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dimanche 26 juin 2016
Des amis de NEMROD34 lisent sa lettre de dénonciation du 2 octobre 2010
Ils viennent même assez nombreux pour lire ce torchon, ce qui n’est pas habituel de leur part pour mes articles concernant ce malade mental ou ses exactions diverses et variées à mon encontre.
Visiblement, donc, ils ne le connaissaient pas tous.
Certains d’entre eux doivent s’arracher les cheveux à la lecture des incroyables inventions calomnieuses de Jean-Marc Donnadieu à mon encontre, et la découverte tout aussi ébouriffante de son étonnante familiarité avec le procureur de la République de Brest, qu’il tutoie en lui parlant de son ex-femme (en a-t-il vraiment une ? NEMROD34 la connaît-il vraiment ? ou bien part-il du principe que tout homme a bien une ex quelque part ?) et de son « entreprise » (la justice brestoise, probablement, à moins que le procureur de la République de Brest ne soit le véritable patron des activités illicites du psychopathe et de ses complices cyberdélinquants, ou que Jean-Marc Donnadieu ne le considère comme tel).
A l’époque où il m’avait transmis sa lettre de dénonciation du 2 octobre 2010, c’est-à-dire début janvier 2011, je l’avais montrée à plusieurs personnes de mon entourage. Nous en étions tous morts de rire. Consternés, aussi, voire effrayés, car la justice brestoise avait bien pris au sérieux le délateur pourtant à l’évidence délirant.
On notera au passage qu’il avait su me désigner au procureur de la République de Brest par mon nom et mon prénom, que j’ai masqués dans la copie de sa lettre que j’ai mise à disposition du public sur ce blog.
Or, cinq mois plus tard, il attaquera en référé devant le Tribunal de Grande Instance de Béziers mon seul hébergeur de blog OverBlog au prétexte qu’il n’aurait pu en obtenir mon identité, qu’en réalité il connaissait depuis le début de ses harcèlements à mon encontre, au printemps 2010.
Qui, parmi ses amis de tous horizons, ne se souvient de toute la publicité qu’il a faite à ce sujet sur différents sites à compter de l’année 2011 ?
Il racontait partout qu’il n’aurait pas eu mon identité avant d’avoir été interrogé au commissariat de Béziers le 12 juillet 2011 à la suite d’une plainte que j’avais déposée contre lui quelques mois plus tôt… en raison de sa participation aux lynchages publics organisés à mon encontre par son ami et complice le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi… avec révélation au public de mon identité et de mes coordonnées…
La vérité, c’est qu’il avait décidé de m’écarter de cette procédure pour pouvoir me calomnier en toute liberté, sans craindre d’être trop contredit, afin d’obtenir plus facilement la condamnation de ses voeux.
Tout comme ses complices Cyprien Luraghi, Josette Brenterch et autres « déconnologues », l’escroc n’a jamais cessé de mentir et d’affabuler.
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