J’ai déjà eu l’occasion de l’évoquer et le répète ici
clairement afin que l’avertissement puisse être entendu : il est
formellement déconseillé à toute personne de bonne foi d’entrer en
contact avec le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard
Cyprien Luraghi, de Puy-l’Evêque, ou tout autre de ses amis
« déconnologues », comme son alter ego le psychopathe Jean-Marc
Donnadieu, de Béziers, désormais domicilié à une dizaine de kilomètres
de cette ville, ou leur complice Josette Brenterch du NPA de Brest, que
ce soit à mon sujet ou non.
En effet, depuis le 19 juin 2010, ces gens commettent régulièrement à mon encontre le délit d’atteinte à l’intimité de la vie privée qui consiste à révéler au public mon identité alors que je m’y suis toujours formellement opposée, dans le but d’attirer dans leurs filets des témoins de ma vraie vie afin de les éliminer, pour pouvoir à terme publier très tranquillement leur propre version de ma biographie en la présentant comme véridique alors qu’il ne s’agit que d’une montagne d’affabulations délirantes.
Visiblement, ils attendent aussi que je sois tuée par un de leurs fans et continuent donc à les exciter à mon encontre dans cette perspective.
Ils cherchent encore de même à se débarrasser de tous mes proches, mes amis, ma famille, afin que leur « Konducator » le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi puisse un jour, comme il en a toujours eu l’intention et l’annonce publiquement depuis 2009, publier sa version calomnieuse et particulièrement infamante de nos biographies sans craindre aucun procès de notre part.
Après qu’ils eurent commencé à en publier quelques aperçus, chapitres ou résumés à compter du 19 juin 2010, j’avais naturellement porté plainte contre eux, mais les magistrats de mon tribunal de province n’ont toujours pris à propos de nos différends que des décisions qui satisfassent entièrement ces délinquants ou criminels.
Ils n’avaient donc accepté de diligenter des « enquêtes » préliminaires à la suite de mes premières plaintes que dans le but de recueillir leurs « témoignages » forcément à charge contre moi, puis ils ont toujours catégoriquement refusé de considérer mes plaintes et les divers éléments de preuve que je pouvais leur apporter.
Tout ce qui les intéressait, c’était de pouvoir m’enfoncer en accréditant judiciairement les délires et accusations mensongères de nouveaux malades mentaux, comme ils l’avaient déjà fait par le passé avec d’autres psychopathes, délinquants ou criminels.
Ces magistrats ont tellement la haine des femmes ingénieurs que dès qu’un malade mental se présente pour en accuser une de n’importe quoi, ils sautent sur l’occasion qui leur est offerte de lui faire sa fête. Ils sont brestois. L’ouvriérisme brestois est une maladie très contagieuse. Passons…
Lorsqu’en 2011 Pascal Edouard Cyprien Luraghi, Josette Brenterch et Jean-Marc Donnadieu ont été interrogés successivement à la suite de mes premières plaintes à leur encontre, les magistrats du Tribunal de Grande Instance de Brest savaient déjà depuis plusieurs mois quelles pourraient être leurs déclarations me concernant. Ils ont été servis. Ils l’ont été d’autant mieux que leur complice Josette Brenterch du NPA de Brest dirigeait toutes les opérations.
Puis ils l’ont suivie à la lettre dans ses poursuites à mon encontre, en sachant pertinemment qu’elle mentait dans toutes ses déclarations aux autorités judiciaires, d’ailleurs contradictoires de l’une à l’autre.
Le 11 juin 2013, elle en obtenait exactement ce qu’elle avait demandé, à savoir, non seulement toutes les sommes réclamées et l’affichage de la condamnation dans les deux journaux locaux aux frais des condamnés, mais également les lourdes condamnations dont il s’agissait, toutes ses « interprétations » fallacieuses des faits qui nous opposaient, et jusqu’à l’innovation juridique dont elle était l’auteure à l’égard de mon hébergeur de blog OverBlog depuis l’automne 2010.
En effet, c’est bien elle qui depuis cette époque soutenait « manifestement illicites » toutes mes publications ayant eu pour but de rétablir la vérité à la suite de ses campagnes de calomnies publiques à mon encontre.
La Cour d’Appel de Rennes a heureusement balayé tous ces délires en annulant ce premier jugement et toute la procédure l’ayant précédé le 2 décembre 2015.
S’il suffit de se reporter à sa décision pour en connaître tous les motifs, il est aussi utile de rappeler que même à ce niveau les magistrats n’appliquent pas toujours le droit à la lettre. Ils sont notamment enclins à prononcer des condamnations lorsqu’ils devraient tout annuler s’ils estiment que les possibles infractions commises le justifient.
