Son commerce « Toubib Burger », créé à Béziers le 1er mars 2006, pourrait avoir inspiré le djihadiste Larossi Abballa, auteur du double assassinat commis lundi 13 juin 2016 à Magnanville, pour son activité semblable de « Dr Food » débutée au mois de janvier 2016.
Originaire de Strasbourg, comme le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui se dit « islammigré », Alain Courmont, 45 ans cette année, a ensuite vécu à Toulouse où il aurait connu des membres de la famille Merah.
Converti à l’Islam et fiché « S », il aurait été contraint de s’éloigner de Toulouse à la suite d’ennuis judiciaires et avec les services de renseignement. Il se serait alors installé à Béziers où il résidait donc depuis 2006 au moins.
Déjà condamné en 2013 à deux ans de prison dont un avec sursis pour détention de cannabis et d’armes à feu à la suite d’une interpellation remontant à 2010, il avait été condamné à une nouvelle année de prison pour apologie du terrorisme au mois d’octobre dernier et devait sortir vendredi, 17 juin 2016.
S’agirait-il d’une connaissance du cyberdélinquant Jean-Marc Donnadieu, de Béziers, un gros consommateur de cannabis qui explique dans ses nombreux écrits publics, entre autres choses, en cultiver à son domicile et fréquenter de nombreux repris de justice ? ou de Sébastien Sarron, auteur de l’attentat du 22 décembre 2014 à Nantes, autre consommateur régulier de cannabis ayant lui aussi vécu à Béziers où il avait été mêlé à une affaire de vol et recel en 2006 ?
Rappelons qu’un des policiers assassinés lundi était originaire de Pézenas, où il retournait régulièrement passer des vacances.
Quant à Jean-Marc Donnadieu, il se rend régulièrement à Pézenas pour rendre visite à l’une de ses anciennes maîtresses et ne fréquente le Cap d’Agde que de nuit, comme nombre de ses congénères échangistes et/ou adeptes de pratiques sado-masochistes.
Sébastien Sarron avait aussi vécu au Cap d’Agde où il avait effectué une spécialisation pour devenir paysagiste.
Il reste surprenant qu’avant de commettre son attentat de Noël quelques jours seulement avant ceux de janvier 2015 à Paris, ce dernier ait eu peur d’être exécuté par des services secrets.
http://www.midilibre.fr/2016/06/17/il-voulait-commettre-un-attentat-au-cap-d-agde,1351167.php
Béziers : il projette un attentat au Cap-d’Agde car il « n’aime pas les culs-nus »
il y a 14 heures 93 JEAN-PIERRE AMARGER
D énoncé par des codétenus, un homme déjà bien connu à Béziers a été condamné à six mois de détention ce vendredi à Béziers. Il avait déjà été condamné au mois d’octobre pour apologie de terrorisme.
Le prévenu qui était à la barre du tribunal de Béziers, ce vendredi, a
été condamné au mois d’octobre dernier à un an de prison pour apologie
de terrorisme. Hier, il lui était reproché d’avoir voulu commettre un
attentat au camp naturiste dès sa sortie de détention prévue pour ce
vendredi 17 juin. Il a été condamné à six mois de prison supplémentaire.
Ce détenu en question n’est autre qu’Alain C., le gérant du restaurant Toubib Burger qui était installé sur les Allées de Béziers. Il a fait parler de lui sur l’ensemble du territoire national à la suite de ces propositions de menus (Menu Kalach, Grenade, Famas) et de son interpellation qui on fait grand bruit en septembre 2015.
Les accusations reposent sur le témoignage de plusieurs détenus qui l’accusent de prosélytismes, d’appels à la prière trop bruyants, de propos antisémites et donc d’avoir dit qu’il voulait commettre un attentat au Cap d’Agde car il n’aimait pas les “culs nus”.
