Voir mes publications des 12 et 13 juin 2016. Comme toujours, j’avais enregistré sur mes blogs des mouvements suspects, notamment le 11 juin 2016.
Le duo de malades mentaux extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi et Jean-Marc Donnadieu est toujours impliqué.
Le tueur des deux policiers ayant fait un pèlerinage à La Mecque il y a quelques mois, rappelons que Younés Abaaoud se trouvait dans la région à la même époque.
J’avais alors eu des visites en provenance de Djeddah d’où il avait appelé sa soeur vivant en Belgique le 18 février 2016.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/06/16/01016-20160616ARTFIG00353-policiers-tues-a-magnanville-le-tueur-aurait-suivi-et-surveille-sa-victime.php
Policiers tués à Magnanville : le tueur aurait suivi et surveillé sa victime
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- Par Yohan Blavignat
- Mis à jour le 16/06/2016 à 21:15
- Publié le 16/06/2016 à 21:07
Trois jours après l’assassinat d’un couple de policiers à Magnanville, dans les Yvelines, par Larossi Abballa, les zones d’ombre se dispersent peu à peu.
Une des principales interrogations qui demeure reste celle de savoir
s’il existait un lien entre le terroriste présumé et Jean-Baptiste
Salvaing, affecté au commissariat des Mureaux, et Jessica Schneider,
fonctionnaire de police à Mantes-la-Jolie. D’après des informations de TF1 ce jeudi soir, Larossi Abballa n’aurait pas choisi ses cibles au hasard.
Il aurait en effet suivi et surveillé le commandant de police dès le 11
juin dernier, soit 48 heures avant de l’assassiner, lui et sa compagne,
à son domicile.
Selon TF1, la police judiciaire aurait étudié les lignes téléphoniques des deux hommes quelques jours avant le drame. Les enquêteurs auraient ainsi découvert que les deux téléphones ont été localisés aux mêmes endroits et aux mêmes moments. De plus, des photos du policier en uniforme auraient été retrouvées dans le smartphone de Larossi Abballa. Si l’assassin semble donc avoir prémédité son crime, aucun élément ne permet de savoir pourquoi il s’en est pris spécifiquement à ce couple.
Les antécédents judiciaires du tueur, qui a par ailleurs vécu aux Mureaux avant de s’installer à Mantes-la-Jolie, pourraient livrer un éclairage intéressant. En 2011, il a été arrêté dans le cadre d’une affaire de filière vers le Pakistan. Placé en détention provisoire, il s’était fait remarquer en prison pour son prosélytisme radical. En 2013, il est condamné pour «association de malfaiteurs avec une entreprise terroriste» pour avoir fait partie d’une filière djihadiste toujours vers le Pakistan. Avant cela, ce dernier avait déjà été condamné pour divers petits délits. Mais, de source policière, dans l’entourage des deux victimes, on indique que le lien n’est pas établi pour l’instant.
» LIRE AUSSI: Policiers tués à Magnanville: l’enquête en cinq questions
D’autres doutes persistent quant à son éventuel pèlerinage à La Mecque, début 2016. Selon TF1, les services de renseignement ont découvert que Larossi Abballa avait pris un avion depuis Paris en direction de la capitale religieuse saoudienne. Ce trajet comprenait une escale à Istanbul, où son passeport aurait été enregistré le 21 février dernier.
À l’époque, le terroriste présumé était placé sur écoute dans le cadre d’une enquête sur une structure de départs de djihadistes vers la Syrie, mais aucune interdiction de sortie du territoire n’avait été prise à son encontre. Le 5 mars 2016, son passeport est à nouveau enregistré à Istanbul lors de son retour en France, soit 13 jours après son départ. La DGSI chercherait désormais à savoir si, sous couvert d’un pèlerinage en Arabie saoudite, Larossi Abballa n’aurait pas séjourné durant près de deux semaines en Syrie, avant de rejoindre la banlieue parisienne.
