Sud, 1988, réédition 2009
- Destins d’étoiles – tomes 1, 2, 3, 4 – Fixot, 1991-1992
- Monte Carlo : la légende, Assouline, 1993
- Une saison tunisienne, sous la direction de Frédéric Mitterrand et Soraya Elyes-Ferchichi, Actes Sud, 1995
- L’Ange bleu : un film de Joseph von Sternberg, Plume, 1995
- Madame Butterfly, Plume, 1995
- Les Aigles foudroyés : la fin des Romanov des Habsbourg et des Hohenzollern, Pocket, 1998
- Mémoires d’exil, Robert Laffont, 1999 (ISBN 978-2-221-09023-7)
- Un jour dans le siècle, Robert Laffont, 2000
- La Mauvaise Vie, Robert Laffont, 2005 (ISBN 2-7441-8704-6)
- Lettres d’amour en Somalie, Pocket, septembre 2006
- Maroc, 1900-1960 : un certain regard, avec Abdellah Taïa, Actes Sud, 2007
- Le Festival de Cannes, Robert Laffont, 2007
- Le Désir et la chance, Robert Laffont, 2012 (ISBN 978-2-2211-2951-7)
- La Récréation, Robert Laffont, 2013 (ISBN 978-2-221-13307-1)75
- Une adolescence, Robert Laffont, 2015 (ISBN 978-2-221-11224-3)
- Mes regrets sont des remords, Robert Laffont, 2016 (ISBN 978-2-221-19235-1)
- Philippe Pasqua, préface de Frédéric Mitterrand, Philippe Pasqua, autoportrait : Entretiens avec Cyr Mald, Éditions Séguier, 2014 (ISBN 978-2-8404-9669-4)
- Le pays de l’innocence, Robert Laffont, 2017
- Le duel, Napoléon III et Victor Hugo, XO éditions, 2019
Distinctions et récompenses
Décorations
- Chevalier de la Légion d’honneur
- Officier de l’ordre national du Mérite
- Commandeur de l’ordre des Arts et des Lettres (ex officio comme ministre de la Culture76)
- Grand-croix de l’ordre national de la Croix du Sud du Brésil
- Commandeur de l’ordre de la Couronne (Roumanie)
- Médaille de l’ordre de l’Amitié (Russie)
- Officier de l’ordre du Mérite Culturel de la Principauté de Monaco
- Grand officier de l’ordre du 7-Novembre (Tunisie)
- Officier de l’ordre national du Mérite (Tunisie).
Prix77
- 1982 : Prix Jean-Louis Bory pour Lettres d’amour en Somalie
- 1987 : Prix œcuménique du festival de Nyons
- 1989 : 7 d’or du meilleur animateur de débats
- 1990 : 7 d’or de la meilleure émission de divertissement pour Carte blanche à Frédéric Mitterrand
- 1990 : Trophée La Lucarne de l’Association des journalistes de la presse hebdomadaire de télévision
- 1997 : Prix Maison de la Presse (catégorie document) pour Les Aigles foudroyés
- 2000 : Prix Oscar-Wilde pour Un jour dans le siècle
- 2003 : Prix Roland-Dorgelès
- 2005 : Prix Le Vaudeville pour La Mauvaise Vie
- 2017 : Prix Jean-Jacques-Rousseau, de l’autobiographie, pour Mes Regrets sont des remords
Notes et références
- Thierry Guerrier, « Frédéric Mitterrand est « franco-tunisien » » [archive], sur europe1.fr, 18 janvier 2011
- Ministère de la Culture: F. Mitterrand part à scooter avec une dédicace de Filippetti citant Fuentes [archive] – Le Point, 17 mai 2012
- Un dandy solitaire et brillant [archive] – Gérard Lefort, Libération, 24 juin 2009.
- Frédéric Mitterrand succède à Christine Albanel [archive] – Ministère de la Culture et de la Communication, 24 juin 2009.
- Un parcours de touche-à-tout [archive] – Caroline Andrieu, Thierry Dague, Rosalie Lucas et Charles de Saint-Sauveur, Le Parisien, 25 juin 2009.