« Je reconnais le tapage, mais je n’ai jamais dit rien d’autre. Je suis à l’isolement depuis 9 mois. À qui voulez-vous que je parle ? Je ne vois que des agents en bleu et je ne savais même pas que celui qui m’a dénoncé était juif. Il dénonce les gens pour obtenir des transferts. J’ai pris une leçon au mois d’octobre. J’ai compris. Là, c’est de l’acharnement. »
« Non, il n’y a pas d’acharnement, insiste le procureur Calvet. Cette procédure est le résultat de plusieurs plaintes et de menaces. Il est des sujets sur lesquels on ne plaisante pas. Commettre un attentat en est un. Vos propos sont intolérables et cela même si c’est un homme qui a des difficultés psychologiques qui les rapportent. Je ne sais pas si vous avez tiré les enseignements de votre détention. C’est pour cela que je vais requérir huit mois de détention. »
Pour Me Luc Abratckiewick qui défend le prévenu : « On doit faire preuve de la plus grande objectivité dans ce dossier. Il n’y a pas de preuves de ce qu’avance le détenu qui le dénonce. En plus il y a des choses que je ne peux pas dire en audience publique sur le passé de ce détenu et vous le savez très bien. Nous ne devons pas avancer dans une lutte sur l’émotion. Mon client fait l’objet d’une surveillance particulière. Il a une fiche classée secrète et vous l’avez dans son dossier. Vous pouvez vous rendre compte que même le SRPJ ne sait pas qu’il est à l’isolement. Cette note le démontre. Les sources anonymes tout le monde les connaît. Expliquez-moi comment peut-il faire du prosélytisme auprès des jeunes de la prison alors qu’il est à l’isolement. Il y a du mépris envers lui. On lui fait payer de ne pas vouloir collaborer On lui a même retiré 50 jours de remise de peine en argumentant qu’il ne fait pas d’effort pour se soigner alors qu’il se fait suivre par un psy en prison. Il est de plus accusé par un détenu à qui on laisse un ordinateur, une clé USB et un téléphone. Cela vous paraît-il cohérent ? Je vous demande d’aller à la relaxe car il n’est rien d’autre qu’une grande gueule. »
Le prévenu a pris la parole en dernier. « Je suis sorti 20 h en neuf mois dans une pièce de quatre mètres de côté. Je suis comme une bête dans cette cellule. Un de mes accusateurs l’écrit il y a au moins 30 personnes au CD1 et CD2 qui font des appels à la prière. Ils sont radicalisés et on ne fait rien contre eux. Mois je suis à l’isolement. »
http://www.herault-tribune.com/articles/36744/cap-d-agde-un-projet-d-attentat-terroriste-au-village-naturiste-6-mois-de-prison/
CAP D’AGDE – Un « projet » d’attentat terroriste au village naturiste : 6 mois de prison ?
Ce détenu en question n’est autre qu’Alain C., le gérant du restaurant Toubib Burger qui était installé sur les Allées de Béziers. Il a fait parler de lui sur l’ensemble du territoire national à la suite de ces propositions de menus (Menu Kalach, Grenade, Famas) et de son interpellation qui on fait grand bruit en septembre 2015.
Prosélytismes, appels à la prière trop bruyants, propos antisémites
Les accusations reposent sur le témoignage de plusieurs détenus qui l’accusent de prosélytismes, d’appels à la prière trop bruyants, de propos antisémites et donc d’avoir dit qu’il voulait commettre un attentat au Cap d’Agde car il n’aimait pas les “culs nus”.
« Je reconnais le tapage, mais je n’ai jamais dit rien d’autre. Je suis à l’isolement depuis 9 mois. À qui voulez-vous que je parle ? Je ne vois que des agents en bleu et je ne savais même pas que celui qui m’a dénoncé était juif. Il dénonce les gens pour obtenir des transferts. J’ai pris une leçon au mois d’octobre. J’ai compris. Là, c’est de l’acharnement. »
« Non, il n’y a pas d’acharnement, insiste le procureur Calvet. Cette procédure est le résultat de plusieurs plaintes et de menaces. Il est des sujets sur lesquels on ne plaisante pas. Commettre un attentat en est un. Vos propos sont intolérables et cela même si c’est un homme qui a des difficultés psychologiques qui les rapportent. Je ne sais pas si vous avez tiré les enseignements de votre détention. C’est pour cela que je vais requérir huit mois de détention. »
À l’isolement depuis 9 mois
Pour Me Luc Abratckiewick qui défend le prévenu : « On doit faire preuve de la plus grande objectivité dans ce dossier. Il n’y a pas de preuves de ce qu’avance le détenu qui le dénonce. En plus il y a des choses que je ne peux pas dire en audience publique sur le passé de ce détenu et vous le savez très bien. Nous ne devons pas avancer dans une lutte sur l’émotion. Mon client fait l’objet d’une surveillance particulière. Il a une fiche classée secrète et vous l’avez dans son dossier. Vous pouvez vous rendre compte que même le SRPJ ne sait pas qu’il est à l’isolement. Cette note le démontre. Les sources anonymes tout le monde les connaît. Expliquez-moi comment peut-il faire du prosélytisme auprès des jeunes de la prison alors qu’il est à l’isolement. Il y a du mépris envers lui. On lui fait payer de ne pas vouloir collaborer On lui a même retiré 50 jours de remise de peine en argumentant qu’il ne fait pas d’effort pour se soigner alors qu’il se fait suivre par un psy en prison. Il est de plus accusé par un détenu à qui on laisse un ordinateur, une clé USB et un téléphone. Cela vous paraît-il cohérent ? Je vous demande d’aller à la relaxe car il n’est rien d’autre qu’une grande gueule. »
Le prévenu a pris la parole en dernier. « Je suis sorti 20 h en neuf mois dans une pièce de quatre mètres de côté. Je suis comme une bête dans cette cellule. Un de mes accusateurs l’écrit il y a au moins 30 personnes au CD1 et CD2 qui font des appels à la prière. Ils sont radicalisés et on ne fait rien contre eux. Mois je suis à l’isolement. »
http://www.herault-tribune.com/articles/36744/cap-d-agde-un-projet-d-attentat-terroriste-au-village-naturiste-6-mois-de-prison/
CAP D’AGDE – Un « projet » d’attentat terroriste au village naturiste : 6 mois de prison ?
