Et d’une autre !
Rappel :
http://petitcoucou.unblog.fr/2020/07/03/encrochat-la-france-plateforme-mondiale-du-crime-organise/
Le trafiquant de drogue, pédophile et cybercriminel notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi de Puy-l’Evêque, qui va régulièrement en Gironde, où résident plusieurs de ses proches ou amis, va encore dire que les réseaux pédophiles n’existent pas…
Même chose pour tous les « déconnologues » de sa bande de criminels divers et variés.
Même avec leur caca sous le nez, ils continuent à nier…
https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/07/13/interpellation-en-gironde-d-un-pedocriminel-presume-l-une-des-dix-cibles-prioritaires-mondiales_6046087_3224.html
Le parquet de Bordeaux a annoncé l’arrestation d’un homme soupçonné d’avoir hébergé des contenus pédopornographiques sur plusieurs sites Internet.
Par Juliette Bénézit Publié aujourd’hui à 16h46, mis à jour à 19h59
Un homme de 40 ans, recherché depuis plusieurs années par les
services de police français et internationaux spécialisés dans la lutte
contre la pédopornographie, a été arrêté, mardi 7 juillet, en Gironde, à
la suite des investigations de l’Office central pour les répressions
des violences aux personnes (OCRVP) et d’Europol, a annoncé, lundi
13 juillet, la procureure de la République de Bordeaux, Frédérique
Porterie, dans un communiqué.
Considéré comme l’« une des dix cibles prioritaires mondiales », ce Français, en couple et père de famille, officiait depuis 2014 sur le dark Net, une partie du Web qui n’est pas indexée par les moteurs de recherche et n’est accessible que par certains réseaux informatiques anonymisés, comme Tor.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Comment les policiers traquent les pédophiles sur le dark Net
Les activités de cet homme, qui utilisait alors différents
pseudonymes et s’exprimait en anglais, ont été repérées, dès 2014, par
les policiers de l’OCRVP, spécialisés dans la lutte contre les réseaux
pédopornographiques internationaux du dark Net, et qui travaillent en
collaboration avec Europol.
Ces derniers l’identifient alors comme étant l’administrateur de plates-formes numériques, qui fonctionnent comme des sites de streaming, sur lesquelles sont postées des photographies et des vidéos à caractère pédopornographique, consultées et échangées par des internautes du monde entier. Les policiers le soupçonnent également de réaliser lui-même ce type de contenus, qu’il poste alors sur le site en question.
Au départ, si les policiers le gardent sous surveillance, ils ignorent tout de cet homme : sa nationalité, son âge, son lieu de résidence, sa situation personnelle et professionnelle. « Tout est intraçable sur le dark Net, il est donc très difficile de procéder à l’identification précise des personnes qui l’utilisent », commente Eric Bérot, commissaire divisionnaire et chef de l’OCRVP.
Après une lente approche, un policier, en ayant recours à la méthode de la cyberinfiltration, parvient finalement à entrer en contact avec le suspect. S’ensuivent plusieurs semaines d’échanges avant de parvenir à son identification, via son adresse IP, et à son interpellation, le 7 juillet, à son domicile situé en Gironde, dans une zone rurale à une trentaine de kilomètres à l’est de Bordeaux.
Lors de sa garde à vue, l’homme, inconnu des services de police, a reconnu les faits. D’après les premiers éléments de l’enquête, il s’agit d’une personne au profil « classique », le rendant « insoupçonnable » pour son entourage, rapporte une source proche de l’enquête. « Il s’agit d’un homme en couple, père de plusieurs enfants, qui a un travail. Il fait partie d’une famille de classe moyenne totalement lambda, résume cette même source. En réalité, il s’agit d’un profil assez classique dans ce type d’enquête : des M. Tout-le-Monde, dont l’épouse ignore tout, jusqu’aux agissements opérés sur leurs propres enfants, comme c’est le cas en l’espèce. »
A son domicile, du matériel informatique a été saisi. « Il faut être un minimum doué avec l’informatique pour administrer de tels sites sur le dark Net et surtout pour parvenir à ne pas être identifié pendant six ans », ajoute cette source proche du dossier.
