Elle contacte un journaleux de chez Ouest-France ou est
contactée par lui, les complices d’Hélène Sergent de 20.minutes.fr
assurant à coups de fake news la promotion de toutes les allégations
mensongères des comploteurs de la bande du trafiquant de drogue,
pédophile et cybercriminel notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ainsi
que leur défense contre leurs victimes, dont moi, et il en ressort
l’article suivant que m’avait indiqué le soi-disant « sceptique »
Jean-Marc Donnadieu sitôt après sa publication, avec un beau titre
mensonger (aucun de ces charlatans n’a jamais été de la classe des
scientifiques, ils les haïssent précisément parce qu’ils en sont, et
passent leur temps à en harceler à mort) :
https://www.ouest-france.fr/sciences/sur-internet-la-science-riposte-face-aux-charlatans-et-aux-fake-news-6882711
Voir ci-dessous quelles sont très précisément les relations qui existent entre Ouest-France et 20minutes.fr : c’est la même boîte.
Cet article signé Nicolas Blandin de Ouest-France est quand même intéressant et je vous invite à le lire attentivement, en faisant preuve de tout l’esprit critique qui sied au vrai sceptique, bien entendu.
Premier point : ils se défendent de former une secte et d’être organisés, mais avouent tous se connaître plus ou moins, et donc, se reconnaître. Autrement dit : vous en êtes ou vous n’en êtes pas.
Si vous en êtes, vous êtes cru sur parole quoi que vous racontiez (cas des menteurs et affabulateurs Jean-Marc Donnadieu et autres « déconnologues » et « ufosceptiques »), et si vous n’en êtes pas, en cas de conflit avec l’un d’eux, c’est forcément vous qui mentez et avez tous les torts… Ils font tous bloc derrière celui des leurs qui se prétend « attaqué » par une ou plusieurs de ses victimes (cas du soi-disant « débunker » Jean-Marc Donnadieu de Béziers depuis le printemps 2010) et savent pourtant fort bien qu’un certain nombre d’entre eux ne font que du harcèlement, puisqu’ils l’évoquent eux-mêmes en parlant de « dérives » dans les comportements de « militants » prétendument « sceptiques » :
Je rappelle qu’en ce qui me concerne, j’ai affaire à des psychopathes, des pervers narcissiques qui n’ont jamais rien construit, jamais rien produit de leur vie et qui, en recherche de notoriété quoique totalement vides, n’ont donc pu trouver autre chose que leurs attaques démentielles contre divers auteurs de richesses d’ordre intellectuel pour tenter de se faire connaître ou reconnaître du public.
Ces délinquants et cybercriminels notoires mentent et affabulent sans cesse et n’hésitent même pas à produire des faux à l’attention des autorités judiciaires. Ce sont des charlatans, des escrocs.
https://fr.wikipedia.org/wiki/20_Minutes_(France)
20 Minutes est un quotidien d’information générale, lancé à Paris le 15 mars 2002 par le groupe norvégien Schibsted qui éditait déjà 20 Minutes dans cinq grandes villes européennes2. Ce quotidien gratuit se présente comme « un nouveau média, complémentaire de la presse classique » et dit s’adresser à « une nouvelle génération de lecteurs, habitué à une info synthétique, celle de la télé et de la radio » et qui ne lit pas la presse payante2. « 20 Minutes n’est pas un journal partisan dans le sens où la rédaction n’entre pas dans les polémiques. Notre promesse est celle de la clarté. Pour autant, ce n’est pas un titre neutre », expliquait Elisabeth Cialdella, alors directrice marketing du titre en 20053. Auditionné par le Sénat en 2007, le président de 20 Minutes France à l’époque, Pierre-Jean Bozo définit ainsi la ligne éditoriale : « Nous faisons du « hard news », c’est-à-dire des faits sans commentaires, avec une information brute, des chiffres, des faits et un visuel. Nous ne prenons pas position politiquement, nous laissons le lecteur se forger son opinion à partir des faits. »4 À sa création, en 2002, 20 Minutes compte 55 salariés, dont 26 journalistes2.