Le titre de notre confère MIDI LIBRE » Il voulait commettre un attentat au Cap d’Agde « a été repris en choeur par de très nombreux médias nationaux au premier rang desquels l’hebdomadaire L’EXPRESS. Les chaines de télévision numériques ne devraient pas être en reste pour relayer cette information qui à une semaine de la pleine saison a tout lieu d’inquiéter les quelques centaines de milliers de vacanciers attirés par la qualité des rivages agathois et la diversité de l’offre touristique proposée par la première station touristique Européenne.
CINQ COLONNES …et SIX MOIS
Le titre sur CINQ COLONNES à LA UNE n’est pas là pour les rassurer. Il inquiète légitimement les centaines de professionnels du tourisme dont le début de saison a déjà été perturbé par la météo, les grèves et les attentats.
Les SIX MOIS DE PRISON écopés par le prévenu pour ce « projet » d’attentat semblent peu de chose en rapport avec la taille de la manchette éditoriale du quotidien régional. La question mérite d’être posée.
Si le projet d’attentat terroriste précité est avéré, la peine est ridicule en regard des textes de loi qui prévoient selon l’article 421-5 du code pénal que participer à une entreprise terroriste en vue de la préparation d’un attentat est puni de dix ans d’emprisonnement .
La simple « apologie du terrorisme » est, pour sa part punie d’une peine de cinq ans d’emprisonnement et de 75.000 euros d’amende. Où le titre est trop gros ou la peine est trop faible ! Manifestement il y a de quoi être perplexe.
Que s’est il passé ?
Le gérant d’un fast food » biterrois à l’enseigne de «TOUBIB BURGER » qui proposait des menus » AK-47 « , “Grenade” ou encore “K-lach » avait été condamné le 17 octobre dernier à un an de prison par le tribunal de Béziers pour apologie du terrorisme et détention d’armes. Une peine assortie de 5 ans d’interdiction d’exercer. Les policiers avaient retrouvé un fusil et des munitions à son domicile alors que le prévednu portait un T-Shirt arborant l’inscription « Daesh »
Incarcéré depuis à BEZIERS, il était libérable ce Vendredi 17 Juin 2016 après 8 mois de détention et vient d’être condamné à nouveau à six mois de plus derrière les barreaux pour le même motif en récidive : Apologie du terrorisme.
Au mois de mai des informations sont recueillies par le personnel pénitentiaire et le directeur de la maison d’arrêt du Gasquinoy à Béziers : Un co-détenu les informent que l’homme projetterait d’aller perpétrer un attentat le jour de sa libération au village naturiste du Cap d’Adge.
En période d’Etat d’urgence et après la vague d’attentats survenus ces derniéres mois, l’affaire n’est pas prise à la légère par le procureur de la République de BEZIERS. Celui ci confie l’enquête aux policiers du SRPJ de Montpellier qui conduit à la comparution du détenu vendredi 17 juin devant le tribunal correctionnel de BEZIERS.
Une aversion particulière pour les « culs-nus
Plusieurs de ses codétenus témoignent du prosélytisme de l’individu qui lancerait des appels à la prière et tiendrait des propos antisémites. Ils témoignent également d’une aversion particulière pour les « culs-nus » qui le conduirait à envisager une action terroriste le jour de sa sortie de prison.
Un détenu à l’isolement et des propos démentis
L’homme a nié avoir proféré lesdites menaces. Il assure qu’il se trouvait à l’isolement depuis son incarcération et qu’il ne serait sorti qu’une vingtaine d heures en promenade en huit mois d’incarcération. Il aurait ainsi déclaré à l’audience « : » À qui voulez-vous que je parle ? Je ne vois que des agents en bleu ». Pour sa défense il évoque la basse vengeance de son codétenu
Après délibéré, les juges ont suivi les réquisitions du procureur en condamnant le commerçant biterrois à six mois de détention supplémentaire.
Un terreau à risque ?
Cette nouvelle médiatisation met le Cap d’Agde sous les feux des projecteurs parce qu’il représente un symbole de la fête et d’une forme de divertissement.
En Février dernier, le Cap d’Agde n’était pas cité , mais chacun pensait au risque lorsque 6 terroristes projetant de s’attaquer à des clubs échangistes avaient été arrêtés en Région Lyonnaise. Le récent attentat homophobe à l’intérieur d’une discothèque Gay d’Orlando peut également raviver certaines craintes, mais il en est de même pour toutes les activités festives cafés, lieux de culte, festivals et concertsde l’héxagone.
Le risque d’attentat existe, ici comme ailleurs ! Il est partout. Il faut en avoir conscience, mais le meilleur moyen de résister est de continuer à sortir, à vivre en société, à maintenir notre mode de vie.
Il serait absurde de céder à la panique et de déserter les lieux de convivialité et de fête ou encore les lieux touristiques, ce serait faire la part trop belle à ceux qui souhaitent par leurs méthodes nous en éloigner.
Plus de policiers, plus de renforts saisonniers.
Cette sur médiatisation devrait conduire légitimement nos gouvernants de tous bords politiques confondus a réclamer dés demain et à obtenir très rapidement plus de policiers, plus de gendarmes et plus de renforts saisonniers sur notre station balnéaire pour garantir encore plus de sécurité aux 250 000 touristes qui cette année encore nous assureront de leur fidélité.