Or, ce n’est pas ce qu’ils ont fait le 2 décembre dernier dans l’affaire qui nous intéresse.
Mais j’avais pu me faire entendre sur le fond comme sur la forme, mon avocat ayant plaidé de manière subsidiaire l’exception de bonne foi.
Cela signifie que même si les magistrats avaient estimé devoir rejeter toutes nos demandes d’annulation, ils avaient entre les mains suffisamment d’éléments probants quant à mon innocence ou à la culpabilité de Josette Brenterch à mon égard pour prononcer ma relaxe au motif de la bonne foi.
Dans ces conditions, ils ne pouvaient être tentés de passer outre toutes les irrégularités de la procédure soulevées par mon avocat demandant son annulation pour cette raison.
Je ne suis coupable de rien, mais bien victime d’une bande de délinquants et criminels ayant par-dessus le marché tenté de m’escroquer à l’aide de dénonciations calomnieuses dont l’un des objectifs était également de faire accroire que toutes leurs allégations mensongères me concernant fussent la vérité.
Or, ce sont bien eux qui depuis le début de nos différends ne cessent de mentir et d’inventer n’importe quoi pour me calomnier.
Ils ont aussi fait bien d’autres victimes que moi, des victimes des mêmes infractions, dont ils se rendent coupables à l’égard de nombreuses personnes, internautes ou non : injures et diffamations publiques, atteintes à l’intimité de la vie privée, piratages informatiques, écoutes téléphoniques illégales, dénonciations calomnieuses, harcèlement sexuel, harcèlement moral, harcèlement téléphonique, incitations au suicide, mises en danger de la vie d’autrui, menaces de mort, menaces de viols ou d’autres violences.
Mais il y a encore plus grave dans la mesure où des témoins de leurs innombrables exactions à mon encontre ont effectivement été assassinés, notamment en 2011.
J’ignore comment le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi avait repéré ces personnes.
En revanche, je sais qu’il n’a jamais accepté sur ses blogs aucun des commentaires d’internautes qui le contredisaient à propos de ses cibles ou tentaient de le modérer dans ses diverses attaques à notre encontre.
Il menaçait ces internautes de leur faire subir les mêmes traitements auxquels il nous soumettait déjà, après les avoir eux aussi « étudiés » à l’aide de piratages informatiques et d’écoutes téléphoniques illégales.
Aurait-il été menacé en retour de nouvelles plaintes semblables aux miennes ?
Quoi qu’il en soit, des personnes que les deux psychopathes Jean-Marc Donnadieu et Pascal Edouard Cyprien Luraghi menaçaient effectivement ont bien été assassinées.
En effet, depuis le 19 juin 2010, ces gens commettent régulièrement à mon encontre le délit d’atteinte à l’intimité de la vie privée qui consiste à révéler au public mon identité alors que je m’y suis toujours formellement opposée, dans le but d’attirer dans leurs filets des témoins de ma vraie vie afin de les éliminer, pour pouvoir à terme publier très tranquillement leur propre version de ma biographie en la présentant comme véridique alors qu’il ne s’agit que d’une montagne d’affabulations délirantes.
Visiblement, ils attendent aussi que je sois tuée par un de leurs fans et continuent donc à les exciter à mon encontre dans cette perspective.
Ils cherchent encore de même à se débarrasser de tous mes proches, mes amis, ma famille, afin que leur « Konducator » le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi puisse un jour, comme il en a toujours eu l’intention et l’annonce publiquement depuis 2009, publier sa version calomnieuse et particulièrement infamante de nos biographies sans craindre aucun procès de notre part.
Après qu’ils eurent commencé à en publier quelques aperçus, chapitres ou résumés à compter du 19 juin 2010, j’avais naturellement porté plainte contre eux, mais les magistrats de mon tribunal de province n’ont toujours pris à propos de nos différends que des décisions qui satisfassent entièrement ces délinquants ou criminels.
Ils n’avaient donc accepté de diligenter des « enquêtes » préliminaires à la suite de mes premières plaintes que dans le but de recueillir leurs « témoignages » forcément à charge contre moi, puis ils ont toujours catégoriquement refusé de considérer mes plaintes et les divers éléments de preuve que je pouvais leur apporter.
Tout ce qui les intéressait, c’était de pouvoir m’enfoncer en accréditant judiciairement les délires et accusations mensongères de nouveaux malades mentaux, comme ils l’avaient déjà fait par le passé avec d’autres psychopathes, délinquants ou criminels.