À partir de 2004, 20 Minutes est présent à Paris, Lille, Lyon, Marseille, Toulouse, Bordeaux.
En 2007, 20 Minutes lance la version 2.0 du site Internet 20minutes.fr, puis en 2008, son site mobile. En mai 2009, des mesures d’économie annoncées par la direction (projet de plan social et non-renouvellement des CDD) déclenchent une grève au sein de la rédaction5. Celle-ci entraîne la non-parution du journal le jeudi 28 mai et la fermeture d’une partie du site web6,7.
En 2009, 20 Minutes lance sa première application mobile pour iPhone, puis en 2011, seulement quelques mois après la sortie de l’iPad en France, son application pour tablette. En 2009, également, le journal change de directeur de rédaction. Corinne Sorin, nommée à ce poste en août 20078, voit les relations se dégrader avec la rédaction, qui vote une motion de défiance à son égard en 20099. Elle est remplacée par Yvon Mézou, président de la holding professionnelle Bistrots et Comptoirs dont l’hebdomadaire L’Auvergnat de Paris venait de déposer le bilan10,11.
Le 6 décembre 2010, la rédaction de 20 Minutes reçoit le grand prix de la presse internationale 2010, décerné par l’Association de la presse étrangère12.
En 2012, l’année de son 10e anniversaire13, le journal 20 Minutes atteint une audience record de 4,3 millions de lecteurs par jour. En 2012, dix ans après sa création, 20 Minutes emploie près de 100 journalistes14.
Le 1er avril 2013, Acacio Pereira remplace Yvon Mézou en tant que directeur de la rédaction de 20 Minutes15. Il assure la double-casquette de directeur et de rédacteur en chef de la rédaction.
Le mardi 17 décembre 2013, la majorité des journalistes du quotidien se met en grève, avec pour motif la suppression de la moitié du service pré-presse et de l’intégralité du service photo, annoncée la veille et entraînant jusqu’à 13 licenciements16. Il s’agit de la troisième grève que connaît le journal après une première en 2008, liée au renvoi du rédacteur en chef Johan Hufnagel et une deuxième en 2009, en raison d’une organisation visant à supprimer le secrétariat de rédaction17. Cette troisième grève, selon les syndicats SNJ-CGT et SNJ, a été motivée par une « dégradation de l’exigence éditoriale » et par la crainte que « ce titre devienne une marque, un label sans journalistes. Ou juste ce qu’il faut pour assurer un simulacre de crédibilité »18. La grève est levée mercredi 18 décembre, sans que les journalistes obtiennent satisfaction19.
À partir de 2014, un partenariat est signé entre 20 Minutes et le guide culinaire Gault et Millau. Chaque vendredi, une page de l’édition papier est ainsi rédigée par des collaborateurs du Gault et Millau.
En 2014, l’effectif de l’entreprise est de 201 salariés dont une centaine de journalistes.[réf. souhaitée] En juillet 2015, l’un des concurrents de 20 Minutes, le journal Metronews, interrompt sa parution papier, après son rachat par le groupe TF1. 20 Minutes décide alors de se renforcer sur les réseaux sociaux20. 20 Minutes complète aussi sa publication papier par une publication numérique, ce qui fait dire à Olivier Bonsart, en 2014, président et directeur de l’édition française, que 20 Minutes est « un pure player qui édite aussi un journal »21. Multipliant les développements sur le mobile et les réseaux sociaux22, la marque s’est imposée dans le paysage médiatique français en s’adaptant rapidement aux nouveaux usages22. Suivi par près de 2 millions d’inscrits sur Twitter et par plus de 1,7 million de fans sur Facebook, 20 Minutes est le site média français qui génère quotidiennement le plus d’interactions sur les réseaux sociaux (rapport Graphystories, février 2016).
