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samedi 20 octobre 2018

Révélations sur la vie privée de Jean-Luc Mélenchon

On les attendait depuis le premier jour, cela a commencé hier soir, et on ne va sans doute pas tarder à savoir s’il préfère le latex au coton pour ses sous-vêtements.

Bien sûr, il y réagit, et cela aussi on l’attendait. C’est super.

Je vous invite à suivre attentivement tout ce qu’il raconte dans ce qu’il continue à publier sur Facebook : textes et vidéos.

Aujourd’hui, donc, il explique à son public comment fonctionne SON système politico-médiatique, celui dont il a fait partie intégrante jusqu’aux perquisitions de mardi – dont la date restera dans l’Histoire, n’en doutons pas.

Puisque je subis depuis très longtemps de la part de nombre de ses sbires ou complices de la gauche dite « radicale » d’innombrables violences dont certaines peuvent apparaître de même nature que des faits dont aujourd’hui il se plaint, on ne s’étonnera pas de retrouver dans ses propos des arguments similaires à ceux que j’ai pu moi-même exposer en réponse à toutes les exactions dont j’ai été et suis toujours victime de la part de ses « petites mains » de la « déconnologie » depuis l’été 2008.

La comparaison s’arrête à ces seules apparences, comme nous allons le voir de manière détaillée chapitre après chapitre.

Ici, donc, quelques aspects de la vie privée : Jean-Luc Mélenchon entretiendrait de longue date une relation intime avec Sophia Chikirou.

Qui n’a vu tous les écrits publics du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi relatifs à ma vie privée ? Ils furent quasi quotidiens durant deux ans et demi, de juin 2010 à décembre 2012, et portaient, entre autres choses, sur mes relations avec le président de l’association AC ! Brest pour la période où j’en ai fait partie, durant près de deux ans, en 2004 et 2005, c’est-à-dire le dénommé Joël Roma, qui était alors un militant de la LCR de Brest, aux ordres des dirigeants de son parti, et notamment de la criminelle Josette Brenterch.

Dès le mois de juin 2010, avec tout un tas d’autres « révélations » fracassantes sur ma vie privée, le mythomane narrait par le menu à ses lecteurs toute l’histoire de la relation intime qu’il nous attribuait, jusqu’à la rupture et ses motifs.

Or, nous n’avons jamais eu aucune relation de cet ordre. Comme tout le reste de ses prétentions à mon encontre, il ne s’agissait de bout en bout que des affabulations ou des fantasmes de vrais malades mentaux, lui-même et sa complice la criminelle Josette Brenterch.

J’avais donc démenti, après quoi le mythomane publiera de nouveaux articles dans lesquels il affirmait derechef que Joël Roma aurait été mon « amant ». Il me qualifiait de « menteuse » et de « mythomane » sous prétexte que je le contredisais sur cet aspect de ma vie privée – comme sur les autres. Dans le même temps, il se mettait à harceler Joël Roma dont il avait toutes les coordonnées – comme les miennes, que je ne lui avais jamais fournies -, afin que celui-ci vienne lui-même « confirmer » tout ce qu’il publiait à notre sujet – il nous qualifiait aussi toux deux de « fous », de malades mentaux dangereux ou de « cas lourds psychiatriques » qui auraient causé bien du tort à sa complice Josette Brenterch. Il attendait même de Joël Roma qu’il vienne tout comme lui me traiter de « menteuse » et de « mythomane » sous prétexte que je démentais avoir jamais eu de relation intime avec lui, mais celui-ci ne lui a jamais répondu.

Par la suite, les calomniateurs ayant abandonné cette partie de leurs inventions délirantes concernant ma vie privée, ils me reprocheront publiquement d’avoir soi-disant « allumé » Joël Roma pour ensuite me refuser à lui, et me traiteront encore de tout à ce sujet… En réalité, c’est la criminelle et perverse Josette Brenterch de la LCR de Brest qui dès 2004 avait tenté de convaincre Joël Roma de me harceler, sans en obtenir grand-chose avant de l’avoir fait virer simultanément de l’association AC ! Brest et de la LCR de Brest à l’automne 2005, précisément pour avoir refusé de lui obéir en tous ses desiderata me concernant.

Or, durant tout le temps que ces calomniateurs auront publiquement déliré sur mes relations avec Joël Roma, il n’y eut guère que quelques autres victimes du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi pour s’en offusquer.

Il s’agissait pourtant à l’évidence de « révélations » tenant à nos vies privées, ne présentant de surcroît strictement aucun intérêt pour quoi que ce soit. Le but était seulement de nous calomnier, moi particulièrement.

J’étais d’ailleurs explicitement présentée comme une « intrigante » ou une « Mata Hari » qui aurait séduit des tas d’hommes très intelligents pour tous les utiliser comme des « flingues » contre cette pauvre Josette Brenterch… Ce sont en fait tous ceux, hommes ou femmes, qu’elle n’a jamais réussi à convaincre de toutes ses inventions calomnieuses à mon encontre, ou sur lesquels elle n’a jamais eu aucune prise à mon sujet.