Voir la vidéo du magazine Complément d’enquête » diffusée le 15 Octobre dernier
http://www.europe1.fr/faits-divers/beziers-un-gerant-de-kebab-proche-de-merah-arrete-pour-apologie-du-terrorisme-2516087
Béziers : un gérant de kebab, proche de Merah, arrêté pour apologie du terrorisme
07h42, le 17 septembre 2015, modifié à 22h10, le 17 septembre 2015
Un homme, considéré comme une connaissance des frères Merah, a été interpellé pour apologie du terrorisme à Béziers et placé en garde à vue, a-t-on appris mercredi de source judiciaire.
INFO EUROPE 1Un kebab au « Toubib burger » ? Sur le logo de
l’enseigne, la barre du « T » est représentée par un fusil d’assaut.
C’est devant son fast-food un peu spécial qu’un homme, soupçonné d’être
une connaissance des frères Merah,
a été arrêté à Béziers et placé en garde à vue, a-t-on appris de source
judiciaire. Le dossier en l’état ne devrait pas être transmis au
parquet anti-terrorisme à Paris, a toutefois précisé la même source.
Un menu « AK47″. C’est un signalement au parquet de Béziers qui a déclenché une enquête du service régional de police judiciaire (SRPJ) de Montpellier. Dans son établissement ouvert, depuis 2006, l’homme proposait en effet, selon nos informations, des menus très particuliers. Un kebab-frites-boisson ? La maison vous suggère la gamme de formules « Rafales » avec, par exemple, pour 7 euros, le « menu AK47″ ou le « menu M16″, du nom de fusils d’assaut.
Le client peut aussi opter pour des menus aux noms d’explosifs : « menu C4″ ou encore le « menu Grenade », à 6,50 euros. Quant à la carte de fidélité, elle présente des cases en forme de cibles. Mais en garde à vue, le restaurateur minimise. Il parle d’ »un peu de marketing » pour attirer les jeunes dans son fast-food, situé en plein cœur de la ville dirigée par Robert Ménard, élu avec le soutien du FN.
Eloigné de Toulouse, ville des Merah. Converti à l’islam, ce Français, ex-catholique de 44 ans, faisait l’objet d’une fiche S par la DGSI. Il a déjà été condamné à deux ans de prison, dont un an avec sursis pour la détention de six kilos de cannabis, de deux fusils d’assaut et d’une arme de poing. Cette fois-ci, les enquêteurs ont découvert à son domicile un fusil.
En outre, l’homme avait déjà été interpellé à Toulouse puis éloigné de la ville. C’est dans la cité Rose que les frères Merah étaient établis, dont Mohamed, le plus jeune et l’auteur des tueries de Montauban et Toulouse, en 2012.
Des répliques d’armes accrochées au mur. D’après nos informations, l’homme porterait régulièrement un tee-shirt sur lequel figure la chahada, la profession de foi de l’islam, « Il n’y a de Dieu que Dieu et Mahomet est son prophète », qui a été reprise par l’Etat islamique sur son étendard. Le quadragénaire se baladerait également avec une cartouchière vide et aurait accroché, entre deux versets du Coran, des répliques d’armes aux murs de son établissement.
Sur Facebook, l’individu relayait ou « likait » des vidéos de propagande islamiste. Ces pages ont donc été fermées, les unes après les autres. Du coup, il a ouvert la dernière en date sur la version russe du réseau social. Depuis son arrestation, son fils a ôté toutes les décorations et les menus évocateurs du restaurant familial. Le suspect, lui, devrait être déféré devant la justice jeudi, a précisé une source judiciaire.
Un menu « AK47″. C’est un signalement au parquet de Béziers qui a déclenché une enquête du service régional de police judiciaire (SRPJ) de Montpellier. Dans son établissement ouvert, depuis 2006, l’homme proposait en effet, selon nos informations, des menus très particuliers. Un kebab-frites-boisson ? La maison vous suggère la gamme de formules « Rafales » avec, par exemple, pour 7 euros, le « menu AK47″ ou le « menu M16″, du nom de fusils d’assaut.
Le client peut aussi opter pour des menus aux noms d’explosifs : « menu C4″ ou encore le « menu Grenade », à 6,50 euros. Quant à la carte de fidélité, elle présente des cases en forme de cibles. Mais en garde à vue, le restaurateur minimise. Il parle d’ »un peu de marketing » pour attirer les jeunes dans son fast-food, situé en plein cœur de la ville dirigée par Robert Ménard, élu avec le soutien du FN.
Eloigné de Toulouse, ville des Merah. Converti à l’islam, ce Français, ex-catholique de 44 ans, faisait l’objet d’une fiche S par la DGSI. Il a déjà été condamné à deux ans de prison, dont un an avec sursis pour la détention de six kilos de cannabis, de deux fusils d’assaut et d’une arme de poing. Cette fois-ci, les enquêteurs ont découvert à son domicile un fusil.
En outre, l’homme avait déjà été interpellé à Toulouse puis éloigné de la ville. C’est dans la cité Rose que les frères Merah étaient établis, dont Mohamed, le plus jeune et l’auteur des tueries de Montauban et Toulouse, en 2012.