Dans la vidéo qu’il poste lundi soir depuis le domicile de ses victimes, Larossi Abballa laisse entendre que des actions meurtrières vont se poursuivre. «On vous réserve d’autres surprises pour l’Euro», dit-il en lisant un texte confus et en poursuivant: «Nous allons faire de l’Euro un cimetière.» Des déclarations qui laissent entendre qu’il appartiendrait à une organisation, à moins qu’il ne s’agisse que de pure propagande.
Selon TF1, la police judiciaire aurait étudié les lignes téléphoniques des deux hommes quelques jours avant le drame. Les enquêteurs auraient ainsi découvert que les deux téléphones ont été localisés aux mêmes endroits et aux mêmes moments. De plus, des photos du policier en uniforme auraient été retrouvées dans le smartphone de Larossi Abballa. Si l’assassin semble donc avoir prémédité son crime, aucun élément ne permet de savoir pourquoi il s’en est pris spécifiquement à ce couple.
Les antécédents judiciaires du tueur, qui a par ailleurs vécu aux Mureaux avant de s’installer à Mantes-la-Jolie, pourraient livrer un éclairage intéressant. En 2011, il a été arrêté dans le cadre d’une affaire de filière vers le Pakistan. Placé en détention provisoire, il s’était fait remarquer en prison pour son prosélytisme radical. En 2013, il est condamné pour «association de malfaiteurs avec une entreprise terroriste» pour avoir fait partie d’une filière djihadiste toujours vers le Pakistan. Avant cela, ce dernier avait déjà été condamné pour divers petits délits. Mais, de source policière, dans l’entourage des deux victimes, on indique que le lien n’est pas établi pour l’instant.
Un pèlerinage à La Mecque suspect
D’autres doutes persistent quant à son éventuel pèlerinage à La Mecque, début 2016. Selon TF1, les services de renseignement ont découvert que Larossi Abballa avait pris un avion depuis Paris en direction de la capitale religieuse saoudienne. Ce trajet comprenait une escale à Istanbul, où son passeport aurait été enregistré le 21 février dernier.
À l’époque, le terroriste présumé était placé sur écoute dans le cadre d’une enquête sur une structure de départs de djihadistes vers la Syrie, mais aucune interdiction de sortie du territoire n’avait été prise à son encontre. Le 5 mars 2016, son passeport est à nouveau enregistré à Istanbul lors de son retour en France, soit 13 jours après son départ. La DGSI chercherait désormais à savoir si, sous couvert d’un pèlerinage en Arabie saoudite, Larossi Abballa n’aurait pas séjourné durant près de deux semaines en Syrie, avant de rejoindre la banlieue parisienne.
Dans la vidéo qu’il poste lundi soir depuis le domicile de ses victimes, Larossi Abballa laisse entendre que des actions meurtrières vont se poursuivre. «On vous réserve d’autres surprises pour l’Euro», dit-il en lisant un texte confus et en poursuivant: «Nous allons faire de l’Euro un cimetière.» Des déclarations qui laissent entendre qu’il appartiendrait à une organisation, à moins qu’il ne s’agisse que de pure propagande.
https://m6info.yahoo.com/info-m6-menace-imminente-d-1451275104247862.html
INFO M6 - “Menace imminente d’attentats” : le petit frère d’Abdelhamid Abaaoud serait en route pour l’Europe
Photo : Capture d’écran internet
Des jihadistes seraient en route depuis la Syrie pour conduire des attentats en France et en Belgique, selon une alerte anti-terroriste transmise à la police belge. Selon nos informations, Younes Abaaoud, 15ans, petit frère d’Abdelhamid Abaaoud, commandant opérationnel des attentats du 13 novembre, ferait partie de ce groupe.
Une alerte anti-terroriste a été transmise à la police belge, selon Reuters qui cite une source proche des services de sécurité, qui indique que des jihadistes de Daech auraient quitté la Syrie au début du mois dans le but de commettre des attentats en Belgique et en France.