En 2016, 20 Minutes est la deuxième marque de presse la plus puissante en France avec 18,5 millions d’utilisateurs de la marque23 (print, web, mobile et tablette). Le journal 20 Minutes, diffusé dans 11 agglomérations (Paris, Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Montpellier, Nantes, Nice, Rennes, Strasbourg et Toulouse) demeure le journal le plus lu de France, avec 3,75 millions de lecteurs chaque jour.
En 2016, le groupe Belge Rossel rachète les 49,3 % des parts du Norvégien Schibsted. Rossel est donc co-actionnaire principal en compagnie de SIPA Ouest France qui détient toujours 49,3 % des parts du groupe24.
20 Minutes définit son projet éditorial ainsi : « Informer sérieusement… sans se prendre au sérieux et vise à «informer sans ennuyer, divertir sans s’égarer » et combine l’humour et un ton décalé, avec un traitement de l’information rigoureux et pertinent ».[1] [archive]
La neutralité du traitement de l’information est une des valeurs fondatrices du journal qui revendique le fait de ne pas être partison ou un journal d’opinion.
La rédaction de 20 Minutes est très engagée dans une démarche de fact checking et la lutte contre les fausses informations, notamment via sa rubrique « Fake Off [archive]« . En 2017, elle a obtenu le label du très restreint IFCN Network [archive].
France-medias décrit la ligne éditoriale de 20 Minutes comme étant un « journalisme mass média aseptisé » correspondant à « une sorte de stratégie populiste visant à fédérer le plus grand nombre par la simple magie de la neutralité cachant le spectre de la vacuité »25.
Le mercredi 22 janvier 2014, la une du journal sur le film Twelve Years a Slave déclenche une polémique, en raison de son titre : « Un film coup de fouet »26. Selon le directeur général de SOS Racisme, il s’agit d’« un mauvais jeu de mot » et « l’expression de préjugés mal venus » ; le directeur de la rédaction de 20 Minutes se défend en expliquant que « l’expression vise à manifester le choc ressenti au visionnage du film »27. Deux ans plus tard, le titre lié à l’attentat de Grand Bassam en Côte d’Ivoire, « 14 civils tués dont 4 blancs », est également fortement critiqué sur les réseaux sociaux28.
Une autre polémique agite le site du journal à l’occasion des huitièmes de finale du championnat d’Europe de football en 2016. Un article de 20minutes.fr qualifiant le Portugal de « dégueulasse » dans un titre (« Ce Portugal est dégueulasse mais il est en quarts »), après sa victoire contre la Croatie, le 25 juin 2016, provoque la colère de la communauté portugaise de France29,30. Un titre « provocateur », selon Le Parisien, qui témoigne de la colère des fans de la sélection portugaise jugeant l’expression « raciste » et « blessante »31. Le journaliste à l’origine du titre reçoit des menaces de mort32 et le directeur de la rédaction, reconnaissant toutefois que le titre était « inapproprié », lui apporte son soutien33.
Depuis mars 2011, il existe douze éditions en français : une dédiée à onze grandes villes françaises et une édition nationale, pour les villes moyennes (Rouen, Caen, Le Mans, Angers, Tours, Clermont-Ferrand etc.).
Après avoir été lancé à Paris en mars 20022, le journal est disponible dans dix autres grandes villes françaises.
Chaque édition locale bénéficie de contenus adaptés à l’actualité locale en début de journal.
Une version PDF du journal est téléchargeable sur son site.
Les articles sont organisés en différentes rubriques :
20 Minutes est au format « demi-berlinois », ce qui lui permet d’être plus facilement transportable et lisible, plus particulièrement dans les transports en commun aux alentours desquels se situent la plupart de ses points de distribution.
Pour l’année 2019, la diffusion du journal 20 Minutes atteint une moyenne de 932 307 exemplaires diffusés chaque jour34.
Président :
Directeur de la rédaction :
Jusqu’en 2016, 20 Minutes France SAS est détenu à 50 % par Schibsted, l’un des plus grands groupes scandinaves de médias, et par le groupe Sipa Ouest-France (éditeur du 1er quotidien français payant).
