A l’automne 2009, alors que se tenait à la cour d’assises du
Finistère, à Quimper, le premier procès des assassins présumés de
l’ancien proxénète brestois Bernard Algret, j’avais publié sur Le Post
toute une série d’articles à ce sujet.
Bien évidemment, Cyprien Luraghi venait tous les jours « commenter » ces articles à sa manière, c’est-à-dire qu’il me harcelait comme il l’a toujours fait au quotidien à compter de début mars 2009 sur tous les supports où je pouvais m’exprimer.
Aussi, dans un de ces articles, que j’ai publié pour la première fois en date du 15 octobre 2009, j’avais inclus deux de ses commentaires sur le site Rue89, pensant ainsi l’inciter à me laisser pour une fois quelques commentaires sinon intelligents au moins appropriés au sujet traité.
Las, il m’a fait une crise de paranoïa totalement démentielle et m’a menacée de violences graves de la part de ses amis du grand banditisme.
Cet article ayant été supprimé par la modération du Post à sa demande dès le lendemain, 16 octobre 2009, je l’avais republié aussitôt sous une forme expurgée de toute allusion au malade mental, ce qui avait suffi à le calmer.
Voici des copies de cet article et de l’ensemble des réactions qu’il avait suscitées sur Le Post (cliquer sur les images pour les agrandir et découvrir les textes) :
Se plaignant d’avoir été cité dans cet article du 15 octobre 2009, Cyprien Luraghi avait donc d’abord invoqué son droit d’auteur pour ses deux commentaires prétendument « volés » sur le site Rue89, puis le droit au respect dû aux morts, en l’occurrence, celui qu’il présentait partout comme son ex beau-frère, Thierry Chatbi, un ancien braqueur de banques décédé en 2006, et partant, selon lui, le droit au respect dû aux familles et aux amis des morts, c’est-à-dire lui-même, proche et ami du trépassé – mais il cessera totalement de se préoccuper des droits des morts, de leurs proches et de leurs amis dès qu’il ne sera plus lui-même cité dans cet article – et enfin, pour obtenir de la modération du Post la suppression de ce texte dont la publication le dérangeait au plus haut point, il avait fait valoir que ses propres injures et diffamations contenues dans ses deux commentaires y étant inclus pouvaient justifier des poursuites judiciaires contre les responsables du site.
La personne injuriée et diffamée était sa propre soeur, dont il racontait pis que pendre dans nombre de ses écrits publics, sur le site Rue89 comme sur son blog.
Elle m’a fourni les explications suivantes plus de deux ans plus tard, dans un commentaire public qu’elle a laissé sur mon blog « Un petit coucou » chez OverBlog en date du 2 juin 2012 :
Bien évidemment, Cyprien Luraghi venait tous les jours « commenter » ces articles à sa manière, c’est-à-dire qu’il me harcelait comme il l’a toujours fait au quotidien à compter de début mars 2009 sur tous les supports où je pouvais m’exprimer.
Aussi, dans un de ces articles, que j’ai publié pour la première fois en date du 15 octobre 2009, j’avais inclus deux de ses commentaires sur le site Rue89, pensant ainsi l’inciter à me laisser pour une fois quelques commentaires sinon intelligents au moins appropriés au sujet traité.
Las, il m’a fait une crise de paranoïa totalement démentielle et m’a menacée de violences graves de la part de ses amis du grand banditisme.
Cet article ayant été supprimé par la modération du Post à sa demande dès le lendemain, 16 octobre 2009, je l’avais republié aussitôt sous une forme expurgée de toute allusion au malade mental, ce qui avait suffi à le calmer.
Voici des copies de cet article et de l’ensemble des réactions qu’il avait suscitées sur Le Post (cliquer sur les images pour les agrandir et découvrir les textes) :
Se plaignant d’avoir été cité dans cet article du 15 octobre 2009, Cyprien Luraghi avait donc d’abord invoqué son droit d’auteur pour ses deux commentaires prétendument « volés » sur le site Rue89, puis le droit au respect dû aux morts, en l’occurrence, celui qu’il présentait partout comme son ex beau-frère, Thierry Chatbi, un ancien braqueur de banques décédé en 2006, et partant, selon lui, le droit au respect dû aux familles et aux amis des morts, c’est-à-dire lui-même, proche et ami du trépassé – mais il cessera totalement de se préoccuper des droits des morts, de leurs proches et de leurs amis dès qu’il ne sera plus lui-même cité dans cet article – et enfin, pour obtenir de la modération du Post la suppression de ce texte dont la publication le dérangeait au plus haut point, il avait fait valoir que ses propres injures et diffamations contenues dans ses deux commentaires y étant inclus pouvaient justifier des poursuites judiciaires contre les responsables du site.
La personne injuriée et diffamée était sa propre soeur, dont il racontait pis que pendre dans nombre de ses écrits publics, sur le site Rue89 comme sur son blog.
Elle m’a fourni les explications suivantes plus de deux ans plus tard, dans un commentaire public qu’elle a laissé sur mon blog « Un petit coucou » chez OverBlog en date du 2 juin 2012 :
Laissé par : cathy luraghi le 02/06/2012 à 23h40
· Je suis Cathy Luraghi et je
voudrais répondre à toutes les fausses informations qui circulent sur
moi. cyprien mon soit disant frère, na jamais rencontré Thierry de toute
sa vie, Thierry le haïssait pour tout le mal qu’il à fait à mes filles
durant mes 9 mois d’incerations, ils s’invente une vie qu’il na pas eu
le courage vivre et me salit moi même depuis 17 ans. Contrairement à ce
qu’il se dit je n’ai jamais balancé personne même si j’ai du reconnaitre
se qui a été prouvé. Thierry était l’amour de ma vie et le restera à
jamais.
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