Je pose cette question, car le mythomane a écrit dans un
de ses torchons me concernant, à propos de sa procédure parisienne,
qu’il a évoquée assez longuement en date du 2 avril 2017 :
Il est vrai, comme je l’ai déjà dit le 22 octobre dernier, qu’après avoir dû supporter très patiemment d’entendre la partie adverse débiter tous ses mensonges et inventions calomnieuses à mon encontre durant au moins une heure, j’ai débuté ma propre plaidoirie par un grand coup de balai en indiquant à la juge que tout ce qu’elle venait d’entendre était faux, ce qui n’était ni plus ni moins que la vérité, comme je l’ai ensuite démontré quasiment point par point en m’attachant aussi à exposer la réalité de nos contentieux.
Egalement, il est fort possible que je me sois présentée comme ingénieur d’études en informatique, ce qui n’est pas un de mes « thèmes habituels », mais tout simplement ma profession, même si mes harceleurs m’empêchent de l’exercer depuis fort longtemps.
Cependant, je n’ai jamais dit ni écrit nulle part que Pascal Edouard Cyprien Luraghi serait un trafiquant d’armes, chose que j’ignore totalement à son sujet.
Je n’ai même pas parlé d’un quelconque trafic d’armes dans le cadre de cette procédure, car pour autant que je sache, ce n’est pas ce qui m’oppose au sieur Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Mais après tout, ce dernier n’a peut-être pas glissé ces mots-là par hasard dans sa publication du 2 avril 2017.
Etant en relation avec David Servenay qui lui parle dès 2008 de notre conversation téléphonique du 30 mai de cette année-là, il sait dès le début que je dérange ce journaliste pour ce que je sais sur certains trafiquants d’armes avec lesquels, manifestement, il a partie liée.
D’où cette question : est-ce que par hasard ce ne serait pas également le cas de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi ?
En novembre dernier, retour à Paname. Toujours sans avocat, [Petitcoucou] délire pendant une bonne demi-heure devant une juge et une greffière en reprenant ses thèmes habituels : « Je suis ingénieur d’études en informatique, Luraghi est un trafiquant d’armes, tout ce que dit son avocat est faux… ». etc. etc. etc.
Il est vrai, comme je l’ai déjà dit le 22 octobre dernier, qu’après avoir dû supporter très patiemment d’entendre la partie adverse débiter tous ses mensonges et inventions calomnieuses à mon encontre durant au moins une heure, j’ai débuté ma propre plaidoirie par un grand coup de balai en indiquant à la juge que tout ce qu’elle venait d’entendre était faux, ce qui n’était ni plus ni moins que la vérité, comme je l’ai ensuite démontré quasiment point par point en m’attachant aussi à exposer la réalité de nos contentieux.
Egalement, il est fort possible que je me sois présentée comme ingénieur d’études en informatique, ce qui n’est pas un de mes « thèmes habituels », mais tout simplement ma profession, même si mes harceleurs m’empêchent de l’exercer depuis fort longtemps.
Cependant, je n’ai jamais dit ni écrit nulle part que Pascal Edouard Cyprien Luraghi serait un trafiquant d’armes, chose que j’ignore totalement à son sujet.
Je n’ai même pas parlé d’un quelconque trafic d’armes dans le cadre de cette procédure, car pour autant que je sache, ce n’est pas ce qui m’oppose au sieur Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Mais après tout, ce dernier n’a peut-être pas glissé ces mots-là par hasard dans sa publication du 2 avril 2017.
Etant en relation avec David Servenay qui lui parle dès 2008 de notre conversation téléphonique du 30 mai de cette année-là, il sait dès le début que je dérange ce journaliste pour ce que je sais sur certains trafiquants d’armes avec lesquels, manifestement, il a partie liée.
D’où cette question : est-ce que par hasard ce ne serait pas également le cas de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi ?
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