Le 7 janvier 2016, Schibsted cède sa participation au capital de 20 Minutes au Groupe Rossel44.
20 Minutes est aujourd’hui codétenu par le groupe SIPA – Ouest-France (50 %, par le biais de ses filiales Spir Communication et Sofiouest qui détiennent un quart du capital chacune)45 et par le Groupe Rossel (50 %).
C’est en 2007 que l’activité papier du journal 20 Minutes est pour la première fois rentable47. En 2008, l’ensemble de la société 20 Minutes France le devient à son tour47.
Avec 18,5 millions d’utilisateurs (print, web, mobile, tablette) chaque mois, 20 Minutes est la deuxième marque de presse d’information la plus consommée en France, après Le Figaro et avant Le Monde48.
Chaque jour, la marque rassemble 5 millions d’utilisateurs sur l’ensemble de ses supports (hors tablette). En termes d’audience, 20 Minutes est la marque de presse d’info no 1 au quotidien.[réf. souhaitée]
Le site 20minutes.fr est lancé en 200749. Il se classe dès 2011 dans le top 3 des sites d’info français les plus puissants.
En avril 2016, le site de 20 Minutes se classait quatrième parmi les audiences des sites de presse avec plus de 6,5 millions de visiteurs uniques, selon Médiamétrie.
Il est le 3e site Internet d’info généraliste le plus visité en France avec plus de 62 millions de visites totales et plus de 164 millions de pages vues selon les chiffres publiés par l’ACPM50 pour le mois de juin 2016.
Sur mobile, 20 Minutes enregistre 5,6 millions de visiteurs uniques par mois et 2,8 millions de visiteurs uniques sur tablette. Le nombre de mobinautes a été multiplié par 3 en 2 ans. (source : MNR, mars 2016)
Un tiers du trafic numérique de 20 Minutes est issu des réseaux sociaux. (source : ACPM ONE Global 2016 vague 2)
https://www.ouest-france.fr/sciences/sur-internet-la-science-riposte-face-aux-charlatans-et-aux-fake-news-6882711
Voir ci-dessous quelles sont très précisément les relations qui existent entre Ouest-France et 20minutes.fr : c’est la même boîte.
Cet article signé Nicolas Blandin de Ouest-France est quand même intéressant et je vous invite à le lire attentivement, en faisant preuve de tout l’esprit critique qui sied au vrai sceptique, bien entendu.
Premier point : ils se défendent de former une secte et d’être organisés, mais avouent tous se connaître plus ou moins, et donc, se reconnaître. Autrement dit : vous en êtes ou vous n’en êtes pas.
Si vous en êtes, vous êtes cru sur parole quoi que vous racontiez (cas des menteurs et affabulateurs Jean-Marc Donnadieu et autres « déconnologues » et « ufosceptiques »), et si vous n’en êtes pas, en cas de conflit avec l’un d’eux, c’est forcément vous qui mentez et avez tous les torts… Ils font tous bloc derrière celui des leurs qui se prétend « attaqué » par une ou plusieurs de ses victimes (cas du soi-disant « débunker » Jean-Marc Donnadieu de Béziers depuis le printemps 2010) et savent pourtant fort bien qu’un certain nombre d’entre eux ne font que du harcèlement, puisqu’ils l’évoquent eux-mêmes en parlant de « dérives » dans les comportements de « militants » prétendument « sceptiques » :
Ce que regrette Bunker D, pour quiil existe une dérive qui, en se moquant de ceux qui « croient » à une théorie farfelue, fait s’éloigner du rationalisme, de la méthode sceptique. Il y a là une certaine arrogance et une tendance à tout ramener à l’émotivité ou à l’irrationnel. Une croyance peut correspondre à une forme de rationalité.