Ces magistrats ont tellement la haine des femmes ingénieurs que dès qu’un malade mental se présente pour en accuser une de n’importe quoi, ils sautent sur l’occasion qui leur est offerte de lui faire sa fête. Ils sont brestois. L’ouvriérisme brestois est une maladie très contagieuse. Passons…
Lorsqu’en 2011 Pascal Edouard Cyprien Luraghi, Josette Brenterch et Jean-Marc Donnadieu ont été interrogés successivement à la suite de mes premières plaintes à leur encontre, les magistrats du Tribunal de Grande Instance de Brest savaient déjà depuis plusieurs mois quelles pourraient être leurs déclarations me concernant. Ils ont été servis. Ils l’ont été d’autant mieux que leur complice Josette Brenterch du NPA de Brest dirigeait toutes les opérations.
Puis ils l’ont suivie à la lettre dans ses poursuites à mon encontre, en sachant pertinemment qu’elle mentait dans toutes ses déclarations aux autorités judiciaires, d’ailleurs contradictoires de l’une à l’autre.
Le 11 juin 2013, elle en obtenait exactement ce qu’elle avait demandé, à savoir, non seulement toutes les sommes réclamées et l’affichage de la condamnation dans les deux journaux locaux aux frais des condamnés, mais également les lourdes condamnations dont il s’agissait, toutes ses « interprétations » fallacieuses des faits qui nous opposaient, et jusqu’à l’innovation juridique dont elle était l’auteure à l’égard de mon hébergeur de blog OverBlog depuis l’automne 2010.
En effet, c’est bien elle qui depuis cette époque soutenait « manifestement illicites » toutes mes publications ayant eu pour but de rétablir la vérité à la suite de ses campagnes de calomnies publiques à mon encontre.
La Cour d’Appel de Rennes a heureusement balayé tous ces délires en annulant ce premier jugement et toute la procédure l’ayant précédé le 2 décembre 2015.
S’il suffit de se reporter à sa décision pour en connaître tous les motifs, il est aussi utile de rappeler que même à ce niveau les magistrats n’appliquent pas toujours le droit à la lettre. Ils sont notamment enclins à prononcer des condamnations lorsqu’ils devraient tout annuler s’ils estiment que les possibles infractions commises le justifient.
Or, ce n’est pas ce qu’ils ont fait le 2 décembre dernier dans l’affaire qui nous intéresse.
Mais j’avais pu me faire entendre sur le fond comme sur la forme, mon avocat ayant plaidé de manière subsidiaire l’exception de bonne foi.
Cela signifie que même si les magistrats avaient estimé devoir rejeter toutes nos demandes d’annulation, ils avaient entre les mains suffisamment d’éléments probants quant à mon innocence ou à la culpabilité de Josette Brenterch à mon égard pour prononcer ma relaxe au motif de la bonne foi.
Dans ces conditions, ils ne pouvaient être tentés de passer outre toutes les irrégularités de la procédure soulevées par mon avocat demandant son annulation pour cette raison.
Je ne suis coupable de rien, mais bien victime d’une bande de délinquants et criminels ayant par-dessus le marché tenté de m’escroquer à l’aide de dénonciations calomnieuses dont l’un des objectifs était également de faire accroire que toutes leurs allégations mensongères me concernant fussent la vérité.
Or, ce sont bien eux qui depuis le début de nos différends ne cessent de mentir et d’inventer n’importe quoi pour me calomnier.
Ils ont aussi fait bien d’autres victimes que moi, des victimes des mêmes infractions, dont ils se rendent coupables à l’égard de nombreuses personnes, internautes ou non : injures et diffamations publiques, atteintes à l’intimité de la vie privée, piratages informatiques, écoutes téléphoniques illégales, dénonciations calomnieuses, harcèlement sexuel, harcèlement moral, harcèlement téléphonique, incitations au suicide, mises en danger de la vie d’autrui, menaces de mort, menaces de viols ou d’autres violences.
Mais il y a encore plus grave dans la mesure où des témoins de leurs innombrables exactions à mon encontre ont effectivement été assassinés, notamment en 2011.
J’ignore comment le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi avait repéré ces personnes.
En revanche, je sais qu’il n’a jamais accepté sur ses blogs aucun des commentaires d’internautes qui le contredisaient à propos de ses cibles ou tentaient de le modérer dans ses diverses attaques à notre encontre.
Il menaçait ces internautes de leur faire subir les mêmes traitements auxquels il nous soumettait déjà, après les avoir eux aussi « étudiés » à l’aide de piratages informatiques et d’écoutes téléphoniques illégales.
Aurait-il été menacé en retour de nouvelles plaintes semblables aux miennes ?
Quoi qu’il en soit, des personnes que les deux psychopathes Jean-Marc Donnadieu et Pascal Edouard Cyprien Luraghi menaçaient effectivement ont bien été assassinées.
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