Qu’il aille voir Romain Darrière, l’avocat du chef en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Puisqu’il s’est déjà compromis avec ce cybercriminel, un mythomane et malade mental extrêmement dangereux, il pourra bien aussi lui concocter un référé d’enfer, que même un « cas lourd psychiatrique » tel que moi, nul en droit comme en toute autre chose, n’est-ce pas, et de surcroît tellement cassé, fracassé et surfracassé par ledit Luraghi qu’il n’est depuis bien longtemps plus en état de plaider quoi que ce soit, va néanmoins s’en défendre seul, sans avocat, avec un tel succès que le Konducator s’en trouve encore ridiculisé sur toute la toile – c’est dire toute l’ingéniosité du truc…
Non m’enfin, voilà des gens qui ont toujours pratiqué du harcèlement à outrance à l’encontre de tous ceux qui pouvaient les déranger, notamment des ingénieurs et cadres susceptibles de dénoncer leurs employeurs pour des malversations diverses et variées, et n’ont jamais hésité à s’en moquer après les avoir détruits, à l’instar d’un Richard Ferrand déjà goguenard à l’égard des chômeurs, précaires et exclus en 2005, et qui n’est pas étranger aux propositions du candidat à la présidence de la République Emmanuel Macron en matière de droit social, lesquelles promettent aux patrons voyous de voir s’envoler les quelques soucis qui pouvaient encore leur rester après avoir corrompu tous les fonctionnaires chargés de les contrôler ou de les poursuivre.
Or, voilà qu’aujourd’hui, ces gens qui se foutent ouvertement des « fragiles » exclus, parmi lesquels d’anciens ingénieurs et cadres victimes de vraies opérations de harcèlement moral (recouvrant toujours une multitude d’infractions pénales, elles ont pour but de détruire de manière sûre et certaine), nous disent en substance que les salariés ou militants de leurs partis seraient des petites choses tellement fragiles qu’elles sont même incapables de supporter une enquête journalistique sans fondre en larmes…
De qui se moque-t-on ?
http://www.huffingtonpost.fr/2017/06/10/assistants-parlementaires-accuse-davoir-fait-pression-sur-des_a_22135592/
Assistants parlementaires: accusé d’avoir fait pression sur des journalistes, Bayrou dénonce du « harcèlement »
Une enquête préliminaire pour « abus de confiance et recel de ce délit » a été ouverte vendredi 9 mai après des soupçons d’emplois fictifs au MoDem.
10/06/2017 10:06 CEST | Actualisé il y a 1 heure
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Romain Herreros Journaliste politique
Philippe Wojazer / Reuters
François Bayrou à l’Elysée le 18 mai.
POLITIQUE – Voilà une affaire dont le garde des Sceaux se serait bien passé. À tel point que, selon Mediapart, François Bayrou aurait fait pression sur des journalistes de France info enquêtant sur les soupçons d’emplois fictifs au MoDem. Soupçons visant Robert Rochefort et Marielle de Sarnez, actuellement ministre des Affaires européennes et candidate aux législatives à Paris, et qui ont conduit à l’ouverture d’une enquête préliminaire pour « abus de confiance et recel de ce délit ».
C’est dire si cette affaire tombe mal pour le porteur de la loi sur la moralisation de la vie publique et accessoirement président du MoDem. Alors, de quoi parle-t-on? Vendredi 9 juin, France Info a sorti une enquête révélant que « sur la période 2009-2014, une dizaine de salariés du siège du parti étaient parallèlement collaborateurs des députés européens du MoDem ».
Selon Médiapart, « 48 heures » avant la publication de cette enquête, le chef de la cellule investigation de Radio France, Jacques Monin, a reçu un appel de François Bayrou. « Voici ce qu’il me dit en substance : ‘Des gens de chez vous sont en train de téléphoner à des salariés du MoDem, de les harceler de manière inquisitrice, et de jeter le soupçon sur leur probité. C’est inacceptable. Avec mes avocats, nous sommes en train d’étudier d’éventuelles plaintes pour harcèlement’ », a expliqué au site Jacques Monin.
« On n’est pas condamné au silence »
« Je lui réponds que harcèlement c’est une qualification pénale donc que je peux interpréter son coup de fil comme une pression sur moi », a ensuite indiqué sur France Inter le journaliste. Si François Bayrou a confirmé avoir appelé Jacques Monin, il dément avoir voulu exercer une pression sur les journalistes.
Selon lui, ce n’est pas « le ministre de la Justice » qui a passé ce coup de fil, mais « le citoyen » Bayrou. « C’est simple, j’ai appelé le responsable de la cellule investigation de Radio France parce que des journalistes appelaient sur leur téléphone personnel des salariés de notre mouvement qui n’avaient aucun lien avec nos députés européens. Ils étaient appelés en dehors de leur lieu de travail, et les journalistes leur demandaient des explications sur leurs fonctions actuelles et passées », a-t-il justifié.
« Une des salariées est venue dans mon bureau en pleurant, et nombre de cas me sont remontés. J’ai seulement dit au responsable de la cellule investigation que ces salariés vivaient cela comme du harcèlement. Ce n’est pas une menace, ni de l’intimidation. J’ai seulement dit que je trouvais cela choquant », a-t-il assuré, estimant que l’on « n’est pas condamné au silence parce qu’on est garde des Sceaux ». Quoi qu’il en soit, cet appel n’a pas empêché France info de sortir l’enquête ni le Parquet de Paris d’ouvrir une enquête préliminaire.
Par ailleurs, cet épisode s’inscrit dans un contexte particulier entre la presse et le pouvoir en place. Muriel Pénicaud, ministre du Travail, a affirmé vendredi 9 juin que son ministère avait décidé de porter plainte contre X après que Libération a publié des documents concernant la réforme par ordonnances du code du Travail. Dans le viseur du gouvernement: les sources, considérées par Libération comme des « lanceurs d’alerte », qui ont transmis au quotidien les pistes sur lesquelles travaille secrètement le gouvernement.
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