Christophe Michel confirme :Il y a une partie militante qui s’efforce de dénigrer ceux qui ont une « mauvaise croyance ». La démarche s’éloigne donc de la zététique qui est juste une pédagogie. Je n’ai, par exemple, pas l’objectif de « lutter » contre ceux qui croient en une fausse théorie, de leur faire changer d’avis. Je préfère la bienveillance aux débunkages frontaux.
Je rappelle qu’en ce qui me concerne, j’ai affaire à des psychopathes, des pervers narcissiques qui n’ont jamais rien construit, jamais rien produit de leur vie et qui, en recherche de notoriété quoique totalement vides, n’ont donc pu trouver autre chose que leurs attaques démentielles contre divers auteurs de richesses d’ordre intellectuel pour tenter de se faire connaître ou reconnaître du public.
Ces délinquants et cybercriminels notoires mentent et affabulent sans cesse et n’hésitent même pas à produire des faux à l’attention des autorités judiciaires. Ce sont des charlatans, des escrocs.
https://fr.wikipedia.org/wiki/20_Minutes_(France)
20 Minutes (France)
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20 Minutes est un quotidien d’information générale distribué gratuitement (car entièrement financé par la publicité) en France, en Espagne et en Suisse. Le présent article traite uniquement de sa version française.
Il est édité par la société 20 Minutes France1.
Pour un article plus général, voir 20 Minutes.
20 Minutes | |
|
|
Pays | France |
---|---|
Zone de diffusion | Monde |
Langue | Français |
Périodicité | Quotidienne |
Format | Format demi-tabloïd (A4) : 290 × 210 mm |
Genre | Généraliste |
Prix au numéro | Gratuit |
Diffusion | 897 467 ex. (2018) |
Fondateur | Schibsted |
Date de fondation | 15 mars 2002 |
Ville d’édition | Paris |
|
|
Propriétaire | Groupe Rossel Groupe Sipa-Ouest‑France |
Directeur de publication | Frédéric Daruty |
Directeur de la rédaction | Armelle Le Goff |
Site web | www.20minutes.fr [archive] |
modifier |
20 Minutes est un quotidien d’information générale distribué gratuitement (car entièrement financé par la publicité) en France, en Espagne et en Suisse. Le présent article traite uniquement de sa version française.
Il est édité par la société 20 Minutes France1.
Sommaire
Histoire
Les débuts, de 2002 à 2012
20 Minutes est un quotidien d’information générale, lancé à Paris le 15 mars 2002 par le groupe norvégien Schibsted qui éditait déjà 20 Minutes dans cinq grandes villes européennes2. Ce quotidien gratuit se présente comme « un nouveau média, complémentaire de la presse classique » et dit s’adresser à « une nouvelle génération de lecteurs, habitué à une info synthétique, celle de la télé et de la radio » et qui ne lit pas la presse payante2. « 20 Minutes n’est pas un journal partisan dans le sens où la rédaction n’entre pas dans les polémiques. Notre promesse est celle de la clarté. Pour autant, ce n’est pas un titre neutre », expliquait Elisabeth Cialdella, alors directrice marketing du titre en 20053. Auditionné par le Sénat en 2007, le président de 20 Minutes France à l’époque, Pierre-Jean Bozo définit ainsi la ligne éditoriale : « Nous faisons du « hard news », c’est-à-dire des faits sans commentaires, avec une information brute, des chiffres, des faits et un visuel. Nous ne prenons pas position politiquement, nous laissons le lecteur se forger son opinion à partir des faits. »4 À sa création, en 2002, 20 Minutes compte 55 salariés, dont 26 journalistes2.
À partir de 2004, 20 Minutes est présent à Paris, Lille, Lyon, Marseille, Toulouse, Bordeaux.
En 2007, 20 Minutes lance la version 2.0 du site Internet 20minutes.fr, puis en 2008, son site mobile. En mai 2009, des mesures d’économie annoncées par la direction (projet de plan social et non-renouvellement des CDD) déclenchent une grève au sein de la rédaction5. Celle-ci entraîne la non-parution du journal le jeudi 28 mai et la fermeture d’une partie du site web6,7.