Le petit frère d’Abdelhamid Abaaoud de retour en Europe ?
Selon nos informations, les services de renseignements belges soupçonnent le petit frère d’Abdelhamid Abaaoud, Younes Abaaoud, d’être l’un d’entre eux. Âgé de 15 ans, le jeune homme est décrit par Interpol comme un “tueur”, un “guerrier-jihadiste à arrêter et mettre en détention aussitôt”.
Abdelhamid Abaaoud, considéré comme étant le commandant opérationnel des attentats du 13 novembre, est décédé dans l’assaut mené par le RAID sur un immeuble de Saint-Denis cinq jours après les attentats. Deux ans auparavant, en janvier 2014, il emmène son frère Younes à la sortie de l’école vers la Syrie à ses côtés. Les deux frères intègrent alors la Katiba Al-Battar (l’épée des prophètes) sous un commandement Libyens.
En décembre 2015, un mois après la mort d’Abdelhamid Abaaoud, un message posté sur Facebook par un homme que les médias belges présentent alors comme un soutien de Daech affirme que le jeune Younes Abaaoud aurait désormais pour projet de venger son frère. Sous une photo de lui, arme à la main, apparaît alors cette légende : “Abu Omar al-Soussi (soit le surnom d’Abdelhamid Abaaoud) est mort en martyr, mais son frère est toujours en vie. Nous sommes en route vers vous, adorateurs de la croix”, pouvait-on lire dans le message accompagné d’une photo de Younès.*
En avril dernier, Interpol soupçonnait déjà Younes Abaaoud de vouloir rejoindre la France. Paris-Match rapportait alors ces propos attribués au jeune jihadiste qui s’adressait à sa soeur Yasmina : “J’arrive à 10 heures”.
Des cibles potentielles
Mais selon un porte-parole, le Centre de crise belge ne prévoie pas dans l’immédiat de relever le niveau d’alerte en Belgique. Le quotidien La Dernière Heure, qui a le premier fait état de l’information, indique que le message transmis à la police indique que “les combattants auraient quitté la Syrie il y a environ une semaine et demie afin de rejoindre l’Europe via la Turquie et la Grèce, en bateau, sans passeport”. La date précise de ce départ hypothétique n’est en revanche pas connue.
La cellule antiterroriste belge cite néanmoins quelques cibles qui seraient envisagées par les membres du groupe Etat islamique, à savoir un fast-food, un commissariat ou un poste de police ainsi qu’un centre commercial bruxellois.
“Leur action serait imminente”
Le fameux message n’en reste pas moins inquiétant puisqu’il indique que “ces personnes se sépareraient en deux groupes, l’un pour la Belgique, l’autre pour la France, afin d’aller commettre des attentats par groupe de deux”. Ces individus seraient d’ores et déjà en possession des armes nécessaires et “leur action serait imminente”.
Cette information intervient notamment après que le jihadiste Larossi Abballa responsable de l’attentat de Magnanville lundi dernier, ait affirmé sur Facebook Live : “Nous allons faire de l’Euro un cimetière”.
“Il y a quelque chose qui bouge en France”
Dans le même temps, le personnel du pénitencier de Beveren, en Belgique, où est détenu “l’homme au chapeau” Mohamed Abrini, a mis la main sur une correspondance pour le moins troublante entre le terroriste présumé impliqué dans les attentats de Bruxelles et un autre détenu. Alerté par le codétenu de Mohamed Abrini, le personnel a en effet découvert un courrier rédigé en langue arabe sur lequel figurait cette phrase : “Il y a quelque chose qui bouge en France”.
Toujours selon La Dernière Heure, le terroriste, aussi suspecté d’implicaiton dans les attentats du 13 novembre, utilisait un autre prisonnier ou un surveillant pour communiquer avec Marouan El Bali, unique survivant de l’assaut de Verviers, en Belgique, survenu le 15 janvier 2015.
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