Des répliques d’armes accrochées au mur. D’après nos informations, l’homme porterait régulièrement un tee-shirt sur lequel figure la chahada, la profession de foi de l’islam, « Il n’y a de Dieu que Dieu et Mahomet est son prophète », qui a été reprise par l’Etat islamique sur son étendard. Le quadragénaire se baladerait également avec une cartouchière vide et aurait accroché, entre deux versets du Coran, des répliques d’armes aux murs de son établissement.
Sur Facebook, l’individu relayait ou « likait » des vidéos de propagande islamiste. Ces pages ont donc été fermées, les unes après les autres. Du coup, il a ouvert la dernière en date sur la version russe du réseau social. Depuis son arrestation, son fils a ôté toutes les décorations et les menus évocateurs du restaurant familial. Le suspect, lui, devrait être déféré devant la justice jeudi, a précisé une source judiciaire.
http://www.midilibre.fr/2015/09/17/un-biterrois-poursuivi-pour-apologie-de-terrorisme,1214915.php
Hérault : le Biterrois poursuivi pour apologie de terrorisme jugé ce vendredi
il y a 275 jours 36 JEAN-PIERRE AMARGER
L e suspect a été interpellé mardi. Il sera présenté, ce vendredi, en comparution immédiate devant le tribunal.
À la carte chez Toubib Burger à Béziers, des menus “Grenade”, “k’lach”, “M16”, “Famas” et “Calibre 12”. C’est devant son snack, situé sur les Allées Paul-Riquet, qu’un homme de 44 ans, a été interpellé par les hommes de la section criminelle du SRPJ de Montpellier, mardi peu avant midi. Il était en compagnie de son frère. Après une fouille en règle du Toubib Burger et de son domicile, où un fusil a été découvert, Alain C. a été maintenu en garde à vue dans les locaux de la police, à Montpellier.
Il faisait aussi l’objet d’une fiche “S”
Le suspect a été placé ce jeudi en détention provisoire. Selon le procureur de la République de Béziers, Yvon Calvet, « il a été mis en examen pour des faits d’apologie de terrorisme, d’acquisition et de détention irrégulières d’armes et munitions, ces délits ayant été commis en état de récidive légale, en raison des condamnations dont il a fait précédemment l’objet. Il a été placé en détention. Il sera présenté, vendredi matin, devant le tribunal de Béziers dans le cadre d’une comparution immédiate. » Et le procureur de poursuivre : « Cet homme aurait eu des contacts, bien avant les attentats de Toulouse et Montauban, avec des membres de la famille Merah. Il faisait aussi l’objet d’une fiche “S”. La poursuite des investigations permettra d’en savoir un peu plus sur lui. » Des affirmations formellement démenties par le frère du suspect.
« Avec mes menus, je veux attirer les jeunes dans mon restaurant »
Alain C. s’est converti à l’islam il y a de nombreuses années. Originaire de Strasbourg, il est parti vivre sur Toulouse. De là, après des ennuis judiciaires, mais aussi avec les services de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI devenue Direction générale de la sécurité intérieure), il a été contraint de quitter la Ville rose et s’est installé à Béziers. Où il a créé, il y a six ans avec son frère, un restaurant qui ne faisait que des livraisons à domicile. Il y a seulement deux mois, Alain C. a ouvert l’établissement des Allés, où il s’est vite imposé par son caractère atypique et sa façon d’aborder les jeunes. Depuis les derniers événements, le restaurant est toujours ouvert aux clients.
« C’est tout sauf un terroriste, affirme Me Luc Abratkiewicz, son avocat. Il a certes un discours surprenant, il est provocateur dans sa façon de vivre, de s’habiller, mais on cherche à l’enfoncer. Je n’en connais pas encore la raison. Elle sortira devant la justice. » L’avocat devrait demander le renvoi de l’affaire lors de l’audience programmée, ce vendredi matin.
« Si je dois me battre, ce n’est pas ici que je le ferai »
Quelques jours avant son interpellation, Midi Libre avait rencontré Alain C. « Oui, je me revendique comme islamiste, radical et favorable au port du voile. Mais je m’explique. Pour moi, un islamiste est un homme, un musulman, qui va se battre pour défendre sa religion. Un homme qui tue des innocents au nom de Dieu n’est pas un vrai musulman, a-t-il affirmé pour se présenter, lors de cet entretien. Je suis radical parce que je m’impose de respecter au plus près les préceptes du coran. Je suis favorable au port du voile, mais si ma femme ne veut pas le faire, je respecte. » Et de continuer : « Si je dois me battre, ce n’est pas ici que je le ferai. La France est mon pays. Je suis né ici et je veux respecter la loi, même si à une époque j’ai pu être très largement en dehors des clous. »
6 kg de cannabis et armes diverses en 2010
En 2010, l’homme a en effet été interpellé à Béziers en possession de six kilos de cannabis et d’armes diverses. Pour cela, il a été condamné à deux ans de prison, dont un an ferme. « J’ai tourné la page. Aujourd’hui, j’entends vivre proprement, dignement, honnêtement. Et je me suis installé dans mon restaurant, il y a deux mois maintenant. D’accord, avoir des menus qui portent le nom d’armes de guerre, c’est provocateur. Mais avec ce concept, je veux attirer les jeunes dans mon restaurant. »Sur l’enseigne, la barre du “T” de Toubib Burger a été remplacée par un fusil d’assaut et, en guise de décoration, au fond de son établissement, on trouve des armes à feu. Des modèles réduits d’une dizaine de centimètres tout au plus. Sauf une, mais c’est là encore une réplique, celle d’un pistolet Luger de la Seconde Guerre mondiale. Mais ce que l’on voit le plus c’est la facture des menus, 7 € pour les plus chers. Le tout entourant des tableaux écrits en arabe et représentants des versets du coran.