En 2009, 20 Minutes lance sa première application mobile pour iPhone, puis en 2011, seulement quelques mois après la sortie de l’iPad en France, son application pour tablette. En 2009, également, le journal change de directeur de rédaction. Corinne Sorin, nommée à ce poste en août 20078, voit les relations se dégrader avec la rédaction, qui vote une motion de défiance à son égard en 20099. Elle est remplacée par Yvon Mézou, président de la holding professionnelle Bistrots et Comptoirs dont l’hebdomadaire L’Auvergnat de Paris venait de déposer le bilan10,11.
Le 6 décembre 2010, la rédaction de 20 Minutes reçoit le grand prix de la presse internationale 2010, décerné par l’Association de la presse étrangère12.
De 2012 à 2018, la marque s’installe
En 2012, l’année de son 10e anniversaire13, le journal 20 Minutes atteint une audience record de 4,3 millions de lecteurs par jour. En 2012, dix ans après sa création, 20 Minutes emploie près de 100 journalistes14.
Le 1er avril 2013, Acacio Pereira remplace Yvon Mézou en tant que directeur de la rédaction de 20 Minutes15. Il assure la double-casquette de directeur et de rédacteur en chef de la rédaction.
Le mardi 17 décembre 2013, la majorité des journalistes du quotidien se met en grève, avec pour motif la suppression de la moitié du service pré-presse et de l’intégralité du service photo, annoncée la veille et entraînant jusqu’à 13 licenciements16. Il s’agit de la troisième grève que connaît le journal après une première en 2008, liée au renvoi du rédacteur en chef Johan Hufnagel et une deuxième en 2009, en raison d’une organisation visant à supprimer le secrétariat de rédaction17. Cette troisième grève, selon les syndicats SNJ-CGT et SNJ, a été motivée par une « dégradation de l’exigence éditoriale » et par la crainte que « ce titre devienne une marque, un label sans journalistes. Ou juste ce qu’il faut pour assurer un simulacre de crédibilité »18. La grève est levée mercredi 18 décembre, sans que les journalistes obtiennent satisfaction19.
À partir de 2014, un partenariat est signé entre 20 Minutes et le guide culinaire Gault et Millau. Chaque vendredi, une page de l’édition papier est ainsi rédigée par des collaborateurs du Gault et Millau.
En 2014, l’effectif de l’entreprise est de 201 salariés dont une centaine de journalistes.[réf. souhaitée] En juillet 2015, l’un des concurrents de 20 Minutes, le journal Metronews, interrompt sa parution papier, après son rachat par le groupe TF1. 20 Minutes décide alors de se renforcer sur les réseaux sociaux20. 20 Minutes complète aussi sa publication papier par une publication numérique, ce qui fait dire à Olivier Bonsart, en 2014, président et directeur de l’édition française, que 20 Minutes est « un pure player qui édite aussi un journal »21. Multipliant les développements sur le mobile et les réseaux sociaux22, la marque s’est imposée dans le paysage médiatique français en s’adaptant rapidement aux nouveaux usages22. Suivi par près de 2 millions d’inscrits sur Twitter et par plus de 1,7 million de fans sur Facebook, 20 Minutes est le site média français qui génère quotidiennement le plus d’interactions sur les réseaux sociaux (rapport Graphystories, février 2016).
En 2016, 20 Minutes est la deuxième marque de presse la plus puissante en France avec 18,5 millions d’utilisateurs de la marque23 (print, web, mobile et tablette). Le journal 20 Minutes, diffusé dans 11 agglomérations (Paris, Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Montpellier, Nantes, Nice, Rennes, Strasbourg et Toulouse) demeure le journal le plus lu de France, avec 3,75 millions de lecteurs chaque jour.
En 2016, le groupe Belge Rossel rachète les 49,3 % des parts du Norvégien Schibsted. Rossel est donc co-actionnaire principal en compagnie de SIPA Ouest France qui détient toujours 49,3 % des parts du groupe24.
