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samedi 11 juillet 2020

Que se passe-t-il avec les féminicides ?


De manière inattendue, un de mes articles de l’année dernière sur les féminicides connaît aujourd’hui un vif succès, c’est celui-ci, du 10 avril 2019 :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/04/10/feminicides-en-hausse-en-2019-les-plaintes-des-futures-victimes-toujours-vaines/

Que se passe-t-il donc avec les féminicides ou les contenus de cet article ?

La criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest aurait-elle recommencé à agiter ses histoires de rentes, de rentiers et de millions ?

Puisque par ailleurs nous n’avons plus aucune nouvelle de l’affaire brestoise dite « Masson » depuis la même époque exactement, je précise que cette femme est très copine avec Jean-Luc Polard, l’autre mis en examen dans cette affaire, à tel point que je les soupçonne d’avoir acheté Alain Masson avec les surplus d’indemnités qu’il lui est actuellement reproché d’avoir perçus de manière indue durant plusieurs années, afin d’en obtenir son aval pour tout un tas de leurs saloperies à mon encontre ou contre ma famille, car par ici, rien ne se fait sans lui, patron franc-mac oblige…



10 juil. 2020 17:00 – 11 juil. 2020 16:00


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https://actu.fr/bretagne/brest_29019/les-deux-ex-elus-brest-alain-masson-jean-luc-polard-ont-ete-mis-examen_22847462.html

Les deux ex-élus de Brest, Alain Masson et Jean-Luc Polard, ont été mis en examen


Alain Masson et Jean-Luc Polard, les deux adjoints au maire de Brest et vice-présidents de la métropole qui avaient démissionné, ont été mis en examen par le juge d’instruction.


Publié le 10 Avr 19 à 12:03
 
 
Alain Masson et Jean-Luc Polard, les deux ex-élus de la majorité municipale à Brest, ont été mis en examen
Alain Masson et Jean-Luc Polard, les deux ex-élus de la majorité municipale à Brest, ont été mis en examen (© Côté Brest).


Alain Masson et Jean-Luc Polard ont été déférés devant le parquet de Brest mardi soir, 9 avril 2019. Le juge d’instruction a mis en examen les deux ex-élus de la majorité municipale, le premier pour abus de confiance, le second pour complicité d’abus de confiance. C’est ce qu’a indiqué, mercredi matin, 10 avril, Jean-Philippe Récappé, procureur de la République.

Les deux hommes ont été placés sous contrôle judiciaire. Ceci dans le cadre de la potentielle affaire de fraude fiscale concernant l’association Vivre à Brest, qui gérait, notamment, le système de redistribution des indemnités des élus sociales (elle n’existe plus depuis janvier 2018).

Lire aussi : Finistère. Le maire de Brest, François Cuillandre, se sent trahi

Président de l’association


Lors de son audition, vendredi 16 novembre 2018, dans le cadre de l’enquête préliminaire ouverte par la police judiciaire sur d’éventuels détournements de fonds publics au sein de l’association, Alain Masson, alors deuxième adjoint au maire de Brest chargé du patrimoine et des élections, premier vice-président de la métropole chargé des grands projets, de l’énergie, du plan climat, aurait reconnu que ses indemnités (4400 euros par mois) n’étaient pas versées à l’association dont il était le président, et qu’il percevait, par ailleurs, une indemnité mensuelle supplémentaire de 3470 euros versée par Vivre à Brest.

Alain Masson avait démissionné de ses fonctions mercredi 21 novembre.

Lire aussi : Finistère. Alain Masson démissionne du conseil municipal de Brest

Trésorier de l’association


Jean-Luc Polard, alors adjoint au maire chargé de la participation des habitants, du domaine communal, du commerce, des halles et marchés, et vice-président de Brest métropole chargé des services à la population, avait, lui également, été entendu par les policiers, dans le cadre de cette enquête, en sa qualité de trésorier de l’association.

Il avait démissionné vendredi 23 novembre.

Lire aussi : Finistère. Jean-Luc Polard démissionne à son tour du conseil municipal de Brest

Le maire auditionné


Les deux ex-élus ont été mis en examen le soir même de l’audition du maire de Brest et président de la métropole, François Cuillandre, sous le régime de la garde à vue qui lui avait été signifiée dès son arrivée au commissariat de police, mardi matin, 9 avril, dans le cadre de cette affaire. Garde à vue qui avait été levée en fin d’après-midi.

L’élu n’avait pas été présenté au juge d’instruction à l’issue de son audition et avait pu regagner son bureau à l’hôtel de métropole.

Lire aussi : François Cuillandre, maire de Brest, placé en garde à vue pour être auditionné par la police judiciaire



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