http://www.midilibre.fr/2015/10/19/le-restautrateur-biterrois-poursuivi-pour-apologie-de-terrorisme-juge-ce-lundi,1229036.php
Le restaurateur biterrois poursuivi pour apologie de terrorisme jugé ce lundi
il y a 244 jours 73 MIDI LIBRE
A lain C. a été arrêté mi-septembre devant son restaurant le Toubib Burger, à Béziers. Dans son établissement, le suspect proposait des menus dont les noms étaient des armes ou des explosifs. Et sur Facebook, il relayait des documents de propagandes islamistes.
Alain C. est jugé ce lundi 19 octobre devant le tribunal de Béziers en comparution immédiate. Ce restaurateur de 44 ans a été arrêté mi-septembre devant son établissement du centre ville le Toubib Burger
pour apologie de terrorisme et détention d’armes en récidive. Dans son
restaurant, dont le nom comportait un T écrit sous forme de fusil, le
suspect, qui se défend en affirmant qu’il s’agit de marketing, proposait
des menus dont les noms étaient des armes ou des explosifs. La carte de
fidélité comportait, elle, neuf impacts et lorsque le client atteignait
le 10e, il recevait un menu « Grenade ». De surcroît, sur plusieurs de
ses comptes Facebook, le suspect relayait des documents de propagandes
islamistes, ce qui constitue le délit d’apologie du terrorisme.
Lors de la perquisition de son domicile, un fusil et des munitions avaient été découverts. Le suspect a déjà été condamné à deux ans de prison, dont un an avec sursis, pour la détention de 6 kilos de cannabis, de deux fusils d’assaut et d’une arme de poing. Cet homme qui avait pris un nom à consonance musulmane, la religion à laquelle il s’était converti, faisait l’objet d’une fiche S de la DGSI. En outre, il avait également déjà été interpellé à Toulouse où il avait côtoyé les frères Merah, avant de s’éloigner de la ville.
Quelques jours avant son interpellation, Midi Libre avait rencontré Alain C. « Oui, je me revendique comme islamiste, radical et favorable au port du voile. Mais je m’explique. Pour moi, un islamiste est un homme, un musulman, qui va se battre pour défendre sa religion. Un homme qui tue des innocents au nom de Dieu n’est pas un vrai musulman [...] Je suis radical parce que je m’impose de respecter au plus près les préceptes du coran. Je suis favorable au port du voile, mais si ma femme ne veut pas le faire, je respecte [...] Si je dois me battre, ce n’est pas ici que je le ferai. La France est mon pays. Je suis né ici et je veux respecter la loi, même si à une époque j’ai pu être très largement en dehors des clous. »
Me Luc Abratkiewicz, qui défend Alain C., déplorait récemment dans Midi Libre
une situation qu’il juge “disproportionnée au regard du dossier [...]
C’est une caricature de Guantánamo. Mon client a été placé à
l’isolement. Il ne peut voir personne. Pas même sa famille. C’est un
simple fait de l’esprit que d’imaginer qu’il puisse appartenir ou
soutenir Daesh. Cela fait plus de deux ans qu’il fait ses sandwiches et
que les jeunes lui disent Tes K-lach, ils rafalent l’estomac. C’est sa
marque de fabrique. Mon client ne fait pas de prosélytisme. Il
s’intéresse à sa religion, rien de plus. Et c’est tout cela qui
dérange.”
Fiche S de la DGSI
Lors de la perquisition de son domicile, un fusil et des munitions avaient été découverts. Le suspect a déjà été condamné à deux ans de prison, dont un an avec sursis, pour la détention de 6 kilos de cannabis, de deux fusils d’assaut et d’une arme de poing. Cet homme qui avait pris un nom à consonance musulmane, la religion à laquelle il s’était converti, faisait l’objet d’une fiche S de la DGSI. En outre, il avait également déjà été interpellé à Toulouse où il avait côtoyé les frères Merah, avant de s’éloigner de la ville.