Ligne éditoriale
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
20 Minutes définit son projet éditorial ainsi : « Informer sérieusement… sans se prendre au sérieux et vise à «informer sans ennuyer, divertir sans s’égarer » et combine l’humour et un ton décalé, avec un traitement de l’information rigoureux et pertinent ».[1] [archive]
La neutralité du traitement de l’information est une des valeurs fondatrices du journal qui revendique le fait de ne pas être partison ou un journal d’opinion.
La rédaction de 20 Minutes est très engagée dans une démarche de fact checking et la lutte contre les fausses informations, notamment via sa rubrique « Fake Off [archive]« . En 2017, elle a obtenu le label du très restreint IFCN Network [archive].
France-medias décrit la ligne éditoriale de 20 Minutes comme étant un « journalisme mass média aseptisé » correspondant à « une sorte de stratégie populiste visant à fédérer le plus grand nombre par la simple magie de la neutralité cachant le spectre de la vacuité »25.
Identité visuelle (logo)
Des controverses
Le mercredi 22 janvier 2014, la une du journal sur le film Twelve Years a Slave déclenche une polémique, en raison de son titre : « Un film coup de fouet »26. Selon le directeur général de SOS Racisme, il s’agit d’« un mauvais jeu de mot » et « l’expression de préjugés mal venus » ; le directeur de la rédaction de 20 Minutes se défend en expliquant que « l’expression vise à manifester le choc ressenti au visionnage du film »27. Deux ans plus tard, le titre lié à l’attentat de Grand Bassam en Côte d’Ivoire, « 14 civils tués dont 4 blancs », est également fortement critiqué sur les réseaux sociaux28.
Une autre polémique agite le site du journal à l’occasion des huitièmes de finale du championnat d’Europe de football en 2016. Un article de 20minutes.fr qualifiant le Portugal de « dégueulasse » dans un titre (« Ce Portugal est dégueulasse mais il est en quarts »), après sa victoire contre la Croatie, le 25 juin 2016, provoque la colère de la communauté portugaise de France29,30. Un titre « provocateur », selon Le Parisien, qui témoigne de la colère des fans de la sélection portugaise jugeant l’expression « raciste » et « blessante »31. Le journaliste à l’origine du titre reçoit des menaces de mort32 et le directeur de la rédaction, reconnaissant toutefois que le titre était « inapproprié », lui apporte son soutien33.
Éditions du journal
Depuis mars 2011, il existe douze éditions en français : une dédiée à onze grandes villes françaises et une édition nationale, pour les villes moyennes (Rouen, Caen, Le Mans, Angers, Tours, Clermont-Ferrand etc.).
Après avoir été lancé à Paris en mars 20022, le journal est disponible dans dix autres grandes villes françaises.
- 20 Minutes Bordeaux Aquitaine
- 20 Minutes Lille Nord
- 20 Minutes Grand Lyon
- 20 Minutes Marseille Provence
- 20 Minutes Montpellier Languedoc
- 20 Minutes Nantes
- 20 Minutes Nice Côte d’Azur
- 20 Minutes Rennes
- 20 Minutes Strasbourg
- 20 Minutes Grand Toulouse
Chaque édition locale bénéficie de contenus adaptés à l’actualité locale en début de journal.
Une version PDF du journal est téléchargeable sur son site.
Formule du journal
Les articles sont organisés en différentes rubriques :
- Actualité
- Actualités locales
- 20 Minutes 20 News
- Monde
- Économie
- Sports
- Culture
- People
- High-Tech
- Télévision
- Métiers
- Pratique
20 Minutes est au format « demi-berlinois », ce qui lui permet d’être plus facilement transportable et lisible, plus particulièrement dans les transports en commun aux alentours desquels se situent la plupart de ses points de distribution.
Diffusion
Pour l’année 2019, la diffusion du journal 20 Minutes atteint une moyenne de 932 307 exemplaires diffusés chaque jour34.