- Martine Bourrillon, « Frédéric Mitterrand : « Mon nom me procure plus d’inconvénients que d’avantages » », in Télé 7 jours, no 1200 (28 mai au 3 juin 1983) : « Il se présente à l’ENA. Il est admissible. Et soudain la crise. Sentimentale. Qui le fait renoncer à présenter l’oral. Il ne sera pas fonctionnaire. Il ne peut pas. Ce n’est pas sa voie. »
- « Les salles du quatorzième Arrondissement » [archive], sur silverscreens.com (consulté le 19 janvier 2011)
- « SECAE : Société d’Exploitation de Cinémas d’Art & d’Essai » [archive], sur secae.eu (consulté le 19 janvier 2011)
- « 3 Luxembourg (Paris 6ème) » [archive], sur sallesdecinemas.blogspot.com, 26 février 2009 (consulté le 19 janvier 2011)
- Jean-Jacques Schpoliansky, « Le cinéma comme lieu de vie culturelle » [archive], sur ecole.org, mai 2002 [PDF]
- La vraie nature de Frédéric M. [archive] – François Bazin, Le Nouvel Observateur, semaine du 2 juillet 2009
- Frédéric Mitterrand nommé ministre de la Culture [archive] – Emmanuelle Anizon, Télérama (article du 27 mars 2004), 24 juin 2009
- Neveu de Tonton cherche papa [archive] – Luc Le Vaillant, Libération, 30 novembre 1995
- Bio-express [archive] – Le Parisien, 25 juin 2009
- Article sur mediabb.com [archive]
- Frédéric Mitterrand décroche l’animation d’un magazine sur D8 [archive], PureMédias, 20 septembre 2012.
- Villa Médicis : la commission proposera, Albanel choisira [archive] – Le Point, 31 mars 2008
- Frédéric Mitterrand nommé à la tête de la Villa Médicis [archive] – Le Nouvel Observateur, 24 juin 2008
- Décret du 5 juillet 2008 portant nomination du directeur de l’Académie de France à Rome – M. Mitterrand (Frédéric) [archive] publié au Journal officiel du 8 juillet 2008.
- Objections imaginaires de « l’Obs » [archive] – Daniel Schneidermann, Libération, 6 juillet 2009
- Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture [archive] – Libération, 23 juin 2009
- Le Monde daté 9 septembre 2009
- Frédéric Mitterrand devient ministre de la Culture [archive] – Sylvain Zimmermann, Têtu, 23 juin 2009
- « Frédéric Mitterrand, portrait d’un ministre de la Culture effacé depuis près d’un an » [archive], politique.net, 23 août 2010
- Frédéric Mitterrand sur sa nomination à la Culture : “une tâche exaltante” [archive] – Le Nouvel Observateur, 23 juin 2009
- Patrick Buisson, La Cause du peuple, Perrin, 2016, p.189 et suiv.
- Décret no 2009-1393 du 11 novembre 2009 relatif aux missions et à l’organisation de l’administration centrale du ministère de la culture et de la communication [archive] – Journal officiel de la République française no 0265 du 15 novembre 2009
- La composition du nouveau gouvernement Fillon [archive],Arnaud Leparmentier, L’Élysée côté jardin – Blog LeMonde.fr, 13 novembre 2010
- (en) France Seen Wary of Interfering in Tunisia Crisis [archive] – Steven Erlanger, The New York Times, 16 janvier 2011
- Tunisie: PS et Verts condamnent la répression, le gouvernement français embarrassé [archive] — Libération, 11 janvier 2011
- Frédéric Mitterrand justifie sa double nationalité tunisienne [archive] – Paris Match, 20 janvier 2011
- Frédéric Mitterrand assure qu’il n’a pas fait de « compromis » avec Ben Ali [archive] – Le Point, 20 janvier 2011
- « Frédéric Mitterrand distingue des personnalités tunisiennes » [archive], sur ambassadefrance-tn.org, 29 décembre 2009
- « Frédéric Mitterrand exprime ses « regrets » aux Tunisiens [archive] – Le Monde, 23 janvier 2011
- « Tunisie. Leïla Ben Ali : « Je n’ai jamais voulu faire de mal à qui que ce soit » [archive] – Le Parisien, 1er juillet 2012
- Frédéric Mitterrand retire Céline des célébrations nationales [archive] – Libération, 21 janvier 2011
- François Deschamps, « Politiques culturelles : à retenir de 2011 » [archive], Lettre d’information du réseau culture – Territorial, no 331, 9 janvier 2012.
- Débarqué de l’Odéon, Olivier Py se dit « abasourdi » [archive] – Le Monde, 10 avril 2011
- « Frédéric Mitterrand, candidat d’“Un Dîner presque parfait” sur M6 [archive] », AFP, 30 août 2011
- « Frédéric Mitterrand : « Maintenant je soutiens François Hollande » » [archive], bfmtv.com, 28 octobre 2016.
- Frédéric Mitterrand se recycle sur France Inter [archive] – Le Figaro, 23 août 2013
- Mitterrand quitte France Inter et s’en prend à Filippetti [archive] – Le Parisien, 25 avril 2014
- « L’arrivée de Frédéric Mitterrand secoue Christian Bourgois éditeur » [archive], lemonde.fr, 15 avril 2019.