« Si je dois me battre, ce n’est pas ici que je le ferai »
Quelques jours avant son interpellation, Midi Libre avait rencontré Alain C. « Oui, je me revendique comme islamiste, radical et favorable au port du voile. Mais je m’explique. Pour moi, un islamiste est un homme, un musulman, qui va se battre pour défendre sa religion. Un homme qui tue des innocents au nom de Dieu n’est pas un vrai musulman [...] Je suis radical parce que je m’impose de respecter au plus près les préceptes du coran. Je suis favorable au port du voile, mais si ma femme ne veut pas le faire, je respecte [...] Si je dois me battre, ce n’est pas ici que je le ferai. La France est mon pays. Je suis né ici et je veux respecter la loi, même si à une époque j’ai pu être très largement en dehors des clous. »
http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/herault/beziers/proces-du-gerant-du-toubib-burger-beziers-je-suis-quelqu-un-qui-aime-les-armes-c-est-tout-833147.html
Procès du gérant du « toubib burger » à Béziers : »Je suis quelqu’un qui aime les armes, c’est tout »
Alain Courmont le patron d’un fast food de Béziers comparaît devant
le tribunal pour apologie du terrorisme. Celui qui proposait des menus
« AK-47″, “Grenade”, “K-lach ne comprend pas ce qu’on lui reproche.
« Je suis converti à l’Islam. C’ est mon seul délit pour vous ».
- S.N. et L.C.
- Publié le 19 octobre 2015 à 15:54, mis à jour le 19 octobre 2015 à 17:51
© Capture Facebook Image Facebook du fast-food allées Paul Riquet de Béziers.
Alain Courmont comparaît depuis 14 h 00 devant le tribunal de grande instance de Béziers : « je comprends pas pourquoi je suis là » a-t-il expliqué à la barre.
Les policiers ont retrouvé un fusil et des munitions chez lui : « je suis quelqu’un qui aime les armes, c’est tout », se défend-il.
Il portait un T-Shirt Daesh : pour lui ce n’est pas un t shirt à l’ effigie de Daesh : » c est une profession de foi qu’il aime bien. Il n’ a mis ce T-shirt qu’une seule fois selon lui, sous un pull, le jour où il a été interpellé.
Il a liké sur Facebook des sites islamistes…par curiosité.
« Je suis pas un terroriste. Je suis quelqu’un de normal. Je suis converti à l’Islam. C’ est mon seul délit pour vous » a lancé le prévenu lors de l’audience, cet après-midi à Béziers.
Le 4 septembre dernier, la préfecture saisit le procureur par courrier. Le gérant du burger « se livrait a des actions de propagande visant a l’ apologie du terrorisme » dans son restaurant. Celui-ci a ouvert le 10 juin sur les allées Paul Riquet. Il possédait un autre snack à Béziers auparavant.
Il propose dans son établissement des menus AK-47″, “Grenade”, “K-lach.
L’homme a été interpellé à Béziers pour apologie du terrorisme, le 16 septembre dernier. Il serait une connaissance des frères Merah. Il a déjà été condamné à deux ans de prison, dont un an avec sursis, notamment pour la détention de 6 kilos de cannabis et détention d’armes en 2013.
3 ans de prison requis
Le procureur de la République a requis une peine de 3 ans de prison dont un an avec sursis assortie d’une interdiction de gérer une société avec maintien en détention.
« On est dans la peur du musulman » selon l’avocat de la défense
L’avocat de la défense Me Abratkiewicz estime dans sa plaidoirie que « l‘on est dans la peur du musulman« . « Il ne fait pas l’apologie d’actes terroristes, explique l’avocat d’Alain Courmont, peut-être l’apologie de l’Islam, ce qui n’est pas la même chose. »
Un an de prison ferme
Le tribunal de grande instance de Béziers a condamné le gérant du « toubib burger » à un an de prison ferme et cinq ans d’interdiction d’exercer.
Sandrine Navas suit l’audience de Béziers. A suivre son reportage dans l’édition de 19 h 00.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/herault/beziers/proces-du-gerant-du-toubib-burger-beziers-un-de-prison-pour-apologie-du-terrorisme-et-detention-d-armes-833281.html
Procès du gérant du « toubib burger » à Béziers : un an de prison pour apologie du terrorisme et détention d’armes
Le gérant du « toubib burger » qui proposait des menus « AK-47″,
“Grenade”, “K-lach » a été condamné à un an de prison par le tribunal de
Béziers pour apologie du terrorisme et détention d’armes. Une peine
assortie de 5 ans d’interdiction d’exercer.
Le 4 septembre dernier, la préfecture de l’Hérault saisit le
procureur par courrier. Le gérant du burger Alain Courmont « se livrait a
des actions de propagande visant à l’ apologie du terrorisme » dans son
restaurant. Il propose dans son établissement des menus AK-47″,
“Grenade”, “K-lach ».
Devant le tribunal, Alain Courmont le patron d’un fast food de Béziers a dit ne pas comprendre ce qu’on lui reproche. « Je suis converti à l’Islam. C’est mon seul délit pour vous ». a-t-il déclaré. »Je suis quelqu’un qui aime les armes, c’est tout. »
Les policiers ont retrouvé un fusil et des munitions à son domicile.
Il portait un T-Shirt Daesh : pour lui ce n’est pas un t shirt à l’ effigie de Daesh : » c’est une profession de foi qu’il aime bien ». Il n’ a mis ce T-shirt qu’ une seule fois selon lui, sous un pull, le jour ou il a été interpellé..
