Halte à la censure et la désinformation satanistes !
compteur
samedi 25 juillet 2020
Christophe Girard enfin dégagé de la Mairie de Paris...
Ouais ! Bravo les filles ! Enfin une victoire !
Il en reste encore plein à dégager d’un peu partout, de ces
pro-pédophiles qui protègent des réseaux criminels comme ceux du
cybercriminel, trafiquant de drogue, mythomane et pédophile notoire
Pascal Edouard Cyprien Luraghi, notamment au TGI de Brest où l’actuelle
doyenne des juges d’instruction, Céline Verdier, se signale depuis 2012
comme l’une de leurs complices les plus efficaces, étant données ses
fonctions – il y a d’ailleurs bien longtemps qu’elle aurait dû être
révoquée de la fonction publique.
Anne Hidalgo durant son discours à l’issue du second tour des élections municipales, le 28 juin (illustration).
POLITIQUE – Rien ne va plus dans la majorité
d’Anne Hidalgo. Ce vendredi 24 juillet en fin de journée, la maire de
Paris a publié un communiqué sévère dans lequel elle annonce qu’elle va
saisir la justice pour “les graves injures publiques” prononcées contre
la mairie lors d’un rassemblement organisé la veille devant l’Hôtel de
Ville.
Ce rassemblement, organisé par des associations féministes, et auquel
ont pris part deux élues EELV de la majorité, Alice Coffin et Raphaëlle
Rémy-Leleu, réclamait la démission de l’adjoint à la Culture de la
maire de Paris, Christophe Girard. Celui-ci était accusé par ses
détracteurs d’avoir été complaisant envers l’écrivain Gabriel Matzneff,
lequel est poursuivi pour “viol sur mineurs”. Sur le parvis de l’Hôtel
de Ville, on pouvait donc lire sur des pancartes “mairie de Paris:
bienvenue à Pédoland”.
BERTRAND GUAY via Getty Images
Rassemblement devant l’Hôtel de Ville jeudi 23 juillet.
Jeudi soir, ce pilier de la majorité, qui a été entendu comme témoin dans le cadre de l’enquête visant l’écrivain, a finalement démissionné
face à la pression, ce qui a provoqué l’”écœurement” d’Anne Hidalgo. Ce
vendredi matin, plusieurs proches de la maire de Paris sont montés au
créneau pour dénoncer “les excès” auxquels ont pris part deux membres de
la majorité.
Anne Hidalgo et son adjoint Emmanuel Grégoire ont par ailleurs
demandé des “excuses” à Alice Coffin et Raphaëlle Rémy-Leleu. En vain.
Dans la journée, les choses se sont envenimées. Durant la séance du
Conseil de Paris, le préfet de police Didier Lallement a rendu hommage à
Christophe Girard pour sa “leçon de dignité”, provoquant une standing
ovation dans l’assemblée.
Ce qui a provoqué l’ire d’Alice Coffin, qui a littéralement crié sa “honte”
dans l’hémicycle, offrant ainsi une scène surréaliste. Du côté des
socialistes, la colère ne retombait pas, alors que c’est l’embarras qui
semblait régner chez les élus écolos, David Belliard en tête.
“Silence gêné”
“Ce qu’il faudrait, c’est que les Verts sortent de leur silence gêné.
Ce qui est en jeu c’est notre liberté. Si à chaque fois qu’on ne cède
pas à des injonctions on est traîné dans la boue, il va y avoir un
sérieux problème démocratique. Nous souhaitons que les Verts se
désolidarisent de ces méthodes et excluent ces deux élues de leur
groupe, afin qu’ils ne se laissent pas déborder par l’extrémisme”,
explique au HuffPost Rémi Féraud, président du groupe
socialiste au Conseil de Paris, convaincu que ce courant est “très
minoritaire” au sein du groupe écolo.
Dans un communiqué, le groupe socialiste répète son soutien à
Christophe Girard et dénonce “la violence et la haine” qui ont conduit
l’ex-adjoint à la Culture à quitter son poste. Les élus PS demandent
également au groupe écolo de “prendre une position claire et de
condamner” les “pratiques indignes” d’Alice Coffin et Raphaëlle
Rémy-Leleu.
Même tonalité chez les communistes. Dans un communiqué, les
conseillers PC condamnent des “agissements qui mettent en cause l’État
de droit”. Rappelant qu’“aucune charge n’a été retenue contre Christophe
Girard à ce jour”, le groupe communiste dit soutenir Anne Hidalgo “dans
le rappel des règles élémentaires de dignité”.
Du côté des écolos, qui avec leurs 23 sièges sont des alliés
essentiels pour Anne Hidalgo, on tente de ménager la chèvre et le chou.
Tout en condamnant les pancartes qui comportaient des messages
“inappropriés” et qui ne “reflètent pas le contenu de l’appel au
rassemblement”, les écologistes ne se prononcent pas sur le communiqué
de la maire de Paris ni sur le cas des deux élues que l’édile désigne
comme étant désormais “en dehors de la majorité”.
En outre, le chef de file des écolos parisiens, David Belliard, ne se
presse pas non plus pour apporter un soutien franc et massif à Alice
Coffin et Raphaëlle Rémy-Leleu, à l’inverse de l’ex-patron des Verts, David Cormand.
Pendant ce temps, la droite parisienne se délecte du spectacle. “Il y a
déjà des règlements de compte alors que la mandature commence à peine.
Leur majorité est en lambeau avant même d’avoir commencé”, observe
auprès de l’AFP Marie Claire Carrère-Gee, élue LR du XIVe
arrondissement.
Et le feuilleton ne semble pas prêt de se terminer. Dans son
communiqué, Anne Hidalgo prévient: “Je déférerai devant les tribunaux
les graves injures publiques qui ont été dirigées contre la mairie de
Paris. Je ne laisserai rien passer”.
À voir également sur Le HuffPost: L’hommage à Christophe Girard chahuté au Conseil de Paris
https://www.midilibre.fr/2020/08/03/beziers-le-corps-dune-femme-decapitee-retrouve-en-bordure-de-la-voie-ferree-9005705.php
RépondreSupprimerElle vous enmbêtait ?
Supprimer