- « Académie française : Frédéric Mitterrand retire sa candidature » [archive], sur europe1.fr, 4 février 2016.
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- Mohammed Aïssaoui, « Académie française : Frédéric Mitterrand ne remporte pas la majorité des voix », Le Figaro, 22 juin 2018 (lire en ligne [archive], consulté le 12 août 2020).
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- (en) In Polanski Case, ’70s Culture Collides With Today [archive] – The New York Times, 10 octobre 2009.
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- « Polanski : lettre ouverte à Kouchner et Mitterrand » [archive] – Le Nouvel Observateur, 3 octobre 2009.
- (en) « World Agenda: France’s ire over Roman Polanski triggers old Gallic reflexes » [archive] – The Times, 29 septembre 2009.
- « Frédéric Mitterrand rattrapé par sa “mauvaise vie” » [archive] – Arrêt sur images, 6 octobre 2009. [vidéo]
- « « La Mauvaise Vie » de Frédéric Mitterrand : les passages qui dérangent », Le Monde.fr, 8 octobre 2009 (lire en ligne [archive], consulté le 26 janvier 2021)
- La polémique enfle autour du livre de Mitterrand [archive], lefigaro.fr, 8 octobre 2009
- Les pénibles leçons de l’affaire Mitterrand [archive], Jean-Marie Colombani, slate.fr, 11 octobre 2009
- Frédéric Mitterrand au 20h de TF1 : « Je condamne la pédophilie, à laquelle je n’ai jamais participé » [archive] – 20 minutes, 8 octobre 2009.
- « Mais où est passé Mitterrand ? » [archive] – Eric Mandonnet et Ludovic Vigogne, L’Express, 27 janvier 2010.
- « Frédéric Mitterrand condamné pour injure à l’encontre de Frédéric Martel » [archive] (consulté le 15 septembre 2016).
- « LES DÉPUTÉS AU SECOURS DU « NUAGE » DE LA FONDATION LVMH » [archive], sur BFM TV, 16 février 2011
- « L’Assemblée nationale vote la loi sur le prix du livre numérique » [archive], sur Livres Hebdo, 15 février 2011
- « La justice se penche sur le permis contesté du musée LVMH, en pleins travaux » [archive], sur Challenges, 1er juin 2012
- « Le Sénat ratifie une disposition en faveur d’un musée de la Fondation LVMH » [archive], sur Fashion Network (consulté le 30 mars 2011)
- Rapho, inventaire d’une maison familiale, in Le Monde, 25 juin 1987 [archive]
- France 2, dimanche, 22 h 45. Les Aigles foudroyés, film en sept parties sur la chute des grands empires. Fred Mitterrand, altesse du docu princier [archive] – Anne Boulay, Libération, 18 janvier 1997.
- Présentation de Mémoires d’Exil [archive] – Casadei.
- Présentation (extrait) de Farah: The Last Empress [archive] – YouTube, 1 min 58 s [vidéo].
- (fr+en) Documentary: FARAH by Frédéric Mitterrand (2009) [archive] – Darius Kadivar, The Iranian, 4 août 2009.
- Présentation de Norodom Sihanouk, Roi Cinéaste [archive] – Casadei.
- Fairouz : Un film de Frédéric Mitterrand [archive] – Film-documentaire.fr.
- Présentation de Je suis la Folle de Brejnev [archive] – Casadei.
- « Trump, le parrain de Manhattan : « C’est un prolétaire milliardaire qui n’essaie pas de se racheter une morale » » [archive], France Info, 8 octobre 2018.
- Pour Frédéric Mitterrand, François Fillon est « beau » et Laurent Wauquiez un « allumeur » [archive], Le Figaro, 24 octobre 2013.
- « Décret n° 57-549 du 2 mai 1957 portant institution de l’ordre des Arts et de lettres. » [archive], sur legifrance.gouv.fr, 24 septembre 2012
- « Le parcours de créateur de Frédéric Mitterrand [archive] », NouvelObs.com, 9 octobre 2009
Bibliographie
- Meurtre à l’Olympic (roman-photo) / texte de Gérard Guégan ; photographie de Maya Sachweh ; avec Frédéric Mitterrand (Georges Ridder), Arielle Dombasle (Marlène Rivaud), Pascal Greggory (Serge Zola), Pascale Richard (Muriel Sony), Raphaël Sorin (Joseph Huysmans), Anne Guégan (Paula Maup) et Alain Massiot (inspecteur de police). In Playboy France, mai 1983, no 114 (vol. 11, no 5), p. 61-67.
Voir aussi
Sur les autres projets Wikimedia :
- Frédéric Mitterrand, sur Wikimedia Commons
Articles connexes
Liens externes
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