Organisation
Dirigeants
Président :
- août 200135-octobre 200236 : Francis Jaluzot
- octobre 200236-janvier 200437 : Hervé Pointillart
- janvier 200437-septembre 201238 : Pierre-Jean Bozo
- septembre 2012-novembre 201838 : Olivier Bonsart
- depuis novembre 2018 : Frédéric Daruty
Directeur de la rédaction :
- mai 200139-août 200740 : Frédéric Filloux
- août 200740-juillet 200941 : Corinne Sorin
- juillet 200941 – 31 mars 2013 42 : Yvon Mézou
- avril 2013 – décembre 2018 : Acacio Pereira
- à partir de décembre 201843 : Armelle Le Goff
Capital
Jusqu’en 2016, 20 Minutes France SAS est détenu à 50 % par Schibsted, l’un des plus grands groupes scandinaves de médias, et par le groupe Sipa Ouest-France (éditeur du 1er quotidien français payant).
Le 7 janvier 2016, Schibsted cède sa participation au capital de 20 Minutes au Groupe Rossel44.
20 Minutes est aujourd’hui codétenu par le groupe SIPA – Ouest-France (50 %, par le biais de ses filiales Spir Communication et Sofiouest qui détiennent un quart du capital chacune)45 et par le Groupe Rossel (50 %).
Évolution du chiffre d’affaires
Année | 2007 | 2008 | 2009 | 2010 | 2011 | 2012 | 2013 | 2014 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Chiffre d’affaires | 50,445 | 49,346 | 52,446 | 60,6 | 58,4 | 51,5 | 46,5 | |
EBITDA | - 1,745 | + 0,745 | 0,846 | 346 | 2,5 | 1,5 | -1,8 | 0,9 |
C’est en 2007 que l’activité papier du journal 20 Minutes est pour la première fois rentable47. En 2008, l’ensemble de la société 20 Minutes France le devient à son tour47.
Audience
Avec 18,5 millions d’utilisateurs (print, web, mobile, tablette) chaque mois, 20 Minutes est la deuxième marque de presse d’information la plus consommée en France, après Le Figaro et avant Le Monde48.
Chaque jour, la marque rassemble 5 millions d’utilisateurs sur l’ensemble de ses supports (hors tablette). En termes d’audience, 20 Minutes est la marque de presse d’info no 1 au quotidien.[réf. souhaitée]
La marque sur le numérique
Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (février 2018).
Le site 20minutes.fr est lancé en 200749. Il se classe dès 2011 dans le top 3 des sites d’info français les plus puissants.
En avril 2016, le site de 20 Minutes se classait quatrième parmi les audiences des sites de presse avec plus de 6,5 millions de visiteurs uniques, selon Médiamétrie.
Il est le 3e site Internet d’info généraliste le plus visité en France avec plus de 62 millions de visites totales et plus de 164 millions de pages vues selon les chiffres publiés par l’ACPM50 pour le mois de juin 2016.
Sur mobile, 20 Minutes enregistre 5,6 millions de visiteurs uniques par mois et 2,8 millions de visiteurs uniques sur tablette. Le nombre de mobinautes a été multiplié par 3 en 2 ans. (source : MNR, mars 2016)
Un tiers du trafic numérique de 20 Minutes est issu des réseaux sociaux. (source : ACPM ONE Global 2016 vague 2)
Notes et références
Voir aussi
Articles connexes
- 20 Minutes : généralités sur la marque, présente dans trois pays d’Europe.
- 20 Minutos (Espagne) : quatorze éditions en espagnol à Alicante, Barcelone, Bilbao, Cordoue, Grenade, La Corogne, Madrid, Malaga, Murcie, Séville, Saragosse, Valence, Valladolid, Vigo).
- 20 Minutes (Suisse) : deux éditions en français à Genève et à Lausanne ; cinq en allemand à Berne, Bâle, Lucerne, Saint-Gall, Zurich) et une en italien à Lugano.
- Metro
- CNews (et Direct Soir jusqu’en 2010)
- Presse gratuite
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