Et les délirants d’en inventer toujours plus sur mes relations intimes ou ma vie sexuelle…

Que faisait Jean-Luc Mélenchon ? Il les soutenait…


https://www.huffingtonpost.fr/2018/10/19/melenchon-denonce-lignominie-de-mediapart-qui-revele-sa-relation-extra-professionnelle-avec-chikirou_a_23566412/


20/10/2018 01:21 CEST | Actualisé il y a 50 minutes

Mélenchon dénonce « l’ignominie » de Mediapart qui révèle sa relation « extra-professionnelle » avec Chikirou


Le leader de la France insoumise a exprimé sa colère dans un long billet publié sur Facebook.




POLITIQUE – Du début à la fin, cette semaine aura été éprouvante pour le député des Bouches-du-Rhône. Après avoir enchaîné les polémiques à la suite des perquisitions menées à son domicile et au siège de la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon doit faire face à un nouveau front qui s’est ouvert vendredi 19 octobre: la publication par Mediapartdes premiers éléments issus de l’enquête le concernant, sur fond de soupçons de surfacturations de prestations par Sophia Chikirou publiés le même jour par franceinfo.

Mais à la différence de leurs confrères de Radio France, les journalistes de Mediapart ont mis la main sur un détail embarrassant. Quand les policiers sont arrivés mardi 16 octobre à 7 heures du matin au domicile de l’élu marseillais, ils sont tombés nez-à-nez avec Sophia Chikirou. « Le patron de La France insoumise et la communicante entretiennent en réalité de longue date, selon nos informations, une relation extra-professionnelle. Celle-ci pourrait relever de la seule vie privée des deux intéressés mais prend désormais, à la lueur des investigations judiciaires, une dimension d’intérêt général », écrit Mediapart.

C’est notamment pour avoir voulu interroger Jean-Luc Mélenchon sur la nature de cette relation qu’un journaliste de Mediapart a provoqué la colère du leader insoumis en conférence de presse. Une colère que le député de Marseille a explicitée plus longuement dans un texte publié sur Facebook dans la soirée de vendredi. « Donc, deux jours après ma perquisition, un journal se vante déjà d’avoir violé le secret de l’instruction », déplore Jean-Luc Mélenchon, s’estimant victime d’un système « Macronie-parquet-médias ».

« Je m’attendais à une chose bien glauque. En effet, hier, on a demandé à mon chargé de communication sur mes réseaux : ‘quelle est la nature de votre relation avec Jean-Luc Mélenchon ?’. À une autre camarade : ‘vous donnait-il des ordres en dehors de sa fonction de député’. À Sophia Chikirou : ‘quelle est la nature de vos relations avec Jean Luc Mélenchon ?’. Mot pour mot ce qu’un ‘journaliste’, fils à papa, m’a demandé en fin de conférence de presse. Je supposais que je serais le centre d’une fresque passionnante », poursuit Jean-Luc Mélenchon, qui ajoute: « à l’état civil et aux impôts je suis célibataire. Et jusqu’à cet article je me croyais seul auteur de ma vie privée ».

Le leader de la France insoumise, dont les relations avec le journal d’Edwy Plenel ne sont pas des plus chaleureuses, affirme qu’il ne s’attendait pas « à ce que ce soit Mediapart qui mange de ce pain là ». Et de tailler en pièces le journal en ligne: « Mediapart prétend avoir violé le secret de l’instruction et disposer d’une information concernant la présence chez moi de quelqu’un. Bravo Mediapart ! Quelle enquête, quelle investigation ! Mais quel rapport avec le dossier ? Plenel, quel naufrage du trotskisme à ce niveau de caniveau après avoir dirigé Le Monde. Je laisse les gens vous dire ce qu’ils en pensent. À ce niveau d’agression et d’ignominie, il n’y a plus besoin d’argumentation ».

Sophia Chikirou a été entendue par la police anticorruption (Oclciff), dans l’enquête sur les comptes de campagne de la France insoumise. Elle est soupçonnée d’avoir surfacturé ses prestations auprès du candidat Jean-Luc Mélenchon dont elle était la directrice de communication en 2017. Si Mediapart s’interroge sur la nature de leur relation, c’est en raison du potentiel éclairage que cet élément peut donner aux investigations. « De fait, si l’enquête devait confirmer le soupçon qui a présidé à son ouverture, cela signifierait que les sommes incriminées perçues par Mme Chikirou l’auraient été à l’occasion d’une campagne présidentielle dirigée par un homme politique avec lequel elle partage une relation intime régulière », écrit Mediapart.

« En 10 ans de révélations d’intérêt public, Mediapart a subi les campagnes de dénigrement des soutiens de Sarkozy, Valls, Cahuzac, Fillon, Le Pen, Hollande, Macron et maintenant Mélenchon », a regretté le directeur du journal en ligne Edwy Plenel.

Ci-dessous, le billet de Jean-Luc Mélenchon dans son intégralité: 

https://www.facebook.com/JLMelenchon/posts/10156848564218750

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