Jeudi 9 juillet, à la suite de sa garde à vue, une information judiciaire a été ouverte. L’homme a été mis en examen pour « diffusion en bande organisée de l’image d’un mineur présentant un caractère pornographique en utilisant un réseau de communications électroniques », « détention et enregistrement de l’image d’un mineur présentant un caractère pornographique », « viols incestueux commis sur un mineur par un ascendant », et enfin « agressions sexuelles incestueuses sur un mineur de 15 ans par un ascendant ». Il a été placé en détention provisoire.
Juliette Bénézit
Rappel :
http://petitcoucou.unblog.fr/2020/07/03/encrochat-la-france-plateforme-mondiale-du-crime-organise/
Le trafiquant de drogue, pédophile et cybercriminel notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi de Puy-l’Evêque, qui va régulièrement en Gironde, où résident plusieurs de ses proches ou amis, va encore dire que les réseaux pédophiles n’existent pas…
Même chose pour tous les « déconnologues » de sa bande de criminels divers et variés.
Même avec leur caca sous le nez, ils continuent à nier…
https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/07/13/interpellation-en-gironde-d-un-pedocriminel-presume-l-une-des-dix-cibles-prioritaires-mondiales_6046087_3224.html
Un pédocriminel présumé, « l’une des dix cibles prioritaires mondiales » de la justice, arrêté en Gironde
Le parquet de Bordeaux a annoncé l’arrestation d’un homme soupçonné d’avoir hébergé des contenus pédopornographiques sur plusieurs sites Internet.
Considéré comme l’« une des dix cibles prioritaires mondiales », ce Français, en couple et père de famille, officiait depuis 2014 sur le dark Net, une partie du Web qui n’est pas indexée par les moteurs de recherche et n’est accessible que par certains réseaux informatiques anonymisés, comme Tor.
Ces derniers l’identifient alors comme étant l’administrateur de plates-formes numériques, qui fonctionnent comme des sites de streaming, sur lesquelles sont postées des photographies et des vidéos à caractère pédopornographique, consultées et échangées par des internautes du monde entier. Les policiers le soupçonnent également de réaliser lui-même ce type de contenus, qu’il poste alors sur le site en question.
L’homme a reconnu les faits
Au départ, si les policiers le gardent sous surveillance, ils ignorent tout de cet homme : sa nationalité, son âge, son lieu de résidence, sa situation personnelle et professionnelle. « Tout est intraçable sur le dark Net, il est donc très difficile de procéder à l’identification précise des personnes qui l’utilisent », commente Eric Bérot, commissaire divisionnaire et chef de l’OCRVP.
Après une lente approche, un policier, en ayant recours à la méthode de la cyberinfiltration, parvient finalement à entrer en contact avec le suspect. S’ensuivent plusieurs semaines d’échanges avant de parvenir à son identification, via son adresse IP, et à son interpellation, le 7 juillet, à son domicile situé en Gironde, dans une zone rurale à une trentaine de kilomètres à l’est de Bordeaux.
Lors de sa garde à vue, l’homme, inconnu des services de police, a reconnu les faits. D’après les premiers éléments de l’enquête, il s’agit d’une personne au profil « classique », le rendant « insoupçonnable » pour son entourage, rapporte une source proche de l’enquête. « Il s’agit d’un homme en couple, père de plusieurs enfants, qui a un travail. Il fait partie d’une famille de classe moyenne totalement lambda, résume cette même source. En réalité, il s’agit d’un profil assez classique dans ce type d’enquête : des M. Tout-le-Monde, dont l’épouse ignore tout, jusqu’aux agissements opérés sur leurs propres enfants, comme c’est le cas en l’espèce. »
A son domicile, du matériel informatique a été saisi. « Il faut être un minimum doué avec l’informatique pour administrer de tels sites sur le dark Net et surtout pour parvenir à ne pas être identifié pendant six ans », ajoute cette source proche du dossier.
Jeudi 9 juillet, à la suite de sa garde à vue, une information judiciaire a été ouverte. L’homme a été mis en examen pour « diffusion en bande organisée de l’image d’un mineur présentant un caractère pornographique en utilisant un réseau de communications électroniques », « détention et enregistrement de l’image d’un mineur présentant un caractère pornographique », « viols incestueux commis sur un mineur par un ascendant », et enfin « agressions sexuelles incestueuses sur un mineur de 15 ans par un ascendant ». Il a été placé en détention provisoire.
https://www.youtube.com/watch?v=zHikL3Wyrus
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