Il a liké sur Facebook des sites islamistes…par curiosité explique-t-il encore.
L’homme a été interpellé à Béziers pour apologie du terrorisme, le 16
septembre dernier. Il serait une connaissance des frères Merah. Il a
déjà été condamné à deux ans de prison, dont un an avec sursis,
notamment pour la détention de 6 kilos de cannabis et détention d’armes
en 2013.
Le procureur de la République a requis une peine de 3 ans de prison dont un an avec sursis assortie d’une interdiction de gérer une société avec maintien en détention.
« On est dans la peur du musulman » selon l’avocat de la défense
L’avocat de la défense Me Abratkiewicz estime dans sa plaidoirie que « l’on est dans la peur du musulman ». « Il ne fait pas l’apologie d’actes terroristes, explique l’avocat d’Alain Courmont, peut-être l’apologie de l’Islam, ce qui n’est pas la même chose. »
Le tribunal de grande instance de Béziers a condamné le gérant du « toubib burger » à un an de prison ferme et cinq ans d’interdiction d’exercer.
3 ans de prison requis
Le procureur de la République a requis une peine de 3 ans de prison dont un an avec sursis assortie d’une interdiction de gérer une société avec maintien en détention.
« On est dans la peur du musulman » selon l’avocat de la défense
L’avocat de la défense Me Abratkiewicz estime dans sa plaidoirie que « l’on est dans la peur du musulman ». « Il ne fait pas l’apologie d’actes terroristes, explique l’avocat d’Alain Courmont, peut-être l’apologie de l’Islam, ce qui n’est pas la même chose. »
Un an de prison ferme
Le tribunal de grande instance de Béziers a condamné le gérant du « toubib burger » à un an de prison ferme et cinq ans d’interdiction d’exercer.
http://www.societe.com/societe/monsieur-alain-courmont-488811548.html
MONSIEUR ALAIN COURMONT (TOUBIB BURGER)
Société : 488811548
Fiche entreprise : chiffres d’affaires, bilan et résultat
TOUBIB BURGER
50 ALLEES PAUL RIQUET
34500 BEZIERS
FRANCE
50 ALLEES PAUL RIQUET
34500 BEZIERS
FRANCE
Présentation de la société MONSIEUR ALAIN COURMONT
MONSIEUR ALAIN COURMONT, affaire personnelle commerçant est active depuis 10 ans.
Domiciliée à BEZIERS (34500), elle est spécialisée dans le secteur d’activité de la restauration de type rapide.
Societe.com recense 1 établissement actif et aucun événement.
Renseignements juridiques
Dénomination | MONSIEUR ALAIN COURMONT |
Adresse | MONSIEUR ALAIN COURMONT, 50 ALLEES PAUL RIQUET 34500 BEZIERS |
Téléphone | Afficher le téléphone |
SIREN | 488 811 548 |
SIRET (siege) | 48881154800046 |
N° de TVA Intracommunautaire | |
Activité (Code NAF ou APE) | Restauration de type rapide (5610C) |
Forme juridique | Affaire personnelle commerçant |
Date création entreprise | 01-03-2006 |
Date de dernière mise à jour | 04-07-2015 |
Tranche d’effectif | 0 salarié (unités ayant eu des salariés au cours de l’année de référence mais plus d’effectif au 31/12) |
En savoir plus
Chiffres clés de MONSIEUR ALAIN COURMONT
Date de publication de l’exercice | 2015 | 2014 | Variation |
---|---|---|---|
Total du Bilan (Actif / Passif) | |||
- dont Trésorerie | |||
- dont Capitaux propres | Comptes non disponibles | Comptes non disponibles | |
- dont Dettes | |||
Chiffre d’affaires | |||
Résultat net (Bénéfice ou Perte) | |||
Effectifs moyens |
Les 2 Annonces d’évènements parues
Date | Annonces légales (JAL ou BODACC) | Prix | Achat |
---|---|---|---|
27/08/2015 | Cession / acquisition | 2,90 € | |
17/07/2008 | Clôture de jugement | 2,90 € |
Synthèse societe.com pour l’entreprise MONSIEUR ALAIN COURMONT
Analyse bientôt disponible pour cette société
Les 3 établissements, 1 établissement actif :
Siege | MONSIEUR ALAIN COURMONT | |
Depuis le : | 08-06-2015 | |
SIRET | 48881154800046 | |
Adresse | 50 ALLEES PAUL RIQUET – 34500 BEZIERS | |
Activité | Restauration de type rapide (5610C) |
Siege | MONSIEUR ALAIN COURMONT | |
Depuis le : | 01-04-2015 | Fermé le : 13-06-2015 |
SIRET | 48881154800038 | |
Adresse | 9 RUE ALEXANDRE CABANEL – 34500 BEZIERS | |
Activité | Restauration de type rapide (5610C) |
Siege | MONSIEUR ALAIN COURMONT | |
Depuis le : | 11-04-2011 | Fermé le : 17-06-2014 |
SIRET | 48881154800020 | |
Adresse | 26 RUE DU CAPNAU – 34500 BEZIERS | |
Activité | Commerce d’alimentation générale (4711B) |
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